Lorsque Nicolas a répercuté cette chaîne idiote, j'ai poussé un soupir de soulagement : je n'étais pas dans les tagués (sauf exceptions exceptionnelles, j'ai horreur de répondre à des questionnaires. Mais comme j'ai bon coeur...). Finalement le coup m'a tout de même atteint, mais venant d'une fenêtre de tir dont je ne me serais pas méfié le moindre. Donc, il s'agit d'étaler ses lacunes dans cinq domaines. On y va.
I) Le cinéma : En dehors de Chaplin, Griffith, Murnau, Pabst, Eisenstein et un ou deux autres, je n'entends à peu près rien au cinéma muet.
2) Les livres : J'ignore tout ou presque des littératures africaines et asiatiques ; deux ou trois Japonais (Kawabata, Michima...), l'Égyptien Mahfouz, rien de plus. Et chaque fois que j'ai essayé de m'attaquer à un classique chinois, j'ai dû m'avouer vaincu.
3) La géographie : Je crois ne pas trop mal connaître la France physique. Pour le reste du monde, mon total désintérêt pour les voyages ne m'a évidemment pas beaucoup aidé...
4) Les mathématiques : 9/20 au bac, ce qui m'a valu de rater la mention "bien" d'un quart de poil pubien. Mais c'était tout de même un bac "D" (je ne sais comment il s'appelle de nos jours). Depuis, j'ai à peu près tout oublié, il va sans dire. Mais les maths n'ont jamais été ma "bête noire". J'étais juste trop fainéant pour y réussir.
5) Gastronomie & oenologie : contrairement à ce qu'on pourrais penser, je ne connais rien au vin. Je crois même ne pas l'aimer tant que ça. En fait, l'ivresse m'attire davantage que son véhicule. Mais enfin, je ne répugne pas à un bon bourgogne blanc. Pour ce qui est de la gastronomie, je ne connais presque rien de la nourriture africaine. Je dois dire que le peu que j'en aie goûté m'a dissuadé de creuser le sujet plus avant. Même chose à peu près pour les habitudes alimentaires sud-américaines.
Et je ne repasse cette chaîne à personne, vu que j'ai déjà assez d'ennemis comme ça.
I) Le cinéma : En dehors de Chaplin, Griffith, Murnau, Pabst, Eisenstein et un ou deux autres, je n'entends à peu près rien au cinéma muet.
2) Les livres : J'ignore tout ou presque des littératures africaines et asiatiques ; deux ou trois Japonais (Kawabata, Michima...), l'Égyptien Mahfouz, rien de plus. Et chaque fois que j'ai essayé de m'attaquer à un classique chinois, j'ai dû m'avouer vaincu.
3) La géographie : Je crois ne pas trop mal connaître la France physique. Pour le reste du monde, mon total désintérêt pour les voyages ne m'a évidemment pas beaucoup aidé...
4) Les mathématiques : 9/20 au bac, ce qui m'a valu de rater la mention "bien" d'un quart de poil pubien. Mais c'était tout de même un bac "D" (je ne sais comment il s'appelle de nos jours). Depuis, j'ai à peu près tout oublié, il va sans dire. Mais les maths n'ont jamais été ma "bête noire". J'étais juste trop fainéant pour y réussir.
5) Gastronomie & oenologie : contrairement à ce qu'on pourrais penser, je ne connais rien au vin. Je crois même ne pas l'aimer tant que ça. En fait, l'ivresse m'attire davantage que son véhicule. Mais enfin, je ne répugne pas à un bon bourgogne blanc. Pour ce qui est de la gastronomie, je ne connais presque rien de la nourriture africaine. Je dois dire que le peu que j'en aie goûté m'a dissuadé de creuser le sujet plus avant. Même chose à peu près pour les habitudes alimentaires sud-américaines.
Et je ne repasse cette chaîne à personne, vu que j'ai déjà assez d'ennemis comme ça.
Quoi ? Un érudit comme vous ne lit pas le Chinois.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c'est une bonne nouvelle, j'ai enfin découvert notre point commun : le rapport au pinard (bien que choisisse plus volontiers un Chinon rouge qu'un Bourgogne blanc).
N.B. : Pour la gastronomie Africaine, vous avez tort... Il y a des trucs très bien.
Le Bourgogne blanc... Oui... A partir de quatre bouteilles à deux, on peut commencer à parler.
RépondreSupprimerNicolas : on ne m'a peut-être pas emmené dans les bons restaus...
RépondreSupprimerDu reste, je n'ai pas détesté, loin de là. Disons que je trouve ça un peu... fruste.
Yibus : on peut commencer à balbutier ?
Didier,
RépondreSupprimerIl y a des trucs très bien, notamment des restos "Sud Africain" à Paris. Par ailleurs, mes potes noirs Djibril et Tonnegrande raffolent de quelques restos Sénégalais.
Pour ce qui concerne la cuisine "Nord Africaine", la plupart des couscous qu'on nous vend sont d'une banalité... heu... banale. Par contre, certains bouibouis sont géniaux. Et j'ai eu l'occasion de participer à un "repas de famille" assez traditionnel avec un couscous absolument génial (c'est rustre : on mange la viande en tenant l'os entre les doigts et les femmes mangent à la cuisine, ce qui n'a pas que des inconvénients...).
Enfin (je commente trop long, moi !), j'ai, à côté du bureau, un resto Marocain (un vrai, pas un bouiboui de banlieue) où les tajines sont géniales.
Vous êtes bon en math, vous !
RépondreSupprimerbravo, parce que je trouve que vous vous en sortez bien, avec un 9/20.
Ah, mais je ne parlais quant à moi que de la cuisine sub-saharienne ! Il va de soi que la gastronomie maghrébine (et spécialement marocaine) est l'une des plus succulente du monde (je la place personnellement juste après la France, l'Italie et la Chine, dans l'ordre qui vous plaira).
RépondreSupprimerBon en maths ? N'exagérons pas ! Pour être bon, comme vous dites, il aurait fallu que je travaille un minimum...
RépondreSupprimerIl ne vous reste plus que "Tu reviendras à Montréal"...
RépondreSupprimerAnonyme (qui pourrait signer...) : j'attends que Pétronille y parte, et qu'elle découvre Richard Desjardins !
RépondreSupprimerQuoi ? C'est vrai, cette histoire de vin véhiculaire ?!
RépondreSupprimerJ'en reste sans voix...
Oui, Marie-Georges, désolé de vous décevoir : l'ivresse m'a toujours davantage séduit que le goût du vin.
RépondreSupprimer"une fenêtre de tir dont je ne me serais pas méfié le moindre" : vous êtes sûr ?
RépondreSupprimerJe retourne lire..
Ahah !
RépondreSupprimerVous savez que quand vous étiez passé à la maison avec Catherine, j'angoissais pour le choix du vin ?
Je suis allée chez le marchand et je leur ai dit "c'est pour des connaisseurs..."
Tout ça pour ça ;)
Je conseille à l'Irremp d'aller quérir sur le net ou ailleurs, la recette du boboti qui est un régal du palais ! :-)))
RépondreSupprimerJ'aime bien la notion de "véhicule pour l'ivresse", joli concept ! :-)))
Zoridae : pour le choix du vin : "une fenêtre de tir dont je ne me serais pas méfié le moindre" c'est l'arroseur arrosé ! :-)))
RépondreSupprimerMonsieur Poireau,
RépondreSupprimerGné ?
Zoridae : tu ne t'attendais pas à ce que ce "je n'y connais rien en vin, j'aime l'ivresse" soit proféré par Didier Goux...
RépondreSupprimerLa deuxième partie si !
RépondreSupprimerEt Feuillade ? Vous n'aimez pas Feuillade ? Les Vampires, Fantômas, Judex... Ne me dites pas que ça vous laisse froid...
RépondreSupprimerSinon, il se trouve que je suis sorti il y a quelques heures de la projection de Lucky Star, de Frank Borzage (1929), dont j'ignorais jusqu'au titre mais qui s'avère l'un des plus beaux films muets, et même des plus beaux films tout court, que j'aie jamais vus.