J'apprends seulement à l'instant, par un commentaire de Mrs Clooney sur le site de Marianne 2, que ces dames "engagées" ont participé gratuitement à l'élaboration du numéro de Vendredi qui est sorti aujourd'hui. Grâce à cette information, je sais enfin ce que signifie être "engagé à gauche" : c'est bosser volontairement pour un patron qui vous paie à coup de sourires et se fait de l'argent sur votre dos, avec votre gracieuse complicité. Les journalistes professionnels au chômage apprécieront.
Ah, pour ça, je suis d'accord, bosser pour rien... Je suis on ne peut plus contre... On va me dire que le bénévolat, tout ça...
RépondreSupprimerEt bien même le bénévolat...
C'est bien vrai !
RépondreSupprimervoir les journalistes professionnels au chômage expatriés. C'est une honte absolue.
RépondreSupprimerDorham : non, le bénévolat est tout à fait admissible, lorsqu'on le fait pour une association "à but non lucratif". Mais, là, il s'agit d'une entreprise purement (j'allais dire : bassement) commerciale.
RépondreSupprimerZoridae : je ne pensais pas tellement à vous, qui, au moins, ne donnez pas de leçons d'engagement ou de pureté morale...
Yibus : c'est plus de la sottise qu'autre chose, je pense : la petite gloriole d'avoir son nom (ou son pseudo) imprimé dans un "vrai" journal. Gloriole maquillée en dévouement à une noble cause, comme il se doit.
D'accord avec vous, et la même chose arrive dans l'édition…
RépondreSupprimerLe Coucou : je sais bien, hélas ! Et je pense qu'Internet ne fait qu'aggraver les choses.
RépondreSupprimerDonc on devrait interdire aux gens de travailler gratuitement ? N'est pas une concurrence comme une autre ?
RépondreSupprimermagnifique DG
RépondreSupprimerDidier : ah je ne savais pas et je trouve ça très con !
RépondreSupprimerCela dit, il existe même des éditeurs qui demandent aux auteurs de payer eux-mêmes la fabrication des livres et qui trouvent des clients !
:-))
"Bosser" ? Vous avez vu leurs "articles" ? On dirait une compilation de devoirs de sixième.
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