« Didier Goux est ce qu'il est, mais, à côté de vous, c'est un géant. »
Georges, 11 mai 2008.
Retirez-vous, s'il vous plaît... laissez-moi savourer seul ce nectar...
Georges, 11 mai 2008.
Retirez-vous, s'il vous plaît... laissez-moi savourer seul ce nectar...
On demande le maître-queue en salle, un gourmet voudrait le féliciter !
RépondreSupprimeriPidiblue faisons un rêve.
Le grand chef Georges conduit sa batterie de cuisine à la baguette et moi je ne suis que le gâte-sauces !
RépondreSupprimeriPidiblue petit-mitron en bécarre
PS le bécarre est une espèce de béchamel qui a mal tourné.
Maestro Georges, quel virtuose !
RépondreSupprimerIpidiblue von sauce Barilla
tout est relatif, donc.
RépondreSupprimerGéant et troll, c'est compatible ?
RépondreSupprimerNicolas : ça doit relever de la contradiction interne du système capitaliste...
RépondreSupprimerEn tous cas, j'ai rien compris au poème de l'autre...mais je suis nul en jeux de mots et autres calembours...
RépondreSupprimerGrand Dieu, est-ce une tare, une atrophie du cerveau ?
Je ne sais pas si vous êtes un géant mais franchement Didier, vous valez beaucoup mieux que les tristes gusses que l'on lit là-bas. ça sent la cour de récré...
Moi, j'aimais bien la cour de récré, une instit en tailleur venait souvent me tirer les oreilles, elle me faisait plier le corps et j'apercevais des beautés entre la meurtrière de sa jupe fendue.
Entre la meurtrière ?
RépondreSupprimerOn peut être entre une seule chose ?
Franssoit : on peut, bien entendu ! Ainsi, la masturbation peut être considérée comme une partouze entre ami.
RépondreSupprimerOui, enfin, vous êtes comparé à "des pitreries imbuvables", non plus !
RépondreSupprimer:-]
C'est vrai que vous faites quand même dans les deux mètres ! (mouarf, humour)
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBalmeyer, autant vous prévenir, si vous commencez à employer des « C'est vrai que », vous n'allez pas tarder à avoir les honneurs du blogue du Lecteur n° 1 de Didier Goux déménage.
RépondreSupprimerChieuvrou : je ne comprends pas ?
RépondreSupprimerBravo l'artiste, je me contenterai de la maigre satisfaction suivante: même silencieux je continue d'obséder Georges... Si ce n'est pas de l'amour!
RépondreSupprimerBonjour à vous Chieuvrou, bonjour à vous mère castor.
Balmeyer,
RépondreSupprimerRien de grave, je vous rassure : il ne s'agissait là que d'une allusion au fait que l'exquise personne dont il est question dans le billet gouxien, et dont je me refuse pour ma part à dire du mal en ces lieux, ne serait-ce que parce que Didier Goux ne le souhaite pas, se plaît apparemment à vitupérer contre les « C'est vrai que » depuis qu'elle a entendu Renaud Camus les dénoncer comme une des « scies » du français contemporain.
Entre nous soit dit, c'est vrai que ça la fout mal.
Tang,
Bonne nuit à vous.
Dites-donc, ça va devenir coton de vous faire part de ma fulgurance semestrielle, maintenant que vous avez fermé votre blogue.
Cela dit, je n'ai plus souvenir de ma première et, par le fait, dernière intervention chez vous, mais mon commentaire, assurément, devait être d'une hauteur telle que je n'aurais pu de toute façon tenir bien longtemps le rythme.
Bonsoir Chieuvrou,
RépondreSupprimerHélas oui, il ne vous sera plus possible de fulgurer sur mon délicieux piège-à-georges... C'est fort regrettable.
Mais d'une certaine façon votre éclair semestriel était la consécration que j'attendais pour fermer boutique... Il faut bien attendre quelque chose; je ne pouvais me résoudre à attendre l'autobus 27 avec un chapeau mou. Cela se conçoit.
Ne pas dire du mal de l'exquis pourfendeur de "c'est vrai que" est une tâche réalisable, je le laisse se dénigrer tout seul, ce qu'il fait très bien. Nul n'ignore en effet que Dieu inventa la grammaire pour confondre les imbéciles*. Et de même en fut-il de la prétérition, cela va sans dire!
Cependant, la grâce advint pour absoudre les pauvres pécheurs: l'ironie était née, la vraie, celle que l'on nomme parfois légèreté (par goût de l'assassinat!)
Sur ces fulgurances permettez-moi de m'éclipser
* i.e. Ou pour révéler le génie si ce n'est pas une seule et même pièce...
@Mère Castor: "Tout est relatif?" Ca dépend...