Nicolas fin... Il ne risque quand même pas de passer entre les barreaux d'une bouche d'égout hein (je fais ce que je peux pour sauvegarder sa réputation à gauche, ne me remerciez pas).
D'un autre côté, s'il passait entre les barreaux d'une bouche d'égout, ce ne serait pas dramatique pour lui : il se retrouverait simplement au parti socialiste.
Une inexactitude s'est glissée : l'absurde sobriquet dont je me suis affublé est "cui cui FIT l'oiseau" au passé simple et non "cui cui FAIT l'oiseau" au présent.
Je tiens beaucoup à cette nuance car les jours et les lendemains d'un innocent volatile sans défense sont semés d'incertitudes funestes.
Pour le reste, l'importance excessive que vous attribuez à mes stridulations dérisoires me laissent pour le moins pantois et interrogatif... .
Votre rectification sera faite dès ce soir et prendra donc place dans le journal de mai.
Pour le reste, je n'accorde pas spécialement d'importance à cet échange, mais il se trouve que c'est ce qui s'était produit ce jour-là. Or, un journal sert précisément à garder trace de ce genre de choses.
C'est curieux. Je ne suis pas la Christine (il y a autant de dames nommées Christine que d'ânes qui s'appellent Martin) qui écrivit à propos de l'oiseau, mais j'ai cependant récemment commenté à son propos (avec un sous-entendu que je suis sans doute la seule à avoir compris, ça va c'est bon j'ai l'habitude) au sujet de la hiérarchie dans l'alimentation an moyen âge. Comme quoi, cet oiseau... Je retourne au journal.
Encore un bon moment de lecture même si le panégyrique consacré à M. Jégou me laisse un rien perplexe. Mais que sait-on des blogueurs ? Après tout, peut-être est-il aussi pudique que fin et se refuse-t-il à nous dévoiler ses meilleurs côtés ?
Il avait vraiment une bonne tête, ce brave Swann.
RépondreSupprimerEst-ce que la cellule de soutien psychologique vient toujours jouer avec Bergotte chaque mercredi ?
Mais oui, la cellule était encore là avant-hier !
SupprimerCe n'est pas bientôt fini de dire du bien de moi ? Et ma réputation '
RépondreSupprimerJe vais tenter de vous mettre plus bas que terre dans l'entrée d'aujourd'hui : ça compensera un peu…
SupprimerVs faites des progrès, un chien noir et un autre multicolore
RépondreSupprimerFaites attention à votre réputation
Je vais aggraver : j'ai horreur des chiens blancs.
SupprimerComme quoi, vous avez quand même un peu de bon en vous
SupprimerNicolas fin... Il ne risque quand même pas de passer entre les barreaux d'une bouche d'égout hein (je fais ce que je peux pour sauvegarder sa réputation à gauche, ne me remerciez pas).
RépondreSupprimerD'un autre côté, s'il passait entre les barreaux d'une bouche d'égout, ce ne serait pas dramatique pour lui : il se retrouverait simplement au parti socialiste.
SupprimerLes barreaux de la bouche de Goux, ce sont vos dents ? Je ne tiens pas à passer entre même pour une pipe.
Supprimer(Ça apprendra à l'Amiral à soigner ses plaisanteries).
Les bouches d'égout n'ont pas de barreaux, ce sont les bouches du pluvial qui ont des barreaux. Sinon, quelle odeur nauséabonde en ville !
SupprimerMais c'est pourtant vrai !
SupprimerC'est l'équipe de laveurs de carreaux polonais ?
RépondreSupprimerNon, ce sont les gentils cireurs de souliers de Broadway de ce con de Prévert. Ils tirent la langue pour dire qu'il commence à faire soif, Bwana.
SupprimerUne inexactitude s'est glissée : l'absurde sobriquet dont je me suis affublé est "cui cui FIT l'oiseau" au passé simple et non "cui cui FAIT l'oiseau" au présent.
RépondreSupprimerJe tiens beaucoup à cette nuance car les jours et les lendemains d'un innocent volatile sans défense sont semés d'incertitudes funestes.
Pour le reste, l'importance excessive que vous attribuez à mes stridulations dérisoires me laissent pour le moins pantois et interrogatif...
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Votre rectification sera faite dès ce soir et prendra donc place dans le journal de mai.
SupprimerPour le reste, je n'accorde pas spécialement d'importance à cet échange, mais il se trouve que c'est ce qui s'était produit ce jour-là. Or, un journal sert précisément à garder trace de ce genre de choses.
C'est curieux. Je ne suis pas la Christine (il y a autant de dames nommées Christine que d'ânes qui s'appellent Martin) qui écrivit à propos de l'oiseau, mais j'ai cependant récemment commenté à son propos (avec un sous-entendu que je suis sans doute la seule à avoir compris, ça va c'est bon j'ai l'habitude) au sujet de la hiérarchie dans l'alimentation an moyen âge. Comme quoi, cet oiseau...
RépondreSupprimerJe retourne au journal.
Encore un bon moment de lecture même si le panégyrique consacré à M. Jégou me laisse un rien perplexe. Mais que sait-on des blogueurs ? Après tout, peut-être est-il aussi pudique que fin et se refuse-t-il à nous dévoiler ses meilleurs côtés ?
RépondreSupprimerIl est trop rond pour avoir des côtés.
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