Zobi. Ou Zebi. Ou zeb. Autant de variations du mot “bite”, lorsque je vivais en Algérie et que nul d'entre nous ne s'était encore servi de la sienne. Bon souvenir : on en riait bien. Quelques années plus tard, mais très peu, Victor Lanoux dans ce film, Dupont Lajoie, marquant le coup d'envoi de cette haine retournée contre soi-même qui devient notre marque de fabrique et le signe de notre mort prochaine : « C'est que je les connais, moi, les Ben Zobi ! » Préfiguration magnifique du monde. J'adopte le sobriquet, pour faire chier. Rien que pour faire chier.
J'ai vraiment et sincèrement bien ri, avec l'affaire du Ben Zobi nantais qui occupe presque tout le monde dans la blogosphère – c'est-à-dire personne dans la vie réelle. Ri de tout le monde. Ri à droite, ri à gauche, ri au centre, ri aux extrêmes, ri dans la casbah. Quand on était enfant, donc sadique et répugnant, on s'amusait à couper des vers de terre en trois, pour le plaisir de voir se tortiller chaque tronçon. Jouant le rôle du sécateur, Ben Zobi m'a rajeuni : ç'a tortillé tant que ç'a pu ! Mes amis de droite essaient de démontrer que. Mes copains de gauche tentent de faire passer leur à-plat-ventrisme péteux pour le n'aux z'armes citoyens ! habituel. Mes potes du centre se demandent ce que pense François Bayrou, qui ne pense rien. Et les zébulons trotskistes se concentrent sur les sacro-saints vrais problèmes – ceux que tout le monde cherche et que personne ne trouve.
Pendant ce temps, Mohammed Ben Zobi, tenant conférence entre ses merguez et ses côtes d'agneau, ses quatre zombis femelles maintenues dans les chambres froides, hors caméras, explique doctement la manière dont il nous pisse à la raie en zig-zag ; les journalistes enregistrent pieusement, le Canard enchaîné et Olivier Bonnet cancanant à sa suite cherchent des poux à Paul Bocuse, pour noyer le poisson dans la merde au shah.
Dans le même temps, Céleste rameute à coup de chanson de Sacha Distel ses affidés, afin de les prendre à témoin de ses tremblotements matriciels – elle, la mère de toutes les bontés bontifiantes – face à tant de haine. On était si joyeux et si purs, au temps de Sacha Distel ! Tellement assourdie par les bravos frénétiques de ses petites lèvres, elle en oublie que, d'après les raclures soixante-huitardes qui lui servent de modèle, les Français étaient censés s'emmerder comme des rats réactionnaires et crevés jusqu'en avril 1968. Contradiction ? Palinodie ? C'est sans importance : il faut sauver le soldat Ben Zobi, sa femme et ses trois maîtresses – cela seul importe.
Combien vous pariez que, d'ici trois jours, on va nous trouver un prêtre catholique polygame ? Laissez tomber, vous perdriez : on le trouvera. Et même que ses quatre femmes seront impubères, vous verrez. Au moins une ou deux, en tout cas.
J'ai vraiment et sincèrement bien ri, avec l'affaire du Ben Zobi nantais qui occupe presque tout le monde dans la blogosphère – c'est-à-dire personne dans la vie réelle. Ri de tout le monde. Ri à droite, ri à gauche, ri au centre, ri aux extrêmes, ri dans la casbah. Quand on était enfant, donc sadique et répugnant, on s'amusait à couper des vers de terre en trois, pour le plaisir de voir se tortiller chaque tronçon. Jouant le rôle du sécateur, Ben Zobi m'a rajeuni : ç'a tortillé tant que ç'a pu ! Mes amis de droite essaient de démontrer que. Mes copains de gauche tentent de faire passer leur à-plat-ventrisme péteux pour le n'aux z'armes citoyens ! habituel. Mes potes du centre se demandent ce que pense François Bayrou, qui ne pense rien. Et les zébulons trotskistes se concentrent sur les sacro-saints vrais problèmes – ceux que tout le monde cherche et que personne ne trouve.
Pendant ce temps, Mohammed Ben Zobi, tenant conférence entre ses merguez et ses côtes d'agneau, ses quatre zombis femelles maintenues dans les chambres froides, hors caméras, explique doctement la manière dont il nous pisse à la raie en zig-zag ; les journalistes enregistrent pieusement, le Canard enchaîné et Olivier Bonnet cancanant à sa suite cherchent des poux à Paul Bocuse, pour noyer le poisson dans la merde au shah.
Dans le même temps, Céleste rameute à coup de chanson de Sacha Distel ses affidés, afin de les prendre à témoin de ses tremblotements matriciels – elle, la mère de toutes les bontés bontifiantes – face à tant de haine. On était si joyeux et si purs, au temps de Sacha Distel ! Tellement assourdie par les bravos frénétiques de ses petites lèvres, elle en oublie que, d'après les raclures soixante-huitardes qui lui servent de modèle, les Français étaient censés s'emmerder comme des rats réactionnaires et crevés jusqu'en avril 1968. Contradiction ? Palinodie ? C'est sans importance : il faut sauver le soldat Ben Zobi, sa femme et ses trois maîtresses – cela seul importe.
Combien vous pariez que, d'ici trois jours, on va nous trouver un prêtre catholique polygame ? Laissez tomber, vous perdriez : on le trouvera. Et même que ses quatre femmes seront impubères, vous verrez. Au moins une ou deux, en tout cas.
Didier, vous êtes un sacré antidépresseur ! Merci !
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimervous semblez bien en verve. joli billet , bien troussé, nous aimons !
C'est laluuuuuuuuuuuteeeeeeeeeee finaaaaaaaaaaaaale Groupons-nouuuuuuuus et demaiiiiiiiiiiiiin … Zobi sera le genre humain !
RépondreSupprimerIl faut rester zen Bobi, v'pas s'énerver à cause de la bobine d'un barbu fut il Ben Zobi !
RépondreSupprimerReprenez plutôt de la salade grecque, ou quelques tapas...
Woaurffff, jubilatoire.
RépondreSupprimerCe Ben Zobi gagne a être connu !
Encore, encore.
"J'ai vraiment et sincèrement bien ri, avec l'affaire du Ben Zobi nantais qui occupe presque tout le monde dans la blogosphère – c'est-à-dire personne dans la vie réelle."
RépondreSupprimerJe ne suis absolument pas d'accord avec vous mais je reconnais que vous avez tout à fait raison - bon, ça peut arriver à tout le monde de ne pas être d'accord avec quelqu'un qui a raison, non ?
À part ça, je pense bientôt réquisitionner une cabine téléphonique pour y organiser le futur meeting de la section alsacienne du MoDem.
(Ah oui, pensez-vous, cher Didier - il s'agit là d'une question soufflée par l'un de mes amis, le sage et vieux Cornélius... -, que votre ancienne image de Babar pourrait éclairer d'un jour nouveau votre discours sur Céleste... ?)
Didier, vous oubliez de parler du cambriolage de la boucherie (halal je suppose) et du père de la mariée, heu pardon de la niqabée, qui ne voit plus ses petits-enfants...
RépondreSupprimerUn vrai roman :-)
À part zobi la mouche, je vois rien à ajouter. Ah, si je veux bien faire le valet de pied chez le prêtre polygame à condition qu' il soit catho. Les protestants, heu, comment dire? ne sont jamais ppplygames, ils font ça successivement ça fait plus propre! Et les mormons ça compte pas, n'est il pas?
RépondreSupprimer"Victor Lanoux dans ce film, Dupont Lajoie, marquant le coup d'envoi de cette haine retournée contre soi-même(...)"
RépondreSupprimerExcellent film, en effet.
Et d'ailleurs, " contraint " à l'exil en une contrée improbable à n'en retenir que deux, il en ferait partie au premier chef, lui disputant sans aucun doute le palmarès avec un autre film de très haute valeur à mes yeux, à savoir l'inoubliable " Lucien Lacombe " de qui vous savez et dont je pressens cher Didier, qu'il occupe une place de choix dans votre vidéothèque.
Toutefois, permettez moi de préciser que là où vous vous y avez vu de la " haine retournée contre soi " j'y avais plutôt vu moi, de la vile lâcheté. De celle qui insupporte à un point tel qu'elle rend la vie invivable et qu'il faille la délester sur l'autre, cet autre qui ne vous ressemble pas et que partant, on hait de tous les pores de sa peau au point de l'envier parfois ou de le désirer souvent...
Mention spéciale pour l'illustration qui me rappelle nostalgiquement à mes origines moi, le métis franco-camerounais, qui de par le passé et l'éloignement aidant, eut un temps la folie douce de croire que son pays était la France.
Ah, très cher Didier, quel bonheur oui que d'avoir croisé par la grâce de la providence nourricière votre route. Et puis allez, comme j'ai particulièrement apprécié votre dernier petit clip pétaradant et que je crois savoir que vous n'êtes pas allergique à mon semblable Dieudonné, parmi tous les personnages qu'il met en scène dans ses spectacles avec tout le brio que l'on connaît, il en est un qui ma fait irrémédiablement penser à vous.
Vous connaissant comme je le crois, je sais que vous y trouverez là, des résonances certaines.
Enfin je l'espère.
http://www.dailymotion.com/video/x7xppg_dieudonne-best-of-part-1_fun
« Combien vous pariez que, d'ici trois jours, on va nous trouver un prêtre catholique polygame ? [...]. Et même que ses quatre femmes seront impubères, vous verrez. Au moins une ou deux, en tout cas. »
RépondreSupprimerJe vous connais, mauvais joueur comme vous êtes, si je vous ressors le curé d'Uruffe de la paille, vous allez me dire qu'il est un peu défraîchi.
Antidépresseur, c'est bien vrai...
RépondreSupprimerMais sinon, et sans plaisanter, il y a une de justification et de défense du polygamisme de la part de certains bien pensants qui, personnellement, m'effraie... Mais bon...
Milo, tellement "inoubliable" votre "Lucien Lacombe" (sic) qu'en fait c'est "Lacombe Lucien".
RépondreSupprimerEntendu une interviou de femmes au journal de france 2 : mais qu'est-ce qu'on a à nous reprocher notre religion ? La polygamie maintenant! oui on est polygames et alors ? Qu'est ce que ça peut bien vous faire ! (sur un marché, en France)
RépondreSupprimerBon, je tâcherai de répondre plus tard. Du bureau... sur les heures de boulot...
RépondreSupprimer« On est musulmans, on fait ce qu'on veut ! »
RépondreSupprimerSuzanne, j'ai entendu comme Georges "on est musulman, on fait ce qu'on veut".
RépondreSupprimer@ Falcon Hill
RépondreSupprimerPuisque vous aimez tant Céleste, ce que je comprends très bien, elle sait fort bien réciter le rôle "compassionnel", "gentil", "dévoué" que les hommes de votre espèce attendent des femmes, (c'est trop drôle cette complicité entre le conservateur que vous êtes et cette pseudo-féministe, et c'est tellement révélateur!) pourquoi n'appliquez donc vous pas sa philosophie pro-islam et pro-immigrés?
Invitez-en donc une quinzaine dans votre piscine.
Catherine et Georges: d'accord.
RépondreSupprimerSuzanne, je n'ai pas regardé toutes les interviews, mais on voit bien que l'idée c'est "mêlez-vous donc de vos oignons !".
RépondreSupprimerFloréal, on se connait ? non, alors chuuut (parce que je crois que vous êtes en train de dire de grosses conneries à mon sujet)
RépondreSupprimerEt entre nous, on peut apprécier des personne en étant radicalement en désaccord sur certains points, non ?
Sur ce point là notamment, je suis plutôt en désaccord avec Céleste.
Sinon j'ai une piscine trop petite pour 15 personnes, désolé. Et je n'inviterai pas des personnes du type de ce monsieur de Nantes, qui je crois m'inspire le même peu de sympathie qu'à vous...
Bonne journée
Ah, zut, la sympathie que j'avais pour Falcon Hill tombe à l'eau, il ne sait pas lire (il n'a pas 14 femmes, le monsieur de Nantes, mais 4) et sa piscine est ridiculement petite. Comment juger un homme, si ce n'est à la taille de sa piscine ? Comment se développer une musculature de Tarzan dans une piscine trop petite pour 15 personnes ? On ne peut même pas y nager tout droit, on est obligé de faire tout le temps des demi-tours ou des virages à angle droit, et on devient tordu, ce qui entraine des soins et creuse le trou de la Sécu.
RépondreSupprimerSuzanne, ca racisme contre la petitesse des piscines me rend profondément malheureux ^__^
RépondreSupprimer(sinon 4, 14, qu'importe ^^... non je ne les inviterai pas à la maison)
Falcon Hill, feriez-vous partie des ultra-islamophobes qui sont tellement contre toutes les bâches qu'ils ne bâchent même pas leur piscine ?
RépondreSupprimerGeorges est pour toutes les bâches. Surtout celles sur lesquelles on imprime ses images. Voilons-les, surtout, voilons-les, voilons-les par dizaines, par centaines, qu'on ne voie plus ces horreurs !
RépondreSupprimerSuzanne, ma bâche à bulle qui réchauffe l'eau en la protégeant du pollen qui vole montre une nouvelle contradiction chez moi :)
RépondreSupprimerBonne journée
La loi est la loi.
RépondreSupprimerSoit certains musulmans enfreignent la loi, et il doivent être jugés et punis.
Soit ce n'est pas le cas, et effectivement, ils font ce qu'ils veulent.
Est ce que cela pose encore un problème à quelqun ?
Tzatza: c'est aussi à cause des gens comme vous qu'on en tricote sans arrêt, des lois.
RépondreSupprimerJ'aurais aimé qu'il n'y eut pas de lois sur le port des signes religieux à l'école. Que chaque chef d'établissement dise "non, pas de ça ici", gentiment et fermement, et que la justice déboute les plaignants, en invoquant l'usage, la culture, etc. Ce qui aurait donné la possiblilité aux directeurs d'écoles , dans certains cas , primo-arrivantes par exemple ou situation coincées à décoincer par le dialogue et la négociation, de faire quelques entorses temporaires à la règle sans que ça dégénère en combat national.
Je voudrais qu'on fasse pareil pour la burqa, mais c'est impossible, avec toutes les associations à l'affût de tout ce qui peut contrarier l'islamisme. Que l'on n'accepte pas que des parents viennent chercher leurs enfants à l'école en burqa. Que chaque commerçant, chaque tenancier de bistro, que tout le monde ait le droit de dire: "excusez-nous mais si vous voulez vous masquer devant moi, je refuse de vous adresser la parole et je vous demande d'entrer dans ce lieu, privé ou public, avec le visage découvert". On n'a pas le droit, la loi dit que non, et la loi c'est la loi, même si notre système de lois ne prévoit pas qu'il faut se tremper dans des problèmes nouveaux qui nous viennent de mille ans en arrière.
Ah, la loi c'est la loi ? Ben vous allez l'avoir, votre loi. Et puis après, il en faudra une autre. Et puis encore une autre. Des lois de réaction, des lois sales.
Loi du silence ou pilori?
RépondreSupprimerJ'arrive manman!
Moi, il me fait pas rire, ce Ben Zobi.
RépondreSupprimerIl ne compte plus ses gosses à l'air libre ou dans le tiroir.
Plus deux concubines non répertoriées en Allemagne. Et combien ailleurs, en Afghanistan par exemple?
Son élevage de futurs kamikazes est rentable.
Ya les deux autres pondeurs aussi, dont on commence à parler, sans doute parce qu'un scandale pousse un autre. Je veux parler des deux drogués dont l'enfant aîné est dans une famille d'accueil, le 2ème mort (la faute à l'aide sociale qui n'a pas été assez attentive, d'après le père, relayé par les media. Il s'est cassé de chez lui 8 jours avant la mort du petit et la mort de son bébé est tout de la faute de la société et de la carence de l'aide sociale...)et le 3ème en route alors que la mère est en overdose. Elle avait oublié qu'elle avait un petit à la maison, sûrement. Faut les aider ces gens-là, bordel!
On n'a pas d'infos sur qui ils sont mais peut-importe, je les vomis, qui qu'ils soient. me demandez pas d'en rire.
Je ne suis pas certain qu'il existe un droit à se promener masqué.
RépondreSupprimerDès lors, je ne vois pas en droit, ce qui permettrait d'attaquer quelqun qui refuserait d'accueillir dans son espace une personne masquée.
Mettez un déguisement de carnaval, et essayez d'aller dîner dans un restaurant, ou sortir en boîte, ou faire une déposition au commissariat, on verra.
ils ont dit que c'était
RépondreSupprimerTzatza: ce qui arrive, c'est qu'une aubergiste se fait condamner à payer de lourdes amendes aux femmes qui refusent de se dévoiler dans les parties communes, par exemple.
RépondreSupprimerEt puis, on va avoir des discussions magnifiques, avec la surface minimum de visage à dévoiler pour ne plus être considéré comme masqué. Ce n'est pas un centimètre ou deux qui feront qu'une burqa est moins burqa. On est dans un sacré merdier, et je rejoins assez les positions de Ni Putes Ni Soumises quant à la burqa ET le voile.
Oh, Marine, ce sont des pauvres gens, c'est tout.
RépondreSupprimerQue le visage ne soit pas masqué, c'est tout.
RépondreSupprimerPorter un voile ne nuit à personne et n'empêche pas la reconnaissance du visage. Très longtemps, les femmes ont porté un voile sur les cheveux, les bonnes soeurs le font, sans que la pose un quelconque problème.
Il faut bien comprendre que si les gens ont envie de vivre comme des amishs ou dans une secte, ou encore de partouzer dans leur appartement avec Georges, dès lors qu'ils n'enfreignent pas loi, je ne vois pas ce qui pourrait permettre des les en empêcher.
Entre un mur et un mur..." je réfléchis"
RépondreSupprimerComment ça Georges fait des partouzes et on ne m'a rien dit? Je parie qu'il lasse du Ligeyi en sourdine pour apaiser les fureurs utérines des participantes…
RépondreSupprimerDu LIGETI p* de correcteur à deux balles
RépondreSupprimer@ FalconHill
RépondreSupprimerNon, je ne vous connais pas. J'ai parcouru votre blog et ça peut me suffire. Si vous n'avez pas de place pour 15, prenez en 5 pour faire plaisir à votre amie Céleste. Et n'oubliez pas le gouter hallal, sinon ils ne le mangeraient pas, les pauvres.
Votre "sympathie" pour Céleste? Du flan. De l'opportunisme. De la bisounourserie.
@ Tzatza
Le fait que les femmes aient porté un foulard dans les campagnes et surtout pour aller à l'église ne signifie rien. Les turques ont meme eu le droit de vote avant les françaises. Et alors? ça ne signifie rien. Il valait mieux etre française sans le droit de vote au début du 20ème siècle que turque avec à la meme époque, on était plus libre. Vous avez oublié le film "Yol"? elles avaient le droit de vote et vivaient comme des bestiaux, merci pour elles.
Pour qu'elle raison devrait-on bosser avec une voilée 8 h par jour dans un bureau, qui rien qu'avec son voile sur le crane vous jette sa religion à la figure alors qu'à vos collègues vous ne demandez rien et surtout pas leur religion? Obtempérer à leur demandes "d'accommodements raisonnables", faire leur boulot en plus et pour le meme prix pendant le ramadan? Je vous le demande un peu: pour vous faire plaisir, à vous et à vos voilées?
Oui, les partouzes-Ligeti c'est tous les vendredis soirs. Elle a son petit succès. Mais vous avez aussi la partouze-Dowland, le jeudi, qu'est pas mal. j'ai tout de même une petite préférence pour la partouze-anacrouse, le lundi en hiver, avec perfusions en libre-service.
RépondreSupprimerFloreal, OK, bien reçu. Ignorons nous alors (bien que je crois que vous tirez bien fort et bien à coté, mais si ça vous fait plaisir...)
RépondreSupprimerJe préfère le voile à la vapeur.
RépondreSupprimerEh, Floréal, si vous avez un problème avec vos collègues de travail, parlez en avec elles ou avec votre patron, en ce qui me concerne, je ne peux vraiment rien pour vous.
RépondreSupprimerFloréal, vous cassez pas la trompette à expliquer des choses qui vont de soi. S'ils ne comprennent pas la différence qui existe entre un nikrad (je sais, je m'en tape) et le foulard de nos grands-mères, le chapeau de nos grands-pères et les gants blancs de ma petite cousine, ce n'est pas en leur faisant un dessin qu'ils comprendront mieux. Non seulement ils sont aveugles et sourds, mais en plus ils sont cons. Faut pas s'étonner s'ils ne font de différences entre rien : ils ne sont même pas binaires, ils sont unaires.
RépondreSupprimerBin zut alors!
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec Georges.
C'est un truc dont on ne se remet pas, en général. Je connais un bon médecin, si besoin…
RépondreSupprimerTzatza:
RépondreSupprimerNon je n'ai pas de collègue de cet acabit et je serai en retraite avant qu'il ne s'en manifeste. J'exerce par ailleurs un métier où ce n'est pas demain la veille qu'on en embauchera. Mais le fait est que dans d'autres domaines, le cas se présente de plus en plus souvent.
Non, je ne discute pas avec, quoi qu'il en soit. Je n'ai rien à leur dire. Et de leur saintes raisons de porter foulard, je m'en tape. Je ne suis pas intéressée à les connaitre, pas plus qu'à "connaitre l'autre" et sa culture sublime, et autres conneries célestielles, je ne suis pas Céleste. Je n'en ai rien à foutre. Ce sont des ennemies, point barre, et je ne veux pas "vivre ensemble" avec.
"Combien vous pariez que, d'ici trois jours, on va nous trouver un prêtre catholique polygame ?"
RépondreSupprimerEn l' occurrence c' est plutôt le contraire qui s' est produit : le Dr Zobi et ses girls se sont retrouvés sur le devant de l' actualité après les aventures de Benoît au pays des petits chanteurs à la langue de bois.
Ouh qu'elle est vilaine !
RépondreSupprimerC'est la luuuuuuuuuuuuuute finaaaaaaaaaaaaaaale…
C'est qui, Benoît, un confrère cunnilincteur ?
RépondreSupprimerIl est fou ^^
RépondreSupprimerAh Georges ! Dowland par Deller I presume?
RépondreSupprimerAh non, Dowland par Jean Ferrat, of course !
RépondreSupprimer"d'ici trois jours, on va nous trouver un prêtre catholique polygame"
RépondreSupprimerTouché coulé: en moins de trois jours:
"Prêtre, père, polygame, pédophile… et couvert", Libé, 20 avril dernier, vous aviez déjà lu cet article? qui en a parlé? Pas vous, sûrement...
Ayrault, maire de gauche, propose une loi pour éradiquer la burqa et ça ne vous plaît pas?
RépondreSupprimerAAAaahhh Ayrault....
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