samedi 22 août 2009

Journal de Plieux, l'encre est encore fraîche !

La troisième édition est à l'endroit habituel...

11 commentaires:

  1. La narration est parfaite ! Une fois censurés les ronflements inopportuns, restent une ode au bon vin, à la puissance du lieu qui vous imprègne d'histoire et toujours, la formidable présence des oeuvres de Jean-Paul Marcheschi !

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  2. Des ronflements ? Où ça, des ronflements ?

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  3. Ceux d'Emma évidemment... (pt'ain, je sens que je vais morfler..)

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  4. Quel chameau ! non mais il souffre d'hyperacousie, le petit Pluton. Ronflements, le doux zéphir qui se faufilait entre mes lèvres souriantes, ça alors, et pourquoi pas se plaindre d'être maqué à une ogresse ? !!!!

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  5. Oyez, oyez braves gens, correction de dernière minute : après vérification, JE ronflais , embrumé par les vapeurs de "La croix-chabrières" et autres nectars, flottant en compagnie de mes chiroptères adorés dans l'ambiance "Camusienne" de Plieux ! (Ouf , la paix conjugale n'a pas de prix, wouarf..!)

    Pluton où l'amende honorable.

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  6. "Où" sans accent évidemment! Vite, un seau de cendres...

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  7. Pluton et Emma : je ne veux pas être mêlé à tout ça ! (J'ai assez de mes histoires de ronflements avec Catherine...)

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  8. bonjour, je viens de découvrir cet espace virtuel mais néanmoins pourvu d'une vraie convivialité. Je suis fasciné par le monde de l'édition, l'écriture, ces choses là. A mes yeux, l'écrivain est un héros. Le fait que j'écrive, moi même, une thèse explique ma fascinatioon pour ceux pour qui l'écriture est le pain quotidien et le gagne pain. Par exemple, cher Didier, vous qui pondez six brigades mondaines par an, que j'ai le bon goût d'apprécier à leur juste valeur, combien de pages êtes - vous capable d'écrire en une seule journée. Comment travaillez - vous ? Le matin, au réveil, comme Paul Valery. Devant une fenêtre. Qu'est ce que c'est la vie d'un écrivain ? Et aussi, en quoi consiste votre négritude mondaine ? C'est vous qui inventez l'histoire, fixé la trame. Ou obéissez vous à un cahier des charges très précis. Etes-vous démiurge ou vous laissez ça à Michel Brice et vous vous contentez de l'écriture. Tout ça me fascine

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  9. Anonyme : le minimum, quand on pose des questions en rafales à quelqu'un serait peut être de signer son commentaire...

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  10. Et puis, bon conseil, à des questions aussi pointues, n'est-ce-pas, à quoi sert de répondre, le p'tit il a tout compris, il peut même après les questions se faire les réponses tout seul.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.