mercredi 17 novembre 2010

L'Afrique noire est-elle maudite ?

Un article paru dans Le Monde, signé par Philippe Bernard :

Pourquoi l'Afrique reste-t-elle la lanterne rouge du monde ? Peut-elle s'en sortir ? Parmi les ouvrages publiés à l'occasion du cinquantenaire des indépendances, celui de l'écrivain malien Moussa Konaté livre la profession de foi limpide, profonde et courageuse d'un Africain amoureux de son continent, loin des essais et romans exploitant la peur suscitée dans les pays riches par les catastrophes africaines.

S'il a délaissé les polars dont il régale régulièrement ses lecteurs, c'est qu'il y a urgence à parer au "désastre annoncé". Il s'agit non seulement de déconstruire les clichés occidentaux, mais surtout de porter la plume dans la plaie, en pointant la part africaine des responsabilités. La force du constat, dénué de toute haine de soi, est fracassante : l'Afrique est malade d'une culture qui dévoie l'idée de solidarité pour en faire un terrible moyen d'asservissement et un puissant facteur d'inertie.

En Afrique, tout repose sur "un pacte entre l'individu et la société basé sur la soumission à la famille auquel tout est subordonné, même l'amour", constate-t-il. Les conséquences en sont désastreuses. Derrière l'apparente convivialité, la soumission au groupe favorise le parasitisme, la corruption et la tyrannie, au détriment du travail.

Le poids de la famille engendre une difficulté à s'isoler qui freine la lecture et l'étude, favorise la médiocrité intellectuelle. L'obligation de verser ses revenus, même maigres, dans le "tonneau sans fond de la solidarité" entrave l'épargne, l'initiative et donc le développement. Les frontières de caste perpétuent les privilèges.

Moussa Konaté se montre percutant dans son analyse des rapports entre hommes et femmes africains. La famille polygame ? Un "lieu de confiscation" de la parole et de la pensée de l'individu, une "torture psychologique infligée non seulement à la femme mais à l'enfant". L'excision ? Une "ablation du désir", un "viol de la personnalité" perpétuant la toute-puissance masculine et le confinement de la femme dans un rôle de gardienne des traditions.

Le réquisitoire est d'autant plus implacable qu'il n'assène pas des slogans destinés à réconforter des Occidentaux en proie à la culpabilité postcoloniale, mais procède d'analyses minutieuses.

Si les Africains sont ainsi enfermés dans un mode de vie qui est "une prison pour l'esprit", explique Moussa Konaté, c'est qu'ils se sont défendus de l'agression de la colonisation en se repliant sur des cultures traditionnelles magnifiées, tout en admirant le savoir des Blancs. D'où un complexe d'infériorité et une amertume persistante.

"Renouveau humaniste"

Pour sortir de cette schizophrénie, les Africains doivent "reconnaître leurs torts", à commencer par le rôle de certains de leurs chefs dans le commerce des esclaves. Sans se renier, ils doivent "réformer d'urgence leur modèle de société". Libérer l'individu, interdire la polygamie et les mutilations sexuelles, instaurer l'école obligatoire et la transparence des revenus des dirigeants...

L'ambition est immense et à contre-courant des forces dominantes - notamment religieuses et politiques - à l'oeuvre sur le continent. Moussa Konaté montre néanmoins la voie du "renouveau humaniste" dont les Africains pourraient donner l'exemple au monde en prouvant "que l'homme n'est pas condamné à choisir entre le développement et la solidarité".


L'AFRIQUE NOIRE EST-ELLE MAUDITE ? de Moussa Konaté. Fayard, 240 p., 16,50 €.

219 commentaires:

  1. Pas un mot sur l'alcoolisme chez les noirs ? Pourtant, j'en connais bien deux...

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  2. Bonjour,

    Excellent billet sur un sujet véritablement passionnant.

    Le post-colonialisme vu depuis l'Afrique est très différent de la vision franco-française, à des années-lumières de la réalité.

    Rares sont les Africains (en Afrique) qui en veulent à la France.

    J'ai de nombreux amis et relations d'affaires en Afrique qui en veulent à la France pour une chose avant toutes les autres : de les avoir abandonné...

    La première fois que j'ai entendu ça, j'ai été littéralement "sur le cul"...

    Mais il faut le voir pour le croire : de nombreux Africains vouent un véritable culte au blancs.

    L'un de mes amis, dont la réussite est 100 fois plus brillante que la mienne, me reçoit dans son pays avec des honneurs inimaginables alors que je ne suis qu'un simple partenaire d'affaires...

    Mais lorsque ses clients voient qu'il fait affaire avec "le blanc", les commandes affluent, la confiance se renforce...

    C'est très loin de ce qu'on imagine depuis la France.

    Non seulement les Africains ne nous en veulent pas, mais ils nous aiment !

    Il FAUT visiter ce continent...

    A noter aussi au passage : de nombreux pays Africains ont accepté une nouvelle colonisation : la colonisation Chinoise.

    Les entrepreneurs Chinois traitent les Africains sur place de manière abjecte.

    Bref, l'Afrique est à mon sens LE CONTINENT DE LA DECENNIE, encore faut-il savoir si ça profitera aux Africains... je l'espère mais ne le crois pas une seconde.

    Excellente journée.

    Bien amicalement,
    Sébastien CERISE

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  3. Excellent article. Sur le même sujet il existe déjà "Négrologie", le livre de Stephen Smith paru il y a quelques années.

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  4. Je vous préfère comme cela, excellent article.

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  5. Excellent article qui me fait un peu penser au discours de vs-savez-qui à Dakar. L'Homme africain n'a donc toujours pas pris en main son destin...

    @sebastien cerise: pour avoir vécu 2 ans par là-bas, je ne peux que plussoyer...

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  6. Pas un mot sur le QI navrant de ces populations, qui classe la moitié des Africains dans la catégorie des débiles mentaux (QI <70) selon les critères occidentaux ?

    Alors, peut-être qu'ils ne sont pas débiles. Mais ce qui est certain c'est que leur intelligence, si elle existe, est trop différente de la nôtre.

    Tant qu'on mettra leurs résultats désastreux sur le compte de la corruption et des pratiques stupides, alors que corruption et pratiques stupides sont la conséquence d'une intelligence trop faible, on discourra sur le vide.

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  7. @ Pakounta - on se croirait en France !

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  8. "On discourra sur le vide."

    Le vide n'est pas le néant. Encore un effort, vous y êtes presque.

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  9. Le problème de l'Afrique cessera le jour où les africains arrêterons de vouloir être blancs.

    S'il est évident qu'il n'existe que peu de "civilisations " africaines - au sens de culture développée au sein de cités - la seule conclusion qu'on peut en tirer, c'est que ce modèle ne convient pas aux africains.

    Peut-être feront-ils un grand pas en avant le jour où leur ambition cessera d'être tous "Maréchal Président en uniforme blanc avec plein de médailles en or"... le jour où ils cesseront de vouloir faire et être blancs... le jour où ils cesseront de singer ce qu'ils ne sont pas pour "devenir ce qu'ils sont".

    Laurent l'Anonyme

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  10. ben Laurent l'anonyme et pakounta, vous feriez bien de lire le bouquin cité, ça vous éviterai de dire des poncifs... justement ceux qu'il met en brèche.. Geargies

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  11. le mot "culture =" a plusieurs sens, on ne peut pas comparer une culture essentiellemnt de tradition orale avec celle "européenne" qui est de tradition écrite. La colonisation a figé l'évolution culturelle normale des peuples dominés, il faut leur laisser le temps de créer leur propre culture.

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  12. A Geargies:

    j'ai bêtement cru, en lisant que "Sans se renier, ils doivent "réformer d'urgence leur modèle de société". Libérer l'individu, interdire la polygamie et les mutilations sexuelles, instaurer l'école obligatoire et la transparence des revenus des dirigeants...", il s'agissait, pour les africains, de devenir des humains comme les autres, éclairés par les Lumières de la Démocratie Occidentale, Laïque et Républicaine, où enfin la Raison, à laquelle tous les peuples aspirent nécessairement, pourrait s'épanouir.

    J'ai du mal lire: désolé!

    Laurent l'Anonyme

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  13. En revanche, le mot "pecnaude=" n'en a qu'un, de sens, que vous illustrez à merveille.

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  14. Je me demandais QUI allait venir nous expliquer que tout est bien sûr de la faute du vilain colon blanc. C'est Mme Pecnaude, sans grande surprise.

    Merci à Sébastien Cerise qui, contrairement à nous tous, semble savoir de quoi il parle...

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  15. Anonyme 12:01

    On ne "met" pas en brèche, on bat de la même manière.

    Et les poncifs, c'est le bouquin qui les manipule : on nous raconte partout la même chose. Lisez Lynn, Rushton, regardez autour de vous, admirez Haïti et comptez les milliers de milliards de dollars dépensés par les US pour "aider" leurs Noirs, indécrottablement à la traîne.

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  16. Hé ho, pour ce qui est de la tradition orale des noires, je sais de quoi je parle, mais la tradition écrite implique aussi de savoir tailler les plumes. Rien n'est jamais tranché, heureusement.
    (Coucou Geargies).

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  17. La Pecnaude a dit:
    "La colonisation a figé l'évolution culturelle normale des peuples dominés, il faut leur laisser le temps de créer leur propre culture."
    Rappelez-moi depuis quand l'Afrique est occupée par les hommes et de quand date la "colonisation"?
    A moins que vous ne parliez de la colonisation par les Arabes...finalement toute récente elle-aussi, à l'échelle humaine.

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  18. "il faut leur laisser le temps de créer leur propre culture"

    Ils ont été colonisés à la fin du 19ème siècle. Avant, les Européens s'étaient bornés à acheter les esclaves vendus par leurs "frères", sans pénétrer dans les terres.

    Le temps nécessaire, c'est celui de l'évolution des Blancs et des Asiatiques : encore une petite centaine de milliers d'années, et on y est.

    Juste une question de patience.

    Si, d'ici là, on pouvait cesser toute relation avec eux, on s'en porterait bien mieux. Ils ne croissent (en nombre) que parce qu'ils sont inondés d'aides et subventions. La tête ne suit pas.

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  19. Pakounta y est finalement arrivé. C'est merveilleux. J'ai l'impression d'être au spectacle.

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  20. Vous n'avez encore rien vu, attendez les final grandiose avec Joséphine Baker et ses bananes...

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  21. Donc, si je résume, on a d'un côté Dame Pecnaude qui est persuadé que sans l'intervention démoniaque, évidemment démoniaque, du diable européen, les Africains auraient déjà conquis la galaxie à coups de technologies avancées et inconnues ; et, de l'autre, Sieur Pakounta qui reste convaincu que ces mêmes Africains sont le chaînon manquant entre le singe et l'homme et que la pierre taillée reste leur indépassable horizon.

    Comme dit le proverbe que je viens d'adapter pour vous : on ne prête qu'aux pauvres...

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  22. "tailler les plumes" je me demande si on se rend compte de ce qu' on dit ?? ;-)))

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  23. Comme dit Yves Coppens, en substance:
    l'Afrique est le berceau de l'Humanité. Certains sont partis évoluer ailleurs et certains y sont restés...

    Laurent l'Anonyme

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  24. "la pierre taillée reste leur indépassable horizon"

    En tout cas, à part ceux qui avaient eu la joie de connaître l'invasion de l'islam, d'est en ouest jusqu'au Sénégal, on les a trouvés à peu près à ce niveau, vaguement en pagne et dans des huttes qui feraient honte à des hirondelles.

    Mais, évidemment, avec une médecine de pointe. Et une richesse de pensée étonnante. Et plein de bibliothèques ("un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle", disent ceux qui ne voient pas).

    Mais bon, je ne vais pas insister, mes "poncifs" sont clairement nauséabonds, ambiance HLPSDNH.

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  25. Je verrais bien un autre usage pour les plumes, mais il faudrait d'abord retirer votre balai qui occupe la place.

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  26. Un dictateur africain qui meurt, c'est un rayon de comptabilité qui brûle.

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  27. Un griot qui passe à l'orange, c'est un feu rouge qui se brûle.

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  28. En ce qui concerne la supposée débilité des Africains, un exemple me vient à l'esprit.

    Un mécanicien Africain qui ne sait même pas lire ferait pâlir d'envie n'importe quel mécano Français.

    Ces types sont capables de faire fonctionner n'importe quoi, sans outil, sans matériel, sans plan et sans même la pièce nécessaire...

    Les Africains ne sont pas éduqués comme les Européens, c'est une évidence, mais dire qu'ils sont débiles est un total manque de connaissance de l'Africain d'Afrique...

    Et dire que c'est la faute aux méchants blancs est encore le signe qu'on regarde trop Arté et qu'on a jamais foutu un pied en Afrique...

    Bref, rien de neuf en somme...

    Sébastien CERISE

    PS : Mesurer l'intelligence par le QI est le signe d'un manque évident de réflexion (et la langue qu'on tourne 7 fois ?)... la vraie intelligence est la capacité de s'adapter aux circonstances. Qui est candidat pour un stage de 2 semaines en brousse sans bouffe et sans eau ? On verra qui est intelligent...

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  29. Restons-en à la mesure du QIQI, et là, on va voir ce qu'on va voir.

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  30. C'est quand qu'on fait un débat sur l'intelligence des gens de la Région Picarde, parce que je les trouve un peu moins évolués que la moyenne en général ?

    ---

    Georges,

    Mince, vous avez encore perdu.

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  31. "Qui est candidat pour un stage de 2 semaines en brousse sans bouffe et sans eau ?"

    Nos ancêtres, il y a 50 000 ans, l'ont fait. Et se sont tapés des ères glaciaires musclées (pas facile, d'extraire le manioc sous 2 mètres de neige).

    Petite différence : ils ont inventé la roue, et même la brouette, par la suite.

    Et, que je sache, les Noirs américains ne vivent pas dans la brousse, y'en a même qui conduisent des bagnoles. Avec des roues. Il est vrai qu'ils sont métissés de Blancs à 25% environ.

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  32. Mélanger les noirs Américains - qui n'ont de l'Africain que la couleur - avec les Africains d'Afrique est se tromper de débat.

    Je parle des Africains en Afrique pour ma part.

    Mon avis sur les occidentaux d'origine Africaine est totalement différent, car ce n'est pas le même sujet...

    Mais ici on parle bien de l'Afrique et des Africains, pas des noirs Américains ou Français...

    Sébastien CERISE

    PS : En Afrique, on conduit aussi des voitures, au cas où vous l'ignoreriez...

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  33. Ce que dit Sébastien CERISE me rappelle un film 'Tin Piece", qui se passe en Papouasie Nouvelle Guinée, donc loin de l'Afrique.
    La monnaie d'échange normale (dot pour les filles, par ex) est le porc (ce qui montre que ces gens-là sont civilisés^^). Un jour, je ne me souviens plus pour quelle raison, le chef du village récupère une camionnette de la part d'un voyageur blanc probablement à court de porcs. Tout le monde se sert du véhicule jusqu'à la grande panne. (me demandez pas à quoi il carburait, le camion, l'histoire ne le dit pas ou je ne m'en souviens pas, c'est vieux ça).
    Les villageois ne se démontent pas. Ce qu'ils démontent, c'est le moteur, complètement. Jusqu'au dernier boulon. Et ils donnent un coup de peinture noire sur tout ce qui leur tombe sous la main. Et ils remontent le tout.
    Tour de clé de contact: ça démarre!
    Le tout sur fond de musique éclatante et sympathique. J'étais jeune et j'étais heureuse que ça fonctionne.
    Donc ce que dit Sébastien Cerise ne m'étonne pas...

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  34. Bon.
    Vu.
    OK.
    Je suis vaincu par plus fort que moi, en matière de non-comprenance.
    Je déclare forfait.

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  35. Tout cela ne relève pas de l'intelligence, mais de croyances magiques. Qui fonctionnent parfois.

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  36. Comparer le QI de certains peuples à celui de certains autres, c'est reconnaître l'universalité de l'Humain comme entité finie, et admettre l'intelligence comme univoque et quantifiable par une science tout aussi universelle.

    Ca s'appelle un axiome... une posture... un prérequis... une supposition... un fol espoir... Bref, ni la démarche dont on parle, ni les instruments utilisés n'ont l'incontestabilité qu'elles prétendent avoir!

    Laurent l'Anonyme

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  37. @Laurent l'anonyme.

    J'ajouterai que lorsque l'on prend un Africain du berceau, qu'on le met dans une école Française, au final, il a globalement le même QI que ses petits camarades...

    Le QI ne mesure en aucun cas l'intelligence, mais juste l'une de ses nombreuses formes.

    Évidemment qu'il y a des Africains qui sont cons comme des balais à chiottes, mais ce n'est pas une question de couleur de peau...

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  38. on n'en aura jamais fini avec ce débat: c'est un credo si vous récusez toutes les possibilités d'évaluation.
    Comme à l'école, en fait.

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  39. « PS : En Afrique, on conduit aussi des voitures, au cas où vous l'ignoreriez... »

    C'est dingue ! Et c'est comme ça depuis quand ?

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  40. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  41. « Le QI ne mesure en aucun cas l'intelligence, mais juste l'une de ses nombreuses formes. »

    Voilà ce qu'on appelle une phrase qui se mord le QI. Si le QI sert à mesurer "une des formes de l'intelligence", vous ne pouvez en aucun cas dire qu'il ne s'agit en aucun cas d'intelligence.

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  42. "il a globalement le même QI que ses petits camarades..."

    Toutes les études, même celles des antiracialistes acharnés, montrent que c'est le contraire. Systématiquement, l'écart s'établit autour de 30 points de QI en moins pour les Africains. Même pris au berceau, adoptés, élevés chez des Blancs ou chez des Noirs, avec des Blancs ou avec des Noirs, ou les deux.

    De même que les Asiatiques, en général, ou adoptés, ou élevés chez des Blancs, ou chez des Noirs, ou chez des Asiatiques, ont systématiquement (en moyenne, bien sûr) des résultats supérieurs aux Européens.

    La différence, c'est l'explication. Certains disent que c'est le milieu, d'autres que c'est les gènes.

    Allez, salut. Croyez et soyez heureux, Cerise (vous êtes parent avec M. Groupama ?)

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  43. Carine, croyez en moi, c'est amplement suffisant. Vous verrez.

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  44. @Carinne

    Je ne récuse absolument rien.
    Les tests de QI sont parfaitement adaptés à des tâches "occidentales" et à notre forme de penser.

    En revanche, dans d'autres circonstances, le QI mesure des capacités totalement inutiles, donc sous-développées.

    Il faut juste comparer ce qui est comparable.

    Dire que les Européens sont plus intelligents que les Africains en se basant sur les tests de QI n'est pas pertinent, car les conditions de vie et la forme de penser sont totalement différentes.

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  45. @Pakounta

    Vous avez ces études, je serai curieux de les voir ?

    @Georges

    Lorsque je parle de "l'Intelligence", c'est avec un "I" majuscule, en tant qu'absolu.

    Et il n'existe pas de mesure de l'intelligence absolue, car elle n'est pas définie.

    Pour "Cerise", c'est juste mon nom de famille...

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  46. « Dire que les Européens sont plus intelligents que les Africains en se basant sur les tests de QI n'est pas pertinent, car les conditions de vie et la forme de penser sont totalement différentes. »

    En tout cas, cette phrase n'est pas une phrase très intelligente. Si l'on imagine des tests qui sont censés mesurer l'intelligence, c'est précisément pour qu'ils puissent être validés même dans le cas de sujets ayant des milieux culturels (par exemple) différents. Un test qui ne testerait que des sujets semblables ne serait évidement d'aucune utilité, et démontrerait seulement sa non pertinence*. C'est marrant cette manie de vouloir toujours dénier toutes les comparaisons. On a peur de quoi, à la fin ? TOUT est comparable, absolument tout, à condition de le faire de manière intelligente et adaptée aux objets dont on traite.

    Et puis, excusez-moi, mais votre expression "la forme de pensée" est typiquement une coquille creuse. Si l'on vous demandait de préciser ce que vous entendez par là, on n'obtiendrait que des généralités très inférieures aux lieux communs qui se pratiquent dans tous les cafés du commerce.

    (*) À partir du moment où l'on parle d'intelligence (et je ne prétends pas que ce soit toujours une bonne idée, loin de là), il faut admettre qu'elle existe EN DEHORS de tous les déterminants d'un être humain, qu'elle a une forme d'autonomie, sinon vous videz le concept de toute réalité et de toute pertinence.

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  47. Georges est très intelligent mais seulement pour sa forme de pensée.

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  48. @Georges

    Les tests de QI ne sont pas applicables à tout le monde, c'est du moins ce que je pense.

    Un exemple simple : Celui qui ne sait pas bien lire n'est pas forcément un imbécile mais il aura évidement des difficultés à ce type de tests.

    Ou celui qui n'a pas été à l'école et n'a jamais approché un raisonnement mathématique ne comprendra rien aux tests de logique qui sont dans tous les tests de QI.

    Quant à la "forme de penser", idem, c'est très simple, la pensée occidentale est une pensée rationnelle, "cartésienne" alors que la pensée Africaine (mais pas uniquement, c'est vrai dans certains endroits en Asie) est une pensée "magique".

    En gros, pour un Européen, les choses arrivent par une chaîne de causes à effets; pour un Africain (encore une fois, en Afrique, et même éduqué), les choses arrivent parce que c'est "comme ça".

    L'un de mes amis, chef d'une très grande entreprise au Bénin (et parti de 0, donc à priori, pas plus con que vous ou moi) a une peur viscérale des sorciers...

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  49. Atrabilaire, méprisant, antimoderne, réactionnaire, misogyne, orgueilleux, las, obsédé, homophobe, raciste et...con! Vous vous connaissez bien.
    Vous carburez à quoi ?

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  50. @la pecnaude

    "Atrabilaire, méprisant, antimoderne, réactionnaire, misogyne, orgueilleux, las, obsédé, homophobe, raciste et...con! Vous vous connaissez bien. Vous carburez à quoi ?"

    Tous ces compliments s'adressent à qui ?

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  51. Allons allons, Pecnaude, en plus d'être bête comme des pieds sales, n'en rajoutez pas, vous n'êtes pas obligée de vous reconnaître dans tous les portraits que vous croisez sans les comprendre.

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  52. La Pecnaude et Sébastien Cerise:
    3 tests élémentaires de "savoir faire" sinon d'intelligence , sous nos cieux européens:
    -1) dire à qui l'on parle
    -2) reconnaître les manifestations d'humour (ou de lucidité lorsqu'il s'agit de soi-même^^)
    -3) savoir cliquer sur le nom d'un commentateur pour tenter de voir de qui il s'agit et de le suivre sur son blog.
    Il y a beaucoup d'autres éléments, mais ceux-là sont, me paraissent, élémentaires.
    Cherchez pas, je n'ai pas de blog.
    Mais j'ai plein de préférés! Y compris celui-ci.

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  53. C'est bien calme tout à coup...CERISE se serait-il étranglé en avalant le noyau ? Pour changer je vous narrerais bien l'histoire de la griotte (griot femelle) qui tournait 7 fois sa langue...mais j'aurais peur de faire remonter le niveau du débat.

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  54. En outren la pecnaude, traiter les gens de con n'a jamais fait avancer aucun schimilibilimilick.

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  55. @Carinne

    Merci des conseils.

    Il me semble que j'ai précisé à chaque fois à qui je m'adressai, sauf lorsque je m'adressai à tout le monde.

    Concernant les traits d'humour, je les accepte évidemment, mais je n'en ai pas encore vu (sauf le dernier commentaire de jazzman, hilarant, il est vrai).

    Et pour essayer de savoir à qui je m'adresse, j'ai regardé les profils de tout le monde, mais sur blogger, il n'y a parfois pas grand chose.

    Pour la lucidité, je ne suis pas certain d'avoir compris ce que vous vouliez dire...

    Enfin, chacun amène ses propres arguments et je pense que le but ici n'est pas de convaincre les autres, mais uniquement de partager nos avis...

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  56. Georges, c'est simple je n'ai pas les pieds plus sales que d'autres (sauf qu'nen venant vous lire j'ai l'impression d'avoir marhé dans ce qu'il ne fallait pas) et je ne les ai pas noirs non plus.
    Carine : à défaut de savoir-faire que vous avez sans aucun doute essayez d'apprendre le savoir-vivre en vous mèlant de ce qui vous regarde. Et n'allez pas chercer de test d'intelligence ou de QI, on vient de vous faire la démonstration que cela ne marchait sur tout le monde.

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  57. Sébastien Cerise:
    Vous ne releviez que du 3ème point.
    je sais bien que vous dites à qui vous parlez.
    Je suis totalement d'accord avec votre dernier item.

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  58. Ça repart, je me suis inquiété pour rien. Donc en parlant de magie africaine, une de mes connaissances était capable de faire disparaître un objet rien qu'en ouvrant la bouche.
    A ce moment elle ne pouvait plus dire Strasbourg,mais personne n'est parfait et on connaît leur difficulté à prononcer les consonnes.

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  59. Mais enfin, pourquoi vous tombez tous sur le dos de Sébastien ? Et puis les jeux de mots sur les noms, hein, c'est nul bande de mômes de bac à sable.
    Sébastien, si je ne me trompe pas, commente ici pour la 1ère fois et dit des choses intéressantes. Vraies ou fausses, d'accord ou pas, ce n'est pas une raison de le traiter comme ça.

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  60. Quelqu'un qui vient de traiter quelqu'un d'autre de "con" vient donner des leçons de savoir-vivre.
    C'est assez savoureux...

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  61. @Sébastien Cerise - je vous présente mes plus plates excuses pour avoir provoqué la confusion dans le petit pois de Carine....

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  62. Mais Catherine, je ne maltraite pas Sébastien!
    Je suis occupée à maltraiter la Pecnaude qui est grossière! Ne mélangeons pas tout ^^

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  63. @Carine

    OK, ça marche.

    En fait, sur blogger, je trouve qu'il n'y a pas grand chose.

    Si tout le monde apparaissait sous son vrai nom, ce serait plus facile de savoir à qui l'on parle...

    Mais je comprends tout à fait que tout le monde ne peut pas se le permettre.

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  64. Tiens, je suis d'accord avec ma femme, moi !

    (Mais qu'est-ce qui m'arrive, bon sang ?)

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  65. Carine n°1 : ) Je suppose que vous ne vous adressiez pas à moi ?

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  66. La Pecnaude
    votre neurone est en surchauffe.
    Ménagez-le, que diantre!

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  67. Sébastien Cerise : ne vous laissez pas intimider par les autres commentateurs : en général, ils sont plus calmes.

    Quoique...

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  68. Carine, je m'adressais à plusieurs commentateurs !

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  69. Catherine
    "Carine n°1 : ) Je suppose que vous ne vous adressiez pas à moi ?"
    je n'ai pas compris.
    La Pecnaude a monopolisé mon ptit pois!

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  70. Merde, ça vire au catch féminin dans le chocolat fondu, là...

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  71. @Tout le monde ;)

    Je vous rassure, je ne me sens absolument pas agressé...

    Il en faut un petit peu plus...

    Qu'on me traite de "con", je supporte...je ne ferai que 3 ou 4 séances de psychanalyse :)

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  72. les commentaires se croisent, difficile de suivre.

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  73. Mais non, sébastien, ce n'est pas vous que Pecnaude a traité de con, rhooo

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  74. Carine, "Quelqu'un qui vient de traiter quelqu'un d'autre de "con" vient donner des leçons de savoir-vivre.
    C'est assez savoureux..."
    Ça m'a fait rire, ce com venait juste derrière le mien et vous avez oublié la règle n° 1

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  75. @Carine

    Je cite (c'est plus facile pour suivre) : "Mais non, sébastien, ce n'est pas vous que Pecnaude a traité de con, rhooo"

    J'avais compris...mais parfois ça fait du bien de faire sa victime... :))

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  76. Sébastien,
    en outre, j'allais dans votre sens avec mon souvenir de Tin Piece.
    Cet esprit magique qui "portait ses fruits" m'avait bien plu.
    Ce n'est pas exportable partout. C'est même dangereux.

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  77. Catherine:
    "Ça m'a fait rire, ce com venait juste derrière le mien et vous avez oublié la règle n° 1"
    parce que je parlais à tout le monde, ou toute seule, si vous préférez.
    Et je parlais non de votre comm mais de celui de Pecnaude qui me traitait de malpolieuh.

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  78. @Carinne

    Tout à fait, et leur pensée "magique" est dangereuse pour eux-mêmes.

    Le père d'un de mes amis est mort en 2 semaines après avoir été "marabouté".

    Réalité du Vaudou Béninois ou puissance de l'auto-suggestion, je ne suis pas compétent... ?

    Mais il est clair que ça pose des problèmes, notamment dans les relations d'affaires ou c'est parfois très compliqué...

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  79. @Carine et aux autres.

    Excellente soirée à tous.

    Merci pour les échanges.

    Je reviendrai ! Si, si... ;)

    Sébastien CERISE

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  80. Ah pardon, j'ai vu la suite.
    Sébastien:
    "Réalité du Vaudou Béninois ou puissance de l'auto-suggestion, je ne suis pas compétent... ?"
    Moi non plus.
    Je sais juste qu'il se passe parfois des choses étranges aux Antilles (même françaises). Qu'on le veuille ou non, qu'on soit cartésien ou pas. Et là, je sais que Pakounta s'énerve.

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  81. Vous partez déjà Sébastien, dommage j'allais justement vous parler d'une célèbre famille de marabouts italiens, Les Borgia, qui obtenaient des succès similaires...

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  82. Pour Cerise

    Vous m'avez demandé des études.

    J'ai un peu la flemme de chercher systématiquement. Lisez déjà ça, publié en 2008 dans une grande revue médicale. Ca fourmille de références, notamment à une étude menée par des Noirs sur des étudiants noirs (pas des métis, pas dans la brousse) d'universités d'Afrique du sud :
    http://fr.calameo.com/read/000027985af7eb46544c9

    Vous pouvez aussi lire ça :
    http://www.charlesdarwinresearch.org/French.pdf

    Vous consulterez avec profit ce site :
    http://intelligence.wikeo.be/
    et vous apprendrez des choses ici :
    http://www.douance.org/qi/intelligence.htm

    Bref. Lisez un peu, sortez des bisounours.

    Et documentez-vous sur la "médecine" africaine, de nos jours :
    http://southafrica-pig.blogspot.com/2008/05/suffer-children-savagery-of-africa.html
    (ce dernier truc est en anglais, je ne suis pas parfait, je le lis).

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  83. @Jazzman

    Dommage, ce sera pour la prochaine fois ;)

    En l'occurrence, le seul poison dans le cas du père de mon ami est certainement celui qu'il a été capable de se mettre tout seul dans le crane.

    Ce sera pour un autre débat...j'ai rendez-vous avec un autre magicien empoisonneur.... mon dentiste !

    Bonne soirée à vous Jazzman et à bientôt.

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  84. Jazzman,

    Tss, tss, je vous remercie de laisser les italiens en dehors de cet épatant débat qui révèle les intelligences et les trisomiques honteux. Déjà qu'on n'a même pas commencé à parler des catholiques (je me demandais si les marabouts permettraient d'y parvenir) !

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  85. @Pakounta

    Merci pour les documents, je vais regarder tout ça.

    Je vous donnerai à peu de choses près le même conseil : lisez moins et sortez plus, l'Afrique, c'est plutôt sympa par exemple...et vous verrez que des Bisounours, il n'y en a pas beaucoup...

    Je ne suis pas d'accord avec vous mais c'est toujours agréable de débattre, donc merci.

    Bonne soirée à vous

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  86. "Bref. Lisez un peu, sortez des bisounours."

    Pauvres bisounours ! Heureusement que beaucoup d'hommes sont éjaculateurs précoces...

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  87. D'ailleurs, Jazzman, au risque de passer pour un malotru, je précise que les Borgia sont d'ascendance espagnole.

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  88. Voyez la différence de classe avec...les Médicis, mettons...

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  89. La fourchette, tout ça, pendant que les "François" mangeaient comme des gorets, avec des couteaux rouillés...

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  90. Dorham
    ce débat (qui n'en est pas un d'ailleurs)était nul, puisque vous n'en faisiez pas partie!
    Enfin vous arrivez pour relever le niveau!
    Juste quand je pars.

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  91. Dorham, c'est le gars qui débat quand tout le monde est couché, pour être tranquille.

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  92. Carine,

    J'étais en train de dormir et j'ai entendu un certain Pakounta beugler en brandissant des feuilles volantes de savants qui écrivent dans des revues ultra-importantes qui font autorité, y compris auprès de Darwin. Forcément, je me suis réveillé d'un coup et c'est comme cela à chaque fois que je me réveille brusquement, je retrouve les index de ma folle jeunesse et ils gambadent alors sur le clavier comme deux petits chiens fous.

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  93. Voilà.
    Dès demain parait mon dernier ouvrage.

    "Débat avec moi-même" aux éditions Léo Scheer.

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  94. D'ailleurs, je vais appeler Léo pour changer de titre :

    "Débat avec moi-même à l'heure où tout le monde se couche (longtemps de bonne heure)".

    (parce que j'aime les parenthèses - et aussi les tirets ; et les points-virgules)

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  95. « ce com venait juste derrière le mien »

    Catherine, bordel de dieu, on dit "après", pas "derrière", en français.

    Et puis excusez-moi, mais je ne vois pas où vous avez lu qu'on se moquait du patronyme de M. Cerise. Si c'est à moi que vous pensez, j'ai seulement dit qu'il était peut-être cousin avec les Groseille. Et alors ?

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  96. Georges, j'ai peur que ce ne soit mon histoire de griottes qui ait déplu.

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  97. C'est vrai que des cerises sauvages en plein débat sur le QI...

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  98. De toute manière un jazzman, ça ne peut que foutre la merde dans les grands débats de fond qui font mouiller la culotte des gauchistes. Quand en plus il est question du grand qiqi, on ne s'étonnera pas que vous ayez ajouté votre griotte sur le pudding.

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  99. Ah oui, Georges vous avez raison. Et non je ne parlais pas de vous, mais d'autres, je ne les nomme pas, je ne parle jamais des gens que je n'aime pas.

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  100. "De toute manière un jazzman, ça ne peut que foutre la merde dans les grands débats de fond qui font mouiller la culotte des gauchistes."

    Tiens, c'est vrai ça,
    j'imagine bien Sébastien et Pokahountas discuter avec Miles, par exemple. Espérance de vie des deux gonzes ? Deux secondes ?

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  101. @Tous

    Assez ravi que, même absent, les seuls commentaires (passionnants au demeurant) tournent autour de moi, des griottes et autres fruits estivaux... !

    Comme vous l'avez constaté, je ne me suis pas plains et je me fous totalement que vous plaisantiez autour de mon nom... ce n'est pas bien méchant...

    Et vous avez la chance de pouvoir le faire, moi pas...

    @Georges : C'est moi le gauchiste ?
    Parce que là, je pense que vous êtes le tout premier de ma vie à m'appeler "gauchiste"... ça ferait bien marrer mes proches...

    On peut être à droite - voire même très à droite - et ne pas penser que tous les noirs sont des imbéciles... non ?

    Je pense d'ailleurs qu'il y aura de nombreux sujets sur lesquels nous serons assez d'accord dans l'avenir.

    En revanche, sur celui là, je ne peux pas être d'accord, je bosse depuis plus de 10 ans avec des Africains, qui ne sont ni plus - ni moins - cons que les autres...

    Même si quand ils sont cons, c'est vrai que c'est à péter les plombs... mais c'est aussi assez vrai en France et ailleurs...

    Il semble que vous jugez beaucoup les Africains au travers de ceux qui sont en France. Et là, il est possible que nous partagions quelque avis.

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  102. @ M. Cerise
    "Il semble que vous jugez beaucoup les Africains au travers de ceux qui sont en France."

    Eh bien, je ne voudrais pas parler pour Georges, mais certaines personnes - dont moi - n'ont guère le goût de voyager, et encore moins le désir de découvrir "les splendeurs de l'Afrique mystérieuse" et "ses habitants si accueillants qui n'ont pas perdu le contact avec les choses vraies" (Ce n'est pas vous que je cite, hein, j'ai bien compris que vous n'en étiez pas à ce genre de discours).

    Mon seul contact, quotidien, avec l'Afrique et les Africains a lieu chez moi, à Paris (Château-rouge), et, ma foi, leur contribution à la vie de la Cité et à celle de mon quartier en particulier n'est pas complètement dépourvue de désagréments, et ne me donne guère envie d'en savoir plus.

    Les savoir au loin et les croiser parfois, au détour de la lecture de quelque écrivain, voilà qui m'aurait amplement suffit.

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  103. @Nicozoc

    Bonsoir Nicozoc,

    Ok, ça, je comprends tout à fait et j'adhère en grande partie.

    Je vous remercie de ne pas avoir travesti mon propos, qui n'avait rien - mais alors rien du tout - à voir avec l'immigration en France et les ÉNORMES problèmes qu'elle pose.

    La seule et unique chose que je dis est que quand un noir est con ce n'est pas parce qu'il est noir, juste parce qu'il est con...

    Je connais beaucoup de blancs bien blanc et bêtes à manger du foin...qui va dire "ils sont bêtes parce que blancs" ? Ce serait stupide... Et pourtant, vous allez dans l'Oklahoma ou dans l'Arkansas et vous rencontrerez des gens tellement bêtes qu'il serait sans doute sage de les enfermer...et en MASSE, mais qui dirait qu'ils sont cons parce que blancs... ?

    Ce qui est en revanche détestable, c'est qu'en France, il est quasi impossible de dire à un noir -ou pire d'un noir - qu'il est con...

    Et ça, c''est juste insupportable.

    Et si un de ses jours, Monsieur Goux nous fait un billet sur l'immigration, le racisme, les banlieues ou autre réjouissance du style, vous constaterez que mes propos ne sont pas du tout les mêmes.

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  104. Non, je ne vous traitais pas du tout de gauchiste, je parlais plus généralement.

    Miles, c'est Miles Davis. Encore un nègre…

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  105. @Georges

    LOL pour Miles...

    OK, j'ai cru que mes propos laissaient entendre que j'étais un adepte de "l'égalité réelle", ce qui est TRÈS loin d'être le cas..

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  106. Cher Monsieur Cerise,
    je salue votre arrivée ici, c'est animé n'est-ce-pas ?

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  107. @ M. Cerise

    Je vous remercie de votre courtoise réponse à mon insignifiant commentaire.

    Lorsque j'ai parlé de découverte de l'Afrique par le biais des écrivains, c'est parce que j'étais intimidé par la stature de notre hôte, éminent représentant du tout-Internet des Lettres.

    Moi, en fait, je ne lis que des blogs, comme tout le monde.

    Et je me demandais si celui-ci, que tenait un certain Bonaventure Pochard visiblement mal-embouché, et qui traite de ses aventures d'expatrié avait un rapport avec ce que vous-même pouvez vivre sur le continent africain.

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  108. @Emma

    Bonsoir chère Emma, merci à vous pour la bienvenue.

    Oui, très animé et j'avoue que ça me plait bien !

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  109. Emma, on ne drague pas ouvertement les Africains, ici !

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  110. "quand un noir est con ce n'est pas parce qu'il est noir, juste parce qu'il est con..."

    Et vous avez évidemment raison.
    Le problème est d'ordre statistique. Si vous prenez un groupe de 100 Noirs et 100 Blancs, d'âges comparables, prélevés aussi aléatoirement que possible, vous avez toutes chances de trouver dans le tas environ 53 débiles mentaux (QI < 70) dont 50 Noirs et 3 Blancs. Et environ 2 à 3 types de belle intelligence (QI > 130), tous les deux (ou 3) Blancs. C'est la statistique, c'est imparable.

    C'est au niveau des populations que ça se joue. Bien sûr qu'un Noir de QI 90 n'est pas plus con qu'un Blanc de même QI. Mais 90 et plus, chez les Noirs, c'est moins de 10% de la population. Chez les Blancs, c'est environ 60%...

    Et les gens qui font "tourner" une société sont des gens qui ont des QI de 120 et plus. Au moins 110. Pratiquement absents chez les Noirs. L'armée américaine impose 80 de QI pour ses recrues : près de la moitié des Noirs américains (QI moyen 85) sont exclus.

    Dans une population mélangée Noirs-Blancs, les postes à responsabilité, la direction, ne peuvent revenir qu'aux Blancs (ou très métissés de Blancs, exemple messianique récent, en pleine gadoue, d'ailleurs). D'où frustration.

    Ca ne fonctionne pas ensemble. Et les Noirs n'ont pas assez de gens intelligents pour inventer la dynamo, l'essuie-glaces ou l'avion à réaction. Ni la brouette ou le taille-crayon. Leurs sociétés ne fonctionnent pas, purement et simplement, et vous, Cerise, qui êtes allé risquer le palu, vous le savez : tout ça ne tient debout que grâce à des aides massives. Seuls, ils s'écroulent. En 20 ans, ils ont définitivement ruiné la Rhodésie. L'Afrique du sud est en bonne voie. Haïti a montré le chemin avec 200 ans d'avance.

    Et vous le savez très bien. Mais c'est pas moral de le dire. S'pas ?

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  111. Et à part ça, Pakounta, ça fait longtemps que vous ne nous avez pas montré de beaux tabliers de sapeur !

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  112. J'allais vous le dire, Georges, ça fait un moment que je ne suis pas passé chez vous (il y a eu une éclipse, ou je me trompe fort). Faut que je voie si vous en avez exposé d'autres, avec un joli texte comme vous aviez fait une fois...
    Je n'abandonne pas le combat. Mais je regarde moins les sources (Ilys, French Carcan) qui m'avaient bien inspiré...
    Ca reviendra. L'automne est maussade.

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  113. @Nicozoc

    Non, manifestement, je me suis beaucoup plus amusé que lui...

    Mais j'ai aussi passé des moments à chier avec des gens absolument inintéressants et plus bêtes qu'un pied plat. (les pieds plats sont-ils vraiment aussi bêtes qu'on le dit, vaste débat... )

    @Pakounta

    En fait, on est assez d'accord.

    Je ne remets pas en cause ce que vous dites. Je remets juste en cause les méthodes de comparaisons, qui, à mon sens, ne sont pas pertinentes.

    Juste un tout petit exemple : un blanc -génie absolu - qui n'a jamais mis un pied à l'école aura un QI d'huitre, malgré son génie.

    Pour ce qui est des noirs-Américains, je pense que le problème est ailleurs et très différent des Africains en Afrique.

    Pour la Rhodésie, l'Afrique du Sud, mais on pourrait étendre ça à la quasi-totalité des anciennes colonies, vous avez entièrement raison. Pour le coup, débat vraiment long qui me fait chier d'avance à l'écrit.

    Je pense que le débat est trop large et que le fait qu'on ne puisse pas interagir en direct le fausse.

    Ça me plairait d'aller plus loin, mais à l'écrit, c'est vraiment limité.

    Enfin, et vous le constaterez sans doute dans de prochains articles, la morale, je m'assoie dessus.

    Je peux seulement vous raconter ce que j'ai vécu dans plusieurs endroits de la planète.

    Mon analyse n'est pas une analyse statistique, mais un pur partage d'expériences.

    Je vous souhaite une excellente soirée, car si je ne passe pas un peu de temps auprès de ma femme, elle va me flinguer je crois...

    A bientôt,
    Sébastien

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  114. Pakounta, je fais ce que je peux, mais à chaque fois que je me laisse aller à des petits plaisirs bien innocents, je reçois des volées d'invectives de toutes parts. On a même menacer un jour de me "dénoncer aux services sociaux". (Bien sûr, j'ai pensé à Suzon…)

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  115. Miles, un nègre, oui, et le comble pour un trompettiste, plutôt mal embouché !

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  116. J'ai bien connu la rue Lauriston, autrefois. C'est même là que j'ai couché avec ma première petite amie américaine.

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  117. Cerise :

    "un blanc -génie absolu - qui n'a jamais mis un pied à l'école aura un QI d'huitre,"

    Justement, non. Je me rappelle très bien le cas, il y a une trente-quarantaine d'années, d'un jeune homme, berger perdu dans ses montagnes, je crois, qui avait à peine été à l'école et dont les tests (à l'entrée à l'armée ? Je ne me souviens plus) avaient montré qu'il avait un QI extrêmement élevé. Il avait bénéficié d'un suivi et d'une formation accélérée et avait fait, si mes souvenirs sont exacts, l'école centrale de Lyon, pour devenir un très bon ingénieur.

    Le QI n'a absolument rien à voir avec la formation. Il existe des tests "indépendants de la culture", tout ça est bien plus élaboré que vous ne semblez le croire. Lisez - rapidement - les références que je vous ai indiquées, vous verrez.

    Et le fait est - vous le lirez - que plus un test est dépendant de la culture plus la différence Africains-Européens s'estompe (elle persiste néanmoins). Ce qui est essentiel, c'est le facteur "g", qui apprécie l'intelligence générale, la capacité à comprendre. Plus un test mesure g plus les Africains traînent derrière les Européens (et plus les Asiatiques sont devant).

    Quant aux Noirs américains, le problème n'est pas ailleurs, et pas différent. Ils traînent en queue de peloton, et pour les mêmes raisons. On est obligé de baisser le niveau des tests, de biaiser par discrimination positive, pour les intégrer dans les circuits des Blancs, en excluant évidemment des Blancs plus aptes et ainsi injustement écartés. Les exemples sont innombrables.

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  118. A propos du gentil Miles Davis, il a déclaré :

    « If somebody told me I had only one hour to live, I’d spend it choking a white man. I’d do it nice and slow [sic]. » (Lubinskas, J., "Expressions of Ethnic Animosity", Front Page Magazine, 24 nov. 1999)

    Pour les non-anglophones :
    « Si quelqu’un me disait qu’il me reste une heure à vivre, je la passerais à étrangler un Blanc. Je le ferais très lentement »

    La cohabitation promet d'être rude.

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  119. 132 commentaires ? Fichtre ! Monsieur Cerise, je crois qu'effort a été fait pour fêter dignement votre arrivée sur ce blog qui, je m'en rends compte, fonctionne très bien en l'absence de son président-fondateur.

    Évidemment, une fois de plus dépassé par les événements, je perds le courage de répondre à chacun.

    Sauf ceci, pour Georges : étant donné que je vais virer les deux commentaires malsonnants (dont je crois savoir à peu près d'où ils viennent), je vais également ôter le vôtre qui y fait allusion, car, isolé, il ne voudra plus rien dire.

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  120. A propos de Miles Davis, renseignez-vous mieux. Miles était un grand provocateur.

    Il fut surtout le musicien de jazz noir le plus disposé à jouer avec des musiciens blancs : Gerry Mulligan, Bill Evans, Zawinul et bien sûr, l'immense arrangeur Gil Evans. (liste évidemment non exhaustive). Ce qu'on ne manquait jamais de lui reprocher.

    Quand on ne sait pas, on se tait.

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  121. Et quand on sait à moitié, Dorham, on fait quoi ?

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  122. Georges, là, on peut parler. Jusqu'à ce qu'un interlocuteur vous ramène à la raison. Puis on s'incline si on est de bonne foi, on sort les bourre-pifs si on est de mauvaise foi.

    En tout état de cause, cette musique et les musiciens qui l'ont fait et la font ne sont pas à mettre entre toutes les mains.

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  123. "Miles était un grand provocateur"

    Et parce qu'il est noir, on trouve très bien qu'il dise des trucs comme ça ? Pas d'émeutes, rien ?

    Quand Guerlain remarque, en incidente, que les Noirs n'ont jamais beaucoup travaillé, la presse en est inondée pendant des semaines, la rue manifeste, la réprobation est unanime...

    Deux poids, deux mesures ?

    Quand on est intellectuellement malhonnête, on se tait.

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  124. Pakounta pourrait aussi nous ressortir une anthologie des violences conjugales dans laquelle Miles figure sans doute en bonne place.

    Non, Davis n'était pas un chic type, c'était même un enculé de première. Mais on s'en fout, parce qu'il fut Miles et que ça suffit amplement.

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  125. Pakounta,

    On ne trouve ça ni bien ni mal, on s'en fout. Complètement.

    Et je me fous de Guerlain aussi, même un peu plus d'ailleurs, parce que Guerlain n'a pas la chance d'être quelqu'un d'important. Il est personne.

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  126. "On a même menacer un jour de me "dénoncer aux services sociaux". (Bien sûr, j'ai pensé à Suzon…)"

    Hou hou, Georges, mais non mais non. Vous devez confondre avec une abominable maman que vous aurez choquée quand vous parliez des distractions de Polanski ou quelque chose du même tonneau.
    (vilain menteur, va!)

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  127. Par contre, je vous menace d'une dénonciation à l'Académie française si vous ne révisez pas le passé composé des verbes du premier groupe. (Vous si tatillon!)

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  128. Bonjour à tous,

    @Pakounta

    Je crois qu'on ne se mettra pas d'accord, car sur ce coup, nous avons un différent fondamental.

    Cependant, je suis absolument d'accord avec plusieurs de vos interventions, à 100% pour certaines.

    J'ai lu ce que vous m'avez envoyé et je reconnais que c'est troublant. Comme le sujet m'intéresse (et que ce que vous m'avez envoyé contredit ce que j'ai vu de mes yeux vu), je vais creuser le sujet.

    Si vous avez envie d'en discuter en privé, mon mail n'est pas difficile à trouver, car Sébastien CERISE est mon vrai nom.

    Concernant les interventions des uns et des autres (Miles, Guerlain,...), je suis pour une liberté d'expression sans limite, donc ça me va bien.

    @Didier Goux (et à tous les autres)

    Oui, c'est un accueil que je n'oublierai pas... :)

    Et je reviendrai, mais pas avant lundi, car je dois faire un petit voyage pour mon travail.

    Je vous souhaite un excellent week-end à tous et très certainement à lundi.

    Sébastien CERISE

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  129. Laissez tomber (si je puis me permettre), Pakounta. Discuter avec Dorham est comme pisser dans un violon en forme de poire. Il sait, Dorham, il sait, il fait partie de ses demi-intelligents (comme sa copine Suzon) qui déprécient tout ce dont ils parlent. Ils se sont arrêtés à mi-pente, et ils sont très satisfaits de leur petite grimpette ; ils ont l'impression d'avoir de là où ils se trouvent un panorama à nul autre pareil. On les reconnaît de loin à leurs brodequins à clous et à leurs lunettes de soleil, mais aussi et surtout à un ton, à une posture inimitable qu'il ne faut surtout pas leur disputer.

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  130. "Ils se sont arrêtés à mi-pente, et ils sont très satisfaits de leur petite grimpette"
    Ah, Georges, mais si tout en haut de cette colline que vous prenez pour l'Olympe c'est vous qu'on trouve, irradiant de vraie culture et de vraie intelligence, c'est normal qu'on se soit arrêté à mi-pente!

    Demi-intelligent... Vous êtes encore trop bon, monseigneur, et loin du compte. (Dieu que le blogage rend con...)

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  131. Georges,

    Vous, vous êtes un semi-remorque sans chauffeur dans une pente sur une petite route entre Bastia et Corte.

    Je suis sûr que vous avez des symphonies-samples qui vous attendent.

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  132. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  133. Le texte mis en lien par Georges sent à plein nez le texte de midinette. Il y a ce passage où Nabe se prend pour un "initié-be-bop" qui donne franchement envie d'éclater de rire.

    Ah, et j'ajoute que c'est la came (pour être exact, les sevrages-rechutes) qui file la chiasse ! Mais si ça vous plait, vous avez bien le droit.

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  134. Vous démontrez à merveille ce que je dis de vous plus haut, Dorham. C'en est même troublant, Suzon va encore penser que Dorham n'est qu'une créature de Georges.

    Si vous aviez ne serait-ce que le quart de la culture jazzistique de Nabe, nous aurions au moins un sujet de conversation.

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  135. @ Didier,
    quel(le) imbécile de sale race s'amuse à pirater mon pseudo d'enfer... ?

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  136. je m'explique : c'est quelqu'un qui a répondu à Georges, c'est désagréable.

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  137. La "culture jazzistique"... Vous me faites vraiment marrer. Les petits fanés qui gribouillaient dans les revues ché-bran que Trane faisait de l'anti-jazz avaient 10 fois votre "culture jazzistique" à vous comme à Nabe.

    Relisons ensemble cette phrase de poseur bidon :

    "À un moment, assis en train de griffonner sur son grand cahier à dessin, Miles me pose une question métaphysique : « Mark, where are we ? » Comme je sens qu'il n'attend pas que je lui dise « à Nancy » ou même « en France », je lui réponds : « Out of nowhere ! »"

    Pffff, mais vous plaisantez... Même Gerber fait mieux quand il écrit sur Miles.

    Nabe...

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  138. Ah, Zut. Déjà que Dorham et moi ne sommes qu'à demi intelligents, voilà que Dorham n'a pas le quart de la culture jazzistique de N. On est dans les fractions, et dans le hachoir du culturomètre. (garanti étalonné par Georges et sa Grande Toise de la Culture Française d'avant 1945)

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  139. Suzanne,

    Mais c'est fort possible que Nabe soit une encyclopédie, qu'est-ce que ça peut bien me foutre, son texte est quand même empesé, un peu niais, même pas empreint d'humour. C'est un texte "fan de..."

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  140. Dorham : « La "culture jazzistique"... Vous me faites vraiment marrer. Les petits fanés qui gribouillaient dans les revues ché-bran que Trane faisait de l'anti-jazz avaient 10 fois votre "culture jazzistique" à vous comme à Nabe. »

    Dorham toujours : « Mais c'est fort possible que Nabe soit une encyclopédie, qu'est-ce que ça peut bien me foutre »


    Mon pauvre, vous ne savez vraiment plus où donner de la tête, hein. Cette agressivité dès qu'on fait mine de vous contester le semblant de vernis culturel et intellectuel que vous distillez ici sans jamais entrer dans le vif du (d'un) sujet car vous en seriez tout à fait incapable est tout de même tordante.

    Vous parlez de Nabe sans en avoir jamais lu plus que le passage que je cite sur mon blog, sans doute, mais vous vous sentez bien entendu (Dorham oblige) autorisé à parler de sa culture jazzistique pour la ridiculiser, laissant voir au passage (comme ça, l'air de rien) que vous avez lu (quoi, deux articles ?) d'Alain Gerber, et que vous connaissez le nom (!) de John Coltrane ! Wow ! Vous êtes vraiment pathétique mon pauvre garçon, et ce n'est pas votre Suzon rempart sympa qui va pondérer l'impression que vous me donnez. Je ne vous ai jamais aimé, j'ai toujours trouvé que vous pontifiiez à peu de frais, et que les airs savants que vous vous donniez n'étaient qu'une pose sans consistance. Pour moi vous êtes l'archétype du blogueur , mais d'un blogueur un peu avare et beau parleur, qui ne se mouille pas, qui avance masqué et confit dans jus.

    Quant à vous, pauvre pauvre Suzon, vous êtes triste comme la pluie. « Georges et la culture française d'avant 1945 », comme c'est beau, subtil et élégant, cette allusion. Mais il est vrai que vous m'avez habitué à pire, je ne sais même pas pourquoi je relève. Votre bassesse est très intéressante à reluquer, et l'on se demande vraiment quelle physionomie va avec de telles attitudes. Si vous avez une photo, on est preneur.

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  141. Un dernier mot avant de vous laisser entre vous, bien au chaud.

    Je ne me considère certainement pas (Didier pourrait vous l'expliquer, si vraiment ça vous intéressait) comme quelqu'un de cultivé ou d'intelligent. Je ne suis certainement pas en haut de l'Olympe dont Suzanne se gausse à peu de frais, ni même d'une quelconque colline. Je me suis toujours considéré comme étant en bas, tout en bas, et comme ayant à gravir lentement et péniblement la pente. La différence avec vous, c'est que j'essaie, et que je suis tenace.

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  142. Georges,

    Je ne vous ai jamais aimé non plus. Evidemment. Mais on s'en fout un peu, je ne vais pas gaspiller plus de lignes pour vous brosser le portrait.

    Non seulement, j'ai lu des articles de Gerber, mais je l'ai écouté, et ai même lu ses romans, dont celui sur Miles. Je ne les tiens pas pour de grands romans, mais je les trouve honnêtes. Ce que je reproche à Gerber est en fait tout simple. Cet homme, comme ceux qui tentent le même exercice que lui, ne pourront jamais vraiment se mettre dans la peau d'un jazzman et ressentir ce qu'il a vécu dans les années 40 pour être bref.

    Je trouve particulièrement gouteux que vous nous fassiez soudainement le coup de l'humble "non-sachant" en quête de vérité. Cette posture toute socratique ne vous va pas du tout au teint, pour la simple et bonne raison que vous êtes incapable de mettre en pratique ce que vous décrivez de votre personne et que vous préjugez de la culture de tous ceux qui vous entourent - y compris ceux que vous ne connaissez pas. On attend de la voir en somme, votre humilité de bazar !

    En poseur, je vais donc poser. Non seulement je connais Coltrane mais je pourrais passer la nuit à vous parler de jazzmen moins cotés sur le marché des "épris de culture jazzistique" : Von Freeman, Franck Wess, Jackie McLean, Stanley Turrentine ou Jr Monterose. Les épris de culture jazz qui n'ont que les noms de Miles et de Billie Holiday à la bouche me font rire.

    Laissez-moi exactement vous dire ce que je pense. Je suis bien plus humble que vous ne le dites et j'écoute volontiers ceux qui savent, dès lors qu'ils ont quelque chose à m'apprendre*. Le jazz est une musique hors-norme que j'écoute depuis que j'ai à peu près 5 ans. Je sais, près de 30 ans plus tard que la connaissance empirique de cette musique est impossible. Aussi, la quantifier est en soi une sottise - fondatrice dans votre cas il me semble.

    * D'autant plus qu'il m'arrive bien souvent d'avoir la chance de tailler le bout de gras avec des musiciens, dont certains ont fait ou font l'Histoire de cette musique.

    PS pour Suzanne - Par pitié, ne faites pas rempart sympa de votre corps, je me fous totalement de ce que Georges pense de moi et lui rend l'impression qu'il me tend.

    Affectueusement vôtre,

    D.

    (D., ça fait poseur à mort !!!)

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  143. Alors là je vais mettre tout le monde d'accord, parce qu'il est impossible de trouver plus humble que moi et si je m'abstiens de vous écraser tous sous le poids de mon imposante culture jazzistique, c'est uniquement pour ne pas provoquer l'engorgement du serveur de blogger.com
    NB: Si,si Suzanne faites rempart de votre corps et amenez des copines, parce que je n'ai pas encore parlé de mes impressionnantes capacités sexuelles, mais je vous assure que cela fait presque peur...

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  144. Je n'ai aucune culture jazzistique, mais j'ai lu "l'âme de Billie Holliday", de Nabe, et j'ai trouvé ça bien. Georges, j'espère que vous ne souffrez pas trop de ces engueulades, tout de même. Pourquoi bloguez-vous, au fait ? Encore des méchancetés sur le physique ? Mais c'est très bas, et très méchant, ça, mon p'tit Georges. Indigne d'un catholique intégriste, même non croyant. Bon, allez, je vous pardonne tout, portez-vous bien.
    Jazzman: quelle pêche!

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  145. Qu'elles pèchent. Je vous avais pourtant dit d'amener du renfort !

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  146. Merci quand même, c'est l'intention qui compte...

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  147. Jazzman,

    Je l'ai tout de suite senti que vous aviez l'humilité d'un bonsaï...

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  148. @ Dorham
    "je pourrais passer la nuit à vous parler de jazzmen moins cotés sur le marché des "épris de culture jazzistique" :

    (…) Douglas Mc Pounteafian, John M. Leapett, Cormack A. Keats, Penelope Stormwick, J. A. DeTunque, Monte Moladszu, Ricardo Cronado...

    Pas sûr que le cher Dorham, demi-savant, connaisse les noms que je viens de citer, pourtant ceux des génies méconnus du "vrai" jazz...

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  149. Quand Pannonica a demandé à Miles de lui dire ses 3 vœux , il n'en a dit qu' un : " Be white" ... Je vous laisse réfléchir ....

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  150. Quand je tirais les câbles TV au Festival de Jazz de Montreux dans les années 80, Miles me cria son vœu depuis la scène : " Be quiet" ... Je vous laisse réfléchir....comme quoi les journalistes déforment souvent les déclarations historiques...

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  151. Sinon le Jazzman encore vivant dont j'ai le plus de disques (une quinzaine), c'est Carla Bley. Zut encore une gonzesse.

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  152. Si vous n'avez jamais écouté Musique Mécanique sur un vrai tourne-disque, il vous manque une expérience dans la vie.

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  153. Mais son meilleur disque, c'est peut-être The Band et en concert elle se contente souvent de diriger à la baguette, oui comme les fées du logis...argh...

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  154. Jazzman,

    Vous le faites exprès ! Avouez ! C'est juste parce qu'elle vous fait de l'effet - ça me fait la même chose avec la jeune Sophie Alour ! Un effet boeuf, même.

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  155. "Sinon le Jazzman encore vivant dont j'ai le plus de disques (une quinzaine), c'est Carla Bley. Zut encore une gonzesse."

    Alors que...
    Sonny Rollins est encore vivant ?

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  156. Tiens, c'est amusant d'ailleurs. Pourquoi les "spécialistes" parlent tout le temps de Miles, de Trane, et quasiment jamais de Rollins ? C'est trop noir peut-être ? Trop dévalué du Q.I. ?

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  157. J'ai aussi vu Sonny Rollins à Montreux et le morceau que je préfère de lui, c'est Sankt Thomas. Mais ce n'est de loin pas mon Jazzman préféré, ni même mon saxo préféré (Charlie Rouse peut-être ou Lester Young...Coltrane..?). Pour moi le plus grand est Thelonious Monk, ensuite j'hésite: Mingus, Mal Waldron, Horace Silver, Hancock c'est un peu biaisé puisque je suis pianiste. J'ai beaucoup aimé Gillespie, Lester Bowie...il y en a tant. Mais j'adore vraiment Carla Bley alors que son pianiste d'ex-mari me gonfle.

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  158. Je me demande si les commentateurs ne font pas du hors sujet, ici.

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  159. Et Petrucciani-Charles Lloyd...Le Big Band de Count Basie (que j'ai vu juste avant sa mort)...Ray Charles...les boogie-woogie de Jacques Higelin...sans rire.

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  160. @Nicolas
    Non, pas vraiment, on parlait des noirs et là on fait du hors-piste comme les djeuns.

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  161. Mais à part ça je tiens Mozart pour le premier bluesman de l'histoire (début du Concerto 21 K467 II, par exemple)

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  162. Jazzman,

    Sonny Rollins, c'est pourtant le son le plus ample. Le plus maitrisé. A entendre en trio surtout. C'est peut-être la dernière légende vivante, depuis que Johnny Griffin est mort. Il reste Archie Shepp aussi...

    Je ne veux pas faire mon pro-Rollins mais je me demande (humblement) si vous avez écouté ce disque : "Cutting the edge". Sûrement. On y entend parfaitement ce que je dis de son "son". Sur "A house is not a home" par exemple.

    "Le Big Band de Count Basie (que j'ai vu juste avant sa mort)..."

    Vous devez aimer la "Bataille Royale" entre les big bands de Basie et de Duke, la rencontre entre les crasseux et les élégants sophistiqués. Sur "Wild Man", c'est extraordinaire, vraiment.

    (sinon, vous avez raison, cette musique n'a ni alpha ni omega, c'est un foutu labyrinthe).

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  163. Jazzman,

    Mes connaissances en musique classique sont proches du vide absolu. Je m'y suis pris trop tard, je crois. J'essaie mais je resterai toujours à la lisisère. Etranger à tout cela.

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  164. Je pourrais vous parler des heures des perception musicales, mais en bref, si vous n'avez jamais joué d'un instrument (ou d'un similaire) vous ne l'entendez pas vraiment. Vous le croyez seulement.
    Je n'ai fait qu'une demi-heure de batterie dans ma vie, mais il y a avant et après...
    Et je parlais de musique, pas de son.

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  165. Un jour j'ai fait 100 km pour écouter Archie Shepp, et je me suis rarement fait aussi chier à un concert. Difficile à oublier.

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  166. "Je pourrais vous parler des heures des perception musicales, mais en bref, si vous n'avez jamais joué d'un instrument (ou d'un similaire) vous ne l'entendez pas vraiment."

    En fait,
    je joue de plusieurs instruments. De la batterie depuis l'âge de 15 ans. Et basse + contrebasse depuis l'âge de 20. Je souffle un peu aussi, mais très mal.

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  167. Le son est pourtant important, surtout pour un type qui souffle, mais bon... Un mec comme Mobley a traversé toute sa carrière comme un zombie parce qu'il avait un souffle de moineau atrophié.

    On en a l'illustration sur un disque de Miles : "Someday My Prince will come". Coltrane, qui n'était pas prévu pour cette session et qui passait par là a joué en compagnie du quintet. Mobley faisait déjà des complexes. Il n'en fit que davantage. Dans son autobio, Miles lui taille d'ailleurs des jambières à ce pauvre Hank.

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  168. Tout est important et rien n'est important. Pour tout dire je fais une différence entre les musiciens et les joueurs d'instrument, et je ne suis pas sûr d'être musicien. Mais je sais, je ressens, que les deux catégories existent, c'est déjà ça.
    Evidemment si vous classez la batterie parmi les instruments. Je plaisante puisque j'ai un très fort souvenir du Big Band de Gil Evans. Quoique.
    Vous jouez de la contrebasse, je vous parle de Mingus et vous insistez avec Rollins, ça m'inquiète.
    Est-ce que vous savez quelle est votre oreille qui écoute et celle qui entend ?
    Gauche ou droite ? Ce n'est pas important, naturellement, mais tout est important...

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  169. Jazzman,

    Vous êtes le roi de la distinction (pardon, ici, il faut dire discrimination). Bien sûr que j'insiste pour Rollins. A mort, à 200 % ! A le déprécier, vous perdez vos qualités de bonsaï.

    Quant à Mingus...et bien Mingus m'évoque d'abord le souvenir d'un ami cher, aujourd'hui disparu. Donc, Mingus, je le garde à part.

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  170. Je ne le déprécie pas, son concert à Montreux était époustouflant, d'autant qu'il passait après Mongo Santamaria qui avait joué un Watermelon Man (Hancock) à faire tomber les chaussettes. Mais il n'est que Sonny Rollins, même si ça vous défrise. Et si Mingus était un de vos amis très cher, vous devriez comprendre ce que je veux dire.

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  171. Dorham, tous vos derniers commentaires me confirment dans l'impression que vous me faites depuis que je vous lis : vous êtes un vrai con, ce qu'on appelait dans mon jeune temps un bourrin. Je ne perdrais plus de temps à vous répondre, car c'est un puits sans fond. Il ne m'étonne absolument pas que vous soyez insensible à ce que vous appelez "la musique classique", votre forme d'esprit vous l'interdit — et vous l'interdira toujours — à l'évidence.

    Suzanne, vous ne comprenez décidément rien à rien. Oui, l'aspect physique d'un individu a une grande importance, ne vous en déplaise. Plus j'avance en âge plus se confirme qu'on lit sur le visage des hommes presqu'à livre ouvert.

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  172. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  173. Georges: je ne suis pas de votre avis. Certaines personnes ont un physique ingrat; il y a des enfants laids. Et puis, il y a l'âge, ceux qui vieillissent bien, et les autres non. Et il y a les laids qu'on aime et qu'on trouve beaux, ou dont on se fiche de la laideur. Vous et moi nous accusons tour à tour de bassesse. Vous n'êtes pas lassé? Moi si, un peu. Voilà maintenant que je suis laide. Seriez-vous beau comme Brando ou laid comme, je ne sais pas, Michel Simon, que pour ma part ça ne changerait rien à nos papotages, qui ne sont pas importants, pas du tout. Vous disiez déjà cela à d'autres blogueurs, qu'ils portaient leur vulgarité et leur beaufitude sur leur visage, etc. Personnes que vous aimez bien maintenant. Ont-ils pour autant changé de traits, ou vous de méthode de lecture ? Non, n'est-ce pas!
    Je ne sais même pas pourquoi je m'engueule avec vous, pourquoi j'écris ces mots. Vous me trouvez à demi intelligente, au quart cultivée, et aux dix dixièmes antipathique. Mon Dieu, continuez à me dire cela si vous voulez. Je ne suis pas loin d'être d'accord avec vous. Je suis peu intelligente, en effet, juste assez pour me rendre compte de la chance que j'ai quand des gens qui le sont davantage discutent avec moi. Peu cultivée, bah oui, et surtout n'ayant aucune envie d'en remontrer à quiconque. Et puis ?
    Ce que vous écrivez sur les blogs y reste.

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  174. Je réfléchis : est-ce bien sensé de vous répondre ? Est-ce bien raisonnable de converser avec les dingos ?

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  175. La beauté des laids,
    se voit sans délai.
    (Gainsbourg)

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  176. "converser avec les dingos"

    Non, pour un kangourou, ce n'est pas raisonnable.

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  177. Elle est bonne, mais je trouve qu'en écrivant Kant-gourou elle serait encore meilleure..?

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  178. Saxophones: Géraldine Laurent, Christophe Monniot, Pierre Olivier Govin, Stéphane Guillaume , Gourgui, Steve Coleman, Coleman Hawkins, Stan Getz(!) Ornette Coleman ... Kwâ ? Pas Sonny Rawlings (SIC) ... Nooon

    Ooooops le Big Band de Gil Evans? Antoine? Laurent ? ;-)

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  179. Vous ne comprenez pas, Suzanne. Je ne parle pas de beauté ni de laideur. Je parle d'un physique qui parle. Oui, vous faites partie — ici, pour moi — des demi-intelligents avec lesquels j'ai beaucoup plus de mal à parler ou à m'entendre qu'avec des gens moins intelligents, moins cultivés, mais qui me sont moins antipathiques, quand ils ne me sont pas tout à fait sympathiques. C'est comme ça. Il est parfaitement inutile de continuer à en discuter. (Ce qu'on appelle les demi-intelligents sont ces gens qui rabattent ce dont ils parlent à quelque chose dont on ne peut pas avoir envie, que l'on ne désire pas connaître, même quand l'objet de la discussion est passionnant. Quand Dorham parle de la catholicité (c'est un exemple), je ne sens plus du tout catholique, vous voyez ?)

    Dorham, non, je vous en prie, je vous en supplie, ne me répondez pas, ne discutez pas avec un dingo, je vous donne parfaitement raison, c'est tout à fait inutile. Et ce serait en outre dommage de parler tout seul.

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  180. "Mais il n'est que Sonny Rollins, même si ça vous défrise. "

    Vous devez avoir mangé du peyotl, Jazzman ! Faut recracher après usage...

    ---

    Geargies,

    Olivier Temime ?

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  181. Georges,

    Primo, faites-vous une raison, vous n'êtes pas catholique.

    Deuxio, c'est vous qui ne deviez plus répondre, faites preuve d'un peu de constance, ne faites pas l'enfant.

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  182. Je voulais parler du Big Band de Buddy Rich et j'ai confondu avec l'arrangeur...tous les éléphants peuvent se tromper.

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  183. On va faire simple Dorham: vous continuez à écouter Rollins et moi Mingus. Et on en reparle si vous allez en enfer, parce que moi je sais déjà que je m'ennuierais au paradis (sauf Vanessa bien entendu).

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  184. Jazzman,

    Je vais surtout continuer d'écouter les deux.

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  185. Oui! Temime.. et Emile Parisien...

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  186. Pierrick Pedron. Un bon, alto. Un bon gars en plus !

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  187. Mozart K467 pour la bonasse au piano.
    Carla Bley pour le solo de batterie, yurk yurk.

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  188. Bon je ne résiste pas au plaisir de faire le comment n* 200 ... Donc Escalator on the hill, et on en parle plus.. Jazzman on n'est pas entre mecs ici, essayez d' élever un peu votre pensée...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.