Suzane : non, ça c'est un dysfonctionnement de blogger pour ce soir : moi-même, à chaque fois que je prétends faire un truc, apparaît ce cache "Carnets baroques" (blog d'une jeune future agrégée d'histoire que j'aime beaucoup, mais qui n'est pour rien dans cette affaire).
Cliquer sur "annuler" et poursuivez votre route : chez moi ça marche. Sinon, on verra demain...
"j'ai l'impression qu'une sortie de léthargie semble s'opérer..." Il me semble aussi, Didier. En même temps, c'est obligé avec Durban II et avec les scandales de la video du bus et celles, récentes, des rappeurs (non, je ne mélange pas tout). As-tu (puis-je?) remarqué qu'on en parle peu, ou pas du tout (de DurbanII)? Les sorties de sarkoségo ont focalisé l'attention! pipi de chat, roupies de sansonnet,à côté de ce qui se passe à Genève. Voir les commentaires chez Lomig à ce propos.
C'est terrible que cet homme ait du attendre d'etre à l'article de la mort pour oser s'exprimer. Cela en dit long sur la pression qu'exerce le politiquement correct. Et c'est tellement significatif: un testament spirituel.
Personne à gauche ou à droite en occident, ne trouve l'Islam particulièrement attirant. Là où les choses se compliquent c'est que les musulmans sont tous, quasiment, arabes ou noirs. Critiquer l'Islam revient donc, dans l'esprit de beaucoup, à rejeter arabes et noirs, ce qui est faire preuve d'une singulière ségrégation, puisque cela fait longtemps qu'on n'assimile plus les blancs à leur religion. D'ailleurs, il ne s'agit pas de critiquer l'Islam, juste de dire qu'on ne veut pas voir ses us et coutumes se répandre dans notre pays. Que les autres, là-bas derrière, fassent ce qu'ils veulent, nous aussi. Le même problème surgit quand il s'agit de condamner l'antisémitisme. Longtemps le fait des vilains blancs en France, il s'est produit un glissement ces dix dernières années de ce fléau vers les populations d'origine maghrébine et africaine.La tuile! D'où cette contorsion intellectuelle du...Ah mais faut pas faire l'amalgame (encore un mot à éradiquer, faut pas confondre antisionisme et antisémitisme. Pour la Norvège la situation est un peu différente à celle de la France: d'abord elle a eu une politique d'immigration beaucoup plus libérale (Spitzberg, territoire ouvert), trop sans doute, et ensuite elle est moins peuplée que la seule région parisienne ce qui fait que l'impact des populations immigrées y a été beaucoup plus fortement ressenti. Encore une fois, je pense que le danger ne vient ni de l'Islam, ni de l'immigration mais bel et bien de notre incapacité à nous assumer en tant qu'occidentaux, victimes que nous sommes du syndrome du "sanglot de l'homme blanc". Un peu de modestie nous siérait bien: nous ne sommes pas responsables de TOUS les maux de l'humanité. A réciter avant chaque repas. Je propose que dans toutes les écoles formant nos futurs administrateurs on prévoie un stage de six mois au Pakistan, en Arabie Saoudite, en Iran ou dans tout autre pays du même tonneau (je sais, il y aurait des suicides), histoire de leur enlever tout complexe une fois de retour en France et surtout, surtout, de leur donner une image claire et nette de ce qu'il ne voudraient pas que leur pays devienne. Parce que les stages aux USA et au Canada, c'est un peu facile...
La Norvège, c'est un peu comme le Canada : c'est grand, c'est blanc, il ne s'y passe jamais rien, la bière est insipide et le fromage ne goûte absolument rien. Pas vrai, Catherine ?
Marine :
« Je viens de me lever, je vais tenter d'être ivre et ça s'ra pas bien long. » (Dagmar Guxen)
À tout le monde : pas le temps de répondre en détail, car j'ai été réquisitionné par l'Irremplaçable pour l'emmener à Paris, afin d'aller faire des achats dans le quartier... chinois.
Car je demeure très immigrationniste, en ce qui concerne les nems, la sauce soja, le nuoc mam, lapurée de piment, le riz parfumé (ou Basmati), etc.
Ensemble, mes frères, militons pour une immigration choisie et gastronomique !
Lesson one - ce n'est pas parce qu'on se prétend de gauche qu'on l'est.
Question one - donc, si je comprends bien : parce que ce type est à l'article de la mort, on doit écouter ses conneries et y croire ?
Si on le suit bien, ce gars a été un hypocrite toute sa vie puis le spectre de la mort lui a donné le "courage" de formaliser ses idées idiotes ?
Et de ce fait, quiconque pense comme lui est dans le vrai, quiconque pense qu'il bave en prétendant qu'il pleut est insincère et esclave du politiquement correct ?
Qu'est-ce donc que ce raisonnement à la mord-moi-le-slip ?
De la même façon, on ne sait toujours pas ce qu'est "la culture norvégienne" ni la "culture européenne", ni ce qu'il y aurait à en sauvegarder, ni ce qui en serait menacé. On est dans le postulat et dans la prophétie, comme d'habitude. (et puis, on parle toujours de protection, jamais de progrès, ayé, tout est fini ? y a plus rien à faire ? on a plus qu'à embaumer ?)
J'aime beaucoup par exemple quand il dit que « les attitudes envers l’homosexualité et la liberté d’expression subiront aussi des reculs »...
Bien entendu, il n'en sait rien, mais on n'est même pas certains que ce soit là le sens du combat de la majorité des norvégiens. Il a l'air de s'en foutre copieusement en réalité ! Bref, on est dans l'affichage de nombril occidental, le tout nappé de ce misérabilisme affecté au chevet de ceux qui vont mourir...te saluent !
(Une vérité ressort donc de cette information : on peut être con jusqu'à sa mort)
Faites attention, à quelques pas des Olympiades, il y a la Place Souham !
(c'est drôle que vous disiez ça n'empêche, car quand on voit précisément ce que "l'expansionnisme" chinois a fait à Belleville (particulièrement à l'ensemble des antiques commerces juifs) par exemple, on se demande bien qui menace les identités)
Héhé Dorham, moi j'ai eu la flemme, de dire qu'on peut être con et norvégien, ou même, con et de gauche (oui mais de gauche norvégienne hein, attention !).
Puis j'ai renoncé en me rappelant la volonté de constitution de l'Internationale des Trolls ...
Je ne savais pas qu'il était chrétien de cracher sur les moribonds. Il est vrai que les religions en général, et l'islam ne le cède en rien au christianisme, est toujours très pressé d'envoyer les gens dans l'autre monde, sauf s'il s'agit d'acharnement thérapeutique pour prolonger les moribonds ou de contraindre les femmes à la grossesse forcée. Et puis c'est tellement pratique les religions, on peut faire toutes les saloperies possible, soit c'est pour la bonne cause et on va droit au paradis, soit il suffit de se confesser pour avoir l'absolution et hop, on va direct au paradis. C'est bien commode.
Donc je trouve assez ignoble de cracher sur un homme qui a toute sa vie milité pour des causes justes, un homme de gauche oui certainement, qui l'a démontré par ses actes et non pas en palabrant.
Il me semble au contraire qu'il s'est tu auparavant pour ne pas avoir de problèmes, c'est un homme pas un saint, tout en tachant d'oeuvre au mieux, ce qui n'est pas peu de choses. Il parle maintenant parce qu'il sait qu'il n'a rien à perdre, et on ne voit pas pourquoi un homme lucide et sain d'esprit comme il le prouve par son discours devrait mentir. Je me pense pas qu'on triche quand on arrive à la fin de sa vie. On a plutot le désir de laisser un testament spirituel pour ce qu'on retient bon et utile pour l'avenir, pour sa famille, son pays, et c'est ce qu'il fait.
...en outre, j'ai toujours trouvé bizarre que la gauche se soit emparée de l'immigrationnisme comme une de ses valeurs devenues fondamentales, au détriment de la défense des acquis des travailleurs, et de l'acquisition de nouvelles avancées. Ne pas voir qui a tout intérêt à faire entrer de plus en plus d'immigrés (et ce, depuis Giscard) me semble relever de la cécitude la plus opaque. Enfin bref...Les droits de l'homme dont la défense dévoyée tend à les vider de leur sens remplacent pour la gauche les droits de la classe dont elle est supposée s'occuper. Tout est inversé. Comment cela a-t-il pu arriver?
Je vais être poli pour ne pas qu'on se fâche tous les jours mais ça n'a rien à avoir. Le monde ne tourne pas autour de valeurs économique ! Il y a aussi le respect des braves gens, dont les immigrés.
Réduire la gauche à la défense des pauvres est... réducteur. Pour ne pas dire plus.
« Réduire la gauche à la défense des pauvres est... réducteur. »
Bien sûr. La gauche défend aussi les riches, ceux de gauche, qui sont très vertueux de nature, puisque de gauche. Un exemple ? Pierre Bergé. Homosexuel en plus. Que du bonheur. Il ne lui manque que d'avoir appartenu à la bande Baader-Meinhof ou aux Brigades Rouges.
@Nicolas: c'est bizarre comme tu as envie de te fâcher à chaque fois que je dis quelque chose. Et je ne pense pas que ça soit lié uniquement au fait que je sois SBF. Se pourrait-il que je touche une corde sensible et que je ne dise pas que des conneries? (je suis une ancienne extrême-gauche révulsée par le soutien systématique à tout ce qui vient d'ailleurs et par l'auto flagellation bien pensante, phénomènes qui n'ont rien à voir avec le Marxisme...Ils sont contre les délocalisations, et pour l'immigration, les pauvres) C'est clair que tu caricatures ce que je dis, je n'ai pas parlé de la défense des "pauvres", mais des travailleurs en temps que classe. Bien sûr que ça te dérange...tant il est vrai que cette classe crève de, entre autres, trop d'immigration. Tu préfères, et c'est normal pour la gôche classique, appuyer sur la touche "braves gens". Quel monstre pourrait ne pas être d'accord avec ça: " Il y a aussi le respect des braves gens, dont les immigrés."? Les immigrés sont des victimes comme les autres travailleurs, des victimes du système qui a besoin d'eux pour casser leurs frères "occidentaux" de classe, et des victimes désignées de sieurs pas clairs qui ne rêvent que de les lancer contre nous (comme c'est le cas pour les "djeun's des quartiers", dont le rôle est de casser lors de chaque manifestation. (Ca ne te rappelle rien dans l'Histoire? A moi, si...)
Tu mets un tel dégoût quand tu parles de "gôche classique" que tu en devrais pas t'étonner que je me fâche !
"Les immigrés sont des victimes comme les autres travailleurs, des victimes du système qui a besoin d'eux pour casser leurs frères "occidentaux" de classe, et des victimes désignées".
Justement, ce sont des victimes comme les autres. Il est totalement injuste de leur taper de dessus pour faire plaisir à la frange la plus à droite de la population, car il s'agit bien de ça en cette période électorale.
Je ne sais pas si tu as remarqué mais aucune politique contre l'immigration a marché. Quand le gouvernement expulse 25000 personnes, il y en a 25000 autres qui rentrent par la petite porte, quand ça ne sont pas les mêmes (ce que ne dit pas le gouvernement c'est que la plupart des expulsés viennent de pays de l'est, membres de l'UE, on ne peut pas les empêcher de revenir).
Tu parles d'autoflagellation bien pensante et de toutes ces conneries utilisées par les réactionnaires ! Pour ma part, je préfère parler d'humanité et de respect des gens plutôt que de politique de lutte contre l'immigration qui ne servent à rien tout en brisant la vie de dizaines de milliers de gens.
Calmez-vous donc. Prenez un siège. Vous avez d'importants problèmes de lecture !
Je n'ai pas craché sur "le moribond". J'ai juste écrit (et j'assume) que son état de moribond ne l'exonérait pas d'être un con. Immense nuance !
(faut-il ne pas dire la vérité aux gens qui meurent ? C'est un raisonnement très moderne ça, de nos jours, il suffit déjà de mourir pour être un génie, si en plus, ça fait de vous un chic type...)
J'ai aussi dit qu'attendre de n'avoir plus rien à perdre pour être dans la vérité me semblait également moralement douteux.
Vous lisez de la lucidité là où je ne vois qu'approximations, délires monomaniaques, enfermement sur soi ! Vous avez le droit de penser de la sorte...
Etre catholique (c'est à dire, être "universel" ( bien plus en réalité, étymologiquement parlant)) ce n'est pas être une guimauve, ce n'est pas se montrer incapable de combat. Si vous pensez cela, vous vous plantez à donf !
(et puis merde, je ne suis pas non plus un curé, je ne passe pas ma vie dans des églises, j'ai des relations sexuelles aussi de temps à autre, si, si, c'est vrai !)
"Et puis c'est tellement pratique les religions, on peut faire toutes les saloperies possible, soit c'est pour la bonne cause et on va droit au paradis, soit il suffit de se confesser pour avoir l'absolution et hop, on va direct au paradis. C'est bien commode".
"les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers", Floréal ! (cela dit, vous me trouverez un passage des Evangiles qui prone les saloperies faites au nom de la bonne cause)
Je crois qu'en toute chose, si l'on aborde quelque sujet que ce soit, il faut avoir quelques bases. Ne pas tout mélanger. Et vous avez une vraie méconnaissance des religions. Vous avez donc le choix : vous documenter ou éviter d'en parler.
Il me semble indéniable, contrairement à ce que l'on pense, que le christiannisme n'est pas un dogme (ce qui ne veut pas dire qu'on en n'ait pas fait un dogme à défaut, suivant une sorte de dévoiement). Il contient en tout cas précisément l'idée d'une fin de la religion telle qu'on l'entend. Dans le texte. Noir sur blanc ! Et cela se prouve très facilement.
Aujourd'hui, ce n'est pas encore tout à fait ça, mais ça va venir (je l'espère).
@Nicolas: 1) Je n'ai aucun mépris pour les vrais gens de gauche, j'ai juste de la peine pour mes anciens amis politiques (dont certains sont restés et resteront mes amis tout court et partagent secrètement mes idées sur l'islamisation via l'immigration intensive...). Je fais la différence entre ces militants sincères et dévoués, qui vont se retrouver à diffuser la presse, faire du porte à porte, distribuer des tracts sur le marché, coller des affiches, bref, à faire le travail militant sans lequel ceux que j'appelle la "gôche" (que je méprise, oui) ne pourraient se livrer aux pantalonnades rituelles et irresponsables que l'on connait, ni même demander pardon. Les uns bossent pour ce à quoi ils croient, les autres,ceux de la gôche, les membres des appareils, ceux qui se prennent pour les élites pensantes, parachutés dans les circonscriptions, viennent ramasser les voix, ou les vestes (de toute façon, c'est pas grave, ils sont trop occupés ailleurs que dans l'hémicycle quand il y a quelque chose d'important à voter....) Nos "Français de la diversité", qui ont tout compris, ne se contentent pas de cette situation, eux. Je me souviens en avoir vus, dans la préparation de listes pour je ne sais plus quelles élections, aller solliciter des places éligibles dans les listes de gauche, avec comme argument: on veut des places éligibles, sinon, on ira voir la droite. C'est ce qui s'appelle avoir des convictions. Si j'étais cynique, je dirais qu'ils font bien, puisqu'ils obtiennent gain de cause, alors que les braves militants qui s'inclinent devant les appareils seront toujours la chair à canon de ceux pour lesquels je n'ai que mépris. Respect total pour les militants PS du Limousin qui, pour les Européennes ont commencé par refuser le parachuté du jour. Ils voulaient leur dirigeant local!
2) "Je ne sais pas si tu as remarqué mais aucune politique contre l'immigration a marché. Quand le gouvernement expulse 25000 personnes, il y en a 25000 autres qui rentrent par la petite porte, quand ça ne sont pas les mêmes" C'est un bel aveu d'incurie et d'impuissance de la part d'un Etat. Ca ne marche pas, donc on abandonne. Comme ils reviennent, on se trouve des alibis "moraux" (ces braves gens, anti-racisme, Islam modéré, etc...). Imagine si les Professeurs des zones sensibles raisonnaient de la même façon! L'exemple venant d'en haut, ils pourraient se dire "je ne peux plus bosser, donc qu'ils fassent ce qu'ils veulent en classe"... et se prendraient tout le monde dans la tête: parents d'élèves, autorités académiques, opinion publique...Après tout, si c'est ce qu'ils veulent!
Vous etes un poil suffisant je trouve. Bon. alors je vais vous mettre les points sur les i. Tout d'abord, je ne suis précisément pas de celleux qui mettent la nausée et toutes ses déclinaisons partout et à tout bout de champ. C'est rarissime. La nausée je l'ai eu souvent il y a dix ans durant la chimiothérapie, mais depuis je digère meme les parpaings. Ensuite vous cédez à votre suffisance en m'accusant de mal connaitre les religions.C'est facile, et en plus vous ne pouviez pas tomber plus mal que sur moi. Précisément parce que les religions, je les connais plutot bien, et meme beaucoup mieux que n'importe quel citoyen normal et ordinaire. J'ai lu il y a déjà plus de 20 ans, l'Histoire des religions de Mircea Eliade, et à peu près toutes ses oeuvres. Et je m'oriente assez aisément dans l'oeuvre de C.G.Jung, J'ai lu la bible il y a encore plus longtemps, y compris certains évangiles apocryphes. En plus je réside depuis 30 ans en Italie, et vous me concéderez que question catholicisme, je suis plutot bien placée pour connaitre la question. J'ai eu affaire aux cathos et je les connais bien. Y compris dans la famille de mes beaux-parents. J'ai 2 enfants que je n'ai pas fait baptiser malgré les pressions, et bataillé durant toute leur scolarité contre certains abus. Je suis non seulement combative mais je ne manque pas d'entrainement, et sur ce terrain là je n'ai jamais perdu une bataille. Je les ai toutes gagnées et contraint l'adversaire à me respecter et à respecter mes choix,de gré ou de force. J'insiste sur "de gré ou de force". ça me fait un peu plus que quelques bases et je pense meme que j'aurais beaucoup plus de choses à vous apprendre que vous à moi. Mais je ne fais pas de prosélystisme. Il suffit que vous n'espériez pas me bourrer le mou avec vos salades mal assaisonnées, avec moi ça ne marche pas, je ne suis pas la zénifiante (j'ai bien écrit zénifiant et non pas lénifiante, quoique...) Célestine, que vous aimez tant et pour cause, avec elle vous avez la partie facile. Quand je pense à ce qu'elle sait du boudhisme, ça me fait franchement marrer. Et je ne suis pas bouddhiste, notez bien.
Dites mon petit Nico, je suis elle et pas il. J'ai bien compris que vous étiez un baltringue sexiste comme vos "potes", remarquez. Non, je ne me sens pas "supérieure", mais je ne laisse pas les corniauds, y compris sortis des églises (et des partis, c'est un peu comme les églises - ou les mosquées, vous préférez les mosquées?) me faire la loi. Pas plus vous qu'un autre et plutot moins.
Il flotte un air de parfaite liberté de pensée quand Floréal écrit. Oui, perso, je lis tous les commentaires. Si quelqu'un a pris le temps de les taper, le minimum c'est de les lire. Je sais que Nicolas ne lit pas ce qu'il pense ne pas devoir lui convenir :)
Vous allez vous péter un index à taper si fort sur votre clavier.
Je ne suis pas suffisant. C'est vous qui êtes (un peu) bête. Je ne fais la loi à personne. Si vous voulez un avis, ou un contre-avis tiède, la toile regorge de fainéant du ciboulot. Vous avez l'air d'avoir fait la moitié du chemin.
Votre CV n'est pas très impressionnant. Vous avez lu ? Encore faut-il comprendre ce qu'on lit. Je ne suis pas un prosélyte, vous faites erreur. J'ai autre chose à foutre qu'à disserter sur le sens de la religion chrétienne, ce n'est que par pur hasard que je suis intervenu chez Céleste.
Côtoyer des italiens n'est pas un gage de connaissances liturgiques, j'en suis un moi-même, de toutes parts, je ne crois pas aux races, mais si Didier parlait à travers ma bouche, il dirait sans doute que je n'ai que du sang rital dans les veines. Je ne tiens pas ma connaissance de cette religion de là.
Je la tiens d'écoute. D'écoute de ceux qui savent, pensent, remettent en question, doutent, remettent en cause, pas de ceux qui prétendent savoir et affichent leurs certitudes d'oisillons comme vous le faites à tout bout de champ.
Laissez-moi à mon tour vous mettre les points sur le "i" et après, nous n'en parlerons plus. Cessez donc de tordre sans cesse le débat. Débattez, argumentez !
Si vous avez lu les Evangiles, vous y avez nécessairement lu des choses qui entrent totalement en contradiction avec ce que vous avez pu écrire plus haut. Lire, c'est bien, je le répète, comprendre, c'est mieux.
Je vous cite encore
"c'est tellement pratique les religions, on peut faire toutes les saloperies possible, soit c'est pour la bonne cause et on va droit au paradis, soit il suffit de se confesser pour avoir l'absolution et hop, on va direct au paradis. C'est bien commode"
Si vous avez lu les Evangiles, alors, soit vous êtes malhonnête, soit vous n'avez rien compris...
Mais laissons ça de coté, car en réalité, c'est vous qui avez déplacé le débat sur les religions. Le débat portait sur ce brave norvégien mourant !
Qui donc ici sait ce qu'est la "culture novégienne" dont il parle. Qui ? Qui peut la définir ? Qui, à partir de ce constat là peut savoir s'il convient ou non de la protéger ? J'ai posé cette question déjà ! Mais bordel, allez-y donc, puisqu'il vous émeut tant ce type, répondez donc !
On voit bien à le lire quelques instants qu'il entend par "culture norvégienne" une forme floue qui encadre nos sociétés occidentales : la pseudo-liberté d'expression (alors que dans la sphère réac, on stipendie sans cesse la "démocratisation à outrance" ; n'est-ce pas paradoxal ?), la liberté des femmes à porter des jupes (nan, mais franchement...), les droits des homos...
C'est la Star Academy de la politique de civilisation !!!
Comprenez-bien que je n'ai strictement rien contre tout ce que je cite plus haut. Je ne fais que noter le "flou" de telles conceptions auxquelles les sociétés elle-mêmes, dans leur ensemble, ne sont pas essentiellement tournées.
Voilà quel était le véritable sens de notre opposition, que vous avez dévoyé (me faisant passer à dessein pour le catho obtus de service ; libre à vous, je n'ai pas à avoir honte de ce que je suis, je me brosse l'arrière boutique avec le menu délibéré de vos petits procès) pour ne pas avoir à répondre aux vraies questions qu'il faut pourtant bien se poser en l'espèce.
Mon point sur le "i", c'est celui qui vous demande enfin, de répondre aux questions, de rester dans le sujet qui nous occupe.
Je note également, puisque l'on traite de l'immigration que certaines politiques d'immigration ont bien entendu fonctionné. Celles qui ont reconstruit la France ont fonctionné. Les portugais de ce pays, les italiens de ce pays, les polonais de ce pays, pourquoi les a-t-on oubliés ? A dessein aussi ?
Alors, de grâce, vos simagrées de petite énervée de bazar, vous les gardez pour les minets de passage. Si vous souhaitez débattre, débattez, argument contre argument !
Vous dites vous aussi n'importe quoi, j'en profite pour vous le dire.
"Liberté de penser", voilà le genre de connerie qu'on peut lire ici. La pensée est nécessairement libre si tant est qu'elle est réellement pensée. Point !
On ne pense pas "contraint" ! Sans quoi, on ne pense pas, on mâche ! on digère !
Vous confondez donc liberté de pensée (on l'a vu, la liberté est inhérente à la pensée, c'est un infâme pléonasme) et liberté de dire, d'écrire, ce qui nous chante en dépit des convenances.
C'est aussi un des maux de nos sociétés : nous avons abandonné la vraie liberté (l'esprit critique) à toutes les autres qui n'en sont pas vraiment : liberté de porter des jupes, de boire du coca-cola, de circuler, de dire ce qu'on pense sur l'antenne de RMC...
"Qui donc ici sait ce qu'est la "culture novégienne" dont il parle. Qui ? Qui peut la définir ? Qui, à partir de ce constat là peut savoir s'il convient ou non de la protéger ? J'ai posé cette question déjà !"
Mais faites-lui au moins l'honneur de penser que lui, au moins, le Norvégien en question, la connait sa culture! Et apparemment, il croit qu'elle vaut la peine d'être défendue. Qu'est-ce qui vous gêne la dedans? Et je pense qu'elle n'est pas très éloignée de la nôtre, non? Il y a certes des différences importantes entre l'Europe du Nord et l'Europe du Sud, mais on s'y retrouve quand même.
Merci pour le n'importe quoi. Il n'y a que vous pour penser et dire juste.
Néanmoins: il est évident que quand je dis "liberté de penser", c'est un raccourci pour "liberté de penser et de dire"! Voilà tout un procès pour pas grand chose. Très creux.
Pourtant, certains l'ont perdue, cette liberté de penser, laminés par la pensée dominante, vaincus par l'auto censure, la plus perfide de toutes. Il n'est pas simple d'être parfois tenté de se dire que si on pense de telle façon, c'est qu'on doit bien être un salaud quelque part, parce que la pensée dominante est faite pour culpabiliser ceux qui en sortent. La pollution de la politique par des considérations émotionnelles est une cata (voyez les blogs de gauche et leur capacité d'indignation à sens unique) Bref, la simple liberté de penser n'est pas aussi évidente que vous le dites.
Marine, (ne m'en veuillez pas, je le joue un peu provoc et vous réponds en détail ; je suis suffisant peut-être mais ne refuse pourtant jamais d'expliciter, même très longuement ; ça vaut mieux que les réponses lapidaires (bien plus méprisantes à mon avis) d'un grand nombre)
"Merci pour le n'importe quoi. Il n'y a que vous pour penser et dire juste".
Je vous trouve amusants (au pluriel, oui). Vous fustigez aux 4 coins de la toile l'obscurantisme bien pensant de la majorité et c'est moi qui fait preuve de prétention ou de suffisance ? (Didier avec qui je débats souvent n'a pas le mauvais goût de m'opposer ce très mauvais argument, visant à discréditer sommairement l'interlocuteur ; mais il m'en faut plus !).
"Dire juste" n'a aucune importance. Penser juste est du même acabit que penser librement. Toute pensée si tant est qu'elle soit réellement pensée est par essence juste et libre.
"il est évident que quand je dis "liberté de penser", c'est un raccourci pour "liberté de penser et de dire"!"
Mauvais raccourci alors, parfois, il est nécessaire de prendre du temps. J'insiste, ces deux libertés n'ont rien en commun. Si la seconde peut être entravée, la première est essentiellement liberté. Puisqu'elle est d'ailleurs la seule à ne pas pouvoir être entravée, on en déduit qu'elle est même la seule qui vaille.
"Voilà tout un procès pour pas grand chose."
Bien au contraire. Vous confondez pensée et opinion, si l'homme cessait de faire cette confusion, le monde en serait bouleversé.
"Pourtant, certains l'ont perdue, cette liberté de penser, laminés par la pensée dominante, vaincus par l'auto censure..."
Mais non, on ne peut pas perdre sa liberté de pensée. Vous confondez pensée avec réflexion, position, opinion. La pensée ne peut pas être téléguidée car l'exercice de la pensée ne peut se faire tout à fait qu'en abandonnant toutes formes de préjugés. Vous connaissez sans doute ce qu'en dit Descartes dans "Les Principes de la Philosophie" (tout du moins, la conclusion : "je pense donc je suis").
La pensée, si elle n'est pas pure, si elle n'est pas délestée de préjugés, d'opinions préconçues n'est jamais que l'illusion (mortifère) de la pensée.
En ce qui nous occupe présentement (je veux dire, pour ce qui est de la question relative à l'immigration) il n'y a pas de pensée possible, car il n'y a pas de réponse envisageable. Il n'y a que des opinions que nous partageons et la vôtre est autant conditionnée que la mienne : par nos parcours, nos névroses, nos inflexions, notre tempérament, les rencontres faites dans notre vie...
La différence entre vous et moi, c'est que vous ignorez tout de ce conditionnement. Et cela me donne le droit d'être quelque peu moqueur et offensif (au risque de passer pour un prétentieux puant (ça me va)) !
"Bref, la simple liberté de penser n'est pas aussi évidente que vous le dites".
Pourtant si, c'est ce qui en rend l'exercice si difficile. Paradoxalement :)
"Le formatage de la pensée est un enjeu de classe et le conditionnement est partout".
Je serais d'accord avec ça quand vous remplacerez pensée par opinion. On a tendance, depuis trop longtemps, à utiliser le terme "pensée" comme un générique absurde. La philosophie est morte, y revenir nous rendrait libres ! Sans aucun doute !
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Notre norvégien maintenant :
"faites-lui au moins l'honneur de penser que lui, au moins, le Norvégien en question, la connait sa culture! Et apparemment, il croit qu'elle vaut la peine d'être défendue. Qu'est-ce qui vous gêne la dedans?"
Premièrement, je n'en lis rien dans le texte en lien. Rien du tout. Je l'ai déjà dit, dois-je le répéter ? Il ne fait que pointer d'hypothétiques dangers dans le cadre d'évolutions morales : ceci constituant selon lui (et selon nombre d'autres, mais c'est fort discutable) le caractère premier de nos sociétés.
Et je ne vais pas défendre une pensée protectionnisme sans même ne rien connaître de ce qu'il y a à protéger. Vous voyez bien que cela est absurde ! Ce qui vous intéresse dans ce discours, c'est la posture, la posture politiquement incorrect et puis ce truc un peu racoleur du gars qui est à l'aube de sa mort !
Qu'est-ce qui me gêne ? Mais ce qui me gêne, c'est qu'il n'y a pas de culture uniforme ! Cela n'existe pas ! Merde, il suffit de regarder un peu plus loin que le bout de son nez. Audine revient de Sicile, elle pourrait nous expliquer que cette île n'est que le produit de mariages incessants !On ne peut pas raisonner en ces termes.
"Votre ami du froid" déguise donc habilement son propos sous un vernis "culturel", ce propos ne dissimulant pas la volonté de ne pas renoncer à certaines valeurs qui lui semblent fonder sa société.
Je n'ai rien contre cela. Je respecte l'ensemble des valeurs de chacun. Mais il ne faut pas me demander d'imaginer que cela puisse être signifiant ou essentiel. Ce qu'il définit en trois mots de sa "société" (qui est en fait une sorte de marque de fabrique occidentale), un très grand nombre de personnes ne s'y reconnaîtra pas. Impossible donc de dégager une forme générale de son discours et donc d'imaginer l'utilité de quelque protection que ce soit.
Les partisans d'une forme de conservatisme ou de protectionnisme, bien souvent sont incapables même de définir ce qu'il faut protéger. Leur idée de la chose est bien vague. C'est ma principale objection. Pour eux, le monde est un musée et un musée caricatural qui plus est. Au moins, Didier a l'honnêteté de dire que ses réflexions sont bien souvent guidées par une forme aiguë de nostalgie. Je préfère cette sincérité là à toute autre forme d'opinions qui se rêve pensée.
Nécessairement, toute définition d'une culture est en vérité impossible. Nous savons depuis longtemps maintenant que l'empirisme est une connaissance impossible que synthétiser à l'inverse est un mensonge permanent. Un mensonge que l'on fait aux autres autant qu'à soi-même !
De plus, si cet homme croit penser que l'Islam sera nécessairement un danger, il ne dispose que de quelques indices tout au plus pour étayer sa thèse. Il joue au devin. Comme dans chaque débat de ce type, il fera part de ce qu'il sait de l'intégrisme et de l'obscurantisme religieux (et nous tomberions d'accord) et je lui rétorquerais en retour qu'il y a nombre d'exemples parfaitement inverses. Et les déclinerais derechef !
TIE ! comme toujours, Audine a raison, personne ne peut avoir raison ou tort !
Ce que je vous reproche en dernier lieu, c'est avant toute discussion de partir du principe que le raisonnement des autres est naturellement biaisé, parce qu'empreint de meilleurs sentiments. Je vous rassure tout de suite, Marine, sur cette terre, il existe bien des hommes et des femmes pour qui la solidarité, le partage et l'échange sont les choses les plus importantes qui soient (voire les seules), et à vrai dire, comme il me semble manifeste que ces gens là se fichent de nos pitoyables débats, ils sont bien plus libres que vous ou moi, moi, qui suis le produit d'une Histoire familiale (à gauche toute) et vous, qui êtes le produit (par quelque chemin que ce soit) d'une réaction contraire et systématique.
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Si je reprends ces mots là, par exemple de Floréal, que vous trouvez si libre :
"En plus je réside depuis 30 ans en Italie, et vous me concéderez que question catholicisme, je suis plutot bien placée pour connaitre la question. J'ai eu affaire aux cathos et je les connais bien. Y compris dans la famille de mes beaux-parents. J'ai 2 enfants que je n'ai pas fait baptiser malgré les pressions, et bataillé durant toute leur scolarité contre certains abus. Je suis non seulement combative mais je ne manque pas d'entrainement, et sur ce terrain là je n'ai jamais perdu une bataille. Je les ai toutes gagnées et contraint l'adversaire à me respecter et à respecter mes choix,de gré ou de force. J'insiste sur "de gré ou de force"" ;
j'y distingue une volonté permanente d'en remontrer, un besoin de revanche, un besoin de s'imposer (et même, une propension à utiliser ses enfants comme enjeu de ses combats). Rien de libre là dedans. L'illusion d'une liberté qui me fait dire qu'après avoir confondu pensée et opinion, vous confondez à présent être libre et être solitaire.
Ce n'est pas la même chose du tout.
Je crois avoir répondu à nombre de points. J'ai moins de volonté de mordre que vous ne le pensez et suis surtout bien plus indulgent que mes propos ne pourraient ne le laisser croire. Je passe donc naturellement à autre chose, en vous souhaitant à vous comme aux autres, une bonne journée.
Suffiant sexiste et masculiniste. Et une facheuse tendance à la calomnie Telle est l'opinion que j'ai de vous et je n'ai aucune raison valable d'en changer.
Vous etes une sorte de troll à votre manière, un troll catho en l'occurrence.
Vous aimez faire tourner les discussions en rond pour en arriver au point de départ et donc à rien. Je ne rentre pas dans ce jeu là, puisqu'il est de mauvaise foi.
Le noeud gordien je le tranche, à la hache, et croyez bien que quand certains enseignants catho qui m'ont posé problème par leur comportement avec mes enfants ont compris qu'ils risquaient de se retrouver au tribunal et de perdre leur pla-place et leur salaire, on fait marche arrière vite fait la queue entre les jambes.
Je ne cherche pas à en remontrer, mais à dire ce que je pense et pourquoi, et je me défends quand on m'attaque.
Je n'ai pas de CV, je dis qui je suis et ce que je fais dans une page de présentation, c'est tout.
Je parle de mes enfants parce que c'est un exemple concret. J'ai dépensé bp d'énergie pour eux, pour les élever et les faire étudier. Je n'ai pas eu de carrière professionnelle comme je l'aurais souhaité et comme j'en aurais eu la capacité par ce que je suis une femme et que c'est un handicap, (double en Italie à cause du Vatican), c'est pour ça que je suis féministe.
Ce qui me reste à vivre n'est effectivement pas suffisant pour avoir une revanche sur la vie et obtenir justice en récupérant tout ce qu'une société masculine et machiste m'a oté, °a commencer par la possibilité d'avoir une retraite décente.
C'est la raison pour laquelle je ne fais pas de cadeaux aux tenants d'une idéologie machiste, qu'ils soient de gauche ou de droite, athées ou croyants.
De liberté j'en ai manqué effectivement: celle qui est niée aux femme par l'ordre patriarcal que vous représentez et que je combats, tant que j'en aurais la force, jusqu'à la fin de ma vie.
Je me fous de ce que vous croyez savoir de ma personne. Contrairement à vous, je ne perdrai jamais mon temps à me justifier. Je ne fais jamais qu'exposer une opinion (elle ne vaut pas mieux que la vôtre) et parfois un peu plus. Le reste n'importe pas !
Relisez votre première intervention et vous découvrirez que c'est vous qui avez personnalisé le débat, vous qui avez voulu poser le fait religieux. Vous qui m'avez sciemment enfermé là dedans. Pas moi. Vous récoltez donc ce que vous avez semé. Par calomnie, vous voulez signifier "jugement", que vous ne manquez pas de porter sur tout un chacun. Vous n'aimez pas que l'on vous fasse ce que vous faites aux autres avec plus ou moins de bonheur ou de "liberté".
Je ne pense rien de vous, quant à moi, car vous ne vous présentez pas mais êtes en représentation. En posture. Et par la même, vous vous imaginez des choses qui ne sont pas.
Je ne fais pas tourner les discusions en rond mais j'essaie de poser des questions. Questions que vous refusez de vous poser. Tant pis pour vous ! Oui, remettre en question, c'est long, oui, parfois, cela confine à une sorte de relativisme, à une portion très congrue de connaissance. C'est là la seule humilité qui vaille !
Vous répondez sans cesse à coté, essayez sans cesse de dévier le débat. Vous êtes pleine de certitude. Tant mieux pour vous, mais ne venez pas me faire le coup de la suffisance.
Allez donc combattre vos moulins à vent, avec l'énergie du désespoir, ça m'est égal, tout comme le seront pour moi (désormais que je vous ai un peu mieux cernée) vos futures interventions (auxquelles je ne répondrai plus, tant elles ne présentent que peu d'intérêt).
Mais moi je me fous de tout ce que vous etes, en bloc. La seule chose qui m'importe est d'écraser et hacher les idées autoritaires et misogynes que vous étalez comme Vérité. D'intéret vous n'en présentez aucun. Ne plus me répondre est une excellente idée, dommage que vous ne l'ayez pas eu avant. Remise en question? Elle est bien bonne celle-là! Je remets en question l'ordre patriarcale dont vous etes un minuscule rouage, un boulon rouillé et mal vissé qu'il n'est pas très difficile de déboulonner. Le débat je le ramène là où il est , à savoir que le Norvégien a raison et pas vous malgré toute votre interminable logorrhée pusillanime. Si je combattais des moulins-à-vent, nous en serions encore aux années 60. Non non, c'est bien des hommes de votre espèce que je combats. Que vous brassiez plus d'air qu'un moulin-à-vent, certainement. Mais ça c'est votre problème et pas le mien, au contraire, ça me facilite les choses.
il en a, lui!
RépondreSupprimerIl faut un mot de passe pour ce site...
RépondreSupprimerMarine : je suis peut-être exagérément optimiste ce soir, mais, depuis quelque temps, j'ai l'impression qu'une sortie de léthargie semble s'opérer...
RépondreSupprimerSuzanne : ???
Oui,le blog que vous donnez en lien, carnets baroques, on y demande un mot de passe.
RépondreSupprimerSuzanne, moi aussi on me demande un mot de passe, mais sur le blog de Didier ! Ça pourrait en décourager certains...
RépondreSupprimerSuzane : non, ça c'est un dysfonctionnement de blogger pour ce soir : moi-même, à chaque fois que je prétends faire un truc, apparaît ce cache "Carnets baroques" (blog d'une jeune future agrégée d'histoire que j'aime beaucoup, mais qui n'est pour rien dans cette affaire).
RépondreSupprimerCliquer sur "annuler" et poursuivez votre route : chez moi ça marche. Sinon, on verra demain...
Ça remarche normalement !
RépondreSupprimerJ'ai virer "Carnets baroques" de ma blogroll, en attendant que le problème disparaisse.
RépondreSupprimer(Pardon, Camille ! Pardon !)
Didier, merci pour le lien. Parait que Ségolène va s'excuser pour lui... wouarf !
RépondreSupprimerC'est où la Norvège ? C'est quoi la gauche de la Norvège ? C'est quoi un Arabe Norvégien ?
RépondreSupprimerLa Norvège est le pays où ils ont le plus de trolls.
RépondreSupprimer"j'ai l'impression qu'une sortie de léthargie semble s'opérer..."
RépondreSupprimerIl me semble aussi, Didier.
En même temps, c'est obligé avec Durban II et avec les scandales de la video du bus et celles, récentes, des rappeurs (non, je ne mélange pas tout).
As-tu (puis-je?) remarqué qu'on en parle peu, ou pas du tout (de DurbanII)? Les sorties de sarkoségo ont focalisé l'attention! pipi de chat, roupies de sansonnet,à côté de ce qui se passe à Genève. Voir les commentaires chez Lomig à ce propos.
Si ça continue, et s'ils sont tous comme lui là-bas, je vais émigrer en Norvège.
RépondreSupprimerL'aplaventritude, c'est pas bon pour notre bronzage.
C'est terrible que cet homme ait du attendre d'etre à l'article de la mort pour oser s'exprimer. Cela en dit long sur la pression qu'exerce le politiquement correct. Et c'est tellement significatif: un testament spirituel.
RépondreSupprimerFin de la dure journée, Didier?
RépondreSupprimerUn prochain billet goussien (gouxien ?) consacré à la culture norvégienne ? Voyons voir... Ibsen, Grieg, le FK Rosenborg Trondheim... Et puis ?
RépondreSupprimerSoit, si la Norvège se révolte, alors j'éprouve encore un désir d'avenir, pasque là, là...
Couraga Yanka! Il faut tenir!
RépondreSupprimerLes blogs se réveillent!
Le vent se lève, il faut tenter de vivre (Che Guevaransen)
Personne à gauche ou à droite en occident, ne trouve l'Islam particulièrement attirant. Là où les choses se compliquent c'est que les musulmans sont tous, quasiment, arabes ou noirs. Critiquer l'Islam revient donc, dans l'esprit de beaucoup, à rejeter arabes et noirs, ce qui est faire preuve d'une singulière ségrégation, puisque cela fait longtemps qu'on n'assimile plus les blancs à leur religion. D'ailleurs, il ne s'agit pas de critiquer l'Islam, juste de dire qu'on ne veut pas voir ses us et coutumes se répandre dans notre pays. Que les autres, là-bas derrière, fassent ce qu'ils veulent, nous aussi.
RépondreSupprimerLe même problème surgit quand il s'agit de condamner l'antisémitisme. Longtemps le fait des vilains blancs en France, il s'est produit un glissement ces dix dernières années de ce fléau vers les populations d'origine maghrébine et africaine.La tuile! D'où cette contorsion intellectuelle du...Ah mais faut pas faire l'amalgame (encore un mot à éradiquer, faut pas confondre antisionisme et antisémitisme.
Pour la Norvège la situation est un peu différente à celle de la France: d'abord elle a eu une politique d'immigration beaucoup plus libérale (Spitzberg, territoire ouvert), trop sans doute, et ensuite elle est moins peuplée que la seule région parisienne ce qui fait que l'impact des populations immigrées y a été beaucoup plus fortement ressenti.
Encore une fois, je pense que le danger ne vient ni de l'Islam, ni de l'immigration mais bel et bien de notre incapacité à nous assumer en tant qu'occidentaux, victimes que nous sommes du syndrome du "sanglot de l'homme blanc". Un peu de modestie nous siérait bien: nous ne sommes pas responsables de TOUS les maux de l'humanité. A réciter avant chaque repas.
Je propose que dans toutes les écoles formant nos futurs administrateurs on prévoie un stage de six mois au Pakistan, en Arabie Saoudite, en Iran ou dans tout autre pays du même tonneau (je sais, il y aurait des suicides), histoire de leur enlever tout complexe une fois de retour en France et surtout, surtout, de leur donner une image claire et nette de ce qu'il ne voudraient pas que leur pays devienne. Parce que les stages aux USA et au Canada, c'est un peu facile...
La Norvège, c'est un peu comme le Canada : c'est grand, c'est blanc, il ne s'y passe jamais rien, la bière est insipide et le fromage ne goûte absolument rien. Pas vrai, Catherine ?
RépondreSupprimerMarine :
« Je viens de me lever, je vais tenter d'être ivre et ça s'ra pas bien long. » (Dagmar Guxen)
Yanka, oui. Et vous oubliez les maringouins ! L'avantage du Canada sur la Norvège, c'est qu'on y parle (encore) français.
RépondreSupprimerÀ tout le monde : pas le temps de répondre en détail, car j'ai été réquisitionné par l'Irremplaçable pour l'emmener à Paris, afin d'aller faire des achats dans le quartier... chinois.
RépondreSupprimerCar je demeure très immigrationniste, en ce qui concerne les nems, la sauce soja, le nuoc mam, lapurée de piment, le riz parfumé (ou Basmati), etc.
Ensemble, mes frères, militons pour une immigration choisie et gastronomique !
Lesson one - ce n'est pas parce qu'on se prétend de gauche qu'on l'est.
RépondreSupprimerQuestion one - donc, si je comprends bien : parce que ce type est à l'article de la mort, on doit écouter ses conneries et y croire ?
Si on le suit bien, ce gars a été un hypocrite toute sa vie puis le spectre de la mort lui a donné le "courage" de formaliser ses idées idiotes ?
Et de ce fait, quiconque pense comme lui est dans le vrai, quiconque pense qu'il bave en prétendant qu'il pleut est insincère et esclave du politiquement correct ?
Qu'est-ce donc que ce raisonnement à la mord-moi-le-slip ?
De la même façon, on ne sait toujours pas ce qu'est "la culture norvégienne" ni la "culture européenne", ni ce qu'il y aurait à en sauvegarder, ni ce qui en serait menacé. On est dans le postulat et dans la prophétie, comme d'habitude. (et puis, on parle toujours de protection, jamais de progrès, ayé, tout est fini ? y a plus rien à faire ? on a plus qu'à embaumer ?)
J'aime beaucoup par exemple quand il dit que « les attitudes envers l’homosexualité et la liberté d’expression subiront aussi des reculs »...
Bien entendu, il n'en sait rien, mais on n'est même pas certains que ce soit là le sens du combat de la majorité des norvégiens. Il a l'air de s'en foutre copieusement en réalité ! Bref, on est dans l'affichage de nombril occidental, le tout nappé de ce misérabilisme affecté au chevet de ceux qui vont mourir...te saluent !
(Une vérité ressort donc de cette information : on peut être con jusqu'à sa mort)
Didier,
RépondreSupprimerFaites attention, à quelques pas des Olympiades, il y a la Place Souham !
(c'est drôle que vous disiez ça n'empêche, car quand on voit précisément ce que "l'expansionnisme" chinois a fait à Belleville (particulièrement à l'ensemble des antiques commerces juifs) par exemple, on se demande bien qui menace les identités)
Héhé Dorham, moi j'ai eu la flemme, de dire qu'on peut être con et norvégien, ou même, con et de gauche (oui mais de gauche norvégienne hein, attention !).
RépondreSupprimerPuis j'ai renoncé en me rappelant la volonté de constitution de l'Internationale des Trolls ...
Moi aussi, j'ai failli renoncer, mais si toi et moi, nous renonçons, alors ayé, ayé, on l'aura le déclin tant attendu :))
RépondreSupprimerSauvons l'omelette norvégienne des kebabs bardés d'explosifs !
RépondreSupprimer@ Dorham
RépondreSupprimerJe ne savais pas qu'il était chrétien de cracher sur les moribonds. Il est vrai que les religions en général, et l'islam ne le cède en rien au christianisme, est toujours très pressé d'envoyer les gens dans l'autre monde, sauf s'il s'agit d'acharnement thérapeutique pour prolonger les moribonds ou de contraindre les femmes à la grossesse forcée.
Et puis c'est tellement pratique les religions, on peut faire toutes les saloperies possible, soit c'est pour la bonne cause et on va droit au paradis, soit il suffit de se confesser pour avoir l'absolution et hop, on va direct au paradis. C'est bien commode.
Donc je trouve assez ignoble de cracher sur un homme qui a toute sa vie milité pour des causes justes, un homme de gauche oui certainement, qui l'a démontré par ses actes et non pas en palabrant.
Il me semble au contraire qu'il s'est tu auparavant pour ne pas avoir de problèmes, c'est un homme pas un saint, tout en tachant d'oeuvre au mieux, ce qui n'est pas peu de choses. Il parle maintenant parce qu'il sait qu'il n'a rien à perdre, et on ne voit pas pourquoi un homme lucide et sain d'esprit comme il le prouve par son discours devrait mentir. Je me pense pas qu'on triche quand on arrive à la fin de sa vie. On a plutot le désir de laisser un testament spirituel pour ce qu'on retient bon et utile pour l'avenir, pour sa famille, son pays, et c'est ce qu'il fait.
...en outre, j'ai toujours trouvé bizarre que la gauche se soit emparée de l'immigrationnisme comme une de ses valeurs devenues fondamentales, au détriment de la défense des acquis des travailleurs, et de l'acquisition de nouvelles avancées. Ne pas voir qui a tout intérêt à faire entrer de plus en plus d'immigrés (et ce, depuis Giscard) me semble relever de la cécitude la plus opaque. Enfin bref...Les droits de l'homme dont la défense dévoyée tend à les vider de leur sens remplacent pour la gauche les droits de la classe dont elle est supposée s'occuper. Tout est inversé. Comment cela a-t-il pu arriver?
RépondreSupprimerzut j'ai oublié les guillemets chers à Didier dans "cécitude". mais je suis pardonnable parce que je n'ai pas de blog.
RépondreSupprimerJe vais être poli pour ne pas qu'on se fâche tous les jours mais ça n'a rien à avoir. Le monde ne tourne pas autour de valeurs économique ! Il y a aussi le respect des braves gens, dont les immigrés.
RépondreSupprimerRéduire la gauche à la défense des pauvres est... réducteur. Pour ne pas dire plus.
« Réduire la gauche à la défense des pauvres est... réducteur. »
RépondreSupprimerBien sûr. La gauche défend aussi les riches, ceux de gauche, qui sont très vertueux de nature, puisque de gauche. Un exemple ? Pierre Bergé. Homosexuel en plus. Que du bonheur. Il ne lui manque que d'avoir appartenu à la bande Baader-Meinhof ou aux Brigades Rouges.
Pourquoi "en plus" ?
RépondreSupprimerNicolas : laissez-lui le "en plus". Imaginez qu'on dise "homosexuel, en moins".
RépondreSupprimerBon d'accord. Sa phrase était pourtant amusante. Elle était tellement caricaturale que j'ai pensé pendant un temps que c'était une boutade.
RépondreSupprimer@Nicolas:
RépondreSupprimerc'est bizarre comme tu as envie de te fâcher à chaque fois que je dis quelque chose. Et je ne pense pas que ça soit lié uniquement au fait que je sois SBF. Se pourrait-il que je touche une corde sensible et que je ne dise pas que des conneries? (je suis une ancienne extrême-gauche révulsée par le soutien systématique à tout ce qui vient d'ailleurs et par l'auto flagellation bien pensante, phénomènes qui n'ont rien à voir avec le Marxisme...Ils sont contre les délocalisations, et pour l'immigration, les pauvres)
C'est clair que tu caricatures ce que je dis, je n'ai pas parlé de la défense des "pauvres", mais des travailleurs en temps que classe. Bien sûr que ça te dérange...tant il est vrai que cette classe crève de, entre autres, trop d'immigration.
Tu préfères, et c'est normal pour la gôche classique, appuyer sur la touche "braves gens".
Quel monstre pourrait ne pas être d'accord avec ça: " Il y a aussi le respect des braves gens, dont les immigrés."? Les immigrés sont des victimes comme les autres travailleurs, des victimes du système qui a besoin d'eux pour casser leurs frères "occidentaux" de classe, et des victimes désignées de sieurs pas clairs qui ne rêvent que de les lancer contre nous (comme c'est le cas pour les "djeun's des quartiers", dont le rôle est de casser lors de chaque manifestation. (Ca ne te rappelle rien dans l'Histoire? A moi, si...)
Marine,
RépondreSupprimerTu mets un tel dégoût quand tu parles de "gôche classique" que tu en devrais pas t'étonner que je me fâche !
"Les immigrés sont des victimes comme les autres travailleurs, des victimes du système qui a besoin d'eux pour casser leurs frères "occidentaux" de classe, et des victimes désignées".
Justement, ce sont des victimes comme les autres. Il est totalement injuste de leur taper de dessus pour faire plaisir à la frange la plus à droite de la population, car il s'agit bien de ça en cette période électorale.
Je ne sais pas si tu as remarqué mais aucune politique contre l'immigration a marché. Quand le gouvernement expulse 25000 personnes, il y en a 25000 autres qui rentrent par la petite porte, quand ça ne sont pas les mêmes (ce que ne dit pas le gouvernement c'est que la plupart des expulsés viennent de pays de l'est, membres de l'UE, on ne peut pas les empêcher de revenir).
Tu parles d'autoflagellation bien pensante et de toutes ces conneries utilisées par les réactionnaires ! Pour ma part, je préfère parler d'humanité et de respect des gens plutôt que de politique de lutte contre l'immigration qui ne servent à rien tout en brisant la vie de dizaines de milliers de gens.
Floreal,
RépondreSupprimerCalmez-vous donc. Prenez un siège. Vous avez d'importants problèmes de lecture !
Je n'ai pas craché sur "le moribond". J'ai juste écrit (et j'assume) que son état de moribond ne l'exonérait pas d'être un con. Immense nuance !
(faut-il ne pas dire la vérité aux gens qui meurent ? C'est un raisonnement très moderne ça, de nos jours, il suffit déjà de mourir pour être un génie, si en plus, ça fait de vous un chic type...)
J'ai aussi dit qu'attendre de n'avoir plus rien à perdre pour être dans la vérité me semblait également moralement douteux.
Vous lisez de la lucidité là où je ne vois qu'approximations, délires monomaniaques, enfermement sur soi ! Vous avez le droit de penser de la sorte...
Etre catholique (c'est à dire, être "universel" ( bien plus en réalité, étymologiquement parlant)) ce n'est pas être une guimauve, ce n'est pas se montrer incapable de combat. Si vous pensez cela, vous vous plantez à donf !
(et puis merde, je ne suis pas non plus un curé, je ne passe pas ma vie dans des églises, j'ai des relations sexuelles aussi de temps à autre, si, si, c'est vrai !)
"Et puis c'est tellement pratique les religions, on peut faire toutes les saloperies possible, soit c'est pour la bonne cause et on va droit au paradis, soit il suffit de se confesser pour avoir l'absolution et hop, on va direct au paradis. C'est bien commode".
"les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers", Floréal ! (cela dit, vous me trouverez un passage des Evangiles qui prone les saloperies faites au nom de la bonne cause)
Je crois qu'en toute chose, si l'on aborde quelque sujet que ce soit, il faut avoir quelques bases. Ne pas tout mélanger. Et vous avez une vraie méconnaissance des religions. Vous avez donc le choix : vous documenter ou éviter d'en parler.
Il me semble indéniable, contrairement à ce que l'on pense, que le christiannisme n'est pas un dogme (ce qui ne veut pas dire qu'on en n'ait pas fait un dogme à défaut, suivant une sorte de dévoiement). Il contient en tout cas précisément l'idée d'une fin de la religion telle qu'on l'entend. Dans le texte. Noir sur blanc ! Et cela se prouve très facilement.
Aujourd'hui, ce n'est pas encore tout à fait ça, mais ça va venir (je l'espère).
C'est la faute à l'heure d'été. On s'engueule mal parce qu'on manque de sommeil.
RépondreSupprimerPour une fois que c'est pas de la faute aux 35 heures.
RépondreSupprimerSi, c'est la faute aux 35 heures d'été.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerJe sens que Floreal a le "nauséabond" à portée de main. Vous allez adorer.
@Nicolas:
RépondreSupprimer1) Je n'ai aucun mépris pour les vrais gens de gauche, j'ai juste de la peine pour mes anciens amis politiques (dont certains sont restés et resteront mes amis tout court et partagent secrètement mes idées sur l'islamisation via l'immigration intensive...).
Je fais la différence entre ces militants sincères et dévoués, qui vont se retrouver à diffuser la presse, faire du porte à porte, distribuer des tracts sur le marché, coller des affiches, bref, à faire le travail militant sans lequel ceux que j'appelle la "gôche" (que je méprise, oui) ne pourraient se livrer aux pantalonnades rituelles et irresponsables que l'on connait, ni même demander pardon. Les uns bossent pour ce à quoi ils croient, les autres,ceux de la gôche, les membres des appareils, ceux qui se prennent pour les élites pensantes, parachutés dans les circonscriptions, viennent ramasser les voix, ou les vestes (de toute façon, c'est pas grave, ils sont trop occupés ailleurs que dans l'hémicycle quand il y a quelque chose d'important à voter....)
Nos "Français de la diversité", qui ont tout compris, ne se contentent pas de cette situation, eux. Je me souviens en avoir vus, dans la préparation de listes pour je ne sais plus quelles élections, aller solliciter des places éligibles dans les listes de gauche, avec comme argument: on veut des places éligibles, sinon, on ira voir la droite. C'est ce qui s'appelle avoir des convictions.
Si j'étais cynique, je dirais qu'ils font bien, puisqu'ils obtiennent gain de cause, alors que les braves militants qui s'inclinent devant les appareils seront toujours la chair à canon de ceux pour lesquels je n'ai que mépris. Respect total pour les militants PS du Limousin qui, pour les Européennes ont commencé par refuser le parachuté du jour. Ils voulaient leur dirigeant local!
2) "Je ne sais pas si tu as remarqué mais aucune politique contre l'immigration a marché. Quand le gouvernement expulse 25000 personnes, il y en a 25000 autres qui rentrent par la petite porte, quand ça ne sont pas les mêmes"
RépondreSupprimerC'est un bel aveu d'incurie et d'impuissance de la part d'un Etat.
Ca ne marche pas, donc on abandonne. Comme ils reviennent, on se trouve des alibis "moraux" (ces braves gens, anti-racisme, Islam modéré, etc...).
Imagine si les Professeurs des zones sensibles raisonnaient de la même façon! L'exemple venant d'en haut, ils pourraient se dire "je ne peux plus bosser, donc qu'ils fassent ce qu'ils veulent en classe"... et se prendraient tout le monde dans la tête: parents d'élèves, autorités académiques, opinion publique...Après tout, si c'est ce qu'ils veulent!
@ Dorham
RépondreSupprimerVous etes un poil suffisant je trouve. Bon. alors je vais vous mettre les points sur les i.
Tout d'abord, je ne suis précisément pas de celleux qui mettent la nausée et toutes ses déclinaisons partout et à tout bout de champ. C'est rarissime. La nausée je l'ai eu souvent il y a dix ans durant la chimiothérapie, mais depuis je digère meme les parpaings.
Ensuite vous cédez à votre suffisance en m'accusant de mal connaitre les religions.C'est facile, et en plus vous ne pouviez pas tomber plus mal que sur moi. Précisément parce que les religions, je les connais plutot bien, et meme beaucoup mieux que n'importe quel citoyen normal et ordinaire.
J'ai lu il y a déjà plus de 20 ans, l'Histoire des religions de Mircea Eliade, et à peu près toutes ses oeuvres. Et je m'oriente assez aisément dans l'oeuvre de C.G.Jung, J'ai lu la bible il y a encore plus longtemps, y compris certains évangiles apocryphes.
En plus je réside depuis 30 ans en Italie, et vous me concéderez que question catholicisme, je suis plutot bien placée pour connaitre la question.
J'ai eu affaire aux cathos et je les connais bien. Y compris dans la famille de mes beaux-parents. J'ai 2 enfants que je n'ai pas fait baptiser malgré les pressions, et bataillé durant toute leur scolarité contre certains abus. Je suis non seulement combative mais je ne manque pas d'entrainement, et sur ce terrain là je n'ai jamais perdu une bataille. Je les ai toutes gagnées et contraint l'adversaire à me respecter et à respecter mes choix,de gré ou de force. J'insiste sur "de gré ou de force". ça me fait un peu plus que quelques bases et je pense meme que j'aurais beaucoup plus de choses à vous apprendre que vous à moi. Mais je ne fais pas de prosélystisme. Il suffit que vous n'espériez pas me bourrer le mou avec vos salades mal assaisonnées, avec moi ça ne marche pas, je ne suis pas la zénifiante (j'ai bien écrit zénifiant et non pas lénifiante, quoique...) Célestine, que vous aimez tant et pour cause, avec elle vous avez la partie facile. Quand je pense à ce qu'elle sait du boudhisme, ça me fait franchement marrer. Et je ne suis pas bouddhiste, notez bien.
Il y a quelqu'un qui lit tous les commentaires ici ?
RépondreSupprimerDorham,
Fais gaffe il a eu une chimio, ce qui l'autorise à avoir un avis supérieur.
Dites mon petit Nico, je suis elle et pas il. J'ai bien compris que vous étiez un baltringue sexiste comme vos "potes", remarquez.
RépondreSupprimerNon, je ne me sens pas "supérieure", mais je ne laisse pas les corniauds, y compris sortis des églises (et des partis, c'est un peu comme les églises - ou les mosquées, vous préférez les mosquées?) me faire la loi. Pas plus vous qu'un autre et plutot moins.
Il flotte un air de parfaite liberté de pensée quand Floréal écrit.
RépondreSupprimerOui, perso, je lis tous les commentaires.
Si quelqu'un a pris le temps de les taper, le minimum c'est de les lire.
Je sais que Nicolas ne lit pas ce qu'il pense ne pas devoir lui convenir :)
Flo...
RépondreSupprimerVous allez vous péter un index à taper si fort sur votre clavier.
Je ne suis pas suffisant. C'est vous qui êtes (un peu) bête. Je ne fais la loi à personne. Si vous voulez un avis, ou un contre-avis tiède, la toile regorge de fainéant du ciboulot. Vous avez l'air d'avoir fait la moitié du chemin.
Votre CV n'est pas très impressionnant. Vous avez lu ? Encore faut-il comprendre ce qu'on lit. Je ne suis pas un prosélyte, vous faites erreur. J'ai autre chose à foutre qu'à disserter sur le sens de la religion chrétienne, ce n'est que par pur hasard que je suis intervenu chez Céleste.
Côtoyer des italiens n'est pas un gage de connaissances liturgiques, j'en suis un moi-même, de toutes parts, je ne crois pas aux races, mais si Didier parlait à travers ma bouche, il dirait sans doute que je n'ai que du sang rital dans les veines. Je ne tiens pas ma connaissance de cette religion de là.
Je la tiens d'écoute. D'écoute de ceux qui savent, pensent, remettent en question, doutent, remettent en cause, pas de ceux qui prétendent savoir et affichent leurs certitudes d'oisillons comme vous le faites à tout bout de champ.
Laissez-moi à mon tour vous mettre les points sur le "i" et après, nous n'en parlerons plus. Cessez donc de tordre sans cesse le débat. Débattez, argumentez !
Si vous avez lu les Evangiles, vous y avez nécessairement lu des choses qui entrent totalement en contradiction avec ce que vous avez pu écrire plus haut. Lire, c'est bien, je le répète, comprendre, c'est mieux.
Je vous cite encore
"c'est tellement pratique les religions, on peut faire toutes les saloperies possible, soit c'est pour la bonne cause et on va droit au paradis, soit il suffit de se confesser pour avoir l'absolution et hop, on va direct au paradis. C'est bien commode"
Si vous avez lu les Evangiles, alors, soit vous êtes malhonnête, soit vous n'avez rien compris...
Mais laissons ça de coté, car en réalité, c'est vous qui avez déplacé le débat sur les religions. Le débat portait sur ce brave norvégien mourant !
Qui donc ici sait ce qu'est la "culture novégienne" dont il parle. Qui ? Qui peut la définir ? Qui, à partir de ce constat là peut savoir s'il convient ou non de la protéger ? J'ai posé cette question déjà ! Mais bordel, allez-y donc, puisqu'il vous émeut tant ce type, répondez donc !
On voit bien à le lire quelques instants qu'il entend par "culture norvégienne" une forme floue qui encadre nos sociétés occidentales : la pseudo-liberté d'expression (alors que dans la sphère réac, on stipendie sans cesse la "démocratisation à outrance" ; n'est-ce pas paradoxal ?), la liberté des femmes à porter des jupes (nan, mais franchement...), les droits des homos...
C'est la Star Academy de la politique de civilisation !!!
Comprenez-bien que je n'ai strictement rien contre tout ce que je cite plus haut. Je ne fais que noter le "flou" de telles conceptions auxquelles les sociétés elle-mêmes, dans leur ensemble, ne sont pas essentiellement tournées.
Voilà quel était le véritable sens de notre opposition, que vous avez dévoyé (me faisant passer à dessein pour le catho obtus de service ; libre à vous, je n'ai pas à avoir honte de ce que je suis, je me brosse l'arrière boutique avec le menu délibéré de vos petits procès) pour ne pas avoir à répondre aux vraies questions qu'il faut pourtant bien se poser en l'espèce.
Mon point sur le "i", c'est celui qui vous demande enfin, de répondre aux questions, de rester dans le sujet qui nous occupe.
Je note également, puisque l'on traite de l'immigration que certaines politiques d'immigration ont bien entendu fonctionné. Celles qui ont reconstruit la France ont fonctionné. Les portugais de ce pays, les italiens de ce pays, les polonais de ce pays, pourquoi les a-t-on oubliés ? A dessein aussi ?
Alors, de grâce, vos simagrées de petite énervée de bazar, vous les gardez pour les minets de passage. Si vous souhaitez débattre, débattez, argument contre argument !
Marine,
RépondreSupprimerVous dites vous aussi n'importe quoi, j'en profite pour vous le dire.
"Liberté de penser", voilà le genre de connerie qu'on peut lire ici. La pensée est nécessairement libre si tant est qu'elle est réellement pensée. Point !
On ne pense pas "contraint" ! Sans quoi, on ne pense pas, on mâche ! on digère !
Vous confondez donc liberté de pensée (on l'a vu, la liberté est inhérente à la pensée, c'est un infâme pléonasme) et liberté de dire, d'écrire, ce qui nous chante en dépit des convenances.
C'est aussi un des maux de nos sociétés : nous avons abandonné la vraie liberté (l'esprit critique) à toutes les autres qui n'en sont pas vraiment : liberté de porter des jupes, de boire du coca-cola, de circuler, de dire ce qu'on pense sur l'antenne de RMC...
Nicolas,
RépondreSupprimeroh, tu sais, au jeu du "qui gueule le plus fort", je joue toujours le rôle de celui qui en a vu des pires que ça.
M'en faut tout de même un peu plus pour m'impressionner.
"baltringue sexiste", j'adore, on est dans la parano qui nécessiterait traitement...
"Qui donc ici sait ce qu'est la "culture novégienne" dont il parle. Qui ? Qui peut la définir ? Qui, à partir de ce constat là peut savoir s'il convient ou non de la protéger ? J'ai posé cette question déjà !"
RépondreSupprimerMais faites-lui au moins l'honneur de penser que lui, au moins, le Norvégien en question, la connait sa culture! Et apparemment, il croit qu'elle vaut la peine d'être défendue. Qu'est-ce qui vous gêne la dedans?
Et je pense qu'elle n'est pas très éloignée de la nôtre, non? Il y a certes des différences importantes entre l'Europe du Nord et l'Europe du Sud, mais on s'y retrouve quand même.
@Dorham:
RépondreSupprimerMerci pour le n'importe quoi.
Il n'y a que vous pour penser et dire juste.
Néanmoins:
il est évident que quand je dis "liberté de penser", c'est un raccourci pour "liberté de penser et de dire"!
Voilà tout un procès pour pas grand chose. Très creux.
Pourtant, certains l'ont perdue, cette liberté de penser, laminés par la pensée dominante, vaincus par l'auto censure, la plus perfide de toutes.
Il n'est pas simple d'être parfois tenté de se dire que si on pense de telle façon, c'est qu'on doit bien être un salaud quelque part, parce que la pensée dominante est faite pour culpabiliser ceux qui en sortent. La pollution de la politique par des considérations émotionnelles est une cata (voyez les blogs de gauche et leur capacité d'indignation à sens unique)
Bref, la simple liberté de penser n'est pas aussi évidente que vous le dites.
"la liberté est inhérente à la pensée":
RépondreSupprimerfaux et archi faux.
Le formatage de la pensée est un enjeu de classe et le conditionnement est partout.
Marine, (ne m'en veuillez pas, je le joue un peu provoc et vous réponds en détail ; je suis suffisant peut-être mais ne refuse pourtant jamais d'expliciter, même très longuement ; ça vaut mieux que les réponses lapidaires (bien plus méprisantes à mon avis) d'un grand nombre)
RépondreSupprimer"Merci pour le n'importe quoi.
Il n'y a que vous pour penser et dire juste".
Je vous trouve amusants (au pluriel, oui). Vous fustigez aux 4 coins de la toile l'obscurantisme bien pensant de la majorité et c'est moi qui fait preuve de prétention ou de suffisance ? (Didier avec qui je débats souvent n'a pas le mauvais goût de m'opposer ce très mauvais argument, visant à discréditer sommairement l'interlocuteur ; mais il m'en faut plus !).
"Dire juste" n'a aucune importance. Penser juste est du même acabit que penser librement. Toute pensée si tant est qu'elle soit réellement pensée est par essence juste et libre.
"il est évident que quand je dis "liberté de penser", c'est un raccourci pour "liberté de penser et de dire"!"
Mauvais raccourci alors, parfois, il est nécessaire de prendre du temps. J'insiste, ces deux libertés n'ont rien en commun. Si la seconde peut être entravée, la première est essentiellement liberté. Puisqu'elle est d'ailleurs la seule à ne pas pouvoir être entravée, on en déduit qu'elle est même la seule qui vaille.
"Voilà tout un procès pour pas grand chose."
Bien au contraire. Vous confondez pensée et opinion, si l'homme cessait de faire cette confusion, le monde en serait bouleversé.
"Pourtant, certains l'ont perdue, cette liberté de penser, laminés par la pensée dominante, vaincus par l'auto censure..."
Mais non, on ne peut pas perdre sa liberté de pensée. Vous confondez pensée avec réflexion, position, opinion. La pensée ne peut pas être téléguidée car l'exercice de la pensée ne peut se faire tout à fait qu'en abandonnant toutes formes de préjugés. Vous connaissez sans doute ce qu'en dit Descartes dans "Les Principes de la Philosophie" (tout du moins, la conclusion : "je pense donc je suis").
La pensée, si elle n'est pas pure, si elle n'est pas délestée de préjugés, d'opinions préconçues n'est jamais que l'illusion (mortifère) de la pensée.
En ce qui nous occupe présentement (je veux dire, pour ce qui est de la question relative à l'immigration) il n'y a pas de pensée possible, car il n'y a pas de réponse envisageable. Il n'y a que des opinions que nous partageons et la vôtre est autant conditionnée que la mienne : par nos parcours, nos névroses, nos inflexions, notre tempérament, les rencontres faites dans notre vie...
La différence entre vous et moi, c'est que vous ignorez tout de ce conditionnement. Et cela me donne le droit d'être quelque peu moqueur et offensif (au risque de passer pour un prétentieux puant (ça me va)) !
"Bref, la simple liberté de penser n'est pas aussi évidente que vous le dites".
Pourtant si, c'est ce qui en rend l'exercice si difficile. Paradoxalement :)
"Le formatage de la pensée est un enjeu de classe et le conditionnement est partout".
Je serais d'accord avec ça quand vous remplacerez pensée par opinion. On a tendance, depuis trop longtemps, à utiliser le terme "pensée" comme un générique absurde. La philosophie est morte, y revenir nous rendrait libres ! Sans aucun doute !
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Notre norvégien maintenant :
"faites-lui au moins l'honneur de penser que lui, au moins, le Norvégien en question, la connait sa culture! Et apparemment, il croit qu'elle vaut la peine d'être défendue. Qu'est-ce qui vous gêne la dedans?"
Premièrement, je n'en lis rien dans le texte en lien. Rien du tout. Je l'ai déjà dit, dois-je le répéter ? Il ne fait que pointer d'hypothétiques dangers dans le cadre d'évolutions morales : ceci constituant selon lui (et selon nombre d'autres, mais c'est fort discutable) le caractère premier de nos sociétés.
Et je ne vais pas défendre une pensée protectionnisme sans même ne rien connaître de ce qu'il y a à protéger. Vous voyez bien que cela est absurde ! Ce qui vous intéresse dans ce discours, c'est la posture, la posture politiquement incorrect et puis ce truc un peu racoleur du gars qui est à l'aube de sa mort !
Qu'est-ce qui me gêne ? Mais ce qui me gêne, c'est qu'il n'y a pas de culture uniforme ! Cela n'existe pas ! Merde, il suffit de regarder un peu plus loin que le bout de son nez. Audine revient de Sicile, elle pourrait nous expliquer que cette île n'est que le produit de mariages incessants !On ne peut pas raisonner en ces termes.
"Votre ami du froid" déguise donc habilement son propos sous un vernis "culturel", ce propos ne dissimulant pas la volonté de ne pas renoncer à certaines valeurs qui lui semblent fonder sa société.
Je n'ai rien contre cela. Je respecte l'ensemble des valeurs de chacun. Mais il ne faut pas me demander d'imaginer que cela puisse être signifiant ou essentiel. Ce qu'il définit en trois mots de sa "société" (qui est en fait une sorte de marque de fabrique occidentale), un très grand nombre de personnes ne s'y reconnaîtra pas. Impossible donc de dégager une forme générale de son discours et donc d'imaginer l'utilité de quelque protection que ce soit.
Les partisans d'une forme de conservatisme ou de protectionnisme, bien souvent sont incapables même de définir ce qu'il faut protéger. Leur idée de la chose est bien vague. C'est ma principale objection. Pour eux, le monde est un musée et un musée caricatural qui plus est. Au moins, Didier a l'honnêteté de dire que ses réflexions sont bien souvent guidées par une forme aiguë de nostalgie. Je préfère cette sincérité là à toute autre forme d'opinions qui se rêve pensée.
Nécessairement, toute définition d'une culture est en vérité impossible. Nous savons depuis longtemps maintenant que l'empirisme est une connaissance impossible que synthétiser à l'inverse est un mensonge permanent. Un mensonge que l'on fait aux autres autant qu'à soi-même !
De plus, si cet homme croit penser que l'Islam sera nécessairement un danger, il ne dispose que de quelques indices tout au plus pour étayer sa thèse. Il joue au devin. Comme dans chaque débat de ce type, il fera part de ce qu'il sait de l'intégrisme et de l'obscurantisme religieux (et nous tomberions d'accord) et je lui rétorquerais en retour qu'il y a nombre d'exemples parfaitement inverses. Et les déclinerais derechef !
TIE ! comme toujours, Audine a raison, personne ne peut avoir raison ou tort !
Ce que je vous reproche en dernier lieu, c'est avant toute discussion de partir du principe que le raisonnement des autres est naturellement biaisé, parce qu'empreint de meilleurs sentiments. Je vous rassure tout de suite, Marine, sur cette terre, il existe bien des hommes et des femmes pour qui la solidarité, le partage et l'échange sont les choses les plus importantes qui soient (voire les seules), et à vrai dire, comme il me semble manifeste que ces gens là se fichent de nos pitoyables débats, ils sont bien plus libres que vous ou moi, moi, qui suis le produit d'une Histoire familiale (à gauche toute) et vous, qui êtes le produit (par quelque chemin que ce soit) d'une réaction contraire et systématique.
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Si je reprends ces mots là, par exemple de Floréal, que vous trouvez si libre :
"En plus je réside depuis 30 ans en Italie, et vous me concéderez que question catholicisme, je suis plutot bien placée pour connaitre la question.
J'ai eu affaire aux cathos et je les connais bien. Y compris dans la famille de mes beaux-parents. J'ai 2 enfants que je n'ai pas fait baptiser malgré les pressions, et bataillé durant toute leur scolarité contre certains abus. Je suis non seulement combative mais je ne manque pas d'entrainement, et sur ce terrain là je n'ai jamais perdu une bataille. Je les ai toutes gagnées et contraint l'adversaire à me respecter et à respecter mes choix,de gré ou de force. J'insiste sur "de gré ou de force"" ;
j'y distingue une volonté permanente d'en remontrer, un besoin de revanche, un besoin de s'imposer (et même, une propension à utiliser ses enfants comme enjeu de ses combats). Rien de libre là dedans. L'illusion d'une liberté qui me fait dire qu'après avoir confondu pensée et opinion, vous confondez à présent être libre et être solitaire.
Ce n'est pas la même chose du tout.
Je crois avoir répondu à nombre de points. J'ai moins de volonté de mordre que vous ne le pensez et suis surtout bien plus indulgent que mes propos ne pourraient ne le laisser croire. Je passe donc naturellement à autre chose, en vous souhaitant à vous comme aux autres, une bonne journée.
@ Dorham
RépondreSupprimerSuffiant sexiste et masculiniste. Et une facheuse tendance à la calomnie Telle est l'opinion que j'ai de vous et je n'ai aucune raison valable d'en changer.
Vous etes une sorte de troll à votre manière, un troll catho en l'occurrence.
Vous aimez faire tourner les discussions en rond pour en arriver au point de départ et donc à rien. Je ne rentre pas dans ce jeu là, puisqu'il est de mauvaise foi.
Le noeud gordien je le tranche, à la hache, et croyez bien que quand certains enseignants catho qui m'ont posé problème par leur comportement avec mes enfants ont compris qu'ils risquaient de se retrouver au tribunal et de perdre leur pla-place et leur salaire, on fait marche arrière vite fait la queue entre les jambes.
Je ne cherche pas à en remontrer, mais à dire ce que je pense et pourquoi, et je me défends quand on m'attaque.
Je n'ai pas de CV, je dis qui je suis et ce que je fais dans une page de présentation, c'est tout.
Je parle de mes enfants parce que c'est un exemple concret. J'ai dépensé bp d'énergie pour eux, pour les élever et les faire étudier. Je n'ai pas eu de carrière professionnelle comme je l'aurais souhaité et comme j'en aurais eu la capacité par ce que je suis une femme et que c'est un handicap, (double en Italie à cause du Vatican), c'est pour ça que je suis féministe.
Ce qui me reste à vivre n'est effectivement pas suffisant pour avoir une revanche sur la vie et obtenir justice en récupérant tout ce qu'une société masculine et machiste m'a oté, °a commencer par la possibilité d'avoir une retraite décente.
C'est la raison pour laquelle je ne fais pas de cadeaux aux tenants d'une idéologie machiste, qu'ils soient de gauche ou de droite, athées ou croyants.
De liberté j'en ai manqué effectivement: celle qui est niée aux femme par l'ordre patriarcal que vous représentez et que je combats, tant que j'en aurais la force, jusqu'à la fin de ma vie.
Floréal,
RépondreSupprimerDésolé mais "ptdr" comme on dit dans la blogo.
Je me fous de ce que vous croyez savoir de ma personne. Contrairement à vous, je ne perdrai jamais mon temps à me justifier. Je ne fais jamais qu'exposer une opinion (elle ne vaut pas mieux que la vôtre) et parfois un peu plus. Le reste n'importe pas !
Relisez votre première intervention et vous découvrirez que c'est vous qui avez personnalisé le débat, vous qui avez voulu poser le fait religieux. Vous qui m'avez sciemment enfermé là dedans. Pas moi. Vous récoltez donc ce que vous avez semé. Par calomnie, vous voulez signifier "jugement", que vous ne manquez pas de porter sur tout un chacun. Vous n'aimez pas que l'on vous fasse ce que vous faites aux autres avec plus ou moins de bonheur ou de "liberté".
Je ne pense rien de vous, quant à moi, car vous ne vous présentez pas mais êtes en représentation. En posture. Et par la même, vous vous imaginez des choses qui ne sont pas.
Je ne fais pas tourner les discusions en rond mais j'essaie de poser des questions. Questions que vous refusez de vous poser. Tant pis pour vous ! Oui, remettre en question, c'est long, oui, parfois, cela confine à une sorte de relativisme, à une portion très congrue de connaissance. C'est là la seule humilité qui vaille !
Vous répondez sans cesse à coté, essayez sans cesse de dévier le débat. Vous êtes pleine de certitude. Tant mieux pour vous, mais ne venez pas me faire le coup de la suffisance.
Allez donc combattre vos moulins à vent, avec l'énergie du désespoir, ça m'est égal, tout comme le seront pour moi (désormais que je vous ai un peu mieux cernée) vos futures interventions (auxquelles je ne répondrai plus, tant elles ne présentent que peu d'intérêt).
Mais moi je me fous de tout ce que vous etes, en bloc. La seule chose qui m'importe est d'écraser et hacher les idées autoritaires et misogynes que vous étalez comme Vérité. D'intéret vous n'en présentez aucun. Ne plus me répondre est une excellente idée, dommage que vous ne l'ayez pas eu avant.
RépondreSupprimerRemise en question? Elle est bien bonne celle-là! Je remets en question l'ordre patriarcale dont vous etes un minuscule rouage, un boulon rouillé et mal vissé qu'il n'est pas très difficile de déboulonner.
Le débat je le ramène là où il est , à savoir que le Norvégien a raison et pas vous malgré toute votre interminable logorrhée pusillanime.
Si je combattais des moulins-à-vent, nous en serions encore aux années 60. Non non, c'est bien des hommes de votre espèce que je combats. Que vous brassiez plus d'air qu'un moulin-à-vent, certainement. Mais ça c'est votre problème et pas le mien, au contraire, ça me facilite les choses.