Le valétudinaire con vérolé à l'arrière-plan n'a rigoureusement aucun intérêt. En revanche, le futur gros mâle de 50 kg qui somnole dans ses bras, oui. Son nom officiel – je l'ai dit – est Elstir. Pour moi, il sera Monsieur Biche – jusqu'à sa mort ou la mienne.
Il arrivera à la maison le 7 novembre prochain, aux alentours de six heures du soir – le temps de faire le trajet. On en reparlera, forcément.
Aujourd'hui, l'allant voir, nous avions décidé de pousser jusqu'à Étretat (pour y déjeuner), de redescendre par Cuverville afin de s'incliner sur la tombe d'André Gide. Or, la Normandie étant sèche et jaune depuis deux mois comme n'importe quelle contrée du sud, il s'est trouvé qu'aujourd'hui, il a plu toute la journée : rattrapés par la Normandie, en quelque sorte. Si j'en sais quelque chose, le ciel était bleu et la température clémente, dans le sud : sales cons !
Or, donc. Nous avons d'autres choses à faire, coup ce de bol. Ainsi, l'Irremplaçable voulait s'arrêter (alentour de Rouen) chez... chez... IKÉA ! Pour acheter des tapis-pour-chiens. Elle y est allée. Toute seule. Je ne fous jamais un orteil dans ce magasin de merde – jamais. Je crois que je préférerais crever (sur le parking) que de risquer un pied dans cet enfer.
Donc, tandis que Catherine allait faire emplette, je suis resté au volant, sur cette pure horreur qu'est un parking de ce type. Coup de chance, j'avais un livre : Maîtres et Complices, de Gabriel Matzneff. Et, franchement, entendre parler de Schopenhauer, ou de Tibulle, ou de Flaubert, ou de Lucrèce, ou de Byron, ou de...
Je vous jure que, tout cela, sur un parking IKÉA, tout cela... Quelle merveille que Gabriel Matzneff ! Et quelles connasses que toutes ces femmes qui ne savent rien de lui !
Gabriel, tout va bien...
Il arrivera à la maison le 7 novembre prochain, aux alentours de six heures du soir – le temps de faire le trajet. On en reparlera, forcément.
Aujourd'hui, l'allant voir, nous avions décidé de pousser jusqu'à Étretat (pour y déjeuner), de redescendre par Cuverville afin de s'incliner sur la tombe d'André Gide. Or, la Normandie étant sèche et jaune depuis deux mois comme n'importe quelle contrée du sud, il s'est trouvé qu'aujourd'hui, il a plu toute la journée : rattrapés par la Normandie, en quelque sorte. Si j'en sais quelque chose, le ciel était bleu et la température clémente, dans le sud : sales cons !
Or, donc. Nous avons d'autres choses à faire, coup ce de bol. Ainsi, l'Irremplaçable voulait s'arrêter (alentour de Rouen) chez... chez... IKÉA ! Pour acheter des tapis-pour-chiens. Elle y est allée. Toute seule. Je ne fous jamais un orteil dans ce magasin de merde – jamais. Je crois que je préférerais crever (sur le parking) que de risquer un pied dans cet enfer.
Donc, tandis que Catherine allait faire emplette, je suis resté au volant, sur cette pure horreur qu'est un parking de ce type. Coup de chance, j'avais un livre : Maîtres et Complices, de Gabriel Matzneff. Et, franchement, entendre parler de Schopenhauer, ou de Tibulle, ou de Flaubert, ou de Lucrèce, ou de Byron, ou de...
Je vous jure que, tout cela, sur un parking IKÉA, tout cela... Quelle merveille que Gabriel Matzneff ! Et quelles connasses que toutes ces femmes qui ne savent rien de lui !
Gabriel, tout va bien...
déja que je n'ai jamais eu envie de lire Matzneff, ce n'est pas de me faire traiter de conasse qui va me convaincre. visiblement mauvaise influence sur ses lecteurs mâles
RépondreSupprimerC'est une jeune fille qui m'a fait découvrir Matzneff.
RépondreSupprimerTout en prétendant n'y rien comprendre : à l'entendre, à quinze ans, elle ne se préoccupait que de ses poupées et de ses copines.
Didier, je partage votre aversion pour Ikea: je n'y suis allée qu'une seule fois et n'y mettrai plus jamais les pieds.
RépondreSupprimerCette petite bestiole finira par peser 50 kg???
Les(sales) cons du Sud parlent aux connasses : mes soeurs, sous un aspect rugueux et volontier provocateur, notre cher Didier est un homme charmant et très cultivé. On l'ADORE !!
RépondreSupprimerFrère Pluton.
Carburant: une nuit ge garde
Bonjour Didier.
RépondreSupprimerJ'ai lu, chez Juan Asensio (Stalker), que vous étiez en train de lire les "Carnets noirs" de Matzneff (Léo Scherr, 2009).
Ici, j'apprends que, du même Matzneff, c'est en fait un autre livre que vous avez sous la main.
Autrement dit, soit vous vous tapez deux Matzneff en même temps, soit votre billet du jour, une fois de plus, nous présente un beau roman...
Pour avoir laissé un commentaire, sur le billet Polanski, en précisant que je ne connaissais pas Matzneff, je me sens bien sûr insultée.
RépondreSupprimerProbablement que vous vous en fichez, mais ça me laisse une sensation d'écoeurement.
Audine : faut pas.
RépondreSupprimerMoi non plus je n'ai pas lu Matzneff et je ne me sens pas insultée.
Je lis le mot "connasse" comme raccourci de "connasse qui braille qu'elle ne le lira jamais parce que ce type immonde n'est qu'un salaud de vicelard qui a tripoté des gamin(e)s et que, quoi qu'il écrive par ailleurs, ça le rend illisible pour toute personne dotée d'un tant soit peu de moralité".
Des tapis pour chiens de chez Ikea ? Ils en ont de la chance, vos chiens !
RépondreSupprimerL'étape prochaine, des colliers de grands créateurs ? (j'en ai vu une fois à l'exposition sur Lalique, et le collier pour chien, je l'aurais bien voulu pour moi).
Je vais me répéter, mais le petit chien, il est trop mignon.
À toutes celles qui voient de l'insulte personnelles partout : lire le commentaire de Suzanne.
RépondreSupprimerChr. Bohren : j'ai fini les "Carnets noirs" avant-hier et commencé "Maîtres et complices", précisément sur ce parking maudit...
Par contre, "futur papa"... avec cet air attendri de père à la maternité, là, je me moque de vous... Que disiez-vous d'horrible naguère au sujet des mères, au fait, hmmm ?
RépondreSupprimerPrécision : traiter de "connasses" les femmes qui n'ont pas lu Matzneff (ou qui que ce soit d'autre) était à peu près aussi sérieux que, plus haut, qualifier de "sales cons" les gens du sud sous prétexte qu'ils ont beau temps...
RépondreSupprimer(ça y est, il a viré Céleste avec son toutou...)
RépondreSupprimerSuzanne : oui, là, en effet, je suis parfaitement "moquable"...
RépondreSupprimerRe-précision : Catherine, avec qui je vis depuis 19 ans, n'a, à ma connaissance, jamais lu une ligne de Matzneff. Et je doute fort qu'elle se sente insultée...
RépondreSupprimerAh, zut, vous auriez pu râler un peu ! Me dire qu'au moins, à ce bébé là, vous ne donneriez pas le sein en public !
RépondreSupprimerSuzanne : oui, c'est vrai, pardon : je me suis levé tardivement et ne suis pas encore parfaitement réveillé. En plus, il fait très sombre, il pleut, etc.
RépondreSupprimerSinon, pour Céleste, je n'arrive pas à me souvenir pourquoi je l'ai viré, ce mal blanc ambulant...
Didier: pardon, je voulais dire viré dans le sens "tourné". Et je regrette d'avoir invoqué Céleste. Mal blanc comme celui de l'Aveuglement ? Vous y allez un peu fort.
RépondreSupprimerSuzanne : je viens de remettre Céleste (si je puis dire), pour vous faire plaisir...
RépondreSupprimerDécidément, on nage en pleine incompréhension, ce matin ! Bon, ben, le résultat de tout ça, c'est que Céleste est de retour dans ma blogroll !
RépondreSupprimerJe ne sais d'ailleurs pas ce que j'ai pu bricoler, mais Nicolas avait disparu aussi. Je l'ai rétabli sur son trône de numéro un.
Voila que le d'pasd'goux se confond en excuses, donne du pardon à droite à gauche, ferait-il peuve d'humilité ou se prendrait-il pour Ségolène?
RépondreSupprimerj'aime mieux ça. pour les gens de sud, je veux dire. Et puis je m'en fous, ce matin il fait gris.
RépondreSupprimerMonsieur Biche sera-t-il tenu au port des bretelles ?
RépondreSupprimerNon, juste à la collerette, au cas où il devrait être opéré un jour...
RépondreSupprimerPutaing ! Qu'est-ce que je déteste cette expression de « gens du Sud » pour désigner les gens du Midi (ou, pis encore, « Sudistes » pour « Méridionaux »).
RépondreSupprimer(Ah... Tout le monde s'en fout, mais, il n'empêche, ça fait du bien)
... De toutes façons, pour moi, au dessus de la Garonne, c'est tous des nordistes, quand ce ne sont pas des "Parisieng..." Heu, non, je n'ai pas l'accent.
RépondreSupprimerCamille, les tapis Ikéa coûtent 1,99 euro, je les achète à la douzaine. Les chiens ont la fâcheuse habitude de les mordiller et d'y faire des trous. On ne peut pas dire que ce soit des tapis luxueux ! Pour les colliers, c'est simple, ils n'en ont pas. Nos laisses sont des cordes avec un noeud coulant.
RépondreSupprimerDidier, en ce qui me concerne, je déconnais ferme pensez bien..!
RépondreSupprimerPluton : ben oui, je sais bien !
RépondreSupprimerIl fait toujours beau au Sud… Êtes-vous sûr qu'il entend bien, ce chiot? Je vous dis ça, parce que nous venons d'adopter un chaton sourd comme un pot, ce que nous ne pouvions pas savoir en le choisissant…
RépondreSupprimerPluton : je n'en sais rien : on verra...
RépondreSupprimerValétudinaire, vous ? vous vous foutez de qui, vous ne semblez rien d'un souffreteux...
RépondreSupprimerAh ben,Schopenhauer, rien que ça !
RépondreSupprimerJe connais une madame Social qui va débarquer chez vous dans l'après midi, à mon avis...
Schopenhauer était un grand misogyne tout comme Baudelaire , est- ce pour cette raison que vous évoquez ces amants les plus vulnérables?
RépondreSupprimerDidier, c'est madame Social, l'anonyme au dessus (oublié de signer) , elle ne maitrise pas encore la blogosphère .
RépondreSupprimer;)
Monsieur Social : ah, mais, c'est Matzneff qui a choisi de me parler de Schopenhauer, moi je n'y suis pour rien !
RépondreSupprimerEt aidez donc la délicieuse Madame Sociale à se créer un compte ! Rendez-vous utile, merde !
Madame Sociale : je dois dire que du point de vue de la stricte économie libidinale, ni Oncle Arthur ni Oncle Charles n'avaient l'air bien flamboyants, en effet...
Je pense que Poison-Social et sa digne épouse sont encore un avatar de qui vous savez.
RépondreSupprimer@ Emma
RépondreSupprimerJe ne sais pas qui vous êtes, mais vous êtes une comique, vous.
Mr Goux sait bien mieux que vous que je suis réel, la preuve en est que je serai à la petite réception à un univers que vous ignorez peut-être qui s'appelle la Comète, et que Nicolas qui est bien réel et en qui Mr Goux peut faire confiance, pourra témoigner de ma présence en chair et en os.
Je ne sais pas qui est ce "qui vous savez" et je m'en tamponne superbement.
Ma femme, elle, ne pourra être présente pour cause... et bien qui ne vous regarde pas, très chère.
Au mieux, vous pourrez prétendre que je m'invente une femme, ce qui n'est qu'une demi-victoire.
Un peu piteux...
Et c'est tout ce que j'ai à vous dire, ne vous attendez pas à ce que je continue la conversation, les gens dans votre genre, les fielleux, je les ai assez pratiqué sur les tchats...
Didier, il arrive ce que je craignais, vous êtes intéressant, mais vos commentateurs, pfff, vous méritez mieux que ça, quand même.
Errare humanum est, ouh, là, là.
RépondreSupprimer@ Emma
RépondreSupprimerAucun problème, je comprends l'erreur, mais sur le moment, je lève toute ambiguité.
Je vois que vous réagissez intelligemment, donc pas de souci, chère madame.
Et désolé pour certains termes, je suis un sanguin, mais incapable d'être méchant.
:)