Le ciel se dégage à mesure que le soir tombe avec la même lenteur légère, le vent s'est tu, les fleurs se drapent y compris les plus modestes, l'herbe coupée fourbit ses larmes, quelque chose dans l'air tend vers la douceur : il fera beau cette nuit.
Christian Bobin? Philippe Delerm?
RépondreSupprimerJe recommande le texte de Philippe Muray ("On a marché sur le oui") reproduit sur www.causeur.fr à la date du 18 juin.
RépondreSupprimer@Robert, pourquoi vous dites ça ? C'est du Didier Goux, un point c'est tout ! Et quand on lit ces quelques mots le soir justement, c'est très surprenant comme ils appaisent.
RépondreSupprimer@Anne : je suis allée lire, merci pour le lien. Dans les commentaires celui de monsieur "ramon mercader" est un genre de petite crotte qui devrait plaire à nos gauchos de service.
Emma, reconnaissez que c'est plus beau comme du Bobin que beau comme du Boudin.
RépondreSupprimerRobert dit ce qu'il veut, vous aussi, et moi aussi avec votre aimable autorisation.
Kim,
RépondreSupprimerécrivez, écrivez. Chez Didier on est bien accueilli(e). Quant à moi : suis-je donc si autoritaire pour enlever à quiconque l'envie de rédiger un commentaire ?
Je veux bien reconnaître chez moi quelque chose de lourdingue, et désolée si j'ai pu chagriner ceux et celles à qui je m'adressais.
Monsieur Marchenoir, vous êtes cruel ! (Mais, hélas, pas si injuste que cela...) En fait, c'était juste la phrase du gars qui n'a rien à dire mais a décidé d'écrire quand même. Après tout, peut-être les deux "écrivains" que vous citez procèdent-ils de la même manière ?
RépondreSupprimerEmma : vous êtes nommé avocat de MA défense. A vie.
"En fait, c'était juste la phrase du gars qui n'a rien à dire mais a décidé d'écrire"
RépondreSupprimerDites, est-ce que ce n'est pas justement ce qui caractérise l'écrivain ? quand on ne peut pas s'empêcher d'écrire ?
Non, Suzanne : ce qui caractérise l'écrivain, c'est le RÉSULTAT. Et, là, vous avouerez...
RépondreSupprimerDidier: mordelol!
RépondreSupprimer(allons, allons, ça va passer, tout le monde a ses petites faiblesses)
Ca manque de routiers sur ce post ...
RépondreSupprimeriPidiblue en manque de gros culs
Hahaha! Je constate qu'on achète la même marque de rillettes, M. Goux. Je veux dire qu'on a les mêmes valeurs.
RépondreSupprimerEn fait, c'était un test. Bon, c'était une vacherie aussi, hein. Mais vous avez réussi le test.
Le signe de reconnaissance des "néo-templiers blogueurs de la classe cultivée" c'est une marque de rillettes alors ?
RépondreSupprimerMarcel... relaps
Très belle musique Didier, ce texte sonne très bien. Il a donc fait beau la nuit dernière...
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