vendredi 27 novembre 2015

Suite et fin d'une équipée corrézienne


C'est dans le journal

18 commentaires:

  1. Même à dix heures du matin, j'en avais l'eau à la bouche en lisant le menu du restau corrézien.

    Pied de porc désossé, miam miam ....

    hélène dici

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'était vraiment délicieux : si vous passez par Rodez, n'hésitez surtout pas.

      Supprimer
  2. J'ai en effet de "vieilles connaissances" à Paris. Et, même, ce qu'on appelle des amis, je crois. Mais il se trouve que nous ne nous voyons plus depuis déjà quelques années.

    En réalité, ça va sans doute vous amuser, si Catherine et moi avons décidé de ne pas bouger d'ici, c'est en nous disant que nous avions tous nos médecins sous la main, et qu'en retrouver d'autres risquait d'être très emmerdant…

    RépondreSupprimer
  3. Oh mais rien n'est sûr ! J'ai souvent la bougeotte et des envies d'ailleurs, des fois (souvent) quand j'y suis allée, ça passe. Il faudrait quand même que nous allions faire un tour à SPM…

    RépondreSupprimer
  4. Geneviève Dormann avait écrit "Amoureuse Colette", une biographie que j'avais beaucoup appréciée. J'ai bien aimé les "Claudine", mais j'ai préféré "L'envers du music-hall".

    RépondreSupprimer
  5. Chien fou ? Pourquoi pas ? Et puis que tout le monde ne soit pas moi me rend un peu original !

    RépondreSupprimer
  6. Renoncer à la belle Corrèze au nom de contacts médicaux relève de la haute trahison et peut-être d'un mauvais calcul : quand tous vos praticiens auront pris une retraite bien méritée et/ou passé l'arme à gauche peut-être regretterez-vous de vous être montrés pusillanimes...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Quand mes praticiens auront pris leur retraite, je serai mort.

      Supprimer
  7. Oh, mais Fredi M. a un don pour la narration.

    Et hop, je n'ai pas boudé mon plaisir à le lire

    hélène dici

    RépondreSupprimer
  8. Mais qu'ont ils donc ces gens érudits à vouloir se refugier en Corrèze.
    Réponse simple ,mou président l'ayant déjà ruinée, il ne reviendra plus s'y établir un peu comme les sauterelles qui ne dévastent deux le même endroit

    RépondreSupprimer
  9. Je ne sais mais à la lecture de votre journal (et de ce blog), il me semble que la musique n'est plus très présente dans vos journées... Cette disparition, si cela en est bien une, est étrange.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est tout à fait exact. Cela tient sans doute au fait que, au fond, je n'écoute vraiment de musique que quand je suis seul dans ma voiture ; ce qui ne m'arrive plus guère qu'une fois par semaine au maximum.

      Supprimer
    2. Pour ce qui est musique, il faut surtout regretter la disparition de Georges !
      Evidemment je ne suis pas prête à tondre votre pelouse ou faire votre vaisselle, Georges, mais sachez que le coeur y est, ne serait-ce que pour que vous nous envoyiez, comme autrefois, à propos de Cervantès, nous amuser d'un numéro des Marx Brothers au piano !

      Supprimer
  10. C'est le syndrome "c'est toujours mieux chez les autres". Pour vivre sur deux lieux je le déconseille aux âmes sensibles, c'est quelque part déstabilisant et je n'envie plus du tout les membres de la jet-set qui sont toute l'année à gauche ou à droite sans être jamais nulle part. Ceci dit l'avantage c'est qu'on peut passer pour quelqu'un de riche et se la péter mine de rien...

    RépondreSupprimer
  11. Une équipée qui se termine en enlisement, en somme !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Qui n'est plus à son aise en Corrèze et s'enlise en Somme doit rentrer au bercail quand ça caille..." Euh, j'ai honte là...

      Supprimer

La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.