« Moi : Allô ?
Lui : Pardon ! c'est une erreur.
Moi : Comment, c'est une erreur ? À qui voulez-vous parler ?
Lui : À une femme, connard ! »
Matthieu Galey, Journal, 4 septembre 1984.
Lui : Pardon ! c'est une erreur.
Moi : Comment, c'est une erreur ? À qui voulez-vous parler ?
Lui : À une femme, connard ! »
Matthieu Galey, Journal, 4 septembre 1984.
Chez moi:
RépondreSupprimerVoix enfantine: Tu vas à la piscine staprèm ?
Moi: bonjour,tu veux parler à Quentin ?
Raccrochage.
Dring dix secondes après:
- Télà ?
- Bonjour, tu veux parler à Quentin ?
Raccrochage.
Redring
- c'est toi qu'as mon bonnet de bain ?
- écoute, ce n'est pas comme ça qu'on parle au téléphone. On dit: bonjour madame, ici Machin, le copain de Quentin, je pourrais lui parler s'il vous plait ?
Voix off: eh, t'entends, ya une meuf c'est quoi elle dit? je la calcule pas.
Raccrochage
Redring
- Bonjour madame, c'est pour lui dire à Christopher qu'il faut qu'il vient.
- Ah, tu dois te tromper de numéro, il n'y a pas de Christopher ici.
Voix off: t'entends? mais pourquoi s'qu'elle a à nous faire chier, ste pute, si c'est même pas chez lui ?
Deuxième voix off: T'as fait exploser mon crédit, batard. tu sais même pas faire un numéro. Laisse tomber, c'est mort.On n'y va pas à la piscine.
Je sais que Didier Goux adore les histoires attendrissantes pleines de bons mots d'enfant au regard clair et à l'âme limpide, racontées par des mères au style dégoulinant d'amour mal contenu.
RépondreSupprimerC'était du troll hystérique.
Oisive jeunesse, à tout asservie...
RépondreSupprimer(Et ils sont censés payer nos retraites, ma bonn' dam' !)
Ceux-là, ce n'est pas par délicatesse qu'ils vont gâcher leur vie, hein.
RépondreSupprimerLa tehon ! Suzanne a chipé le bonnet de bain de Christopher !
RépondreSupprimerMais il ne vous va pas on vous l'a dit ...
iPidiblue c'est mort !
Quel beau français. Décidément même les adultes , il faut les reprendre à la base. j'ai horreur du français mal parlé et rien à voir avec l'argot qui avait un style certain.. La classe dans la vulgarité mais il pouvait y avoir de bons mots.
RépondreSupprimerQuand un livre dépasse un certains nombres de mots vulgaires, je ferme, pour moi c'est illisible. Je ne suis pas moderne? tant pis, j'assume.
Ipidiblue : je vous aime. Je sais, ce sont des amours impossibles, vous en aimez un autre, c'est la grande tragédie de la Vie.
RépondreSupprimerSuzanne
Suzanne, ça vous apprendra à fréquenter des bâtards!
RépondreSupprimerEst ce que vous seriez un homme par erreur, donc ?
RépondreSupprimerMais alors comment le sait-il ce cuistre malpoli ?
:-))
Monsieur Poireau: un homme, moi ? Que nenni !
RépondreSupprimerSuzanne
Bon finalement, où est ce foutu bonnet de bain ?
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