La Haute-Normandie est une région à la pointe extrême du progrès, où la modernité fait rage, je me fais une joie de vous l'apprendre. Nous aussi, nous avons nos clowns raisonneurs, nos augustes à férule, nos rebadigeonneurs de passé-qui-fait-peur et nos panégyristes d'avenir-qui-babille. Celui que j'ai trouvé, pas très loin de chez moi, est une pointure, un exemple, un concentré, une synthèse. Un cavalier de l'Apocalypse monté sur une Rossinante fourbue. Et les moulins qu'il charge (probablement pour les remplacer par des éoliennes) sont déjà si vermoulus qu'il lui suffirait à vrai dire de souffler dessus pour les voir tomber. Seulement, il a une lance – en pâte à modeler – et un baudrier – en nougatine : il faut bien que ça serve, ces petites choses, non ? Alors, notre Paillasse zébulonne, notre Quichochotte charge. Son billet du jour (retourner au lien ci-dessus, passer trois tours et verser frs. 10 000 à la Caisse de communauté) est une merveille, chaque phrase en est durable, chaque mot citoyen.
Empreinte de nationalisme, d'incitation à la fécondité, et renvoyant à l'image de la femme au foyer, la fête des mères a un arrière-goût de 3ème et 4ème République qui fleure bon la naphtaline et les photos jaunies !...
On le sent-y assez, le fier et juste mépris que nourrit ce garçon pour les horribles photos jaunies aux relents nauséabonds ? Sa haine équitable de la naphtaline d'où – je le rappelle – sort fréquemment une bête immonde ? Et cette ignoble femme au foyer, ricanante, sûre d'elle-même et dominatrice ? Il était tout de même temps que quelqu'un lui règle son compte, non ?
Je préfère sans hésiter la journée internationale des droits de la femme, même si cela démontre de fait les manquements et le chemin qui reste à parcourir entre terme d'équité face à l'homme.
Ah, mais, il aurait fait beau voir que notre Don Quichochotte hésitât ! Avec tous ces manquements que son œil de rapace repère partout sous les sabots de Rossinante. Et ce glorieux cheminement en terme d'équité qu'il a entrepris pour nous tous.
Une telle journée est tout de même plus dynamique, moins refermée sur la nation et permet forcément des avancées, d'année en année, dans tous les domaines : sociaux, familiaux, sexuels, professionnels, culturels...
Celle-là, ce bouquet en apothéose, c'est vraiment la plus belle, et Don Quiche a bien fait de terminer dessus : même à des fins de moquerie – ce qui n'est nullement dans ma nature, Dieu soit loué –, je n'aurais pas été capable d'un tel collier de perles. Tout y est : “dynamique”, “nation” associée à “refermée” (déjà, le concept d'une journée pouvant se fermer sur une nation, cela demanderait de longues et fines exégèses dont je me sens hélas incapable), et les “avancées”, ces merveilleuses avancées sans lesquelles aucun futur ne peut prétendre avoir d'avenir. Et des avancées sexuelles, encore ! On a bien hâte de les voir advenir, ces avancées sexuelles : elles nous changeront merveilleusement des vieux « Moi j'avance, toi tu r'cules » de ces salauds de réacs pétainistes restés sottement attachés à la Fête des Mères.
Mais c'est assez bavardé ; le vent se lève, la pluie menace : il est grand temps pour moi d'aller refermer cette journée sur ma nation, si je ne veux pas voir mes avancées toute salopées en terme d'équité.
Empreinte de nationalisme, d'incitation à la fécondité, et renvoyant à l'image de la femme au foyer, la fête des mères a un arrière-goût de 3ème et 4ème République qui fleure bon la naphtaline et les photos jaunies !...
On le sent-y assez, le fier et juste mépris que nourrit ce garçon pour les horribles photos jaunies aux relents nauséabonds ? Sa haine équitable de la naphtaline d'où – je le rappelle – sort fréquemment une bête immonde ? Et cette ignoble femme au foyer, ricanante, sûre d'elle-même et dominatrice ? Il était tout de même temps que quelqu'un lui règle son compte, non ?
Je préfère sans hésiter la journée internationale des droits de la femme, même si cela démontre de fait les manquements et le chemin qui reste à parcourir entre terme d'équité face à l'homme.
Ah, mais, il aurait fait beau voir que notre Don Quichochotte hésitât ! Avec tous ces manquements que son œil de rapace repère partout sous les sabots de Rossinante. Et ce glorieux cheminement en terme d'équité qu'il a entrepris pour nous tous.
Une telle journée est tout de même plus dynamique, moins refermée sur la nation et permet forcément des avancées, d'année en année, dans tous les domaines : sociaux, familiaux, sexuels, professionnels, culturels...
Celle-là, ce bouquet en apothéose, c'est vraiment la plus belle, et Don Quiche a bien fait de terminer dessus : même à des fins de moquerie – ce qui n'est nullement dans ma nature, Dieu soit loué –, je n'aurais pas été capable d'un tel collier de perles. Tout y est : “dynamique”, “nation” associée à “refermée” (déjà, le concept d'une journée pouvant se fermer sur une nation, cela demanderait de longues et fines exégèses dont je me sens hélas incapable), et les “avancées”, ces merveilleuses avancées sans lesquelles aucun futur ne peut prétendre avoir d'avenir. Et des avancées sexuelles, encore ! On a bien hâte de les voir advenir, ces avancées sexuelles : elles nous changeront merveilleusement des vieux « Moi j'avance, toi tu r'cules » de ces salauds de réacs pétainistes restés sottement attachés à la Fête des Mères.
Mais c'est assez bavardé ; le vent se lève, la pluie menace : il est grand temps pour moi d'aller refermer cette journée sur ma nation, si je ne veux pas voir mes avancées toute salopées en terme d'équité.
Z'avez pas fini d'agresser les zozos qui sont dans ma blogroll (faut dire, qu'il y a beaucoup de blogs, trouver ceux qui n'y sont pas est compliqué) ?
RépondreSupprimerCela dit, vous reprochez souvent aux blogueurs d'accorder trop d'importance aux quêtes qu'ils mènent. Là, c'est vous qui leur en accorder.
C'est grotesque.
J'ai failli mettre un "rajout" à votre intention. Il ;aurait dit à peu près ceci : « Nicolas, ceci est une amorce de guerre civile entre Hauts-Normands, qui ne concerne pas le Breton que vous êtes ! »
RépondreSupprimerEt, comme agression, franchement, on a vu pis et plus méchant...
Ces clowns tristes rendent le monde si triste que c'en est bien plus grave qu'un crime contre l'humanité.
RépondreSupprimerTu sais ce qu'elle lui dit la femme au foyer ?
RépondreSupprimerEt Nicolas, mon chum a raison. Vous allez pas dire bonne fête des Mères à votre mère, fils ingrat ?
Georges : je me demande si, pour ces combattants du Bien, on ne pourrait pas forger le concept de crime POUR l'humanité. Quelque chose comme ça...
RépondreSupprimerOui, je trouve ça très juste, le Crime pour l'Humanité. Faut cavater ça.
RépondreSupprimerCette opposition entre la Fêtes des mères et la Journée internationale de la Femme est extrêmement significative. Ce sont bien deux conceptions du monde qui se font face.
Mais il est très comme il faut ce monsieur de par chez vous !
RépondreSupprimerPetit casseur de verrous fantasmés qui ne casse rien, gentil lambda parmi des millions d’autres sacrifiant au culte droitdlhommiste encombré d’aucune parousie qui récitent en boucle les deux seules prières de la liturgie :
"Le chemin qui reste à parcourir" (vers…) et "Les avancées" (vers…)
Ils sont d'un conformisme ces blogueurs...
RépondreSupprimerAucun pour s'apercevoir qu'ils puisent dans la boite du prêt-à penser.
Les féministes ont certes à leur actif quelques belles victoires, mais quid de toutes celles qui ne s'appellent pas Simone de Beauvoir et se tapent du temps pertiel subi? Sont-elles plus libres que la femme au foyer? Etre mère est-il devenu une infamie, une chose du passé dépassé?
Sont-ils cons mais sont-ils cons!
mais vous trouvez de ce trucs vous !
RépondreSupprimerCrime pour l'Humanité : je vote pour aussi.
Si l'on m'avait dit que quelqu'un me ferait rire un jour en commentant les propos d'un adjoint au maire de Gisors, je n'aurais pas forcément nié cette possibilité, mais elle m'aurait pourtant semblé improbable. Bravo pour cet exploit, M. Goux.
RépondreSupprimerUne critique cependant: pour un Don Quichotte, votre Philippe Méoule est un peu épais. Pauvre Rossinante!
Catherine,
RépondreSupprimerSi. Parce que c'est une tradition. Parce que j'imagine son état d'esprit si ses enfants ne pensaient pas à elle ce jour. Mais ça ne m'empêche pas de l'appeler tous les deux ou trois jours et d'avoir un tas d'échanges avec elle par mail. Ca me parait plus important que la tradition qui veut que je commande des fleurs chez www.interflora.fr un dimanche matin, la tête dans le cul.
Rossinante est un mâle.
RépondreSupprimer"Or, il arriva que Rossinante sentit tout à coup le désir d’aller folâtrer avec mesdames les juments, et sortant, dès qu’il les eut flairées, de ses habitudes et de ses allures naturelles, sans demander permission à son maître, il prit un petit trot coquet, et s’en alla leur communiquer son amoureuse envie. Mais les juments, qui avaient sans doute plus besoin de paître que d’autre chose, le reçurent à coups de pieds et à coups de dents, si bien qu’en un moment elles rompirent les sangles de la selle, et le laissèrent tout nu sur le pré. Mais une autre disgrâce l’attendait, plus cuisante encore : les muletiers, voyant qu’il voulait faire violence à leurs juments, recoururent aux pieux qui servaient à les attacher, et lui assenèrent une telle bastonnade, qu’ils l’eurent bientôt jeté les quatre fers en l’air."
RépondreSupprimerDeux journées, l'une créée d'inspiration communiste, l'autre fasciste. Cela confirme ma théorie foireuse (mais j'y tiens) voulant que les positionnements politiques puissent être expliqués par relation aux parents (Freud en a-t-il parlé ? à voir).
RépondreSupprimerLes extrémistes de tous bords ont des problèmes non résolus avec les papouilles maternelles.
Nicolas est aussi généreux que les Mormons qui baptisent les ancêtres morts en tentant de n'en oublier aucun. Il met la moitié du Net dans sa bloguerolle et après grogne quand on critique ses blogpotes.
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerJe suis obligé de les défendre : ils sont dans ma blogroll et me font des liens.
Pour le fond : je m'en fous et vous le savez. Je trouve juste amusante, la posture de Didier... A propos de l'anonymat, hier ou avant hier, il traitait les blogueurs de sous-merde ou presque et aujourd'hui, il accorde de l'importance à leurs écrits au point d'en faire des billets...
Georges : on va tenter de cavater, oui ! Sans se faire cravater par les officines.
RépondreSupprimerLe Plouc : c'est une synthèse, comme je le disais. Mais au moins n'est-il ni méchant (apparemment) ni agressif.
Fredi : oh, mais le féminisme n'est même pas en cause, ici ! C'est du pur babillage-réflexe.
PRR : ben... dans la blogroll de Nicolas...
Jacques Etienne : ah parce qu'il est adjoint au maire ? Fichtre ! si je déménage un jour, j'ai intérêt à éviter le quartier...
Nicolas : Est-on obligé de choisir l'un OU l'autre ? On peut très bien respecter la tradition et, à côté de cela, parler à sa mère au téléphone tous les jours, vous savez...
Et puis, mon billet ne parlait pas vraiment de la pertinence ou impertinence de la Fête des mères...
Suzanne : bravo ! vous nous avez tous mis le nez dans notre crottin, sur ce coup !
Paul : votre théorie provoque chez moi un léger vertige...
Nicolas : il me semble que vous abusez du droit de caricaturer ce que j'ai dit, là !
J'ai mis ça chez ce Monsieur Méoule:
RépondreSupprimerVive la fête des mères!
Vivent les ventres féconds!
Vivent les photos jaunies!
Vive la troisième république!
Vive la France et vive Pétain!
Ben y'a plus le droit ?
RépondreSupprimerPour répondre à votre première réponse "On peut très bien respecter la tradition et, à côté de cela, parler à sa mère au téléphone tous les jours, vous savez..." ! Je trouve crétin de respecter une tradition pour ne pas faire de peine quelqu'un.
Par exemple, je vais tous les soirs au bistro pour faire plaisir à Tonnégrande et ne pas lui faire de peine si je ne viens pas.
Fredi Maque : Gamin, va !
RépondreSupprimerNicolas : Eh bien, moi, je ne vois guère de meilleure raison pour respecter une tradition.
Mon exemple était-il mal choisi.
RépondreSupprimer'Je trouve crétin de respecter une tradition pour ne pas faire de peine quelqu'un. "
RépondreSupprimerMais si cela ne vous cause aucun tort?
L'année dernière, j'avais dans mes pubs Gmail pour la fête des mères des promotions obsèques.
C'est pas gentil de se moquer des Camarades blogueurs ! Mais vous le faites tellement bien et avec tant de justesse qu'en plus du fou rire que vous m'avez provoqué, je dois reconnaître que je ne peux que vous approuver. Merci !
RépondreSupprimerCorto : si c'était gentil, je ne le ferais pas !
RépondreSupprimerPlus sérieusement, si je m'étais avisé de dire à ce monsieur le fond de ma pensée quant à sa prose filandreuse et propre sur elle, là, pour le coup, ç'aurait été vraiment méchant.
Mais je me sentais d'humeur plus badine que cravache...
Dans les familles homoparentales lesbiennes, écrit-on sur le gâteau "bonne fête mamans" ?
RépondreSupprimerQu'est ce que je fous à discuter des traditions avec des réactionnaires. Pétainistes, en plus.
RépondreSupprimerSuzanne,
"Mais si cela ne vous cause aucun tort? " C'est mon côté gauchiste : j'ai horreur de filer de l'oseille à des multinationales uniquement par tradition.
Et surtout, j'aurais préféré être avec elle ! Ca m'aurait éviter les fleurs, nous aurions pris l'apéro pour célébrer cette tradition (mais un seul, j'ai la route à prendre ensuite). Le voyage m'aurait coûté beaucoup cher, évidemment, mais j'ai horreur de cette tradition qui consiste à envoyer des fleurs à quelqu'un pour lui "faire croire" qu'on pense à elle alors que de toute manière je l'appelle toujours, à l'heure de l'apéro, le dimanche...
Argt ! Pétainiste et homophobe.
RépondreSupprimer;-)
Suzanne : dans les familles homoparentales lesbiennes, c'est tous les jours la fête, voyons !
RépondreSupprimerNicolas : ah, mais on les connaît, les gauchistes qui "ne veulent pas filer d'oseille aux multinationales" : c'est leur excuse favorite pour garder leur pognon et aller le boire !
Et, sinon, qui vous parle de dépenser de l'argent ? Moi, dimanche, je vais passer un simple coup de téléphone à ma mère, tout comme je le fais à son anniversaire.
Et puis, encore une fois, ce n'était pas le sujet du billet, bordel !
"pétainiste et homophobe" oui, on fait dans la promotion "spécial fête des mères".
RépondreSupprimerAlors, pour n'importe quelle manifestation, il faut être créatif et festif, siffler de joie, lancer des ballons, se maquiller de toutes les couleurs, chanter dans des mégaphones grésillants, mais il faudrait empêcher les p'tits enfants d'emballer leur boite à bijoux en papier mâché, leur fleur de tournesol en papier peint à la main, de réciter leur comptine avec sept fois le mot "maman" dedans, sous prétexte que c'est une fête lancée par Pétain ? Oui, mais si c'était Jaurès qui avait eu l'idée?
Il suffit de ne pas aller au supermarché le ouikinde de fêtes des mères, c'est tout. ça dure moins longtemps que la coupe du monde de football.
RépondreSupprimer(mais ce n'était pas le sujet du billet, qui était : comment causer le français tel qu'on le parle quand on est un citoyen de son temps ouvert sur un monde pluriel)
RépondreSupprimerSuzanne, c'est pas le sujet du billet, vous allez me fâcher mon "chum". En ce début de vikende, c'est pas sympa. Surtout qu'on va à un concert festif dans une église demain soir.
RépondreSupprimerJ'en mettrais ma main à couper : l'épouse de l'adjoint au maire, si épouse il y a, aura bien entendu droit à sa rose au matin ou au soir de la Saint Valentin - elle est pas belle la vie ?
RépondreSupprimerEn outre, il y a fort à parier que le institutrices et les instituteurs des écoles privées et publiques de Gisors auront su, tout au long de la semaine, délaisser l'apprentissage de l'écriture, de la lecture et du calcul pour obliger leurs chers élèves à la transformation d'une boite de camembert (forcément) en coffret à bijoux - elle est pas belle la vie ?
Sinon Didier, et pour "taper" de l'autre côté, y'a l'curé de mon village qui chaque année me casse les couilles dans un combat sans merci engagé contre Halloween, alors que ma progéniture aime les bonbons comme elle aime avoir peur (et faire peur) pour de faux - elle est pas ridicule la vie ?
Dernière chose : entre Fête des Mères et Journée de la Femme mon coeur ne balance plus depuis que, une fois l'an, pour fêter Sainte Marie Madeleine, je vais chanter, louer et prier les causes perdues - mais les causes perdues nous précèderont au Royaume... - dans la basilique de Vézelay, ce "putain" de lieu de perdition, si je puis dire.
Suzanne : si c'était Jaurès, ce serait pareil, mais en un peu moins pire : nos modernes doivent considérer le député de Carmaux comme une vieille barbe tout juste bon à poser sur "des photos jaunies"...
RépondreSupprimerCatherine : concert festif, du violoncelle classique dans une église ?
Christophe : il est un peu bête, votre curé : Halloween est agonisante depuis déjà deux ans au moins.
Didier, c'était pour rire..
RépondreSupprimerChristophe, les causes perdues c'est pas Sainte Rita ? Je suis inquiète là, tout d'un coup, ça tombe, ça fait des années que je me trompe de personne...
Les causes perdues c'est Sainte Rita, je confirme que Rossinante est un rossinant, j'ai mangé du Don Quichotte récemment, et je trouve dommage de comparer votre bloggeur qui sonne creux à ce doux rêveur.
RépondreSupprimerVotre billet parlait des blogs qui qui usent des mots pour rien, c'est ça ?
Mère Castor : vous noterez que je ne l'ai pas appelé exactement Don Quichotte...
RépondreSupprimerDidier Goux a dit...
RépondreSupprimerFredi Maque : Gamin, va !
Il en a pô voulu....
Mère Castor, ouf, merci : )
RépondreSupprimerChristophe, vous savez qui prier maintenant.
Cet argumentaire éco-citoyen non dépourvu d'une certaine dose de gauche caviardée me fait gerber.
RépondreSupprimerRailler systématiquement sur tout ce qui fait notre unité, c'est à dire la famille { uniquement européenne, faut pas déconner, la famille africaine étant tellement magnifique parce que fondatrice de l'humanité, etc...)est une marque de fabrique boboïde.Demain j'appelerai ma mère pour lui souhaiter une bonne et douce fête et lui dire que je l'aime, au risque de passer pour un méchant fasciste.J'emmerde les clowns.Cordialement.
Ah, combien j'ai aimé les petits cadeaux de ma fille au long de ses années d'enfance, pourquoi faut-il que des tordus trouvent des raisons de vouer aux gémonies des choses bien innocentes ?
RépondreSupprimerJe ne vois pas pourquoi vous vous moquez de ce glorieux cheminement en termes d'équidés ...
RépondreSupprimerChère Catherine, à Vézelay je prie (pour) les causes perdues, ce qui bien entendu n'a rien à voir avec "prier la patronne des causes perdues".
RépondreSupprimerMaintenant, pour savoir qui prier, eu égard à mon dossier qui ne cesse plus de s'épaissir, rien n'est simple. Disons que pour le moment je me range à ce que Ionesco a fait graver sur sa tombe : "Prier le Je Ne Sais Qui, j'espère Jésus-Christ".
Christophe, quand je vais dans une église et qu'il y a une statue de Sainte Rita, je mets toujours 3 bougies (une pour chacun de mes enfants). À l'avenir, j'en mettrai une quatrième pour vous.
RépondreSupprimer"Une telle journée est tout de même plus dynamique, moins refermée sur la nation et permet forcément des avancées, d'année en année, dans tous les domaines : sociaux, familiaux, sexuels, professionnels, culturels..."
RépondreSupprimerCe type est fou !
Seul un franc mac peut se permettre de raconter de telles énormités , il n'y a rien à argumenter , un tel névrosé n'obtiendrait aucun poste dans une société saine .
Poisson année du singe, cela ne m'étonne pas que vous pensiez cela, cela me rappelle quelqu'un d'autre même année et même signe, ancien ouvrier du bâtiment et même état d'esprit. Je suis venue sur ce site par le blog de PH. Meoule, que vous ne soyez pas étonné de me lire, alors qu'on ne se connaît pas.
RépondreSupprimerJe trouve toujours que la fête des mère est importante autant que la journée de la femme pour des raisons différentes. Et en tant que poisson, en principe vous devriez aimer le côté maternel des femmes, sauf si vous avez eu de sérieux problèmes avec votre mère.
Et le signe du singe est connu pour son appétit sexuel. Donc votre article ne m'étonne pas du tout, votre préférence pour la journée de la femme et l'avancée sexuelle, mais bon, il ne faut pas non plus que la femme devienne une poupée gonflable. La sexualité n'est pas tout dans la vie.
Sylvia Mackert
J'aimerais rajouter que je suis capricorne ascendant lion année du tigre (1962), donc voilà l'explication de ma pensée, non ?
RépondreSupprimerEt ne prenez pas mal ce que j'ai dit dans mon précédent commentaire, c'est lié à mon vécu et je ne souhaite offenser personne.
Sylvia Mackert
Le problème quand on parle à tort et à travers sans connaitre les gens…. Ben c'est que c'est à tort et et à travers …. et sans connaitre les gens. …. haha ( rire vague, là, point trop n'en faut, non plus) ;-))
RépondreSupprimerOh, mais je ne prends rien mal, moi ! C'est juste que je tiens l'astrologie pour une absolue foutaise. Mais, au moins, c'est une foutaise qui ne fait de mal à personne. Un peu comme l'homéopathie.
RépondreSupprimernaturellement, si vous prenez l'astrologie pour de la foutaise et que votre profil du zodiaque est faux, alors là, bien sûr, c'est logique que ma réponse soit à côté de la plaque comme on dit.
RépondreSupprimerEt si je n'avais pas cru en mon horoscope et mon destin, je ne serais jamais venue en France pour me marier à l'homme de ma vie et je n'aurais pas eu mes 3 enfants.
bon, bien sûr dans la religion l'horoscope est vu comme diablerie et péché mortel, alors on n'a pas le droit d'y croire. Et puis de toute façon, même sans cela, parfois la vie entière est foutaise et toutes les "journées internationales" aussi, car en gros cela ne sert plus à grand chose, sauf peut-être à réunir les enfants et les parents le jour de la fête des mères autour d'un repas, ce que l'on peut faire le reste de l'année sans autre raison aussi.
Et où est la fête des grand-pères ? On a oublié les grand-pères ! Il y a bien une fête des pères, mais pas de grand-père à ma connaissance. Et les Tontons et les Taties ? continuons... il reste encore de la place sur le calendrier.
Sylvia Mackert
le mieux serait de supprimer mon commentaire
RépondreSupprimerSylvia Mackert
Si même les astrologues doutent, au point qu'ils demandent qu'on efface leur astrologiqueries...
RépondreSupprimerJe ne suis pas astrologue, donc je peux me tromper aussi. Et si j'ai demandé à effacer le commentaire, c'est pour ne plus déranger personne, mais vous faites ce que vous voulez. Il y a des jours avec et des jours sans, comme on dit.
RépondreSupprimerEt en France j'aime bien la liberté d'expression et je ne veux imposer mes idées à personne.
Sylvia Mackert
ça, c'est bien un commentaire de capricorne.
RépondreSupprimerC'est surprenant, c'est la troisième fois que je vois votre blogueur cité : chez Nicolas, chez vous et une blogueuse nommée "See Mee". Il reprochait à cette dernière le côté "cercle fermé des blogueurs z'influents dont il ne fait pas parti", à la Verdurin, si vous voyez ce que je veux dire. C'est cette teneur élevée en modèles et en stacles qui vous a attiré, j'en suis sûr !
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer(ah mais vous y êtes déjà passé : décidément, vous êtes partout, fait qui doit rappeler de bons souvenirs à Suzanne)
RépondreSupprimersi mon commentaire est bien un commentaire de capricorne, je suis peut-être pas autant à côté de la plaque finalement, non ?
RépondreSupprimerSylvia Mackert
Balmeyer : comme Suzanne, en effet, je suis partout.
RépondreSupprimer(Elle m'a fait éclater de rire, celle-là. Presque autant que "On se croirait à Vichy pendant la guerre de Vichy"...)
et pour les causes désespérées je prie St Jude aussi, et j'ai souvent besoin de St Antoine de Padoue pour retrouver des objets égarés et de St Expédit pour les affaires urgentes à régler...
RépondreSupprimerbon, avoir des amis là-haut, ça peut servir dans la vie.
Et si vous voulez en savoir plus sur les saints thaumaturges, allez à l'église d'Iville près Le Neubourg, on y fait encore des neuvaines et on y trouve aussi les prières "bien formulées" pour les Saints et Saintes de Dieu.
Sylvia Mackert
Ah oui, j'oublie, à Louviers, où j'habite on veut sauver l'église Notre Dame, alors s'il y a des personnes qui veulent sauver l'église, il faut s'adresser à la clef de voûte ou au secrétariat de la paroisse.
RépondreSupprimerhttp://clefdevoute.canalblog.com/archives/2009/08/20/14797075.html
je dis cela juste au passage, comme certains de vos lecteurs semblent s'intéresser à la religion et à l'église.
Sylvia Mackert
En relisant tous les commentaires, je pense à un atelier d'écriture auquel j'ai participé, les réponses et dialogues spontanés pourraient facilement se transfomer en mise en scène finalement (lecture théâtrale) dans le grand théâtre de la vie, non ?
RépondreSupprimerSylvia Mackert