Tout comme vous, j'ai appris, hier, qu'il ne restait plus qu'un seul Poilu (mot horrible, grotesque, méprisant, que nous paierons un jour d'avoir gardé, mais c'est une autre affaire). Un Poilu français, évidemment. Les Boches, on s'en contre-branle, et c'est même une vraie honte que ces salopards aient pu survivre : Dieu devra nous rendre compte de cela, un de ces jours...
Bref. Il est une chose dont personne, à part moi, ne semble s'aviser : que sont devenus les derniers planqués ? Si vous le voulez bien, pour la clarté du débat, de l'éternel combat entre le Bien et le Mal, qui nous occupe tant et tant de nos jours, appelons-les les Imberbes. Les enculés d'Imberbes, même, histoire d'indiquer clairement dans quel camp on se situe.
Les planqués, ce sont tous ces semi-pédés qui ont réussi, au prix de bassesses que nul n'ose se représenter, à échapper aux tranchées, à rester tranquillement à Paris (ou à Châteauroux ou ailleurs), trombinant gentiment, à la fraîche, les consolables veuves de guerre.
Eh bien ! je vous l'affirme hautement : ces vermines rampantes, il en est peut-être des survivantes. Des planqués de 110 ans, survivant ignominieusement dans leur bled pourri, pleins du souvenir de ces féminines corolles indûment comblées par leurs soins, salivant encore des pipes goulues administrées par de répugnantes défaitistes en chaleur, au moment même où leurs héroïques poilus se faisaient exploser les gonades à coups de schleuhs shrapnells !
Alors, mes frères, je vous le dis, il est temps. Ne laissons pas ces méfaits impunis. Unissons-nous, enquêtons, cherchons, traquons, débusquons les derniers Imberbes, et, le 11 novembre prochain, devant la Flamme, arrachons fièrement les antiques génitoires de ces hontes nationales, sous l'oeil larmoyant et aveugle de notre dernier héros.
La fierté du pays est à ce prix - et ce n'est pas trop cher payé.
Bref. Il est une chose dont personne, à part moi, ne semble s'aviser : que sont devenus les derniers planqués ? Si vous le voulez bien, pour la clarté du débat, de l'éternel combat entre le Bien et le Mal, qui nous occupe tant et tant de nos jours, appelons-les les Imberbes. Les enculés d'Imberbes, même, histoire d'indiquer clairement dans quel camp on se situe.
Les planqués, ce sont tous ces semi-pédés qui ont réussi, au prix de bassesses que nul n'ose se représenter, à échapper aux tranchées, à rester tranquillement à Paris (ou à Châteauroux ou ailleurs), trombinant gentiment, à la fraîche, les consolables veuves de guerre.
Eh bien ! je vous l'affirme hautement : ces vermines rampantes, il en est peut-être des survivantes. Des planqués de 110 ans, survivant ignominieusement dans leur bled pourri, pleins du souvenir de ces féminines corolles indûment comblées par leurs soins, salivant encore des pipes goulues administrées par de répugnantes défaitistes en chaleur, au moment même où leurs héroïques poilus se faisaient exploser les gonades à coups de schleuhs shrapnells !
Alors, mes frères, je vous le dis, il est temps. Ne laissons pas ces méfaits impunis. Unissons-nous, enquêtons, cherchons, traquons, débusquons les derniers Imberbes, et, le 11 novembre prochain, devant la Flamme, arrachons fièrement les antiques génitoires de ces hontes nationales, sous l'oeil larmoyant et aveugle de notre dernier héros.
La fierté du pays est à ce prix - et ce n'est pas trop cher payé.
Vous pensez que c'est vraiment comme cela que vous allez remonter les bourses nationales ?
RépondreSupprimeriPidiblue en ce mardi noir, le dernier poilu des subprimes.
Je préfère quand vous parlez des femmes (presque) à poils.
RépondreSupprimerDes "semi-pédés planqués" ? pas du tout ! de vulgaires hétéros, obsédés sexuels de surcroît !
RépondreSupprimerLes pédés, comme chacun sait étaient dans les tranchées avec leur potes à se faire joyeusement exploser la tronche.
Il vous resterait quelques éphèbes sous la main si ce n'est trop vous demander ?
RépondreSupprimerMoi, je peux rien dire, j'y étais pas !
RépondreSupprimerMais pourquoi Châteauroux?
RépondreSupprimerEn tous cas le 2 février c'est la sortie de "Pollux et le manège enchanté", donc s'il ne reste qu'un seul poilu c'est lui ! Et en plus so british ...
RépondreSupprimeriPidiblue tournicoton tournicota
Didier, vous auriez fait un gestapiste délicieux.
RépondreSupprimer... et mélomane, évidemment.
RépondreSupprimers'il fallait condamner tous les Français qu'on pas fait la grande guerre et qui restent tranquillement a Paris en trombinant, ça en ferait du monde!
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