Comme l'auront compris même les plus ensuqués de la pensarde, l'Irremplaçable et moi nous trouvons à Plieux depuis exactement une semaine. J'avais, dès avant notre départ de Normandie, décidé d'y tenir une sorte de journal, et de ne le donner à lire (éventuellement) qu'une fois rentré at home. Cédant à la demande générale de Catherine, ce sera finalement une publication hebdomadaire – sur le “Bungalow” pour ne pas encombrer ce blog-ci, où, probablement, je continuerai à publier d'autres textes concernant Plieux, mais non directement liés à “la vie comme elle va”. Enfin, bon, on verra, tout cela n'est pas très clair dans mon esprit (ben tiens !...). Donc, pour la première livraison du Journal de Plieux, c'est par ici.
Je ne dirai qu'un mot : Bravo !
RépondreSupprimerEt merci à Mâme Catherine de nous avoir soutenu dans ce combat !
Pour Tariquet, c'est parce qu'il s'agit d'un nom de domaine que je penche pour la majuscule : un sauvignon ou un chardonnay de Tariquet. Mais bon, d'autres auront peut-être un avis plus sûr que le mien ?
Je viens de lire avec grand plaisir la première livraison du "Journal de Plieux". Comme Catherine a eu raison de vous convaincre de raccourcir le délai de parution ! Quelle chance pour les lecteurs de ce blog, nous aurons donc l'habituel billet quotidien et, en prime, chaque samedi, le journal plieusain de la semaine. Vous devriez partir plus souvent en vacances. Ce blog est tout à fait exceptionnel, d'habitude (enfin j'imagine parce que je ne lis pas tellement de blogs) quand les tenanciers sont partis, il faut patienter, ici c'est bien mieux : au mois d'août, le blog se dédouble.
RépondreSupprimerSinon, vous êtes bien fier avec votre première vente ; moi, j’ai vendu deux « Demeures de l’esprit » d’un coup ! Enfin il vous reste trois semaines pour vous rattraper.
Je vous souhaite trois autres bonnes semaines à Plieux. Enfin trois moins une, si je comprends bien. Mais au fait, ça va donner quoi, votre retour en Normandie, dans le « Journal de Plieux ». ? Y aura-t-il une livraison la semaine prochaine ? Avec un changement de titre pour ce deuxième numéro, genre « Journal de Plieux et du Pessis-Hébert ». Parce qu’il faut pas rigoler avec l’attente des lecteurs !
Là, aujourd'hui, je suis aux anges avec vos descriptions d'installation, de visites, de visiteurs et de leurs réactions. Je me demande si vous allez en rester à ce premier et seul été plieusain ...
RépondreSupprimerBravo pour la commodité de l'inscription des messages chez vous et chez Catherine, "vie moderne" comme chantait je ne sais pas exactement qui.
RépondreSupprimerJe reviens après lecture. Quel bonheur ! Bravo ! Et vivement la suite !
RépondreSupprimerAgnès : je pense que vous avez raison, pour Tariquet.
RépondreSupprimerPascale : moi aussi, j'ai vendu DEUX Demeures ! Et également un exemplaire de Comment massacrer une maison de campagne..., et toc ! Pour la semaine à Levallois, on verra bien, hein ?
Emma : il est question que Renaud Camus et Pierre repartent l'année prochaine...
Emma : la chanson est de Léo Ferré.
RépondreSupprimerUn vrai bonheur que de vous lire cher Didier !! Excellente idée ! Si j'ai bien compris, vous êtes confrontés à un véritable "challenge commercial"... Je suis allé me ravitailler et j'ai pensé à vous et R.C. bien entendu ! A bientôt.
RépondreSupprimerAh bon il était en vente le "Comment massacrer..." ?
RépondreSupprimerPascale : tous les Camus qu'on trouve entre la cuisine et la chambre de Madame sont en vente ! (Confirmation par RC himself, hier, au téléphone...)
RépondreSupprimerPluton : tout ravitaillement sra le bienvenu : ici, c'est l'tiers-monde !
Mince alors, je m'en suis tenue à ceux qui sont sur la grande table et comme j'avais regretté auprès de Mme L. que n'y figurent pas au moins le "Département du Gers" et les "Onze sites mineurs", elle m'avait répondu que RC présentait peu de ses livres parce qu'il disait que les gens ne venaient pas pour son oeuvre. Du coup, bêtement et à mon grand regret maintenant, je n'ai pas osé vendre les autres livres. Et dire qu'on m'a demandé les "Sites mineurs" ! Quelle imbécile je suis et comme vous êtes un bien meilleur administrateur des affaires camusiennes que moi !
RépondreSupprimerCela me chagrine d'autant plus que vendre un livre procure, n'est-ce pas, une très vive satisfaction ?
Bon, il ne me reste plus qu'à vous faire parvenir le montant de l'invendu pour la caisse.
Pascal : n'ayez pas trop de regret : Le Département du Gers ni les Onze sites ne sont en stock. Pas plus que le chien Horla, hélas (idéal pour faire découvrir l'auteur).
RépondreSupprimerEn revanche, lorsque vous saurez, par la deuxième livraison de mon journal, samedi, ce que j'ai vendu il y a une petite heure, vous serez verte...