Didier Goux habite ici

  Quand on lit un livre déjà relativement ancien, on en arrive parfois assez rapidement à perdre de vue cette ancienneté même. Par exemple,...

  Comme il était facile de le prévoir en ces temps de débâcle culturelle généralisée, le soin de rédiger les sous-titres pour les films et s...

  Lorsqu'un humain et son chien déambulent par les rues de la ville, il est désormais bien facile de discerner lequel des deux est l...

  Je m'étais préparé une boite de conserve dont je comptais faire mon déjeuner – Ce qu'effectivement fis. Mes yeux étant à sa haute...

 

Même chez les bons auteurs, et j'en fréquentais encore un ce matin, il est désormais de coutume d'utiliser faussement ces expression...

Ce matin, et avec plus de quatre siècles d'avance, excusez du peu, Michel de Montaigne me parlait de notre actuel claquemurage. Pour en...

    Faut-il avoir l'âme assez basse pour souiller ainsi , fouler aux pieds, couvrir d'opprobre les plus précieux fleurons de notre g...

  On n'a pas mal ferraillé, au Plessis, en novembre …

 J'ai plusieurs fois, par le passé, tenté d'alerter le peuple insouciant sur le danger de certaines chansonnettes qui, sous leurs an...

 Je me suis bien sûr, comme chacun, trouvé plusieurs fois en situation d'être, ou au moins de me sentir ridicule. Je crois l'avoir ...

Donc, pour satisfaire aux exigences rétrogrades d'une bande d'auto-proclamés “écologistes” frisant la maladie mentale, notre gouve...

D'après un sondage Odoxa (j'ignore absolument ce que peut être cette officine parasitaire), 65 % des 15 – 30 ans approuvent le claq...

  J'ai donc repris ce matin la biographie que M. Pierre Chevallier a consacré au roi Louis XIII. Le “donc” de la phrase précédente, je l...

 L'autre matin, sur son blog , le Professeur Cingal affirmait assez péremptoirement, en tout cas un peu vite, que le terme “islamogauchi...

  C'est très bien, Wodehouse, et fort drôles sont les mésaventures mettant aux prises ce jeune crétin de Bertie Wooster et son génial bu...

Les vieillards ont toujours adoré parler de leurs maladies, réelles ou supposées, déclarées ou seulement menaçantes, discourir sans fin sur...

 Dans le livre ardu mais passionnant que je lis depuis trois jours : Antifragile de Nassim Nicholas Taleb, je tombe sur un paragraphe qui m...

 À cause de lui, notre octobre fut fort pluvieux…

 J'ai lu les quelque deux cents romans “patronymiques” de Simenon dans les dernières années quatre-vingt et les premières quatre-vingt-...