mercredi 2 avril 2014

Un livre au titre engageant…


Je viens tout juste de le commander. Stephen Hecquet est en quelque sorte le “hussard oublié”, si on le met en regard des écrivains dont il était proche : Blondin, Laurent et surtout Nimier. Affligé d'une malformation cardiaque, Hecquet savait qu'il ne vivrait pas longtemps (ce qui explique sans doute en partie son peu de renommée, mais pas entièrement dans la mesure où Nimier, lui non plus, n'a fait de vieux os). Il est mort en 1960, à 41 ans.

21 commentaires:

  1. Donc forcément quelqu'un doit citer Blondin... Je me porte volontaire.

    « Ils nous font passer pour des écrivains de droite pour faire croire qu'il existe des écrivains de gauche. »

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    1. Tiens, je ne la connaissais pas, celle-là…

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    2. "Ils nous traitent de romancier de droite pour faire croire qu'il y a des romanciers de gauche."
      est (serait ?) la citation exacte de Blondin.

      Bertrand de Saint Vincent l'a reproduite dans sa biographie de Jacques Laurent. (Julliard, 1995)
      Je suis ravi de lire le nom de Stephen Hecquet dans un Journal en 2014. Il y a une vingtaine d'années, il servait de mot de passe - avec ceux d'autres écrivains oubliés du demi-siècle - aux rares lecteurs pour qui le style était tout. Nous étions convaincus qu'il fallait faire sortir la littérature des casernes idéologiques dans lesquelles les structuralo-dépressifs et autres donneurs de leçons l'avaient enfermée.
      Bravo pour votre Journal en ligne.
      Bien cordialement

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    3. PS: J'ai découvert le nom de Hecquet grâce à la biographie "définitive" que Marc Dambre a consacrée à Roger Nimier, "Roger Nimier, hussard du demi-siècle" parue chez Flammarion en 1989. Des pans entiers des lettres françaises avaient été ignorées, volontairement on non, par mes profs de français successifs. Le livre de Dambre ouvrait pistes et perspectives.

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  2. Faudra pas oublier de nous donner la réponse, surtout.

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  3. Malheureux, vous prenez des risques depuis que nous avons un nouveau ministre des droits de la femme..!

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  4. La réponse est absolument non ! mais avant, il leur faut finir la vaiselle, le repassage et les courses pendant que nous prenons l'apéro.

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  5. C'est cela même et tant que nous y sommes, Duflan aurait quand même pu céder un strapontin culturel à la Gayarde pour services rendus à la nation...

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  6. Je n'ai pas la réponse, bien sûr.
    Mais cela dit, j'aimais bien cette phrase d'une dame dont j'ai oublié le nom qui disait : "Une femme sans homme c'est comme une caravane sans voiture : ça n'avance pas !"

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  7. De Hecquet , lire "les guimbardes de Bordeaux".

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    1. Ah, évidemment, je n'ai pas commandé ce qu'il fallait !

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  8. Titre provocateur, j'ai hâte de connaître la réponse qui semble être d'importance.

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  9. Bonsoir Monsieur Goux
    Après un sondage exclusif 100 % masculin (auprès de mon mari) la réponse est : OUI; il faut réduire les femmes en esclavage, ça serait bien... surtout au lit...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.