C'est l'histoire d'un petit garçon de huit ans. Il est à table avec sa grande soeur de dix-sept et leurs parents. Quand arrive le dessert, la soeur se lève :
- Je n'ai plus faim et j'ai mal à la tête : je préfère aller me coucher...
Elle y va. Le petit garçon mange son dessert, aide à débarrasser la table, embrasse son père et sa mère, file se coucher. Passant devant la chambre de sa soeur, il s'aperçoit qu'il a oublié de lui souhaiter bonne nuit. Il pousse doucement la porte, et la découvre nue sur son lit, se massant convulsivement les seins en soupirant d'une voix mourante :
- Ah ! un homme !... un homme !... un homme !...
Interloqué, le petit garçon file se coucher sans demander son reste. Le lendemain soir, les parents étant absents, le petit garçon doit dîner seul avec sa grande soeur. Cette fois, c'est dès le début du repas que celle-ci, prétextant une intense fatigue, file dans sa chambre. Une demi-heure plus tard, allant lui-même se coucher, le petit garçon entend des bruits et des soupirs bizarres, venant de la chambre de sa soeur. Il pousse la porte et la découvre nue sur son lit, chevauchée par un matou qui la sabre façon Grand Siècle.
Les yeux du petit garçon s'éclairent, il se rue dans sa chambre, se déshabille fébrilement, se jette sur son lit, empoigne son torse fluet à deux mains et s'écrie :
- Ah ! une playstation !... une playstation !... une playstation !...
Ne me remerciez pas.
- Je n'ai plus faim et j'ai mal à la tête : je préfère aller me coucher...
Elle y va. Le petit garçon mange son dessert, aide à débarrasser la table, embrasse son père et sa mère, file se coucher. Passant devant la chambre de sa soeur, il s'aperçoit qu'il a oublié de lui souhaiter bonne nuit. Il pousse doucement la porte, et la découvre nue sur son lit, se massant convulsivement les seins en soupirant d'une voix mourante :
- Ah ! un homme !... un homme !... un homme !...
Interloqué, le petit garçon file se coucher sans demander son reste. Le lendemain soir, les parents étant absents, le petit garçon doit dîner seul avec sa grande soeur. Cette fois, c'est dès le début du repas que celle-ci, prétextant une intense fatigue, file dans sa chambre. Une demi-heure plus tard, allant lui-même se coucher, le petit garçon entend des bruits et des soupirs bizarres, venant de la chambre de sa soeur. Il pousse la porte et la découvre nue sur son lit, chevauchée par un matou qui la sabre façon Grand Siècle.
Les yeux du petit garçon s'éclairent, il se rue dans sa chambre, se déshabille fébrilement, se jette sur son lit, empoigne son torse fluet à deux mains et s'écrie :
- Ah ! une playstation !... une playstation !... une playstation !...
Ne me remerciez pas.
Tu lirais pas du Villemin par hasard ??? C'est pas bien ça pour un grand intellectuel comme toi...
RépondreSupprimerKris : je connais cette histoire depuis à peu près 25 ans : si tu crois que je me souviens d'où elle sort...
RépondreSupprimerBon ben... pas merci alors...
RépondreSupprimerY a des blagues, c'est comme Windows, ça se met à jour.
RépondreSupprimerDe mon temps, c'était avec un beau vélo.
Mélina : oui, moi aussi, c'était un vélo !
RépondreSupprimerY'avait des playstations il y a 25 ans ?
RépondreSupprimerNicolas,
RépondreSupprimerje suppose qu'il y a 25 ans, c'était autre chose...
Je sais pas...une orange ?
C'est gore !
RépondreSupprimerIl y a 25 ans, c'était un VÉLO, comme l'indique Mélina plus haut : élèves Dorham et Nicolas, vous ne suivez pas !
RépondreSupprimerZoridae : mais non, elle est très mignonne au contraire !
On ne dira jamais assez le plaisir de remuer le joystick et de titiller le bouton qui s'y adjoint !
RépondreSupprimer:-))
Monsieur Poireau : je ne peux plus laisser de commentaire sur votre blog "new look" : c'est normal ?
RépondreSupprimerDidier Goux : ah ! Effectivement, ça coince ! Je reprends la boîte à outils et j'y retourne…
RépondreSupprimer:-))
Didier Goux : j'ai décoché le bidule dans le machin et ça doit déclencher le processus adéquat pour commenter ! Enfin, si j'ai bien tout compris ! :-))
RépondreSupprimerM'en vas aller voir ça...
RépondreSupprimerFaçon Grand Siècle...
RépondreSupprimerVous pourriez être plus explicite ?
(Ne me remerciez pas)