Voyez-vous Monsieur Goux, je vous ai clairement signifié que je ne vous aimais pas et que je ne souhaitais pas votre présence persiffleuse sur mon blog.
Mais jamais il ne me serait venu à l'esprit de vous insulter.
Me traiter de grosse, la belle affaire, avez-vous éjaculé en écrivant cette méchanceté aussi gratuite que fausse?
Votre besoin d'être aimé et flatté est-il si fort que vous soyez incapable de vous entendre dire qu'on ne vous aime point?
Mais comment donc avez-vous fait pour repérer ce billet dix minutes après sa publication ? Vous êtes à l'affût à ce point ? Je sais que vous ne m'aimez pas, ce qui me rassure beaucoup : je serais très inquiet du contraire. Je vais néanmoins vous répondre.
"Grosse", en argot, est synonyme de "fille" (une fille qu'on n'aime pas, certes...). Pesant moi-même plus de cent kilos, il est difficile de me taxer d'obésophobie (pour toutes les autres "phobies" qui vous excitent tant, allez-y : j'ai le dos large et je vous emmerde).
Pourquoi "éjaculer" ? Vous n'êtes pas capable d'écrire une phrase sans vous référer à cette minuscule opération mécanique ? Pourquoi cette référence au sexe que la nature m'a octroyé ? Et quand bien même ? Éjaculer vous semble à ce point terrible ? C'est un souvenir que vous préférez fuir ? En bref : dans cette histoire, qu'est-ce que le foutre vient foutre ?
Voyez-vous, ce qui me gêne (et me fascine, au fond) chez vous, c'est cette bêtise satisfaite, faussement angélique, que vous étalez à longueur de billets. Ce discours qui, presque à chaque fois, vous montre le contraire de ce que vous êtes réellement (cette grand-mère solidaire dont je parlais hier, ou ce matin, je ne sais plus). Cet aplatissement veule qui est le vôtre, face aux gens qui, un jour prochain, vous trancheront la gorge s'ils pensent que vous avez cessé de leur être utile.
Et puis, tout athée que je sois (et, moi, je le suis vraiment : je ne lèche pas les orteils des religieux exotiques, et des catholiques non plus), votre dernier billet m'a mis le coeur au bord des lèvres, par sa vulgarité satisfaite d'elle-même.
Voilà, je crois que le fond du mépris que vous m'inspirez (accordé à une certaine pitié) est là : vous êtes irrémédiablement vulgaire – et d'autant plus que vous vous drapez dans les voiles de je ne sais quelle pureté intangible ; mais dûment protégée par la loi : vous êtes une femme de loi et d'ordre.
Sous vos voiles translucides et mariales, voyez-vous, ce qui transparait ce n'est pas votre corps : ce sont les kalachnikovs planquées dont vous brûlez de vous servir. Et, soyez sans crainte : l'occasion vous sera sans doute donnée de le faire. Vous aurez cette joie d'appuyer sur la queue de détente (ce que vous appelez la gâchette s'appelle en réalité comme cela, je n'y puis rien ; et son éjaculation, à cette queue, sera aussi meurtrière que vos rêves l'imaginent), et celle de me voir du mauvais côté de l'arme, celui du mal absolu. Entraînez-vous, soyez prête : toute armée a besoin de supplétifs dans votre genre. Ce qu'on fait d'eux après, vous le découvrirez bien assez tôt.
Ah, oui, je voulais aussi vous parler de ce grand courage dont vous faites preuve, en attaquant (à coups d'arguments stupides, ricanants, aux relents d'ail) une religion basée sur l'amour et le pardon (et ne croyez pas que je méconnaisse ses errances et ses erreurs), tout en réservant vos moites mansuétudes à une autre qui ne rêve que de vous faire taire – et y parviendra avec vos filles, si vous en avez.
Non, je vais décevoir votre égo mais je ne suis pas à l'affût de vos billets. C'est en consultant les stats que j'ai constaté un surprenant flux venant de votre antre. Fort surprise, j'ai cliqué et découvert le pot aux roses, son parfum frelaté et son venin.
L'éjaculation ne m'effraie pas et me rend heureuse quand elle est l'aboutissement du désir.
Mais nous ne sommes pas dans ce cas de figure.
Je vous ai imaginé, ricanant devant votre clavier, livré à un obscur sentiment de puissance jubilatoire.
"Je vais la baiser, cette salope'" avez-vous pensé, sinon, vous n'auriez pas écrit le mot "grosse", vous seriez resté courtois.
Or, me traitant de grosse, vous vous placez volontairement dans une dimension sexuelle.
Quant à ma supposée bêtise...que dire, le sujet est vaste.
Nommeriez-vous "bêtise" toute opinion différente des vôtres? C'est probable.
Et puis quelle prétention de penser que vous incarnez pour moi le mal absolu!
Vous ne savez pas encore que le que le mal absolu n'existe pas?
Ce serait trop simple, trop manichéen.
L'être humain est fait de nuances, plus ou moins plaisantes je vous l'accorde.
Vulgaire dites-vous? De "vulgus": le commun des hommes. ok, je partage le commun des humains, comme vous d'ailleurs: être de chair et de sang, soumis à de triviales obligations.
Mais peut-être par vulgaire entendiez-vous autre chose? Venue du peuple par exemple. Alors oui, et j'en suis fière et heureuse. J'aurais détesté naître au sein de l'élite qui opprime et profite.
Les ors ne me séduisent pas plus que la gloire.
Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos agneaux, les fidèles de Santeramo. Si vous aviez lu mon billet avec attention vous auriez pu comprendre, car je le dis clairement, que ce qui m'a frappée, et dérangée dans cette procession, n'était pas la procession en elle même mais son changement par rapport aux années précédentes. Ce qui était une fête, une manifestation de foi familiale et bon enfant est devenu un défilé rigide et pesant d'une absolue tristesse. Une parade de censeurs.
Contrairement à ce que vous laissez entendre, je n'ai pas de mépris pour les croyants. J'en ai par contre pour les sbires des religieux et quelle que soit la religion.
Les manipulateurs des âmes me font horreur.
L'amour et le pardon? Je connais l'amour qui enchante et qui libère mais je ne reconnais pas le pardon car il suppose la faute.
Et je n'aime pas le concept de faute.
Je ne pardonne pas, j'oublie.
C'est amusant, nous avons le même âge- je n'ai pas encore la chance d'être grand-mère mais j'adorerais l'être- mais pour moi vous êtes vieux, figé dans des valeurs d'antan.
J'oubliais, en ce qui concerne les kalachnikovs, vous devez faire une erreur de personne, ce n'est pas mon style.
Etonnant de se choisir un surnom céleste et une adresse célestissime pour célébrer une religion sentimentale et désincarnée à travers un vocabulaire éthéré dans le but ultime de l'oubli... Et d'éprouver un plaisir aussi malsain à scandaliser un peuple de croyants, à blasphémer et à s'en vanter avec tant de morgue tout en s'imaginant dévorer une viande interdite et en supposant que cela provoque l'éjaculation des lecteurs... Ce serait un cas intéressant et sans doute pas vraiment isolé à soumettre à l'analyse de psy argentins, mais je m'étonne, M. Goux, que vous perdiez votre temps à parcourir de telles élucubrations. Fiez-vous à la sagesse italienne : Vergogna... Et hantez des êtres plus sains et plus libres.
Tzatza : voire deux ou trois, au point où on en est !
Céleste : bon, reprenons donc :
Je vous ai imaginé, ricanant devant votre clavier, livré à un obscur sentiment de puissance jubilatoire.Je le confesse : je ricane très souvent lorsque je vous lis. Mais, quelquefois aussi, je déprime légèrement.
"Je vais la baiser, cette salope'" avez-vous pensé, sinon, vous n'auriez pas écrit le mot "grosse", vous seriez resté courtois.Désolé de ternir mon image de gros con, mais je ne pense jamais en ces termes. D'autant moins, dans le cas qui nous occupe, que je ne vous considère nullement comme une "salope". Quant au mot "grosse", je vous ai expliqué son sens argotique hier soir : si vous refusez d'entendre, je n'y peux rien. Du reste, vous noterez que je ne connais de vous que la photo "d'identité" qui se trouve sur votre page d'accueil. J'ignore donc totalement si vous êtes grosse, maigre, petite, grande, etc. De toute façon, je ne me moque jamais du physique des gens, par principe. Seulement des cravates à chier de Nicolas.
Or, me traitant de grosse, vous vous placez volontairement dans une dimension sexuelle.Là, vous avez de la chance que je ne croie pas à la psychanalyse ! le terme "grosse" n'a qu'un rapport très lointain avec la sexualité. "Éjaculer", en revanche...
Quant à ma supposée bêtise...que dire, le sujet est vaste.Je confirme : il l'est.
Nommeriez-vous "bêtise" toute opinion différente des vôtres? C'est probable.Raté ! Mes nombreux amis de gauche pourront, je pense, vous confirmer qu'il n'en est rien. Du reste, il m'arrive moi-même d'être de gauche, quand j'ai forcé sur les boissons alcooliques.
Et puis quelle prétention de penser que vous incarnez pour moi le mal absolu!J'avoue : c'était un peu prétentieux.
Vulgaire dites-vous? De "vulgus": le commun des hommes. ok, je partage le commun des humains, comme vous d'ailleurs: être de chair et de sang, soumis à de triviales obligations.Ce qui s'appelle "botter en touche"...
Mais peut-être par vulgaire entendiez-vous autre chose? Venue du peuple par exemple. Alors oui, et j'en suis fière et heureuse. J'aurais détesté naître au sein de l'élite qui opprime et profite.Ah ! nous y voilà ! Que de sottises et de mauvaise foi dogmatique, dans ces quelques lignes ! Être fier de ses origines est absurde et vain, dans la mesure où nul n'y est pour rien. De plus, je déteste que l'on se drape dans ses origines pour s'en faire une sorte d'armure morale, je trouve cela indécent.
Évidemment, dans votre esprit, l'élite ne peut rien faire d'autre que "profiter" et, bien entendu, "opprimer". Et c'est vous qui parliez plus haut de nuances...
Les gens qui me lisent régulièrement savent tous de quel milieu fort modeste je viens. D'une part, il ne me viendrait pas à l'idée d'en être "fier" (mas je puis éventuellement en être satisfait), d'autre part, j'aurais bien aimé, moi, naître au sein de cette classe en voie d'extinction rapide, à savoir la grande bourgeoisie cultivée : cela m'aurait fait gagner de précieuses années (sur le rapport de la culture et du savoir), impossibles à rattraper ensuite.
Les ors ne me séduisent pas plus que la gloire.Ça, c'est de la pose. Et de la pose très satisfaite d'elle-même. C'est "miroir, mon beau miroir..."
Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos agneaux, les fidèles de Santeramo. Si vous aviez lu mon billet avec attention vous auriez pu comprendre, car je le dis clairement, que ce qui m'a frappée, et dérangée dans cette procession, n'était pas la procession en elle même mais son changement par rapport aux années précédentes. Ce qui était une fête, une manifestation de foi familiale et bon enfant est devenu un défilé rigide et pesant d'une absolue tristesse. Une parade de censeurs.Vous le dites en effet clairement, mas il n'est pas interdit de lire entre les lignes. Ce qui ressort, malgré que vous en ayez, c'est votre haine frénétique du catholicisme, opposé à votre émerveillement puéril pour toute forme de religion exotique quelle qu'elle soit.
Contrairement à ce que vous laissez entendre, je n'ai pas de mépris pour les croyants. J'en ai par contre pour les sbires des religieux et quelle que soit la religion.Le "quelle que soit la religion" sent la formule obligée, le dédouanement machinal. Vous scandaliseriez-vous d'aussi belle manière en exigeant une côtelette de porc dans un restaurant du Caire ou de Tanger ? Ou du fait que votre taxi est bloqué en plein Bombay par la vache sacrée couchée au milieu de la rue ?
L'amour et le pardon? Je connais l'amour qui enchante et qui libère mais je ne reconnais pas le pardon car il suppose la faute. Et je n'aime pas le concept de faute.Ah ! le "concept de faute", ça c'est vraiment admirable ! Madame Céleste, du haut de son magistère moral, ne reconnaît pas le "concept de faute". Et pfuiiit ! aussitôt la faute se retire poliment, le concept se fait invisible. C'est beau comme du Desnos.
Je ne pardonne pas, j'oublie.Solution de facilité. Pour ne pas dire de lâcheté.
C'est amusant, nous avons le même âge- je n'ai pas encore la chance d'être grand-mère mais j'adorerais l'être- mais pour moi vous êtes vieux, figé dans des valeurs d'antan.Vous voyez, je vous sers au moins cela : je vous aide à prendre votre relâchement moral et votre conformisme béat pour de la jeunesse.
J'oubliais, en ce qui concerne les kalachnikovs, vous devez faire une erreur de personne, ce n'est pas mon style.Personne (ou très peu de gens) ont le "style kalachnikov", vous savez. en revanche, il y en a des quantités (et peut-être suis-je dedans) à qui il est très facile d'en metre une dans les mains, si on a pris la peine de les convaincre (et ils sont généralement aisés à convaincre) que c'était un monstre qui se trouvait au bout du canon.
Mc Oilp : mais oui, au fond tout cela m'amuse.
Christine : je ne perds pas mon temps, je crois : il faut savoir comment pensent les autres, il faut tâcher de percer l'énigme.
Pluton : vous étiez à Rome, vous aussi ?
Dorham : ce n'est pas impossible. René Girard dirait sans doute que si on se déteste, c'est parce qu'on se ressemble et qu'on le sait...
Ne résistant pas à la haine et au mépris que je vous inspire vous m'avez attaquée, je vous ai répondu vous avez fait de même et nos positions respectives n'ont pas changé d'un iota.
Qu'importe, je respecte les opinions qui sont différentes des miennes.
Je ne vous aime pas mais ne songe pas non plus à vous attaquer ou à vous insulter. Je joue en défense, pas en attaque!
En parlant d'attaque, les attaques personnelles sont à mon sens sans intérêt, dégradantes pour qui les profère.
C'est pourquoi je ne poursuivrai pas cette discussion. J'ai réagi à votre mépris et écrit ce que je pensais, ça me suffit.
Vous répondre à nouveau en décortiquant vos arguments et contre-arguments ne fera avancer aucun schimlbilck. Futile perte de temps, même si comme vous le soulignez, la chose peut-être amusante, enfin, ça dépend ce qu'on entend par s'amuser...
Par contre je me permets de réitérer une proposition que je vous ai déjà faite: le web est grand, ignorons nous mutuellement.
Chacun chez soi et les vaches, sacrées ou non, seront bien gardées.
Excuses pour quoi, d'ailleurs ? Pour avoir mis un texte en lien, sans le moindre commentaire dépréciatif ? Pour le "grosse" du titre ? Je n'en vois pas la nécessité. encore une fois ce qualificatif de "grosse" n'a qu'une valeur argotique, tout comme le mot "barbaque" qui le suit. Ils avaient pour fonction de souligner la vulgarité agressive (à mon sens) du billet mis en lien.
Pour les excuses c'est ton problème. Mais deux ratiboisages de blogueurs en quelques heures, c'est en effet à se demander si cette chère Irremplacable n'a pas oublié de te donner à manger... (Catherine, faut le nourrir un peu des fois , mince alors, une grande carcasse comme ça...)
Tiens j'ai pensé quasi la même chose que vous, en des termes moins crus, la semaine dernière en lisant son billet sur la jupe. Je me suis dit que j'étais tombé sur une espèce rare d'über-bisounouseries. Mais contrairement à vous je me suis retenu.
Oui, c'est vrai que son billet sur Le Jour de la Jupe est assez ahurissant comme déni de la réalité. Mais bon, une femme qui soutient le port du voile à l'école ne m'étonne même plus. On voit où va sa façon de penser "grand-mère solidaire". Didier a raison de la mettre en garde sur son avenir après "leur victoire", quand elle ne servira plus à rien à ses futurs maîtres...
Marine et Bob : tiens, je l'ai oublié celui sur la jupe. J'y retourne...
Nef : tu exagères ! je ne les ai pas "ratiboisés", je me suis contenté de reproduire leurs propos. Quant à Taha, c'est lui qui me mettait en cause, non ?
Bein c'est parce qu'elle voulait pas faire maigre ce jour-là, c'est pas parce qu'elle est bouddhisante qu'elle doit être nécessairement végétarienne. Vous en faites tout un ramdam (j'ai écrit "ramdam", pas "ramadan") pour une côtelette!
Et puis c'est pas parce que son "pote" Yelrâ (le néanderthalien islamolâtre) m'a traitée de "pétasse" chez sa copine Titine qu'il faut vous croire autorisé à utiliser l'insulte sexiste, même en jouant sur les mots.
Voyons Didier, vous ne savez donc pas que toute insulte dirigé contre une femme est forcément sexiste ? Grosse, salope, pute = sexiste Gros, salop, pute (quand on parle d'un homme) = pas sexiste
Cela ne m'étonne pas, que vous "aimiez bien" Céleste. ça fait "femme moderne" mais pas trop, un féminisme acceptable pour le chrétien moderne, il faut vivre avec son temps, si elle était catho pratiquante ce serait plutot genre Thésé. ça n'effarouche pas les bons messieurs qui peuvent étaler un machisme soft et bon enfant en passant pour modernistes.
Ce qui pour moi confirme que je ne me trompe pas, si les femmes ont tant de mal à obtenir la parité, sont toujours payées 25% de moins que les hommes à travail égal en moyenne, représentent toujours 80% des smic et temps partiels etc, c'est bien parce qu'on se trimballe des galletouzes dans son genre.
Quelle élégance!
RépondreSupprimerVoyez-vous Monsieur Goux, je vous ai clairement signifié que je ne vous aimais pas et que je ne souhaitais pas votre présence persiffleuse sur mon blog.
Mais jamais il ne me serait venu à l'esprit de vous insulter.
Me traiter de grosse, la belle affaire, avez-vous éjaculé en écrivant cette méchanceté aussi gratuite que fausse?
Votre besoin d'être aimé et flatté est-il si fort que vous soyez incapable de vous entendre dire qu'on ne vous aime point?
Pauvre petit homme!
Mais comment donc avez-vous fait pour repérer ce billet dix minutes après sa publication ? Vous êtes à l'affût à ce point ? Je sais que vous ne m'aimez pas, ce qui me rassure beaucoup : je serais très inquiet du contraire. Je vais néanmoins vous répondre.
RépondreSupprimer"Grosse", en argot, est synonyme de "fille" (une fille qu'on n'aime pas, certes...). Pesant moi-même plus de cent kilos, il est difficile de me taxer d'obésophobie (pour toutes les autres "phobies" qui vous excitent tant, allez-y : j'ai le dos large et je vous emmerde).
Pourquoi "éjaculer" ? Vous n'êtes pas capable d'écrire une phrase sans vous référer à cette minuscule opération mécanique ? Pourquoi cette référence au sexe que la nature m'a octroyé ? Et quand bien même ? Éjaculer vous semble à ce point terrible ? C'est un souvenir que vous préférez fuir ? En bref : dans cette histoire, qu'est-ce que le foutre vient foutre ?
Voyez-vous, ce qui me gêne (et me fascine, au fond) chez vous, c'est cette bêtise satisfaite, faussement angélique, que vous étalez à longueur de billets. Ce discours qui, presque à chaque fois, vous montre le contraire de ce que vous êtes réellement (cette grand-mère solidaire dont je parlais hier, ou ce matin, je ne sais plus). Cet aplatissement veule qui est le vôtre, face aux gens qui, un jour prochain, vous trancheront la gorge s'ils pensent que vous avez cessé de leur être utile.
Et puis, tout athée que je sois (et, moi, je le suis vraiment : je ne lèche pas les orteils des religieux exotiques, et des catholiques non plus), votre dernier billet m'a mis le coeur au bord des lèvres, par sa vulgarité satisfaite d'elle-même.
Voilà, je crois que le fond du mépris que vous m'inspirez (accordé à une certaine pitié) est là : vous êtes irrémédiablement vulgaire – et d'autant plus que vous vous drapez dans les voiles de je ne sais quelle pureté intangible ; mais dûment protégée par la loi : vous êtes une femme de loi et d'ordre.
Sous vos voiles translucides et mariales, voyez-vous, ce qui transparait ce n'est pas votre corps : ce sont les kalachnikovs planquées dont vous brûlez de vous servir. Et, soyez sans crainte : l'occasion vous sera sans doute donnée de le faire. Vous aurez cette joie d'appuyer sur la queue de détente (ce que vous appelez la gâchette s'appelle en réalité comme cela, je n'y puis rien ; et son éjaculation, à cette queue, sera aussi meurtrière que vos rêves l'imaginent), et celle de me voir du mauvais côté de l'arme, celui du mal absolu. Entraînez-vous, soyez prête : toute armée a besoin de supplétifs dans votre genre. Ce qu'on fait d'eux après, vous le découvrirez bien assez tôt.
Ah, oui, je voulais aussi vous parler de ce grand courage dont vous faites preuve, en attaquant (à coups d'arguments stupides, ricanants, aux relents d'ail) une religion basée sur l'amour et le pardon (et ne croyez pas que je méconnaisse ses errances et ses erreurs), tout en réservant vos moites mansuétudes à une autre qui ne rêve que de vous faire taire – et y parviendra avec vos filles, si vous en avez.
RépondreSupprimerPas de doute, à vous lire tous les deux, c'est bien d'une religion d'amour et de pardon dont vous avez besoin...
RépondreSupprimerDidier Goux!
RépondreSupprimerNon, je vais décevoir votre égo mais je ne suis pas à l'affût de vos billets. C'est en consultant les stats que j'ai constaté un surprenant flux venant de votre antre.
Fort surprise, j'ai cliqué et découvert le pot aux roses, son parfum frelaté et son venin.
L'éjaculation ne m'effraie pas et me rend heureuse quand elle est l'aboutissement du désir.
Mais nous ne sommes pas dans ce cas de figure.
Je vous ai imaginé, ricanant devant votre clavier, livré à un obscur sentiment de puissance jubilatoire.
"Je vais la baiser, cette salope'" avez-vous pensé, sinon, vous n'auriez pas écrit le mot "grosse", vous seriez resté courtois.
Or, me traitant de grosse, vous vous placez volontairement dans une dimension sexuelle.
Quant à ma supposée bêtise...que dire, le sujet est vaste.
Nommeriez-vous "bêtise" toute opinion différente des vôtres?
C'est probable.
Et puis quelle prétention de penser que vous incarnez pour moi le mal absolu!
Vous ne savez pas encore que le que le mal absolu n'existe pas?
Ce serait trop simple, trop manichéen.
L'être humain est fait de nuances, plus ou moins plaisantes je vous l'accorde.
Vulgaire dites-vous?
De "vulgus": le commun des hommes.
ok, je partage le commun des humains, comme vous d'ailleurs: être de chair et de sang, soumis à de triviales obligations.
Mais peut-être par vulgaire entendiez-vous autre chose?
Venue du peuple par exemple.
Alors oui, et j'en suis fière et heureuse. J'aurais détesté naître au sein de l'élite qui opprime et profite.
Les ors ne me séduisent pas plus que la gloire.
Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos agneaux, les fidèles de Santeramo. Si vous aviez lu mon billet avec attention vous auriez pu comprendre, car je le dis clairement, que ce qui m'a frappée, et dérangée dans cette procession, n'était pas la procession en elle même mais son changement par rapport aux années précédentes. Ce qui était une fête, une manifestation de foi familiale et bon enfant est devenu un défilé rigide et pesant d'une absolue tristesse. Une parade de censeurs.
Contrairement à ce que vous laissez entendre, je n'ai pas de mépris pour les croyants. J'en ai par contre pour les sbires des religieux et quelle que soit la religion.
Les manipulateurs des âmes me font horreur.
L'amour et le pardon?
Je connais l'amour qui enchante et qui libère mais je ne reconnais pas le pardon car il suppose la faute.
Et je n'aime pas le concept de faute.
Je ne pardonne pas, j'oublie.
C'est amusant, nous avons le même âge- je n'ai pas encore la chance d'être grand-mère mais j'adorerais l'être- mais pour moi vous êtes vieux, figé dans des valeurs d'antan.
J'oubliais, en ce qui concerne les kalachnikovs, vous devez faire une erreur de personne, ce n'est pas mon style.
Continuons de rire entre pauvres petits hommes que nous sommes.
RépondreSupprimerEt invitons courtoisement de pauvre petites femmes à se joindre à nous
Etonnant de se choisir un surnom céleste et une adresse célestissime pour célébrer une religion sentimentale et désincarnée à travers un vocabulaire éthéré dans le but ultime de l'oubli...
RépondreSupprimerEt d'éprouver un plaisir aussi malsain à scandaliser un peuple de croyants, à blasphémer et à s'en vanter avec tant de morgue tout en s'imaginant dévorer une viande interdite et en supposant que cela provoque l'éjaculation des lecteurs...
Ce serait un cas intéressant et sans doute pas vraiment isolé à soumettre à l'analyse de psy argentins, mais je m'étonne, M. Goux, que vous perdiez votre temps à parcourir de telles élucubrations. Fiez-vous à la sagesse italienne : Vergogna...
Et hantez des êtres plus sains et plus libres.
Didier, heureusement que vous existez. Ce qu'on peut se marrer sur votre blog !
RépondreSupprimerPluton de retour (comme une cloche) ;))
Didier,
RépondreSupprimerMoi, j'aime bien Céleste. Mais son texte est biaisé, autant que ceux que vous produisez sur l'Islam.
Je le lui ai dit chez elle car comme je vous l'ai dit : je l'aime bien.
Didier, vous fûtes grand dans votre post et dans les réponses à la pauvre fille.
RépondreSupprimerMerci pour ce moment de rigolade (le titre) et d'intelligence (vos réponses).
Tzatza : voire deux ou trois, au point où on en est !
RépondreSupprimerCéleste : bon, reprenons donc :
Je vous ai imaginé, ricanant devant votre clavier, livré à un obscur sentiment de puissance jubilatoire.Je le confesse : je ricane très souvent lorsque je vous lis. Mais, quelquefois aussi, je déprime légèrement.
"Je vais la baiser, cette salope'" avez-vous pensé, sinon, vous n'auriez pas écrit le mot "grosse", vous seriez resté courtois.Désolé de ternir mon image de gros con, mais je ne pense jamais en ces termes. D'autant moins, dans le cas qui nous occupe, que je ne vous considère nullement comme une "salope". Quant au mot "grosse", je vous ai expliqué son sens argotique hier soir : si vous refusez d'entendre, je n'y peux rien. Du reste, vous noterez que je ne connais de vous que la photo "d'identité" qui se trouve sur votre page d'accueil. J'ignore donc totalement si vous êtes grosse, maigre, petite, grande, etc. De toute façon, je ne me moque jamais du physique des gens, par principe. Seulement des cravates à chier de Nicolas.
Or, me traitant de grosse, vous vous placez volontairement dans une dimension sexuelle.Là, vous avez de la chance que je ne croie pas à la psychanalyse ! le terme "grosse" n'a qu'un rapport très lointain avec la sexualité. "Éjaculer", en revanche...
Quant à ma supposée bêtise...que dire, le sujet est vaste.Je confirme : il l'est.
Nommeriez-vous "bêtise" toute opinion différente des vôtres? C'est probable.Raté ! Mes nombreux amis de gauche pourront, je pense, vous confirmer qu'il n'en est rien. Du reste, il m'arrive moi-même d'être de gauche, quand j'ai forcé sur les boissons alcooliques.
Et puis quelle prétention de penser que vous incarnez pour moi le mal absolu!J'avoue : c'était un peu prétentieux.
Vulgaire dites-vous? De "vulgus": le commun des hommes. ok, je partage le commun des humains, comme vous d'ailleurs: être de chair et de sang, soumis à de triviales obligations.Ce qui s'appelle "botter en touche"...
Mais peut-être par vulgaire entendiez-vous autre chose? Venue du peuple par exemple. Alors oui, et j'en suis fière et heureuse. J'aurais détesté naître au sein de l'élite qui opprime et profite.Ah ! nous y voilà ! Que de sottises et de mauvaise foi dogmatique, dans ces quelques lignes ! Être fier de ses origines est absurde et vain, dans la mesure où nul n'y est pour rien. De plus, je déteste que l'on se drape dans ses origines pour s'en faire une sorte d'armure morale, je trouve cela indécent.
Évidemment, dans votre esprit, l'élite ne peut rien faire d'autre que "profiter" et, bien entendu, "opprimer". Et c'est vous qui parliez plus haut de nuances...
Les gens qui me lisent régulièrement savent tous de quel milieu fort modeste je viens. D'une part, il ne me viendrait pas à l'idée d'en être "fier" (mas je puis éventuellement en être satisfait), d'autre part, j'aurais bien aimé, moi, naître au sein de cette classe en voie d'extinction rapide, à savoir la grande bourgeoisie cultivée : cela m'aurait fait gagner de précieuses années (sur le rapport de la culture et du savoir), impossibles à rattraper ensuite.
Les ors ne me séduisent pas plus que la gloire.Ça, c'est de la pose. Et de la pose très satisfaite d'elle-même. C'est "miroir, mon beau miroir..."
Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos agneaux, les fidèles de Santeramo. Si vous aviez lu mon billet avec attention vous auriez pu comprendre, car je le dis clairement, que ce qui m'a frappée, et dérangée dans cette procession, n'était pas la procession en elle même mais son changement par rapport aux années précédentes. Ce qui était une fête, une manifestation de foi familiale et bon enfant est devenu un défilé rigide et pesant d'une absolue tristesse. Une parade de censeurs.Vous le dites en effet clairement, mas il n'est pas interdit de lire entre les lignes. Ce qui ressort, malgré que vous en ayez, c'est votre haine frénétique du catholicisme, opposé à votre émerveillement puéril pour toute forme de religion exotique quelle qu'elle soit.
Contrairement à ce que vous laissez entendre, je n'ai pas de mépris pour les croyants. J'en ai par contre pour les sbires des religieux et quelle que soit la religion.Le "quelle que soit la religion" sent la formule obligée, le dédouanement machinal. Vous scandaliseriez-vous d'aussi belle manière en exigeant une côtelette de porc dans un restaurant du Caire ou de Tanger ? Ou du fait que votre taxi est bloqué en plein Bombay par la vache sacrée couchée au milieu de la rue ?
L'amour et le pardon? Je connais l'amour qui enchante et qui libère mais je ne reconnais pas le pardon car il suppose la faute. Et je n'aime pas le concept de faute.Ah ! le "concept de faute", ça c'est vraiment admirable ! Madame Céleste, du haut de son magistère moral, ne reconnaît pas le "concept de faute". Et pfuiiit ! aussitôt la faute se retire poliment, le concept se fait invisible. C'est beau comme du Desnos.
Je ne pardonne pas, j'oublie.Solution de facilité. Pour ne pas dire de lâcheté.
C'est amusant, nous avons le même âge- je n'ai pas encore la chance d'être grand-mère mais j'adorerais l'être- mais pour moi vous êtes vieux, figé dans des valeurs d'antan.Vous voyez, je vous sers au moins cela : je vous aide à prendre votre relâchement moral et votre conformisme béat pour de la jeunesse.
J'oubliais, en ce qui concerne les kalachnikovs, vous devez faire une erreur de personne, ce n'est pas mon style.Personne (ou très peu de gens) ont le "style kalachnikov", vous savez. en revanche, il y en a des quantités (et peut-être suis-je dedans) à qui il est très facile d'en metre une dans les mains, si on a pris la peine de les convaincre (et ils sont généralement aisés à convaincre) que c'était un monstre qui se trouvait au bout du canon.
Mc Oilp : mais oui, au fond tout cela m'amuse.
Christine : je ne perds pas mon temps, je crois : il faut savoir comment pensent les autres, il faut tâcher de percer l'énigme.
Pluton : vous étiez à Rome, vous aussi ?
Dorham : ce n'est pas impossible. René Girard dirait sans doute que si on se déteste, c'est parce qu'on se ressemble et qu'on le sait...
(Mais fuck René !)
Camille : grand merci ! Vous avez vu : il y en a un nouveau "train"...
RépondreSupprimervotre dernière réponse est toujours aussi lumineuse ! Ah Didier, je vais vous envoyer une couronne de lauriers !
RépondreSupprimerCamille : je suis sûr que ça s'accordera très bien avec mon genre de beauté...
RépondreSupprimervous avez un petit côté Jules César - qui affranchit le rubicond ?
RépondreSupprimer(un bon point à qui trouve l'origine de cette désopilant blague)
Astérix (sans doute les lauriers de César, mais je ne suis pas certin).
RépondreSupprimerDidier Goux bonjour!
RépondreSupprimerNe résistant pas à la haine et au mépris que je vous inspire vous m'avez attaquée, je vous ai répondu vous avez fait de même et nos positions respectives n'ont pas changé d'un iota.
Qu'importe, je respecte les opinions qui sont différentes des miennes.
Je ne vous aime pas mais ne songe pas non plus à vous attaquer ou à vous insulter.
Je joue en défense, pas en attaque!
En parlant d'attaque, les attaques personnelles sont à mon sens sans intérêt, dégradantes pour qui les profère.
C'est pourquoi je ne poursuivrai pas cette discussion. J'ai réagi à votre mépris et écrit ce que je pensais, ça me suffit.
Vous répondre à nouveau en décortiquant vos arguments et contre-arguments ne fera avancer aucun schimlbilck.
Futile perte de temps, même si comme vous le soulignez, la chose peut-être amusante, enfin, ça dépend ce qu'on entend par s'amuser...
Par contre je me permets de réitérer une proposition que je vous ai déjà faite: le web est grand, ignorons nous mutuellement.
Chacun chez soi et les vaches, sacrées ou non, seront bien gardées.
Je pense que c'est sage.
Shocking Didier ! Je ne pensais pas que l'absence de salade sur la table vous mettait dans des états pareils.
RépondreSupprimerEn gros, il ne vous reste plus qu'à présenter des excuses. A genoux. Jusqu'à la prochaine station.
Oué.
RépondreSupprimerComme Mtislav.
Céleste : d'accord, soyons sages...
RépondreSupprimerMtislav et Nef : excuses, my ass !
Excuses pour quoi, d'ailleurs ? Pour avoir mis un texte en lien, sans le moindre commentaire dépréciatif ? Pour le "grosse" du titre ? Je n'en vois pas la nécessité. encore une fois ce qualificatif de "grosse" n'a qu'une valeur argotique, tout comme le mot "barbaque" qui le suit. Ils avaient pour fonction de souligner la vulgarité agressive (à mon sens) du billet mis en lien.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerQuand vous mordez cela fait mal, et c'est un spectacle magnifique.
Vous n'avez pas besoin de Kalach, quelques mots vous suffisent pour exécuter avec élégance. Bravo!
Pour les excuses c'est ton problème. Mais deux ratiboisages de blogueurs en quelques heures, c'est en effet à se demander si cette chère Irremplacable n'a pas oublié de te donner à manger...
RépondreSupprimer(Catherine, faut le nourrir un peu des fois , mince alors, une grande carcasse comme ça...)
Ça y est, ça va être de ma faute !
RépondreSupprimerTiens j'ai pensé quasi la même chose que vous, en des termes moins crus, la semaine dernière en lisant son billet sur la jupe. Je me suis dit que j'étais tombé sur une espèce rare d'über-bisounouseries.
RépondreSupprimerMais contrairement à vous je me suis retenu.
Mais oui Catherine, si un homme est de mauvais poil, c'est forcément à cause de sa femme. (Bon. Faut que j'arrête de fréquenter mon oncle... )
RépondreSupprimerOui, c'est vrai que son billet sur Le Jour de la Jupe est assez ahurissant comme déni de la réalité. Mais bon, une femme qui soutient le port du voile à l'école ne m'étonne même plus. On voit où va sa façon de penser "grand-mère solidaire". Didier a raison de la mettre en garde sur son avenir après "leur victoire", quand elle ne servira plus à rien à ses futurs maîtres...
RépondreSupprimerMarine et Bob : tiens, je l'ai oublié celui sur la jupe. J'y retourne...
RépondreSupprimerNef : tu exagères ! je ne les ai pas "ratiboisés", je me suis contenté de reproduire leurs propos. Quant à Taha, c'est lui qui me mettait en cause, non ?
(Mais c'est vrai que j'ai un petit creux, là...)
Bein c'est parce qu'elle voulait pas faire maigre ce jour-là, c'est pas parce qu'elle est bouddhisante qu'elle doit être nécessairement végétarienne. Vous en faites tout un ramdam (j'ai écrit "ramdam", pas "ramadan") pour une côtelette!
RépondreSupprimerEt puis c'est pas parce que son "pote" Yelrâ (le néanderthalien islamolâtre) m'a traitée de "pétasse" chez sa copine Titine qu'il faut vous croire autorisé à utiliser l'insulte sexiste, même en jouant sur les mots.
Mais enfin, grosse n'est nullement une insulte sexiste !
RépondreSupprimerVoyons Didier, vous ne savez donc pas que toute insulte dirigé contre une femme est forcément sexiste ?
RépondreSupprimerGrosse, salope, pute = sexiste
Gros, salop, pute (quand on parle d'un homme) = pas sexiste
Bob : un ami à moi, il y a longtemps, avait forgé le mot "put"(prononcé "pu") pour désigner un prostitué.
RépondreSupprimer@ Dorham
RépondreSupprimerCela ne m'étonne pas, que vous "aimiez bien" Céleste. ça fait "femme moderne" mais pas trop, un féminisme acceptable pour le chrétien moderne, il faut vivre avec son temps, si elle était catho pratiquante ce serait plutot genre Thésé. ça n'effarouche pas les bons messieurs qui peuvent étaler un machisme soft et bon enfant en passant pour modernistes.
Ce qui pour moi confirme que je ne me trompe pas, si les femmes ont tant de mal à obtenir la parité, sont toujours payées 25% de moins que les hommes à travail égal en moyenne, représentent toujours 80% des smic et temps partiels etc, c'est bien parce qu'on se trimballe des galletouzes dans son genre.
ça doit etre "Taizé", pardon. Un patelin dans le bas Berry?... Enfin dans la province natale de Célestine.
RépondreSupprimerEt c'est peut-etre "galtouzes" et pas "galletouzes"? m'enfin la transcription de l'argot est aléatoire...