Dans les premiers mois ayant suivi mon arrivée à Paris (fin 1976, donc), fleurissait dans le métro une publicité à laquelle je ne repense jamais sans jubilation, même trente ans après. Pour les plus cacochymes d'entre vous, il s'agissait de l'une de ces feuilles de carton souple qui, dans les wagons de l'époque, étaient fixées au plafond au moyen d'une petite barre métallique. Vous vous souvenez du truc ? Bon.
Eh bien, durant deux ou trois semaines, mes souvenirs sont flous sur ce point, a fleuri cette publicité qui annonçait fièrement - que dis-je ? Triomphalement, ceci :
Encore à ce jour, et cependant que j'écris ces mots, des larmes chaudes et douces me perlent aux paupières. La tringle à rideau... toute ma jeunesse...
Eh bien, durant deux ou trois semaines, mes souvenirs sont flous sur ce point, a fleuri cette publicité qui annonçait fièrement - que dis-je ? Triomphalement, ceci :
MAISON TRUCMUCHE :
50 ans d'expérience au service de la tringle à rideau !
50 ans d'expérience au service de la tringle à rideau !
Encore à ce jour, et cependant que j'écris ces mots, des larmes chaudes et douces me perlent aux paupières. La tringle à rideau... toute ma jeunesse...
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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.