jeudi 6 septembre 2012

Comment faire crever les mères ?


Je sortais de la boulangerie de l'avenue de l'Europe, à Levallois, une expérience soft que je ne souhaite à personne, notamment en raison de la qualité du pain qu'on y vend. Mais enfin j'en sortais. En même temps que moi, mais par l'autre porte, une femme que je n'ai pas regardée, avec un enfant, un garçon, un tout petit, je dirais : entre deux et trois ans. 

Ce gamin, donc : prêt à se jeter dans mes jambes, mignon comme vous n'avez pas idée, même pour un type dans mon genre qui déteste les enfants, ou est censé les détester. Tout brun, tout bouclé, souriant et délié de la parole. Moi, ma baguette sous le bras, vieux con irrémédiable, je contemple ce petit lutin-là ; il va et vient sous l'arcade, mais pas loin car il est tout petit, tout jeune, à peine vivant, je trouve, durant les quatre ou cinq mètres que nous parcourons ensemble entre cette boulangerie et… et tout le reste de sa vie. 

Je suis presque attendri (avec ma baguette sous le bras, ce qui n'aide pas) : vraiment, ce petit machin, ce bout d'homme, ce petit zébulon frisé et souriant, on pourrait s'en accommoder, n'est-ce pas ? S'en faire un pour soi, pour peu qu'on ait le réceptacle féminin nécessaire. Bon, on n'a pas envie, on l'a déjà dit : pas d'enfant, berk ! Mais enfin, ce petit truc, là, frisé, qui gambade et gazouille, n'est-ce pas…

C'est à ce moment que (il ne s'est pas passé plus de cinq ou six secondes) la “maman” ouvre sa gueule, sa terrible gueule de “maman”. Et elle dit ceci :

« Ethan ! Viens-là mon chéri ! Ethan ! »

Ethan. Ce petit garçon merveilleux s'appelle donc ainsi : Ethan.  Comme Buthan, Propan, autre gaz, etc. Je ne le reverrai jamais, ce gamin entrevu hier. Mais évidemment, je vomis sa mère. Qui l'a appelé ainsi : Ethan. Qui lui a donné un nom de gaz. 

Pouffiasse. Va crever.

59 commentaires:

  1. c'est sur, rien ne pourra jamais être aussi beau que Didier

    RépondreSupprimer
  2. Robert Marchenoir6 septembre 2012 à 21:28

    D'un autre côté, il aurait pu s'appeler Ethylène-glycol. Ou Paraoxybenzoate. Ou Mohamed.

    Il faut toujours voir le bon côté des choses.

    RépondreSupprimer
  3. Ça se prononce comment? Etane ou Essane?

    RépondreSupprimer
  4. Mon Dieu, encore une histoire de prénoms... Vous savez pourtant combien ce type de billet peut provoquer de réactions sauvages. Au moins Ethan n'est pas breton et vous échapperez aux imprécations de l'indépendantiste au nom de greffier. Mais vu l'origine de ce prénom, vous tendez une nouvelle perche! (ceci dit, j'aime bien les frères Coen).

    RépondreSupprimer
  5. C'est un prénom biblique!
    Ethan était un fonctionnaire du roi Salomon...

    Si vous voulez souffrir:

    http://www.neoprofs.org/t51931-prenoms-de-nos-eleves?highlight=pr%E9noms

    RépondreSupprimer
  6. Heuuuhh...
    Vous avez des visites de Marchenoir parfois?

    RépondreSupprimer
  7. Hélas, trois fois hélas, Mister Goux, votre courroux s'est sans doute déclenché à mauvais escient ! Eitan peut être aussi bien un prénom israëlien, que portèrent en tant que nom de famille deux grands de ce petit pays. Un qui mena l'opération d'enlèvement d'Eichman en Argentine et son transport en Israël, l'autre, Chef d'Etat Major, fut bien utile pour éviter le pire à son pays.
    La mère du bambin ne méritait donc pas forcément d'être maudite !

    RépondreSupprimer
  8. Comme dit la maxime du bûcheron : "on ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille..."

    RépondreSupprimer
  9. Nom d'un chien disait Alain Chabat en 97 en se prenant pour Didier....
    Quelle pouffiasse en effet.
    Belle soirée

    L'imprécateur

    RépondreSupprimer
  10. Votre sainte colère, Monsieur Goux, s'est peut-être exhalée à mauvais escient ! Eitan est aussi un prénom israëlien qu'ont porté, comme nom de famille, deux grands de ce petit pays. L'un, chef des services secrets, mena personnellement l'enlèvement d'Eichman à Buenos Aires et son transport en Israël; l'autre, Chef d'Etat-Major, sut éviter le pire à son pays. La mère du bambin n'a donc peut-être pas mérité votre maléfiction!

    RépondreSupprimer
  11. Elle a peut être lu Edith Wharton.

    RépondreSupprimer
  12. Ah! ces mères juives!



    Ethan (en hébreu : איתן ,prononcé "ifane"1 en anglais ou "étan" en français) est un prénom d'origine hébraïque signifiant "fort", "robuste", mais également " impétueux".

    Le premier Ethan rencontré dans la Bible est l’un des petits-fils de Juda. L’autre est lévite. Il chante et joue de la cymbale pendant le transfert de l’Arche d'alliance à Jérusalem. Il s'agit vraisemblablement du même qui est qualifié de sage d’Israël, comme les fils de Mahol, dont la sagesse est jugée grande, mais inférieure à celle du roi Salomon.

    COMPLEMENT : (d'après le grand livre des prénoms bibliques de M.A.Ouaknin et Rotnemer) Ethan : en français ; en Hébreu : Etan ou Eitan.

    La Bible fait mention de trois Etan.

    Le premier est un petit-fils de Juda, lui-même fils de Jacob (vers 1600 av.JC.). Il est mentionné dans le premier livre des Chroniques, chap. II, verset 6.

    Le second est un lévite, chantre du temps de David. On lui attribue la composition du psaume 89. On le trouve dans le premier livre des Chroniques chap. 25, verset 3 sous le nom de Yedantan ou Yedutûn (vers 1000 avant JC.).

    Enfin, le troisième, mentionné comme sage, dans le 1er livre des Rois, chap 5, verset 11, avec les fils de Mahol le Sage, et qualifié d'indigène (autochtone), est peut-être le même personnage que le chantre de la période davidique.

    RépondreSupprimer
  13. Un jour, le petit Ethan se mariera peut-être avec la petite Térébenthine et ils donneront naissance à tout plein de petits Trichloréthylène, Polypropylène et autre Chlorure.

    C'est joli, Chlorure, pour une fille, non ?

    RépondreSupprimer
  14. Pouffiasse. Va crever. Je ne l'aurais pas formulé ainsi, mais vous avez finalement raison. Et pov'gosse ! aussi.

    RépondreSupprimer
  15. Vous ne radotez pas un peu, là, avec votre billet hebdomadaire à propos des prénoms ridicules ?

    RépondreSupprimer
  16. Je comprends très bien votre réaction et m'y associe.
    Dites vous que, au moins, l'enfant ne devrait pas trop en souffrir de nos jours. La palette de prénoms ridicules est tellement vaste de nos jours (et pas seulement dans une sorte de lumpenprolétariat isolé) que cela passera inaperçu...
    Mais c'est vrai qu'il est triste de penser qu'il aura à afficher la sottise de ses parents à chaque fois qu'il aura à se présenter.
    J'écris "ses parents" car, vous avez vu la mère et vous l'incriminiez mais le père aussi a probablement trouvé ce prénom très bien, léger, gazeux peut-être...

    RépondreSupprimer
  17. et le Gaspard…
    Faut dire que la maman s'appelle Sue-Ellen, alors elle s'est vengée sur son gamin…

    RépondreSupprimer
  18. Probablement un pouffiasse qui a craqué sur Tom Cruise dans Mission Impossible.

    RépondreSupprimer
  19. Et elle l'a prononcé comment ?
    étane ? étan ? ? ézane ? ézan ? Itane ? Itan ?
    On dit "butane", "propane', donc en "ane" déjà, premier point.
    Elle aurait pu l'appeler "Schiste", vous plaignez pas !

    RépondreSupprimer
  20. Bonjour

    Il a pourtant l'air tout droit sortie de la bible ce prénom

    RépondreSupprimer
  21. Ouille, j'avais cru lire un instant : "Comment faire crever les merles".

    Et donc vous faites dans les blagues juives maintenant...

    RépondreSupprimer
  22. L'enfant ne s'appelle-t-il pas plutôt Wotan?

    RépondreSupprimer
  23. Dites-vous que c'est toujours mieux que Mohammed.
    Cela dit, quand on n'a pas d'enfants, par choix, on est assez mal placé pour faire la leçon aux parents.

    C'est marrant cette façon de ne pas s'excuser tout en s'obligeant à s'expliquer ("pas d'enfant, berk !"), comme si on parlait de ses goûts en matière de ketchup.

    Le ketchup ? Berk !

    Et cette "maman" entre guillemets, qui visiblement pour vous ne saurait vraiment aimer sa progéniture, qui a dû se contenter de la pondre en ouvrant son vagin comme elle ouvre sa "gueule".

    Finalement, vous n'êtes pas un humaniste.

    Il est vrai que vos oeuvres vous rendent particulièrement légitime à critiquer le manque de culture des classes populaires, vous qui, pourtant, les avez abreuvé de Brigade mondaine et d'articles du JDD sur les aventures de Sissi, Albert, Caroline et autres intellectuels phares de notre temps.

    Que des pouffiasses, ces mères de famille françaises pauvres.

    RépondreSupprimer
  24. Et si c'était un petit Israélien ? A Tel Aviv, Ethan est un prénom aussi commun que Didier ( ou Pierre ou Paul) de par chez nous

    RépondreSupprimer
  25. Bon, je réponds en bloc :

    – Elle prononçait étane ;

    – elle avait plutôt un look à puiser son inspiration dans les séries américaines d'aprè-midi que dans la Bible ou l'histoire d'Israël.

    Et je suis sûr que la grande sœur d'Ethan s'appelle Priscilla.

    RépondreSupprimer
  26. Ne regrettez rien, il va grandir. Et devenir un vieux con si ça se trouve.

    RépondreSupprimer
  27. Vous vous élevez contre l'invasion sauvage d'éléments allogènes, et le plus souvent inutiles, dans notre langue (pas uniquement la langue d'ailleurs). Je me souviens, il y a une vingtaine d'années, m'être offusqué (brièvement) de l'apparition dans le langage des chantres de la modernité, du mot "look", alors qu'existaient apparence, aspect, allure (et j'en oublie). Aujourd'hui, vous l'avez inclus dans votre vocabulaire (cf. votre réponse globale). Tout comme moi d'ailleurs. Dans un vingtaine d'années, les petits Ethan pulluleront et leurs mères ne seront plus des pouffiasses, mais de bonnes pondeuses bien de chez nous. Et vous aurez trouvé d'autres moulins a vent à pourfendre . Mais , je vous en prie,continuez

    RépondreSupprimer
  28. En premier lieu, J'imagine que la majorité des prénoms des "Z'enfants" d'aujourd'hui ne sont plus dictées par une quelconque appartenance religieuse ou culturelle mais bien davantage par les séries ou le cinéma américains. Ethan est le nom des héros de la série Lost beaucoup plus qu'un prénom biblique. Le cinéma Chinois arrive heureusement et bientôt nos chers petits s'apellerons Chang ou Ping…
    La seconde lieu, les prénoms de nos d'jeunes sont eux dictés par une appartenance religieuse et communautaire.
    Les français "d'origine française" étant bientôt minoritaires il est normal que les prénoms français disparaissent.

    RépondreSupprimer
  29. "– elle avait plutôt un look à puiser son inspiration dans les séries américaines d'après-midi que dans la Bible ou l'histoire d'Israël.

    Et je suis sûr que la grande sœur d'Ethan s'appelle Priscilla."

    Si c'est le cas, je suis sûre, quant à moi, que toute la famille vote FN...

    RépondreSupprimer
  30. Je comprends votre désarroi.
    Ls prénoms pour faire original, c'est ringard au possible.
    D'ailleurs, quelqu'un connaît-il un Etahn (yahoo) de plus de 25 ans?
    Voir quelle personnalité peut induire un tel prénom.
    Quel surnom pour Etahn? Tatanne? Allez, osons le godasse!

    RépondreSupprimer
  31. En phase solide, son point de fusion est à -183°C. Effectivement, pauvre gosse.

    En tous cas, j'espère que son patronyme n'est pas AZI ou POLLIURE

    Désolé
    Duga

    RépondreSupprimer
  32. Je ne comprends pas le commentaire de CyCee. Pourquoi la famille d'Ethan et Priscilla voterait Front-National ?
    (Par ailleurs, Ethan est le prénom d'un des frères Coen, l'autre étant Joël)
    Dans le lien que j'ai fourni plus haut, les professeurs donnent les prénoms "originaux" de leurs collégiens. Mykeul, Jayson...
    Ces prénoms sont des prénoms de classe. Ils signent l'appartenance à la classe populaire et marquent chaque enfant aussi sûrement qu'un tatouage signifiant "mes parents ont passé des heures et des heures de leur vie devant des émissions de télé aliénantes, laides, nocives. Leurs héros sont télévisuels, ils n'ont pas d'autres références ".
    Est-ce que ça en fait des salauds ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Par expérience, et les rencontres parents-professeurs sont une expérience épouvantable, Suzanne, ceux qui donnent ces prénoms à la con (Dylan, Kévin, Jennifer...) sont en général alcooliques et votent FN. En général, ce qui ne veut pas dire à tous les coups. Mais il s'agit, en général, d'une classe sociale très pauvre, financièrement et culturellement, qui rejette ceux qui ne vivent pas comme eux, c'est à dire, ceux qui ne boivent pas un litre de pastis par semaine, minimum. Et souvent, ils se reconnaissent bien dans le populisme putassier de Marine Le Pen. Ce ne sont pas des salauds, juste des pauvres d'esprits.

      Il va sans dire que je caricature un tantinet...

      Supprimer
    2. « Il va sans dire que je caricature un tantinet... »

      Mais non, mais non ! Qu'est-ce qui a bien pu vous faire dire une chose pareille ? Le lepénisme est soluble dans le pastis, c'est bien connu.

      (Moi-même, dans mes périodes sobres, je me remets tout naturellement à voter socialiste.)

      Supprimer
    3. Vous-même, ça n'a rien à voir : il faut le pack intégral ! Vous ne regardez pas NRJ12, NT1 et M6. Vous ne faites pas vos stocks de chips et de coca chez Lidle. Vous ne jouez pas à Farmville sur facebook et vous n'avez même pas de compte facebook. Le tuning vous est étranger, votre femme déteste la marque Guess, elle n'achèterait jamais des tongs à paillettes à la Halle aux chaussures...

      Bref, vous faites partie des 5% de lettrés qui votent FN après une longue réflexion, après la lecture attentive de Murray et de Camus. Mais vous savez bien que l'ensemble des électeurs du FN n'est pas comme cela.

      Supprimer
    4. En somme, vous avez trouvé en moi votre “bon électeur FN”, comme les racistes (les vrais…) ont tous leur bon nègre…

      Supprimer
    5. Non. Mais vous avez un tel mépris pour les classes populaires (par exemple, en rejetant violemment leur culture des séries américaines à travers cette histoire de prénoms) que je me demande comment vous vivez le fait qu'elles votent parfois comme vous.

      Supprimer
    6. CyCee :
      "Ce ne sont pas des salauds, juste des pauvres d'esprits."
      auriez vous un regret?
      que ce ne soient pas des salauds mais "seulement" des pauvres d'esprits?
      J'adore ce mépris pour les pauvres d'esprit…
      Quel mépris!
      Beurk!

      Supprimer
    7. Il y aurait beaucoup à dire sur les comms de CCB, mais je me contenterais de dire qu'il parle d'une époque déjà lointaine, ou en tout cas qui semble lointaine, vu l'accélération incroyable des évènements ces 20 dernières années. Il est difficile de soutenir que l'électorat du FN, sans parler des gens qui sont en accord, même à l'insu de leur plein gré, avec ses idées sur l'immigration, n'est en 2012 composé que de beaufs avinés et de "lettrés". Sans parler de la corrélation très forte entre la présence d'immigrés dans telle ville et l'augmentation du vote Fn etc.

      Supprimer
    8. Heureux les pauvres d'esprits...J'en suis, d'ailleurs, et je me pardonnerais aisément de voter pour Le Pen par ignorance, parce que son discours semble séduisant et facile. Qu'on puisse voter pour ce discours bêtifiant par construction intellectuelle, à vrai dire, ça me laisse perplexe...

      Supprimer
    9. En tout cas, à propos de porteurs de prénoms à la con, en voilà incontestablement un beau spécimen.

      Supprimer
  33. Eh ben bonjour les zamalgames et stigggmatisations!
    Je crois plutôt que les parents de Maïkeul et de Chelsie ne votent pas.

    RépondreSupprimer
  34. "les rencontres parents-professeurs sont une expérience épouvantable"



    Waouh.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Vous êtes sans doute un parent très sympathique...Mais ce n'est pas le cas de tous les parents ! Mais on rencontre le même problème dans tous les métiers où l'on est confronté à un public...Il est normal que parmi les parents, il y ait des gentils, des agressifs, des toujours d'accord, des qui puent des pieds, des absents, des artistes, des qui bégayent, des bavards, des qui ne parlent pas français, des timides, des méprisants, des efficaces, des tyrans...

      Supprimer
    2. Waouh, effectivement.
      Toute la morgue d'une certaine classe enseignante à l'état presque chimiquement pur.
      La même qui se désole de ce que les enseignants soient insuffisamment "considérés" par "la société" et tout le toutim.
      Ca mériterait d'être soigneusement conservé et exposé dans un "musée de l'éducation nationale au 21ème siècle".

      Supprimer
    3. Oh, bon sang, je ne suis pas un public. Les parents ne sont pas un public. Ni un fournisseur d'outils de travail pour quelqu'un qui les appellera un public. Quelle horreur ! Et réciproquement, heureusement, je ne mets pas tous les professeurs de mes enfants dans un grand sac "les profs". J'en ai connu qui étaient de sacrés cons, des fainéants, des déprimés chouineurs, chochottes, des alcooliques absentéistes excusés d'avance par une hiérarchie compatissante, des sadiques irrécupérables, des incapables qui sévissent depuis trente ans, et des incultes dysorthographiques à faire pleurer , mais c'est rare. Pas plus d'un sur dix par chez moi.
      Vous avez réussi à me fâcher la semaine de la rentrée scolaire, alors que j'ai deux collégiens qui ont des professeurs plutôt convenables. Merci

      Supprimer
    4. Oh, bon sang, je ne suis pas un public. Les parents ne sont pas un public. Ni un fournisseur d'outils de travail pour quelqu'un qui les appellera un public. Quelle horreur ! Et réciproquement, heureusement, je ne mets pas tous les professeurs de mes enfants dans un grand sac "les profs". J'en ai connu qui étaient de sacrés cons, des fainéants, des déprimés chouineurs, chochottes, des alcooliques absentéistes excusés d'avance par une hiérarchie compatissante, des sadiques irrécupérables, des incapables qui sévissent depuis trente ans, et des incultes dysorthographiques à faire pleurer , mais c'est rare. Pas plus d'un sur dix par chez moi.
      Vous avez réussi à me fâcher la semaine de la rentrée scolaire, alors que j'ai deux collégiens qui ont des professeurs plutôt convenables. Merci

      Supprimer
    5. Tiens, je laisse les deux : ça vous apprendra à prendre des pseudos-à-la-con !

      Supprimer
    6. Si on peut même plus jouer... pffff.... Nicolas est au courant et il y a le LIEN.

      Supprimer
    7. Encore faut-il savoir jouer sans se prendre les pieds dans le tapis…

      Supprimer
    8. Les parents ont bien pourri en 25 ans de temps.
      Avant de rajouter des flics et des profs, faudrait mettre du plomb dans la tête de certains, qu'ils comprennent
      que leurs enfants sont des sales gosses. L'enfant-roi ça va un moment...

      Supprimer
    9. Ah ! Enfin un enseignant sur ce blog qui dénonce le discours putassier de Marine Le Pen. Cela valait le coup d'attendre.

      Supprimer
  35. (Moi-même, dans mes périodes sobres, je me remets tout naturellement à voter socialiste.)
    Ah, moi, c'est tout le contraire.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Moi aussi, je suis frisée...et pas qu'un peu...

      Supprimer
    2. Ça, c'est plaisant. Didier Goux aime les Frisés. Moi de même. Heil !

      Supprimer
  36. Robert Marchenoir7 septembre 2012 à 18:09

    "Un public".

    Les profs, les médecins, les fonctionnaires... tous intermittents du spectacle.

    Ils ne sont pas là pour travailler. Ils sont là pour jouer un rôle. Ils sont en représentation devant un "public". Ils jouent la pièce de la gentille maman-Etat qui explique au gentil "public" comment il doit vivre et penser.

    RépondreSupprimer
  37. Il faut vraiment ne pas aimer ses enfants pour leur donner des prénoms comme ça. Je me souviens d'une jeune femme (la vingtaine à tout casser) qui avait trois filles; accrochez vous:
    - Hilona, Louna et Lola!
    C'est vrai que ça fait un choc, quand on regarde bien, ça fait une alitération en l, comme si elle ne voyait pas ses enfants individuellement, mais comme un tout, elle n'a pas fait trois enfants, mais un pack de trois, c'est comme ça qu'on pourrait interprêter ce phénomène!

    D'ailleurs, voici un lien contenant un florilège des ces horribles prénoms!

    http://prenomsdebeaufs.blogspot.fr/2008/11/prnoms-de-beaufs.html

    RépondreSupprimer

La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.