dimanche 1 mai 2022

Charenton, le pont

 Pourquoi le pont de Charenton ?

Réponse dans le journal d'avril.

27 commentaires:

  1. Entre autres qualités, cette livraison apporte une réponse à une question qui me taraudait depuis des lustres : de quel matériau pouvait donc être le pont de Charenton au XIXe siècle ?

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    1. Je savais bien que j'allais combler de très nombreuses et ardentes attentes !

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  2. Il y a déjà un moment que je ne cherche plus à faire démordre personne de quoi que ce soit…

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  3. Et bien je suis contente qu’il y ait les blogueurs, parce que les sites d’infos sont cadenassés, les débatteurs sur les plateaux télés font du gavage, alors tant qu’à faire autant lire ceux qui ne se prennent pas pour des cadors.
    En plus il y a des talents comme Seb Musset, des lurons comme Nicolas, et une Élodie.

    Hélène

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    1. Mince ! J’oubliais vu des collines.
      Hélène

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    2. Franchement, monsieur Maque, vous devriez être plutôt satisfait de ne pas vous retrouver dans le même sac que le gars Musset…

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    3. @Freddi M. cet oubli est d’autant plus idiot que je vous lis.
      @ Didier Goux, vous avez tort. Le talent ne se mesure pas à la couleur des idées politiques.

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    4. Ce n'est pas non plus à cette couleur-là que je mesure le sien…

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  4. Dommage, il y avait Didier dans le temps qui aimait écrire, maintenant il ne fait plus que lire.
    Où sont ces moments délicieux où on débattait sur le poids de la boîte de sardines.
    Re Hélène

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    1. Eh ! oh ! "il" écrit tout de même un journal chaque jour ou presque !

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  5. Cher Monsieur Goux,

    je vais finir par m'inquiéter pour vous. Je sais qu'avec votre propension à lire chaque semaine votre poids en livres (votre poids en kilos évidemment), vous pouvez perdre de vue tout ce que vous avez pu rédiger, mais tout de même !
    Lisant votre journal, je découvre ce passage où vous rapprochez cette histoire de char navigant sur un volcan chez Flaubert et chez Prudhomme ; et l'histoire ne m'est pas inconnue. J'avais déjà lu quelqu'un faire ce rapprochement.

    Et si ma mémoire est bonne (et elle est encore excellente, comme je m'en aperçus immédiatement), ce quelqu'un était vous-même : très exactement vous en septembre 2020 :
    http://didiergouxbis.blogspot.com/2020/09/lenigme-du-char-qui-flotte.html

    Quant à la question que vous vous posez un paragraphe au dessus, ce même dimanche 17 avril, figurez-vous que je me la posais aussi - surtout lorsque l'on voit ce que vous allez lire...

    K.

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    1. Il est normal que je radote et que les mêmes questions reviennent… puisque je relis ! Et, vu l'état présent de ma mémoire, il n'est pas étonnant que j'oublie me les être déjà posées, ces questions…

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  6. Putain de bordel, si je puis me permettre ! Si je lis le début de votre papelard, c'est moi qui ait encouragé ta grosse (c'est de l'argot, les gens, et je tutoies l'andouille dans la vraie vie et notamment dans les commentaires personnels) à acheter un machin à 1000 euros alors que, l'encourageait à prendre un truc moins cher et c'est toi (ou vous, je sais plus) qui l'avez ou l'as encouragé à prendre un modèle de bourgeois au risque de me faire passer pour un pue la sueur alors que je suis votre commentateur gauchiste opulent.
    A part ça, j'arrive de nouveau à commenter tontre blog avec mon PC du bureau mais il faut que je passe par l'iPhone pour lire ton journal. On est peu de choses.
    Avec les changements de Blogger, j'aurais pourtant pu continuer à laisser des commentaires débiles en signant "Elie Arié".

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    1. Ah, parce que, en fait, vous n'êtes pas Élie Arié ? J'en reste baba…

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  7. Le trois avril, tu pérorez sur les mots pour la mort que la Régine est crevée uniquement aujourd'hui.

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  8. "Le choix de société que nous voulons pour demain, se joue dimanche" : je suis décidemment ton idole bloguerolesque mais celui là est quand même un petit nouveau. Z'allez encore beaucoup parler de moi, ce mois, s'il faut que je réponde à tout...

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  9. Au moins, votre anecdote de la toute dernière section mes met en joie. Ma mère, qui a 90 ans, contrairement à Catherine qui frise plus, n'arrête pas de "révoquer" son mot de passe pour l'accès à son compte ne banque ce qui occupe à plein temps ma soeur (on se partage les missions, à moi les impôts, à elle la banque) et le conseiller financier mais faudrait pas que j'ai besoin qu'elle me prête des sous pour aller au bistro;

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  10. Selon la tradition, le premier pont - au sens moderne du terme - aurait été édifié sur le fleuve Euphrate vers 800 av. J.-C. par Sémiramis, reine de Babylone... Sémiramis, la reine aux blancs ? ... Bon, je sors

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    1. La différence essentielle est que j'ai vécu six ans à Charenton-le-Pont alors que je n'ai jamais trempé le moindre orteil dans l'Euphrate.

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  11. Mais quand saura-t-on que la Bérézina fût une victoire de Napoléon, et cessera-t- on de l'utiliser comme synonyme de défaite, et même de débâcle ?

    Il paraît que c'est l'usage qui donne leur sens définitif aux mots, et qu'il nous faut donc accepter le "Il faut supporter le PSG" ( c'est un club de foot, pour les non-initiés), qui, par un anglicisme inutile, dit exactement l'inverse de ce qu'il veut dire ("Il faut soutenir le PSG"), anglicisme que l'on peut accepter pour"Je suis un supporter- ou supporteur?- du PSG," le terme "souteneur" prêtant à confusion... mais jusqu'où peut-on s'incliner devant la tyrannie de l'usage? À quand" le soleil de Waterloo qui permit à Napoléon de remporter sa plus belle victoire ?
    Elie Arié

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    1. Pour la Bérézina, c'est assez compréhensible, dans la mesure où cette "victoire" marqua la fin de la campagne de Russie qui, elle, fut bel et bien désastreuse pour Napoléon et pour la France.

      Le reste de votre commentaire n'a guère de rapport avec la choucroute…

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  12. pour Céline, disons que ça doit être un chaînon manquant...quand je prends le Voyage vers 18-19 ans, j'ai un choc littéraire alors j'enchaîne directement avec Mort à crédit...et là je me trouve face à un mur et je n'arrive pas à me plonger dedans, évolution du style trop rapide pour moi....il m' a fallu 2-3 ans avant de reprendre mort à crédit et là encore une fois un choc littéraire, je le dévore....donc mort à crédit fini, j'enchaîne avec Guignol's band...la préface me laisse augurer le meilleur et à la lecture, je me prends encore un mur, évolution du style trop brutal par rapport à Mort à Crédit...bref z'avez compris l'histoire, il manque des pièces dans l'oeuvre de Céline pour expliquer cette évolution stylistique, peut-être que Guerre et les autres sont les chaînons manquants...et qu'avec cette progression naturelle, il sera plus facile de passer d'un Céline l'autre...
    Vous écrivez "de pénétrer chez un écrivain à la fois par la cour et par le jardin" un peu comme on pénètre dans la maison de Combray du côté de chez Swann et puis du côté de Guermantes...

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    1. Ça ne me semble pas tout à fait exact, en ceci que la “progression” n'est pas linéaire. Elle vraie jusqu'à Guignol's Band. Ensuite, Céline franchit un cran de plus avec Féérie pour une autre fois qui, malgré son titre superbe, est à la frontière du lisible – en tout cas fort emmerdant, à mon sens.

      Mais, ensuite, il revient à un style plus accessible avec la trilogie D'un château l'autre, Nord, Rigodon. Personnellement, je tiens Nord pour son chef-d'œuvre, à égalité avec Mort à crédit.

      Mé cé chakin ki voi…

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    2. Vous dites la progression est vraie jusqu'à Guignol's band. Justement pour Guerre c'est mon point, si le Voyage est A et Guignol's band C, alors peut-être que Guerre est B (en ce moment j'écoute Guerre et Paix, en écrivant guerre est B, cela m'a fait penser à Tolstoi...en gros c'est les guerres napoléoniennes vues du côté des Russes, et bien je ferai plus court que Woody Allen, la Guerre c'est bien, la Paix c'est chiant...), d'où le chaînon manquant que je mentionnais...de toute façon si un jour on m'avait dit que Houellebecq et Céline sortiraient un roman la même année...

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  13. Comment va votre poule...noire ?
    Bibi

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  14. Elle s'est remise d'aplomb toute seule !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.