Je supprime définitivement la «modération de commentaires» ; parce que ça m'énerve, parce que ça empêche Poireau et Suzanne de savoir, en temps réel, ce qui est gras et ce qui ne l'est pas, parce que c'est donner de l'importance à des pitbulls édentés qui pensent qu'ils sont capables de mordre, parce que...
Parce que.
Parce que.
En même temps êtes-vous sûre que vous vous y prenez bien en invoquant des "pitbulls édentés" ?
RépondreSupprimerun pitbull édenté?
RépondreSupprimerVaudrait mieux une muselière.
RépondreSupprimerOui, c'est plus simple, et puis on verra bien.
RépondreSupprimerAnna R. la reine du moindre effort...
Je dirais même plus: Parce que!
RépondreSupprimerNa!
Dans un sens, c'est dommage de supprimer la moderation, depuis le temps qu'on nous dit de consommer avec.
RépondreSupprimerFranssoit,
RépondreSupprimerDidier ne connaissait pas modération.
On dirait que c'est une bonne idée, il y a de l'apaisement dans l'air ; sauf chez George-s, pourquoi faut-il que je lise ce qu'il met dans ses commentaires ? Je lui rappelle qu'il fait partie des cloportes de chez Digoux, quand même !
RépondreSupprimerLa résurrection permanente du cracheur dans la soupe a de beaux jours devant elle.
"La résurrection permanente du cracheur dans la soupe a de beaux jours devant elle."
RépondreSupprimerMais oui, voilà ! Je ne savais pas comment définir cet endroit, voilà qui est fait : une cantine.
On ne sait que penser, avec vous le définitif n'a qu'un temps.
RépondreSupprimerMoi j'aime bien quand on se frite, mais quand c'est drôle seulement. Paske sinon, les onze mille commentaires comme quoi vous êtes ze best, comme vous lisez beaucoup, comment qu'elle est incommensurable votre culture et de droit divin votre Opinion, toute ces onctions thuriféraires à chacun de vos post,je passe dessus. Ceci dit, je n'en pense pas moins (en bien, et j'espère que vous vous en fichez.
RépondreSupprimerCe qui est assez extraordinaire dans ce blog, c'est la polyphonie. Votre ouverture à tout, vos billets roboratifs que les fielleux vous envient, et les réactions intelligentes qu'ils suscitent. Passer de Geneviève à Balmeyer ou Dorham, c'est rigolo.Tomber sur d'autres vous rappelle la dure réalité du monde, et vous sauvez le tout avec une alternance de gentillesse, de coups de pieds au cul, d'élégance et de trivialité qui font votre particularité.
Tiens, j'ai l'impression de vous dire un discours de sous secrétaire aux affairees préfectoriales avant qu'on enlève le voile pour l'inauguration de votre statue, j'arrête. Bon Week-end !
Suzanne
P'tain, j'ai du retard, moi ! Bon, alonso...
RépondreSupprimerZoridae : peut-être que non, mais ce n'est pas une raison pour me féminiser...
Mélina : ben oui, ça arrive...
Catherine : on en a une quelque part ?
Anna : oui, on verra.
Mademoiselle Ciguë : ça fait plaisir de voir quelqu'un qui approfondit le débat.
Franssoit et Nicolas : Modération ? Késsékssa encore ?
Anna : "la résurrection permanente du cracheur de soupe" : joli titre !
Marc : les plateaux sont à gauche de la porte d'entrée et les serviettes en papier près des caisses...
Henri : c'est que ça ne dépend pas exactement de moi...
Suzanne : hé bé ! j'en reste coi...
Y'a pas à dire, Suzanne, elle a la plume, le stylo, le don de l'écrit bien enlevé. (Ce n'est pas comme moi, je sais, je sais).
RépondreSupprimer@Suzanne : vous êtes sûre que vous n'avez pas quelque talent littéraire, à exercer au moins dans un petit blog, ou préférez-vous garder vos écrits cachés ?
Oups !
RépondreSupprimerEmma : Je préfère le nomadisme solitaire. Un blog, il faut l'entretenir, faire le ménage, être aimable avec ses potes en toutes circonstances, même (et surtout) s'ils sont cons, et je ne suis pas assez diplomate pour ça. Merci pour les compliments gentils, mais non, je n'écris pas. Je bavarde, réplique, rétorque, et lis.
RépondreSupprimerSuzanne