vendredi 4 septembre 2009

Quand j'étais petit, je portais moustache...

... et Balbec m'aimait beaucoup.

20 commentaires:

  1. J'avais du mérite, il faisait tout de même ses cinquante kilos bien comptés.

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  2. Quand j'étais petit, je n'étais pas grand
    Je montrais mon cul à tous les passants
    Combien en voulez vous ?

    Mais c'est parce que je n'avais pas de chien.

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  3. La barbe et la pipe, c'était votre période intellectuel de gauche?

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  4. Oui et alors ...
    Il y a une suite ou doit-on se contenter de la pipe et du chien ?

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  5. En ouvrant le blog, je n'avais que la partie supérieure de l'illustration. On aurait dit que vous aviez un boa autour du coup...

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  6. Quand on aime les chiens, on n'aime pas les humains.

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  7. PRR : On doit toujours avoir un chien.

    Olivier : C'était ma période "bascule"...

    Corto : y a rien d'autre.

    Falcon : je suis bien d'accord.

    Mlle Ciguë : tout le monde sait que je boa.

    Chr. : je confirme, et de plus en plus.

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  8. C'est qu'il était "très chou" à ct'époque là...
    ben... le chien n'est pas mal non plus...(lol)

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  9. C'est bien un chien pour cacher un ventre.

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  10. @ Appas
    Il manque le casque de chantier et le petit marteau

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  11. M'en voudrez pas, Monsieur Goux, mais le chien m'a donné l'idée de cette petite chanson (Mescufurus)... devinez où vous pourrez l'écouter!!!
    Dommage, je n'ai pas trouvé les paroles mais cela viendra...
    bonne journée à vous

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  12. Bonjour,
    BiBi, "ce petit con", vient découvrir ton blog. Il se demande pourquoi tu t'énerves contre lui chez Monsieur Mtsilav, pourquoi tu le traites ainsi sans avancer d'arguments. BiBi avoue être plutôt surpris d'autant plus que ton blog est plutôt interessant.
    A bibientôt.

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  13. Ce doit être en raison du côté Fouquier-Tinville à la petite semaine de ce que j'ai pu lire chez vous...

    Mais bon.

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  14. Didier, en gros méchant, je vous aime !!!

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  15. Mais moi aussi, je vous aime en gros méchant !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.