C'est en musardant deçà delà que j'ai découvert ce nouveau blog. Je dis “nouveau” car il ne compte pour l'instant que deux billets. Mais quels ! Le nom de la crèmerie est à soi seul un programme : Pinard, claquos et biau parler françois. Pluton, je vous le recommande tout particulièrement. À Nicolas aussi, même si le bonhomme n'a pas l'air férocement de gauche. Mais, n'est-ce pas, quand il s'agit de vin et de fromage, la nation se réconcilie et ses composantes fraternisent à tout va...
Rajout de 16 h 42 : bon, le temps que je mette ce billet sur orbite, le bougre en avait publié un nouveau, exprès pour me faire mentir ! Donc, bien lire : TROIS billets, et non deux...
Rajout de 20 h 58 : il va de soi que ce blog s'adresse également à Pétronille et à Ygor Yanka, nos pauvres exilés...
Rajout de 16 h 42 : bon, le temps que je mette ce billet sur orbite, le bougre en avait publié un nouveau, exprès pour me faire mentir ! Donc, bien lire : TROIS billets, et non deux...
Rajout de 20 h 58 : il va de soi que ce blog s'adresse également à Pétronille et à Ygor Yanka, nos pauvres exilés...
Un beau site comme ça, ça s'arrose.
RépondreSupprimerIl est vrai que ce genre de denrées affermissent les trèves.
RépondreSupprimerLa photo est superbe, le blog est chouette
RépondreSupprimerYoupi
Le blog idéal pour les exilés à Montréal, qui se surprennent à rêver de camembert tout éveillés...
RépondreSupprimer(moi, en l'occurrence)
Pétronille, si vous lisez des choses comme ça, c'est de l'hôpital psychiatrique que vous nous écrirez votre prochaine chronique ! (moi je vous suggère de vous faire désensibiliser les papilles, et de vous boucher le nez, que vous chausserez de lunettes noires afin de ne rien goûter, sentir, ni voir de ces trucs abominables qui envahissent votre réfrigérateur.
RépondreSupprimerMerci de votre compassion, Suzanne. Je n'ose encore me faire désensibiliser les papilles car j'espère toujours que ma mère finira par trouver le moyen de m'envoyer un morceau de lard et un kilo de Comté dans le rembourrage d'un anodin ours en peluche.
RépondreSupprimerPétronille, ayant appris hier ce que devaient subir les amateurs de camembert outre-atlantique, je compatis.
RépondreSupprimerhttp://embruns.net/logbook/2009/10/22.html#camembert-en-conserve
J'apprends par vos archives que vous êtes originaire de Chalons sur Marne ?
RépondreSupprimerNicolas : bizarrement, je suis assez d'accord...
RépondreSupprimerMondsieur Social : je sui en effet né dans cette ville, que de vils cuistres ont rebaptisée "Châlons-en-Champagne" : je les compisse jusqu'à la septième génération !
Faucon : il est prometteur, en tout cas.
Pétronille : Suzanne a raison : le rêve est parfois dangereux ! (En tout cas, je vous aime toutes les deux.)
Pétronille, au fait : il est de plus en plus probable que l'Irremplaçable et moi allions passer une quinzaine en 2010 Outre-Atlantique : une semaine au Québec (pour vous voir, vous, et Ygor Yanka à Joliette) et une autre à Saint-Pierre-et-Miquelon : préparez-vous à ce choc !
Nicozoc : vous êtes sadique !
Vous allez rire, quand je suis venu à Reims, au début, je voyais d'anciens panneaux "chalon s/marne" , et je croyais qu'il y avait deux villes...
RépondreSupprimerEn dehors du fait que ça me fait "moyen rire", je me souviens que, durant les premières années, en effet, les deux panneaux cohabitaient. Je les voyais quand j'allais chez mes parents, à Sedan.
RépondreSupprimerSérieusement, les gens qui ont décidé de cela sont vraiment des cons malfaisants : de quel droit rayent-ils ma ville natale des tablettes ? (Dont, du reste, je me fous, n'y ayant jamais remis les pieds depuis l'âge de cinq ans – mais tout de même.) C'est quoi, ce côté festif ? "En Champagne" : c'est pour attirer le touriste ? Dans cette ville à chier, où jamais il ne s'est produit une bouteille du vin du même nom ?
Qu'ils crèvent, bordel !
Pssst, j'ai mieux, comme ville (ou plutôt populace, la ville n'est pas trop mal) à chier : Reims.
RépondreSupprimerDes frimeurs à deux balles sans cervelle qui se la pètent tous à crédit.
En tant que parisien, je les conchie et les ignore en attendant de retrouver ma bicoque en Auvergne avec mme Social qui se félicite d'être d'"origine" sparnacienne, c'est quand même plus classe.
Monsieur Poison : à mes yeux, les Rémois partagent avec les Tourangeaux la palme de la plouquerie absolue : ce sont des gens persuadé que rien n'existe en dehors de leurs bourgades respectives. Jeme souviens, dans mon enfance passée en Allemagne (fils de militaire...), que beaucoup de collègues de mon père venaient de Reims. Leurs femmes n'avaient qu'une idée, qu'un but, qu'un idéal : retourner à Reims, près de môman. Pitoyable. Les Tourangeaux sont exactement pareils : si vous débarquez chez eux, venant de Lyon, de Marseille, de Strasbourg, d'Orléans, que sais-je, ils vont vous regarder avec pitié et vous emmener voir à quoi ressemble une VRAIE VILLE.
RépondreSupprimerSparnacienne ? Sparnacienne ? Éclairez-moi, bon sang de bois !
(Epernay)
RépondreSupprimerVache ! j'aurais jamais deviné ! Mais au moins, là-bas, ils produisent VRAIMENT du champagne !
RépondreSupprimerRigoureusement exact, le VRAI pays du champagne, j'y ai fait pour la sécurité incendie le salon du "viteff" (techniques effervescentes et méthodes champenoises, un peu pompeux, je le concède), j'en ai ramené une bonne bouteille de petit producteur.
RépondreSupprimerAh Nicozoc, merci pour ce lien qui répond à la lancinante question que j'avais posée là (http://petronille-dans-la-tourmente-quebecoise.over-blog.com/article-34207223.html), à savoir : comment ça se présente, dans la boîte ???
RépondreSupprimerDidier, ce sera un plaisir (n'oubliez pas l'ours en peluche fourré au Comté!).
(La dernière photo de Saint-Pierre-et-Miquelon que vous avez postée ici fait vraiment envie.)
Excellent ! Merci Didier !
RépondreSupprimerIl est bien productif, votre pote !
RépondreSupprimerPouvez parler, vous !
RépondreSupprimerCe doit être l'enthousiasme des débuts...