lundi 30 septembre 2013

Pourquoi avons-nous perdu cette saine habitude de tuer nos maîtres ?


Sous nos latitudes (ailleurs, on semble ne pas s'en priver), on ne tue presque plus de chefs d'État, ni de ministres, ni même de raclures socio-culturelles. On pourrait quand même se demander pourquoi. L'assassinat du roi – justifié ou non –, coup de poignard dans le ventre, s'est longtemps pratiqué, et l'histoire ne s'en est pas plus mal portée, il me semble. C'était parfois à tort (l'être humain est faillible), parfois à raison ; en tout cas c'était fait, et on passait à autre chose, ça mettait de l'animation. Il me semble qu'on devrait réhabiliter l'assassinat politique, au moins parce que ça fournirait du “papier” aux journalistes. Par exemple, il conviendrait d'être lucide, raisonnable, froid dans l'analyse, et de ne pas tirer à tort et à travers : ne tuons pas pas n'importe qui, de grâce !

Ainsi, coller une balle dans la tête de l'actuel président de la République ne servirait à rien – et donc, je vous en dissuade, mes frères bouillonnants : il est si mou, si inconsistant, si rien, qu'on nous trouverait dans l'heure douze remplaçants à la hauteur.  On me répondra qu'il est tout de même, de par sa provisoire fonction, nuisible ; certes. Mais il faut viser l'efficacité avant tout.

Tuer M. Valls serait déjà plus intelligent, évidemment ; d'abord parce qu'il a l'ambition d'être notre prochain fossoyeur, et qu'un certain nombre de Français ne voient pas en lui le pelleteur qu'il est. Exploser la tête de M. Hamon s'impose, simplement parce qu'il s'exprime dans une langue répugnante : ça ne servira à rien, mais quel soulagement !

Démonter les viscères des filles du gouvernement actuel serait inutile : Mmes Duflot, Filipetti, Bertinotti, Belkacem, et les autres dont j'ai oublié le nom, sont tellement sottes, visiblement mal dans leur peau, à moitié folles, en voie de néantisation prochaine, que ce serait gaspiller son coup de machette : laissons-les s'anéantiser toutes seules, ce ne sera pas long.

On peut aussi avoir envie de tuer un certain nombre de stars médiatico-biznetiques, c'est humain. Un Askolovitch, ce Juif tremblant de trouille et agenouillé devant ses futurs bourreaux  ; les Béart, les Binoche, les Balasko, les Torreton, et autres racailles intermittentes sans talent particulier qui ont trouvé comment faire parler d'eux et se faire inviter chez Ruquier. Ruquier lui-même, tiens : homo quasi officiel de la République télévisuelle, multipliant les révérences à ceux qui, ailleurs, à quelques centaines de kilomètres d'ici, pendent les sodomites comme on se cure le nez.

Oh ! on se sent impuissant et débordé : les noms affluent en si grand nombre, le sang coulerait trop. Mais tout de même : le plaisir rare de voir se répandre les boyaux de tous ces sociologues autoproclamés, dont on ne citera pas les noms que personne ne connaît, hein ? Le bonheur calme et tranquille de voir un Matthieu Kassowitz crever d'un cancer bien douloureux ? Yannick Noah d'une fistule large et purulente ? Hein ? Jamel Debbouze en villégiature chez son grand ami, le roi du Maroc, ce démocrate que rien ne fatigue, se faire décapiter par de vrais musulmans sous prétexte qu'il aurait bu deux ou trois bouteilles de vin (français) avant de violer plus ou moins la femme de ménage, comme un quelconque DSK de souche ?

Et puis, tiens, revenons à nos chers hommes politiques. On ne dira pas qu'on souhaiterait voir crever la Taubira, parce qu'on risquerait de se voir accuser de racisme ; et ça, putain d'Adèle, c'est vachement grave. C'est même ce qu'il y a de plus grave, de la vie du monde.

Le racisme, il n'y a pas pis, plus important, plus essentiel dans le monde d'aujourd'hui : tous les blogueurs de gauche vous le diront, c'est donc que ça doit être vrai car jamais un blogueur de gauche ne se trompe.

Eh bien, je vais avouer une chose immonde, ignoble, nauséabonde : je me fous absolument du “racisme”. Je ne comprends même pas trop ce que c'est, à l'heure actuelle où ce mot s'est glissé dans toutes les gamelles, s'est mis à toutes sauces, y compris les moins mangeables. Mais même dans son sens originel, le seul qui compte, au fond, le racisme ne me gêne pas : quelle importance y a-t-il à ce qu'une personne pense que les noirs soient inférieurs (moins intelligents, moins ceci, moins cela) aux blancs ? Ou les jaunes supérieurs aux blancs ? Ou autre chose, d'autres combinaisons ? Pourquoi n'aurait-on pas le droit de penser cela ? Ou l'inverse ? Admettons que je considère, par exemple, les noirs globalement inférieurs à moi, et les asiatiques globalement supérieurs à moi, en quoi est-ce que cela impliquerait des violences, des massacres ?

Je pense que mes chiens, ces trois que j'aime et qui dorment en ce moment à mes pieds, sont moins intelligents que moi (du reste, il se peut que je me trompe…) : est-ce du caniracisme ?

J'en ai assez. Vraiment assez, de tous ces imbéciles soi-disant progressistes qui sautent sur leur chaise, comme disait de Gaulle à propos d'autre chose, en criant : racisme ! racisme ! et n'ont évidemment rien à dire de plus intelligent que cela.

Tiens, puisqu'il était question, au départ de ce billet, de ceux à qui on mettrait bien une balle dans la tête, eh bien…

Non, finalement, ce serait leur accorder trop d'attention, dépenser pour eux trop de fatigue. Laissons tomber et descendons d'un cœur léger aux catacombes.

62 commentaires:

  1. D'abord on sait qu'on mourra un jour, puis on sent qu'on mourra un jour.
    Vieux motard que j'aimais.

    RépondreSupprimer
  2. "à moitié folles"

    Ah non ! S'il vous plait !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comment ça "???" ?
      "Demi-folle" c''est MA catégorie et je ne veux pas y côtoyer les espèces de sous-femmes que vous citez.
      Donc , je vous demande d'arrêter et de les caser ailleurs, s'il vous plait
      D'accord, vous avez dit "à moitié folle", vous y mettez peut-être une nuance.
      Mais dans le doute, je prends les devants..

      Supprimer
    2. Une autre possibilité s'offre à vous : celle de me faire monter dans la catégorie supérieure des folles totales, et de laisser ces pantins parmi les demi-folles.
      C'est à vous de voir ^^

      Supprimer
    3. Le féminin de"pantin" c'est"pantine"
      Non ?
      Bon d'accord...."pantinesse"

      Supprimer
  3. Vous avez une envie de crimes guillerette ce matin !
    Est-ce parce que vous allez mieux ?

    RépondreSupprimer
  4. Monsieur aurez vous encore des mais après ce texte criant de vérité et dont le partage presqu 'en totalité l'analyse n un détail presque rien mais la Belkacem la laisser s'anéantiser toute seule , que nenni, que nenni. juste avant je lui reluirais bien le conduit avant de la jeter aux chiens comme pâtée.

    Pour le racisme, il ne sert que les gauchistes n'ayant rien à dire , il jette ce mot en espérant faire taire leur interlocuteur ou que ce dernier se sente obligé de se justifier qu'il n'est pas raciste.

    Quand on me balance, ce doux mot, je réponds : toutafait et fier de l'être et en plus je suis masochiste car je suis fou des dames ayant la peau noire donc je vous emmerde.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Votre attirance pour les femmes noires, il suffit de l'expliquer par des relents de domination post-coloniale, et le tour est joué.

      Supprimer
    2. "juste avant je lui reluirais bien le conduit avant de la jeter aux chiens comme pâtée." : et après ça, on va se plaindre de la logorrhée ordurière des rappeurs... Le pire sur Internet, c'est quand on se lâche...

      Supprimer
    3. Je ne pense pas que les demoiselles africaines ou ultra-marine comme il est de bon de dire, avaient un soupçon d'être dominées, quant à ma moitié elle a du raté un pan entier de la colonisation de son Sénégal natal ou le blanc était le maître, je vais devoir l'en informer mais je crains que cela ne lui fasse ni chaud ni froid.

      Elle me regardera avec un des yeux ressemblant à des mitrailleuses lourdes et me dira : " Mon pauvre ami, remettez vous à la bièreé

      Supprimer
    4. Emmanuel F,

      Travaillant avec de jeunes hommes issus des banlieues et qui me font écouter du rap en boucle, l'influence des textes des rappeurs se fait sentir, je m'adapte et vous allez me le reprocher. c'est un comble quand même.

      Je ne pense pas être un puritain, une rosière si j'étais une demoiselle mais quand j'entends leur discussion sur les femmes, je suis quand même surpris de la teneur des propos Certaines chiennes de garde devraient sortir de leurs salons dorés de la République.

      Entendu, il y a quelques jours par de mes collègues sur une secrétaire, " Elle a un de ces boules, je lui mettrai bien une cartouche"; renseignements pris auprès de l'auteur, une cartouche , c'est la sauter et basta, ensuite il m' a fait écouter le rappeur auteur de ce très joli texte, je ne sais plus le nom de ce personnage mais je crois qu'il se nommait "Booba" ou "La fouine" mais si cela vous intéresse, je poserais la question.

      Supprimer
    5. Grandpas, vous seriez sidéré par les paroles de NTM en 1993. On l'est encore plus après avoir découvert que Jack Lang les a placés comme des étendards pour la jeunesse.

      -Quelle gratitude devrais-je avoir pour la France
      -Police
      ...

      Ils ont vérolé de nombreux esprits, de nombreux jeunes dont les parents ne se soucient guère, et ce sont ces gens qui osent parler au nom du bien et de la morale. Il y a quelque chose d'abject là-dedans, le socialisme derrière ses belles pensées, est un véritable poison.

      Supprimer
  5. " que les noirs soient inférieurs (moins intelligents, moins ceci, moins cela) aux blancs ? Ou les jaunes supérieurs aux blancs ?"

    En effet tant que vous n'aurez pas spontanément la pensée inverse, vous resterez un vrai raciste.
    Satisfait non?


    Emily

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Un réactionnaire n'est jamais satisfait…

      Supprimer
    2. Et bien alors Emily, on n'a pas cours à l'université aujourd'hui?

      Supprimer
    3. Fil, vous voyez, j'ai pris mon après-midi pour venir au zoo.
      Cela fourmille de gros bourrins racistes ici, c'est édifiant!

      Emily

      Supprimer
    4. En général on évite de s'intéresser trop à la politique quand on vient d'avoir 18 ans.
      Vos rêves d'amour fraternel et d'un monde parfait sont malheureusement impossibles. Vous devriez plutôt naviguer sur des blogs où l'on parle de biscuits fourrés et de presse féminine. Des pages internet tout plein de couleurs choupi!

      Le zoo dîtes-vous? Je me marre, on n'en a visiblement pas la même définition. Ici les gens sont civilisés et lucides.
      Niveau discernement, vous avez encore des lacunes. Sans doute votre jeune âge...
      Je peux vous donner 2 ou 3 adresses de zoo si vous voulez, là où il y a des animaux. Là où la civilisation n'a pas encore été bien intégrée par sa population. Les gens ne sont pas restés à l'état de nature sur ce blog, la plupart ont reçu une éducation, et rarement vous en surprendrez un avoir une attitude animale.

      Ca ne doit pas faire très longtemps qu'ils vous ont installé le programme, je ne vais pas ennuyer plus longtemps, profitez donc de votre nouvelle et fraîche conscience politique.

      Supprimer
  6. Quel billet sympathique, j'adore.
    Puisqu'il y a risque à zigouiller tous les politicards que vous citez, et puisqu'ils sont déjà là, hélas,, laissons faire le temps, je suis sûr que l'Histoire les assassinera de la manière la plus frustrante qui soit pour un politocard: l'Oubli !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah oui, mais s'en remettre au temps, c'est un peu une solution de facilité !

      Supprimer
  7. Merci de nous avoir épargné une oiseuse discussion sur la justification thomiste du tyrannicide, votre verve surpasse toutes les philosophies , c'est là je le sais, un jugement de valeur qui établit une hiérarchie,autrement dit : du racisme.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "votre verve surpasse toutes les philosophies"

      !!!

      Supprimer
    2. Michel Desgranges, vous n'y allez pas un peu fort dans la poussée du dithyrambe ? Didier ou le concept de philosophie supérieure.

      Supprimer
    3. Mais non, je le trouve très modéré, moi ! Limite tiède, même.

      Supprimer
  8. Je croyais qu'Askolovitch était un journaliste; ben non, c'est un Juif -parce que ses parents n'ont pas pris la peine de changer leur nom en Ducon.
    Billet intéressant par les réactions qu'il suscite, et qui montre toute une évolution: le racisme n'est plus honteux (" Je ne suis pas raciste, mais les Noirs, franchement, à part avoir le rythme dans le sang"...), nous voilà revenus à l'avant-guerre; c'est ce qui doit s'appeler le progrès, je suppose.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Elie Arie, c'est FAUX, tous les antiracistes vous le diront. Les noirs n'ont même pas le rythme dans le sang. Et ils ne courent pas plus vite non plus. Donc, on est revenu à pire qu'avant l'avant-guerre.

      Il y a un article intéressant sur le blog de Cathrine Kintzler:" race, racisme et police du langage."

      Supprimer
    2. Monsieur Arié, en l'occurrence, le fait qu'Askolovitch soit journaliste est ici un critère non pertinent : il pourrait aussi bien être informaticien ou kinésithérapeute, ce serait pareil.

      En revanche, il est particulièrement intéressant de noter que ce converti à l'islamolâtrie est juif, quand on sait ce que ceux-là entendent bien faire subir à ceux-ci dès que possibilité leur en sera donnée, soit dans pas très longtemps à mon avis.

      Supprimer
    3. @ Suzanne
      Vous n'avez pas compris que ce "rythme dans le sang" était ironique, et une affirmation raciste de plus (au même titre que "tous les Juifs sont intelligents, même Bernard-Henri Lévy") ?

      Supprimer
    4. Didier, écoutez-donc M. Arié, le spécialiste incontesté et incontestable des HLPSDNH. Vous devriez avoir honte.

      Ceci dit, comme disait Desproges, les noirs ont le rythme dans la peau, la peau sur les os et les os dans le nez.
      Comique d'avant-guerre, guère prisé par tous les clowns tristes de l'anti-racisme rabique

      Supprimer
    5. Monsieur Arié, c'est vous qui nous balancer des clichés sur les noirs, j'avais un copain noir qui était incapable de courir vite, c'était même de venu un sujet de plaisanterie de sa part.

      Un jour une amie africaine que comme tous les blancs , j'avais le cul vissé.. Dois je en conclure que sa remarque était raciste ou que seuls les occidentaux sont suprématistes.

      Certes les noirs les principaux sprinteurs au 100 mètres sont tous noirs mas regarder la couleur de peau du starter et vous comprendrez pourquoi ils sont tous si pressés d' en finir le plus vite possible.

      Supprimer
    6. Elie, bien sûr que si, j'avais compris. Et ma réponse était ironique aussi. Les clichés "les noirs ont le rythme dans la peau" ou "les noirs courent plus vite que les blancs" ont beau être racistes, ils ne sont pas malveillants. Enfin, pas malveillants de façon avouée, si on ne creuse pas trop ou si on ne regarde pas l'envers de la médaille, l'attribution à une race de caractéristiques instinctives qui la limite à des comportements plus animaux que d'autres groupes ethniques. Donc, si on ne creuse pas trop, ce n'est pas négatif de dire qu'on danse et chante mieux que d'autres ou qu'on court plus vite. Si on réfléchit et qu'on voit comme ces clichés illustrent et alimentent des discours beaucoup moins bienveillants, on hésite à les utiliser, et alors qu'est-ce qui reste à ces pauvres noirs si on les prive de ces petites concessions qu'on fait à leur infériorité globale ? Ma question est aussi ironique, je précise. Il leur reste leur côté grand enfant, homme nèg toujou' wigoler", sauvage incapable (ah, ces Africains...) ou frère devant Dieu, mais frère cadet (Albert Schweitzer) ?

      Supprimer
    7. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

      Supprimer
    8. Je dois être noir car je suis resté un grand enfant, pour votre information, dans un film sur Malcom X, ce dernier reproche d'avoir le sourire guindé voire constipé.

      Supprimer
  9. Réponses
    1. Non, au contraire ! Vous ne trouvez pas ce billet jovial et roboratif ?

      Supprimer
  10. Parler des jaunes... des noirs... et pis de vos chiens, si ce n'est pas du mauvais esprit, ça !

    RépondreSupprimer
  11. "Ruquier lui-même, tiens : homo quasi officiel de la République télévisuelle, multipliant les révérences à ceux qui, ailleurs, à quelques centaines de kilomètres d'ici, pendent les sodomites comme on se cure le nez."
    Ah bon ? Il m'arrivait de regarder parfois des extraits de son "on n'est pas couché" quand il y avait un invité qui avait sorti un livre et que je pressentais dégommable par Naulleau, je n'ai jamais remarqué de musulmanisme déclaré chez lui. Est-ce que ce n'est pas seulement un amuseur qui ne se départ pas de son ton d'amuseur ? J'ai peut-être zappé des travers de son excercice.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Musulmanisme déclaré, sans doute pas, en effet. Mais quelle complaisance, tout de même…

      Supprimer
    2. Je n'ai jamais remarqué de complaisance de sa part sur le sujet. Vous avez un souvenir précis en tête ?

      Supprimer
  12. Quelle envolée sur le racisme ! Mot dévoyé à l'extrême , le seul racisme que j'ai c'est envers les CONS, qu'ils soient verts, jaunes, noires, blancs,intellos,médiocres, politicards de gauche principalement , de droite , il y en a , j'en connais, des femmes au volant , des homos homophobes , des vertueux sado-masochistes, des fonctionnaires non-blanc qui vous font payer le colonialisme en vous emmerdant un maximum , enfin tous ces petits tracas qui vous pousse à dire que la vie est quand même belle lorsque vous prenez un petit apéro au coin du feu bien loin de tous ces Couillons.
    Ces *chères* journalistes qui ont 'un égo surdimensionné pour existé , il vaut mieux lire un bon livre que d'écouter la propagande étatiste , je vais essayer Didier Goux qui n'est pas encore dans ma collec.
    Avant mai 2012 j'avais parfois un regard indulgent sur les politicards de gauche , maintenant je suis prêt à cotiser pour leur acheter de l'armement et les envoyer en Syrie pour combattre Bachar El Assad .

    RépondreSupprimer
  13. Ruquier peut être ennuyeux quand il s'exprime mais au moins laisse-t-il les autres parler: Obertone, Zemmour, etc...

    RépondreSupprimer
  14. Bon: c'était quoi, ce billet, à part une consolation pour ceux qui veulent se dire: " Je suis Blanc, donc plus intelligent qu'Obama?"

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Obama étant un métis, je serais curieux de savoir le quel de ses 2 parent l'a rendu idiot, ou intelligent..

      Supprimer
    2. Manifestement, l'idée que ce serait lui tout seul vous est étrangère...

      Supprimer
    3. Je ne faisais que répondre à votre question racialiste mais je vois que vous appliquez parfaitement le stratagème de Schopenhauer dans "L'art d'avoir toujours raison", alors mon bon , balayez devant votre porte avant de vilipender les autres.

      Supprimer
  15. Je pense qu'il y a erreur : Askolovitch n'est pas "tremblant et agenouillé..." ; c'est un donneur de leçon (ou un éducateur au sens moine soldat) pathologique !
    En l'occurrence, il a trouvé que la République n'était pas compatible avec le communautarisme, et que le sujet valait un livre (le bon, le méchant...)

    La grande affaire ! Mais on le sait bien que sa chère République, est - entre autre - jacobine.
    Et le jacobinisme, c'est qu'entre l'Etat et le citoyen, il ne doit rien y avoir ! D'où forcément, problème avec ceux considérant que Dieu est au-dessus et en-dessous de l'Etat...

    Asko fait le syndrome Gorbatchev...

    Amike

    RépondreSupprimer
  16. En voila un billet joyeux! Il y a en effet toujours un côté petit capo de cour de récré, un côté petite merde chez ces gens venus pointer le racisme des autres; à la limite de la délation. Doivent se sentir courageux ces gens là, rebelles, bien rangés.
    Mais c'est aussi une question de génération (et de généralités).
    Dans les années 70, avouer sa sympathie pour le cowboy Eastwood pouvait vous valoir la joie d'être taxé de fâcheux facho (drôle d'époque...). Puis jusqu'à peu, suffisait qu'on leur dise "mais t'es raciste?!" pour que les braves se mettent à trembler comme des feuilles. Ma génération, abreuvée au jus de daube, à la fin de race et à la bouillie cosmopolite pourra au moins se consoler d'en avoir plus rien à foutre de ces trous de balle de la morale à six sous. Voila, nous aussi, dorénavant le racisme on s'en fout. Ils veulent pas crever? nous non plus.

    RépondreSupprimer
  17. N'insultez pas, après coup, les Maîtres que vous vous donnez aurait dit l'ami Zo d'Axa.

    Gibier de potence remarquable, Marek Halter, « intellectuel français d'origine juive », ne l'est pas moins que Bernard Kouchner, Dominique Strauss-Kahn ou Bernard-Henri Lévy. L' « élu » est limpide comme de l'eau de roche, il faut réconcilier musulmans et monde chrétien, ou monde chrétien et musulmans, ni plus ni moins, raison de sa visite très médiatisée au Vatican avec une délégation d'imams. Tel est son combat. http://radiovaticana.va/
    Chacun appréciera à l'aune de ses espérance ou de sa foi.

    L'hilarant et sagace Juvénal ainsi plaisantait :
    « Les Juifs débitent à la demande n'importe quel songe creux pour une pincée de petite monnaie. » Satire VI
    Rien de nouveau sous le soleil dira-t-on, et on aura raison.

    Juvénal toujours, pour le plaisir... à propos du mélange des races ou de leur fusion :
    « ... les trucs et les drogues des professionnelles sont si efficaces pour rendre inféconde ou tuer un bébé dans un ventre qu'on n'accouche guère dans les lits dorés. Félicite-t'en, infortuné, et quel que soit le breuvage, tends-le toi-même à ta femme : si elle décidait de laisser d'espiègles bambins chahuter sa matrice gonflée, tu pourrais bien te retrouver papa d'un négrillon et obligé de tout léguer à un Éthiopien basané, porte-poisse à ne jamais croiser le matin ! »
    Juvénal, Satires. Les Belles Lettres, Classiques en poche. pp 128-129.

    Il faut lire ou relire Juvénal.

    RépondreSupprimer
  18. Comme ce billet est resplendissant!

    Le racisme se nourrit de 2 choses, et disons-le, il est une réaction très saine. Il est la petite mousse au-dessus du café.
    Il suffit de voir la délinquance, qui sont les empoisonneurs, pour comprendre que de nombreux Français se sont fait confisquer la paix sociale. Voilà, les gens ont marre, ils vivent cette délinquance au quotidien, et lorsqu'ils la dénoncent , on les culpabilise.

    Il devient encore plus gros, plus visible, à chaque fois que nos amis progressistes refusent aux Français le droit de nommer ce qu'ils vivent. Si vous dénoncez l'ambiance pourrie qui règne dans votre ville ou votre village, vous verrez les socialos condamner vos propos. Ces gens bien au chaud, calfeutrés dans leurs bureaux dorés, avec leur petit chauffeur, osent dire au Français moyen que ce qu'il vit n'existe pas. Pire, il vous condamne pour avoir osé dénoncer un problème.
    Si ce problème était un plat cuisiné, tout le monde en saurait la recette. Le mensonge ne prend plus, la propagande non plus. Si le socialisme était un restaurant, les prix seraient très chers et les assiettes imbouffables!!! Je ne vous raconte même pas la digestion.. Oui, oui, la délinquance et le racisme sont intrinsèquement liés aux socialistes, aux déclarations qu'ils font dans les médias depuis 30 ans, afin de faire venir de nouveaux électeurs qui seront naturellement acquis à leur cause.

    Alors aux socialos, continuez à vous prendre pour des gens de morale, continuez à culpabiliser ceux qui mangent votre nourriture, et il faudra attendre au moins 10 ans pour que vois idoles reviennent au pouvoir.

    Alors ne boudons pas les incohérences, notamment celle dont nous a gratifié Mr valls la semaine dernière. Le socialiste est un raciste comme les autres, même s'ils se prend pour le sommet de l'humanité.

    "Les Roms n'ont pas vocation à s'intégrer en France". C'est magnifique, même si ce n'est qu'un écran de fumée pour limiter la casse aux municipales.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Ces gens bien au chaud, calfeutrés dans leurs bureaux dorés, avec leur petit chauffeur"

      Qui a prétendu que les racistes étaient des gens pour lesquels les clichés tenaient lieu de pensée? (l'expression exacte est "sous les lambris dorés de leurs salons parisiens").

      Supprimer
    2. Robert Marchenoir1 octobre 2013 à 14:31

      Mais le propre des clichés est d'être exacts, la plupart du temps.

      Il y a effectivement un nombre assez conséquent de politiciens et de hauts fonctionnaires calfeutrés dans leurs bureaux dorés, avec leur petit chauffeur. Et les lambris dorés des salons parisiens existent bien.

      Quand vous êtes logé par la République, véhiculé par la République, déménagé par la République, arrosé par la République, vous ne voyez pas le monde de la même façon. Y compris quand, par extraordinaire, vous vous prenez le réel dans la gueule.

      Rappelez-vous la sénatrice socialiste qui, s'étant fait voler quelques billets de banque au distributeur par des Roms, a publiquement insulté les Français en les traitant de lâches, au motif qu'ils ne s'étaient pas jetés à la poursuite de ses voleurs en leur "faisant un croche-pied".

      Quelques semaines plus tard, un bijoutier de Nice suivait les injonctions de not' bon maître, se jetait à la poursuite de ses voleurs, et se prenait toute la République dans la gueule parce qu'il avait eu le culot d'en abattre un à coups de revolver (ou de fusil, je ne me souviens plus).

      Oui, parce qu'un voleur venu de l'étranger pour piller la France, au bout de quarante ans de laxisme crypto-marxiste, ça ne s'arrête pas avec un "croche-pied"... Ca prend au moins quelques cartouches.

      J'espère que Madame la Sénatrice sera convoquée en tant que témoin au procès du bijoutier. Ainsi que Manuel Valls, d'ailleurs, qui a fait l'éloge du retraité de Marignane, mort après avoir attaqué des braqueurs en fuite -- toujours selon le bon conseil de Madame la sénatrice de gauche, qui veut bien être ferme et courageuse, mais à condition que ce soient les autres qui risquent leur peau pour défendre son porte-monnaie, mis en danger par ceux-là même dont elle s'est employée à inonder la France (et ne parlons pas des conséquences judiciaires qui attendent ceux qui suivraient sont conseil).

      Supprimer
    3. Vous n'en aurez donc jamais fini de nous infliger vos leçons ?

      Supprimer
    4. Elie, les gens de gauche, au delà des clichés, vivent dans un rêve et tiennent des postures tout-à-fait malhonnêtes.
      Je ne fais qu'observer ce qu'il se passe sur le territoire, ce n'est pas de ma faute si la réalité vous apparaît comme des clichés.
      La pauvreté et la délinquance pour tous sans jamais avoir à la subir relève de l'amour pour le désordre.

      C'est tellement facile de confondre pensées et actes concrets. On n'est pas humaniste tant qu'on ne se met pas les mains dans le caca. Les Français n'ont aucune leçon de morale à recevoir des gens de gauche. Aucune!

      Supprimer
    5. Il est bien vrai que seuls les dirigeants socialistes vivent "sous les lambris dorés des salons parisiens"; lorsqu'ils sont au pouvoir, les dirigeants de droite se contentent, pour travailler, d'une chambre de bonne qu'ils payent de leurs propres deniers.

      Ceci étant, le commentaire de Fil, parlant de "Ces gens bien au chaud, calfeutrés dans leurs bureaux dorés, avec leur petit chauffeur", ne concernait pas les dirigeants, mais l'ensemble des socialistes: c'est même à cela qu'on les reconnaît.

      Supprimer
    6. Mon commentaire ne s'adressait pas à Robert Marchenoir dont le commentaire n'était pas encore paru quand j'ai écrit le mien à Elie Arié, grand donneur de leçons de toutes catégories devant l'Eternel !

      Supprimer
    7. @ Mildred

      Vous illustrez ici, comme dans beaucoup de vos commentaires, une faiblesse assez répandue et qui est, selon Schopenhauer dans "L'art d'avoir toujours raison", l'ultime stratagème lorsqu' "on s'aperçoit que son adversaire est supérieur et qu'on va perdre la partie" – je ne préjuge pas de ma supériorité, j'indique la voie royale généralement suivie lorsqu'à l'art de la discussion on substitue un peu paresseusement et faute de mieux, l'invective et la tentative de discréditer son contradicteur en s'en prenant à sa personne plutôt qu'à ses arguments.

      Supprimer
    8. Ah non Elie, je parlais des dirigeants. Je ne m'en prends pas aux électeurs, du fait qu'ils ne sont pas au pouvoir et n'ont en général pas les privilèges du PS. Désolé s'il y a eu méprise, je fais une réelle distinction entre politiciens et électeurs.
      Je ne peux condamner des gens qui votent ce qu'on leur dit de voter, même s'ils ont l'impression de le faire en toute liberté.

      Supprimer
    9. Au moins la droite a le mérite a le mérite de ne pas jouer la carte de la sensibilité et de l'émotion à outrance. Il est rare d'entendre les politiciens de droite parler comme des Robin des Bois.

      Supprimer

La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.