Son mari est marin. Il a une cantine pour transporter son bazar quand il part faire un tour du monde. Cette fois-ci, il est très chargé et a du mal à fermer sa cantine. Sa femme va donc sur sa cantine pour l'aider en pesant de tout son poids.
C'est du parler paysan, routier ou auto-stoppeur... "Vous allez sur Toulouse ?" La cantine ainsi désignée, serait donc là, plus le bâtiment et son terrain que la fonction.
Et s'il y avait un salon de thé sur le toit-terrasse de la cantine ? Hein ? Hein ? Dites... Bon, j'arrête. Inutile de courir, il fallait partir à point.
Catherine : z'avez pas honte ? Non seulement votre époux travaille plus que de raison, non seulement il doit ramener du pain, mais en plus vous profitez de cette plate-forme pour le harceler, témoignant ainsi à son égard un manque de confiance et exprimant de façon ostentatoire le désir mégalomane de diriger les opérations. Didier, vous laissez pas faire, merde ! Du coup, moi, je fonde une association : "Ni gigolos ni boboys". Non mais !
Didier, les billets intellos, l'en faut. Comme ça, on a l'impression de l'être (intello) rien qu'en comentant le billet d'à côté, par imprégnation, par transpiration.
C'est amusant, j'ai relevé moi aussi, il y a quelques jours seulement, un « En c'moment, j'bouge sur la préfecture » du plus bel effet, proféré par un de ces nombreux crétins qui semblent tenir absolument à ce que le monde qui les entoure partage avec eux les barbarismes qu'ils hurlent dans leur téléphone portable.
"j'ai relevé dans votre billet, sur votre site, cette expression qui me rappelle celle de Gide dans son Journal" Le site et le blog se lisent sur un écran, c'est plutôt pour ça ? Le billet et l'article sont finis, mis en forme, ils ont des limites, on peut aller dedans, tandis que le blog et le site se déroulent sans fin sur l'écran ?
Il y en qui préfèrent aller aux putes, mais bon ...
RépondreSupprimerSon mari est marin. Il a une cantine pour transporter son bazar quand il part faire un tour du monde. Cette fois-ci, il est très chargé et a du mal à fermer sa cantine. Sa femme va donc sur sa cantine pour l'aider en pesant de tout son poids.
RépondreSupprimerOn commence par habiter sur Paris, et on finit par aller sur la cantine.
RépondreSupprimerEt on travaille sur un groupe...
RépondreSupprimerCa me laisse sur le cul.
RépondreSupprimerDes jeunettes ou des femmes sur le tard ?
RépondreSupprimerElles s'appelaient sur le portable ?
RépondreSupprimer:-))
J'étais sûr que ç'allait inspirer tout le monde ! Après ça, crevez-vous à faire des billets intellos de deux feuillets...
RépondreSupprimerPRR : plutôt fidèles de TF1 que lectrices de Public...
Oublie pas d'aller sur la boulangerie (non pas sur la boulangère !).
RépondreSupprimerC'est fait ! je viens même d'en faire un billet...
RépondreSupprimerC'est du parler paysan, routier ou auto-stoppeur... "Vous allez sur Toulouse ?" La cantine ainsi désignée, serait donc là, plus le bâtiment et son terrain que la fonction.
RépondreSupprimerEt s'il y avait un salon de thé sur le toit-terrasse de la cantine ? Hein ? Hein ? Dites... Bon, j'arrête. Inutile de courir, il fallait partir à point.
RépondreSupprimerAppas : n'essayez pas de jeter le trouble en moi : c'est MA cantine et il n'y a pas de terrasse !
RépondreSupprimerC'est vrai quoi, merde...
Catherine : z'avez pas honte ?
RépondreSupprimerNon seulement votre époux travaille plus que de raison, non seulement il doit ramener du pain, mais en plus vous profitez de cette plate-forme pour le harceler, témoignant ainsi à son égard un manque de confiance et exprimant de façon ostentatoire le désir mégalomane de diriger les opérations.
Didier, vous laissez pas faire, merde !
Du coup, moi, je fonde une association : "Ni gigolos ni boboys".
Non mais !
Ça me rappelle un dessin animé de Tex Avery. Le propriétaire du saloon dit:" The drinks are on the house" et tout le monde file sur le toit.
RépondreSupprimerPascal, vous feriez mieux de vous taire sur ce sujet.
RépondreSupprimerDidier, les billets intellos, l'en faut. Comme ça, on a l'impression de l'être (intello) rien qu'en comentant le billet d'à côté, par imprégnation, par transpiration.
RépondreSupprimerOuais , comme ça on peut se culturer sur le tas.
RépondreSupprimerDidier, Didier, y a votre Dame qu'est méchante avec moi, là !
RépondreSupprimerC'est amusant, j'ai relevé moi aussi, il y a quelques jours seulement, un « En c'moment, j'bouge sur la préfecture » du plus bel effet, proféré par un de ces nombreux crétins qui semblent tenir absolument à ce que le monde qui les entoure partage avec eux les barbarismes qu'ils hurlent dans leur téléphone portable.
RépondreSupprimerOn dit "j'ai lu ça sur le blog de Machin" ou "dans le blog de Machin"?
RépondreSupprimerTout le monde dit "sur", j'ai l'impression.
Je pense que le "sur" vient de ce qu'on assimile un blog à un journal. Mais bon...
RépondreSupprimer"Je pense que le "sur" vient de ce qu'on assimile un blog à un journal".
RépondreSupprimerOui, mais comme - me semble-t-il - on lit une information "dans" le journal...
Geneviève, vous avez raison : j'ai dit une connerie...
RépondreSupprimerHeureusement que Geneviève veille !
RépondreSupprimer"j'ai relevé dans votre billet, sur votre site, cette expression qui me rappelle celle de Gide dans son Journal"
Le site et le blog se lisent sur un écran, c'est plutôt pour ça ? Le billet et l'article sont finis, mis en forme, ils ont des limites, on peut aller dedans, tandis que le blog et le site se déroulent sans fin sur l'écran ?
Ah ! à moins que d'ça... (comme dirait la tante Léonie)
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