Il n'est pas toujours très simple de lire dans un endroit public. À cause des femmes qui passent. Elles ne sont pas pas forcément très belles, ni très jeunes - mais elle sont capables d'être fortement attirantes au moment assez rare où elles épandent leurs effluves. Simplement parce qu'elles n'en savent rien, et vous ignorent à cet instant précis. Et votre regard se lève du livre, votre esprit s'évade du texte vers la chair, qui n'en vaut pas la peine, et va très vite disparaître.
C'est fait : elle a disparu ; vous replongez dans votre livre - trop tard : il n'existe plus qu'à peine.
C'est fait : elle a disparu ; vous replongez dans votre livre - trop tard : il n'existe plus qu'à peine.
Et encore vous imaginez si on leur avait appris à lire et qu'elles venaient mettre le nez dans votre lecture, ce serait pire !
RépondreSupprimerUn philosophe n'a nul besoin d'une femme qui sache lire !
RépondreSupprimer... Ahhhhhhh ! Déménager encore... se taire... enfin.
RépondreSupprimerUne femme qui ne se parfume pas n'a pas d'avenir avec Didier Goux.
RépondreSupprimerPaul Valéry.
Didier,
RépondreSupprimerEcrivez un poème à l'attention de ces belles passantes, qui preste s'évanouissent
Signé de mon vrai nom, vu que ça me ferait chier de m'appeler anonyme