La Petite Dame note avec une aisance absolument impossible de nos jours ceci : André Gide éprouve une sorte de répulsion physique face à la race indienne (on parle des habitants de l'Inde, pas des Peaux-Rouges, mais ne dites rien à Céleste, elle pourrait le prendre mal). Les gens d'aujourd'hui frissonnent : comment un gens-de-gauche comme Gide peut-il dire une chose aussi abjecte ? C'est simple : il ne savait pas que les races allaient disparaître, passer à la trappe. Personne, à son époque, ne savait qu'on allait nous faire cette entourloupe.
Dans les années naissantes du vingtième siècle, tout le monde savait fort bien que les noirs, les asiatiques, les blancs, étaient de races différentes. Aujourd'hui aussi, mais il est devenu impossible de le dire. C'est très amusant.
Or... Or, le cerveau n'est pas tout. Le cerveau humain se plie volontiers aux injonctions de nos maîtres du moment, mais nos bites beaucoup moins, pardonnez-moi mes maîtres – et c'est pour ne rien dire de vos chattes, mes sœurs.
Nos bites sont assez rétives au politiquement correct, faites-en l'expérience. Imaginez une tablée de quatre hommes, parlant de femmes. L'un dit : « Désolé, mais les grandes blondes pâlichonnes me laissent le bitogramme absolument plat. » Et l'autre : « Moi, les négresses, je m'en fous. » Le troisième : « Les petites grosses brunes du pourtour méditerranéen, je te les laisse. »
Bon. Maintenant, imaginez cette discussion en vrai. Celui qui se fout des grandes blondes scandinaves minces (ce qui est parfaitement mon cas) dira simplement : « Je ne fous des grandes blondes scandinaves minces », et personne n'y trouvera rien à redire. Imaginez le même homme, que les femmes africaines laisse de marbre (ce qui est toujours mon cas). Que va-t-il dire ? Quelque chose comme ça : « Je n'aime pas les Africaines, mais... mais... mais... c'est JUSTE ÉROTIQUE, HEIN ! », ce que nul ne lui aura demandé de préciser concernant les Scandinaves.
En outre, personne ne sera surpris que tel homme n'aime QUE les petites femmes, ou QUE les grosses, ou QUE les longilignes, ou QUE les blondes, ou QUE les Asiatiques. Voire QUE les noires. Ou QUE les Méditerranéennes, comme c'est plus ou moins mon cas.
Le problème est qu'il ne semble pas exister de noires, d'asiatiques, d' arabes, de rien du tout : c'est écrit dans les journaux. D'accord, mais enfin... ma queue, moi, elle me dit autre chose... Ta queue a tort, connard ! Ah ? Oui, elle a tort : il n'y a que des individus, pas de races ! Bon... C'est dommage... Moi, je continue à bien aimer toutes ces femmes du pourtour méditérranéen...
Raciste ! Sale con !
(Calme-toi, fringante : on va se mettre aux Scandinaves et aux négresses, puisqu'il le faut...)
Dans les années naissantes du vingtième siècle, tout le monde savait fort bien que les noirs, les asiatiques, les blancs, étaient de races différentes. Aujourd'hui aussi, mais il est devenu impossible de le dire. C'est très amusant.
Or... Or, le cerveau n'est pas tout. Le cerveau humain se plie volontiers aux injonctions de nos maîtres du moment, mais nos bites beaucoup moins, pardonnez-moi mes maîtres – et c'est pour ne rien dire de vos chattes, mes sœurs.
Nos bites sont assez rétives au politiquement correct, faites-en l'expérience. Imaginez une tablée de quatre hommes, parlant de femmes. L'un dit : « Désolé, mais les grandes blondes pâlichonnes me laissent le bitogramme absolument plat. » Et l'autre : « Moi, les négresses, je m'en fous. » Le troisième : « Les petites grosses brunes du pourtour méditerranéen, je te les laisse. »
Bon. Maintenant, imaginez cette discussion en vrai. Celui qui se fout des grandes blondes scandinaves minces (ce qui est parfaitement mon cas) dira simplement : « Je ne fous des grandes blondes scandinaves minces », et personne n'y trouvera rien à redire. Imaginez le même homme, que les femmes africaines laisse de marbre (ce qui est toujours mon cas). Que va-t-il dire ? Quelque chose comme ça : « Je n'aime pas les Africaines, mais... mais... mais... c'est JUSTE ÉROTIQUE, HEIN ! », ce que nul ne lui aura demandé de préciser concernant les Scandinaves.
En outre, personne ne sera surpris que tel homme n'aime QUE les petites femmes, ou QUE les grosses, ou QUE les longilignes, ou QUE les blondes, ou QUE les Asiatiques. Voire QUE les noires. Ou QUE les Méditerranéennes, comme c'est plus ou moins mon cas.
Le problème est qu'il ne semble pas exister de noires, d'asiatiques, d' arabes, de rien du tout : c'est écrit dans les journaux. D'accord, mais enfin... ma queue, moi, elle me dit autre chose... Ta queue a tort, connard ! Ah ? Oui, elle a tort : il n'y a que des individus, pas de races ! Bon... C'est dommage... Moi, je continue à bien aimer toutes ces femmes du pourtour méditérranéen...
Raciste ! Sale con !
(Calme-toi, fringante : on va se mettre aux Scandinaves et aux négresses, puisqu'il le faut...)
Tonnegrande aime bien les négresses avec des gros culs. Ca veut dire qu'il est waciste ?
RépondreSupprimerEt moi j'aime bien les gwands noirs. Je suis raciste ?
RépondreSupprimerNon, ça veut dire qu'il bande, et qu'il a bien raison.
RépondreSupprimerCatherine : COUCHÉE !!!
RépondreSupprimerOn préfère plutôt parler de groupes humains que de races au jour d'aujourd'hui (lien).
RépondreSupprimerRien à voir avec des groupes raciaux complètement séparés.
Groupe humain c'est trop discriminant, il faudrait dire Collectif de cellules formant une personnalité.
RépondreSupprimerDe gauche, Gide ?...
RépondreSupprimerEt j'adore les rousses. Cheveuxiste ?
Et moi j'aime les petits roux, les grands blonds, les bruns aux yeux verts (si je me réfère à ceux qui ont eu droit à mes gracieusetés.)Je n'aurais vu aucun inconvénient aux asiates ou aux magnifiques Tutsi, ça ne s'est pas présenté. Quant aux races, ça ne veut rien dire puisque la couleur de peau est un marqueur parmi beaucoup d'autres et je peux avoir un génome plus proche d'une chinoise que de ma cousine à part un ou deux morceaux. Le reste n'est que culture. Et on bande culturel, c'est comme ça!
RépondreSupprimerJ'ai toujours un petit faible pour les japonaises. Enfin, plutôt un gros dur car en plus je suis vantard.
RépondreSupprimerD'ailleurs, je regarde toujours les chevilles en premier, pour retrouver la même finesse asiatique. Par contre, je suis dans l'obligation d'admettre que les japonaises peuvent être aussi chiantes que les autres.
La bite ne ment pas
RépondreSupprimerPhilippe Putain.
Et pourquoi donc n'évoquez-vous que des femmes ? Seriez-vous homophobe ?
RépondreSupprimer"La bite ne ment pas" Je vais méditer ça...
RépondreSupprimerTiens, Nefisa n'est pas passée...
RépondreSupprimerElle aurait relevé le "fringante"...
(Loin des remords, des crimes, des douleurs,
Emporte-moi, wagon, enlève-moi fringante)
Sans votre cerveau, votre fringante ne saurait pas grand-chose...
Vous pensez trop avec votre bite, à mon avis mais bon… :-)))
RépondreSupprimerMalavita : on préfère, on préfère... Ben pas moi, justement !
RépondreSupprimerFestfury : mouarf !
Zoé : oui, mais le concept de race (mot à sens multiples) ne se résume pas à la seule génétique.
PRR : Japonaises petites ou grandes ? Car tout est question de thaï...
L'immoraliste : même pas ! Vous croyez que je devrais ?
Suzanne : parfois Nefisa passe mais ne dit rien...
Poireau : oui, d'ailleurs mes billets s'en ressentent.
La bite ne ment peut-être pas mais elle peut être très tortueuse...
RépondreSupprimerPluton Gigot de La Peyronnie
L'avantage est de pouvoir tirer dans les coins si je puis dire...
RépondreSupprimerEt merci pour ce plaisant billet cher Didier!
Selon Michel Onfray, notre principal organe sexuel serait le cerveau...
RépondreSupprimerLe David de Michel-Ange, merci Didier, je ne me lasse pas de le contempler, et de cet angle de vue peu usité, il est encore plus beau...
RépondreSupprimerChère Emma, le David vous paraitrait bien fade si vous me connaissiez...
RépondreSupprimerSi j'ai bien tout compris Pascal Labeuche, vous aussi abusez du "Tabasco"...
RépondreSupprimerNon non, Monsieur Pluton, je n'en abuse pas, mon corps le produit, voilà tout...
RépondreSupprimerAvez-vous besoin d'un mètre de couturière pour lancer le concours ?
RépondreSupprimerMèfi comme on dit dans l'extrême sud !! De telles phéromones risquent de vous submerger d'avides prétendants(es) ! ;))
RépondreSupprimerMe concernant, Madame Martin, un seul n'y suffira pas.
RépondreSupprimer"40°à l'ombre" d'Eugène Labeuche.
RépondreSupprimerVous voyez, Didier, dans quel état nous mettent vos billets ...
RépondreSupprimerAh, Monsieur Labeuche, on voit bien que vous êtes du Midi (ou « du Sud », comme on doit dire maintenant).
RépondreSupprimerÀ ce propos, t'habites à combien de kilomètres de Tours ?
Didier, faites vite, là, revenez, y a Chieuvrou qui veut savoir quel cirque on fait rance à m'habite !
RépondreSupprimer""Brésil: les femmes le laissent de marbre... il viole 400 vaches""
RépondreSupprimerl'info ne précisait pas la race ...
Moi, cher Didier, on m a bien eleve. on m a appris a gouter de tout et je m en felicite.
RépondreSupprimerDesole pour l absence d accent, un clavie qwery sudiste l explique