Je ne savais pas de qui ç'allait venir, mais j'étais certain. Les petits soutiers du communisme, suite à mon billet de ce matin, je savais qu'ils allaient rappliquer. Ce fut Henri, puis ce fut Dorham. Qui ont essayé de me persuader que les communistes ont été irréprochables.
Je m'attendais à n'avoir que peu de commentaires, sur ce billet, une espèce de silence respectueux vis-à-vis de cette horreur pure que fut le communisme. Je l'ai eu, en effet. Ces gens refusent d'admettre qu'ils ont été à plat ventre devant l'une des deux pires dictatures du siècle. Même encore maintenant, de nos jours. Henri nous essaie la Résistance, Dorham tente de nous vendre les communistes italiens ou espagnols.
Ils n'ont pas tort, ni les uns ni les autres. Les communistes ont en effet participé à la Résistance. Mais pas seuls. Et pas les premiers. Et, de toute façon, cela ne change rien. Dès la fin de l'année 1940, lorsque les communistes ne tentaient qu'une seule chose (faire reparaître l'Humanité sous contrôle allemand).
Et puis, de toute façon, qu'est-ce qu'on en a foutre, de ces communistes ? Qui doivent être éliminés rapidement, maintenant qu'ils sont devenus des clowns modernants ? Non physiquement, comme ils le faisaient eux-mêmes tout tranquillement, mais idéologiquement. Ils sont un résidu de l'histoire, comme les nazis le sont. Et même visage.
Je m'attendais à n'avoir que peu de commentaires, sur ce billet, une espèce de silence respectueux vis-à-vis de cette horreur pure que fut le communisme. Je l'ai eu, en effet. Ces gens refusent d'admettre qu'ils ont été à plat ventre devant l'une des deux pires dictatures du siècle. Même encore maintenant, de nos jours. Henri nous essaie la Résistance, Dorham tente de nous vendre les communistes italiens ou espagnols.
Ils n'ont pas tort, ni les uns ni les autres. Les communistes ont en effet participé à la Résistance. Mais pas seuls. Et pas les premiers. Et, de toute façon, cela ne change rien. Dès la fin de l'année 1940, lorsque les communistes ne tentaient qu'une seule chose (faire reparaître l'Humanité sous contrôle allemand).
Et puis, de toute façon, qu'est-ce qu'on en a foutre, de ces communistes ? Qui doivent être éliminés rapidement, maintenant qu'ils sont devenus des clowns modernants ? Non physiquement, comme ils le faisaient eux-mêmes tout tranquillement, mais idéologiquement. Ils sont un résidu de l'histoire, comme les nazis le sont. Et même visage.
Je ne réponds pas, c'est du n'importe quoi, où avez-vous vu que
RépondreSupprimer1 - je tentais de vous convaincre (je me contrebranle de vous convaincre de quoi que ce soit)
2 - que les communistes étaient irréprochables ? (je vous rappelle que je suis catholique et qu'en tant que tel, j'ai somme toute du mal avec les idéologies qui ont comme fondement les persécutions des prêtres).
Vous écrivez n'importe quoi. Ce qui vous passe par la tête, probablement.
Anonyme,
RépondreSupprimerDidier a un mail (vous noterez que j'ai eu l'élégance de n'en rien dire).
Pardon, je ne savais pas que Didier avait un mail.
RépondreSupprimerPétula
on se demande bien, en effet, ce que "tu" en as "à foutre" des communistes... finalement, ça semble te tarauder... ne voudrais-tu pas que ces "jeunes modernes" te remettent sur ton droit chemin ? celui de la gauche, celui de la contestation, celui de la liberté... Tiens, pour illustration cette chanson de Jean Ferrat.
RépondreSupprimerDidier Goux nous dira qui a écrit la dernière page de ce livre:
RépondreSupprimer"Là-bas, dans le temps où j'avais été enchaîné dans la poussière, le cri de mes congénères attendant leur tour s'était allé en s'amenuisant. La mort était si proche que nous nous étions accomodés à son haleine fétide, à sa figure hideuse, et si familière que personne n'en supportait longtemps avec le même haut-le-coeur, l'omniprésence aux quatre coins de notre camp: comme eux, comme XXXXX, comme l'homme sur la terre, j'avais secrètement apprivoisé l'épouvante."
Superbe livre.Communiste? Nazi? ou bien?
z'êtes dur. Ils ont eu des bons, comme Gaston Plissonier
RépondreSupprimerLe gros problème avec le communisme, c'est que ça reste une espérance. Un gros mensonge mais une espérance. C'est chiant.
RépondreSupprimerAllez, reparlez-nous de littérature, c'est mieux!
RépondreSupprimerDorham : facile. Je suis évidemment un con qui écrit n'importe quoi, une sorte de hyène à stylographe bourrée. Mais, en l'occurrence, dans le billet précédent, c'est Jan Vatlin qui écrit...
RépondreSupprimer(Sinon, j'ai viré l'anonyme : ça lui apprendra à avoir un nom.)
Pétula : oups ! pardon ! Faites un effort, bon Dieu !
Lucia : ces communistes étaient sur toutes les voies qu'on veut sauf sur celles de la contestation : de bons petits soldats, voilà ce qu'ils étaient, des robots effrayants. Je viens de lire un passage où Vatlin explique qu'on le charge d'éliminer (physiquement) un traître (on refuse de lui dire en quoi il est traître : le parti en a décidé ainsi...), et il accepte de le faire. Ces types ont été formés pour être des assassins, exactement comme, à la même époque, on formait les jeunes nazis.
Hermès : c'est tellement ampoulé qu'on dirait que c'est vous.
Olivier : une fois de plus, je ne nie pas qu'il y ait eu de vrais résistants communistes. Le malheur est que celui que vous citez est, ensuite, devenu un vrai apparatchick, un soutien inconditionnel de la dictature soviétique.
PRR : oui, et on se demande pourquoi. Il faudrait récrire l'histoire du national-socialisme allemand avec les lunettes roses que ces petits aveugles ont pour le communisme. Ce serait drôle...
Henri : oui, oui, je sais, c'est mieux. Ne pas toucher à cette merveilleuse légende du communisme... Du reste, des Chalamov et des Grossman auraient mieux fait, eux aussi, de ne pas se mêler de politique...
Moi qui suis né dans un pays communiste... pffff... je n'ai même pas envie d'en parler, cher Didier, mais je vais en dire deux ou trois mots... même en pleine forêt les paysans, loin de tout, baissaient la voix et chuchotaient quand ils abordaient certains sujets. Et c'était la Yougoslavie de ce fils de pute de TITO... vous savez Didier, ce pays où était pratiqué le "communisme à visage humain", l'autogestion... et toutes ces conneries dont faisaient l'éloge les intellectuels merdiques de ce pays, Sartre & co... la rééducation sur l'île nue en mer Adriatique (Goli Otok) dont parle Kusturica dans "Papa est en Voyage d'affaire", on y était expédié pour un simple rire... ou parce qu'on avait trop de livres à la maison (trop de livres=intellectuel donc = bourgeois)... un homme comme mon grand-père maternel parce qu'il n'avait pas sa carte du parti était suspect, donc son fils (mon oncle) n'a pas pu faire carrière dans l'armée (pour sortir sa famille de la merde) alors qu'il était communiste convaincu et avait sa carte (le système l'avait bien modelé)... chaque année lorsque j'y allais en vacances, le maire du village s'invitait à la maison de mes grand-parents pour me bombarder de questions à première vue naïves, j'étais un gosse, mais suspect car élevé dans un pays capitaliste, etc... etc... etc...
RépondreSupprimerLaissez-les parler, Didier, ils vont nous dire que ça n'est pas Marx qui y a été appliqué ... comme dit Pierre Robes-Roule, ils préfèrent l'espérance... une espérance fétide, rance, puante, malgré les cadavres et la tripe... l'Utopie sanglante. Ils ne savent pas de quoi ils causent les gugusses !
Nebo : merci (vraiment) pour ce témoignage. En 1979, lorsque j'étais à l'école de journalisme, un intellectuel;chrétien comme Jean-Marie Domenach (dont je conserve un beau souvenir malgré tout) tentait de nous “vendre” la Yougoslavie de cette époque, je m'en souviens parfaitement et qu'on ne vienne pas me faire chier avec ces aveuglements successifs.
RépondreSupprimerIl se trouve que j'ai lu des livres, voyez-vous, et des meilleurs. Écrits par des gens qui ont vécu, chaque jour, ce que vous évoquez. Non seulement des Chalamov, des Guinzbourg, des Grossman, mais aussi des Kundera et d'autres : chaque défense du communisme est un crachat au visage de tous ces gens (et de ceux dont l'histoire, parce qu'ils n'étaient pas écrivains, n'a pas retenu le nom). Et jamais ces petits cons occidentaux ne me feront prendre des vessies pour des lanternes, grâce à ces livres qui les accusent.
Mais, mon cher Nebo, sachez bien que tout cela est obsolète : les "vrais problèmes", ce sont votre retraite, ma sécu, etc...
RépondreSupprimerOui... et le "bien vivre ensemble"... "les chances pour la France"... baiser impérativement sous cellophane... toussa toussa...
RépondreSupprimerOui... et le "bien vivre ensemble"... "les chances pour la France"... baiser impérativement sous cellophane... toussa toussa...
RépondreSupprimerOh, la flamme des commentaires s'essoufle un peu me semble-t-il - Didier, faites donc un billet sur la "libération" des pays baltes par l'Armée Rouge (et son retrait pendant la guerre)...
RépondreSupprimerLe livre que je citais, vous l'avez lu, je suppose: "Le portail" de François Bizot. Un vaccin contre le totalitarisme, en l'occurnce les khmers rouges. Nazis et communistes dans leur organisation politique sont les mêmes. Sauf que l'individu communiste et l'individu nazi n'ont rien à voir. Le premier est halluciné par un rêve qui le mène à l'horreur, le second veut l'horreur pour l'horreur.
RépondreSupprimerDidier, it was a joke. Plissonier étant le plus caricatural, ayant l'honneur du balcon pour saluer l'armée rouge à côté de Brejnev le 1er mai sur la place rouge...
RépondreSupprimerJe crois que Camus a tout dit dans "Les justes"... non ?
RépondreSupprimerNebo : merci pour toutes ces précisions.
RépondreSupprimerHermès, vous dites n'importe quoi. Je vous rappelle qu'Htler est arrivé au pouvoir légalement : pensez-vous qu'une majorité d'Allemands aurait voté pour lui s'il leur avait promis l'horreur ? Non, il leur a promis le redressement économique, la restauration de la puissance, l'effacement de l'humiliation du Traité de Versailles. Et le pire, c'est que, dans un premier temps (jusqu'en 1939), il y est parvenu.
Olivier : ah, vous me rassurez !
Lucia : lu il y a plus de trente ans : il faudrait que j'y retourne...
Et le brave Soljé. : «L'Archipel du goulag » , seulement le tome I, c'est facile à lire et le tableau est brossé avec tout les détails de la pauvre vie d'un type qui ne cherchait rien d'autre qu'à vivre sans aller embêter son voisin.
RépondreSupprimerEt pour faire plaisir aux ardents communistes : « Le grain tombé entre deux meules » , la vie du même A. S. (Alexandre Soljénitsine), en Europe et aux Etats-unis, belle critique de notre société pour le coup, et de quelques félons (c.a.d. les idots utiles).
Encore ceci : Si monsieur Henri traite encore les gens qui ne vous traînent pas dans la boue, Didier, de "suivistes", je n'ai qu'une chose à lui répliquer : il est injurieux et un peu couillon...
Incroyable ! le communisme fait encore bander !
RépondreSupprimerTenez bon Didier !
Oui, le communisme, son idéologie est encore très prégnante aujourd'hui, en particulier dans le milieu scolaire, dans les thèmes abordés etc... On n'en sort jamais.
RépondreSupprimerOui le communisme est encore prégnant. Il a en effet, partout, empoisonné l'école par son pédagogisme et son catéchisme ridicule. Et il continue à formater "l'idéologie dominante", l'art, la culture en enveloppant tout dans une doxa terrorisante. Mais on peut refuser ce communisme là et vouloir une gauche sociale et humaniste. Non?
RépondreSupprimerOn peut aussi être de droite et humain et social, tout bêtement...
RépondreSupprimerJe l'ai découvert récemment ( "Les justes" ), ça se jouait à la Colline (avec Emmanuelle Béart) mais je l'ai raté. J'ai été sidérée par la modernité et la justesse... de la position de Camus, de sa pensée, même le débat avec Sartre (et "Les mains sales" ) est passionnant.
RépondreSupprimerCa me semble répondre à toutes les questions que tu (te) poses.
@Nouvel Hermès
RépondreSupprimer" Sauf que l'individu communiste et l'individu nazi n'ont rien à voir. Le premier est halluciné par un rêve qui le mène à l'horreur, le second veut l'horreur pour l'horreur."
Voyez vous, quand on s'intéresse à la philosophie politique et qu'on est un tant soit peu doué pour la discipline, c'est le raisonnement que l'on tient à 14 ans... Après 1 an ou deux, on a en principe progressé.
On va donc être indulgent et se dire que tu as 14 et te donner un conseil: on apprend en silence, on lit sans intervenir, et quand on commence à avoir un peu le niveau, plus tard, on intervient.
"On peut aussi être de droite et humain et social, tout bêtement..."
RépondreSupprimerPour un chiasseux Gôchiste cela est impossible... ^^
" Mais on peut refuser ce communisme là et vouloir une gauche sociale et humaniste. Non?"
RépondreSupprimerQuand on commence à parler de "gauche sociale et humaniste", on raisonnne déjà comme un totalitaire, on est mûr pour les charniers.
Ce ne sont pas des choix politiques, l'humanisme et "le social", mais des vertus. Or, ce qui mène aux goulags, c'est cette façon de nier l'humanité de l'adversaire, de dire, non pas "je suis de gauche parce que je pense ça ou ça" mais parce que je suis le bien, j'incarne la vertu 'l'humanisme").
Quand on raisonne comme ça, c'est bien qu'on a au fond de soi des envies de Goulags.
%¨k
RépondreSupprimerOh! Et maintenant, svp, une minute de "silence respectueux vis-à-vis de cette horreur pure que fut le DGouxisme"...
RépondreSupprimerCette dénonciation du communisme est parfaitement risible, car totalement périmée.
RépondreSupprimerLaissez-moi analyser le problème de DG :
Prenons - au hasard bien entendu - le fameux Apéro
géant à l'Étoile où se sont retrouvés 1000 pelés et trois tondus (en passant : événement à 98 pour cent masculin - caractéristique de tous les mouvements réacs).
L'éternel problème des aigris de cette Réacosphère semi-instruite (qui se croit ou se dit libérale), c'est qu'ils n'ont pas l'habitude de manifester dans les rues : les manifs de rue, toute mobilisation COLLECTIVE, d'ordinaire, c'est bon pour la plèbe ...
Les droitards bien nantis de la mouvance aiment par-dessus tout croire et montrer qu'ils forment la seule élite éclairée en France.
Mais il y a un hic : comment exciter suffisamment d'incultes des couches inférieurs contre la Musulmanie conquérante(assimilée au régime nazi - avec son armée d'occupation, ses chars d'assaut, sa police, sa gestapo, son armée de l'air et sa mainmise sur l'État français : Rien que cela ! Faut-il en rire ou en pleurer?) mais attention, il ne faut jamais se rapprocher trop de la masse des inférieurs qu'on chauvinise à tour de bras, car on tient à continuer à montrer qu'on appartient au dessus du panier : c'est notre oxygène : on ne peut vivre sans cela.
Pas facile, pas facile, je vous le dis !
La véritable peur du groupe des Fiers d'être Réacs, de toute éternité, cela n'a jamais été le communisme, mais la peur du désordre, quel qu'il soit, ce désordre susceptible de venir les déranger dans la jouissance de leur appartenance à la Supériorité naturelle.
Voilà pourquoi, la gauche radicale et la droite radicale popu se retrouvent, dans la rue, ultimement face à face, tandis que les dandys réacs semi-instruits mais nantis finissent, barricadés chez eux, à attendre le Messie : un Salazar, un Pinochet, un Franco.
Le "communisme militariste" n'est pas un danger actuellement et D. Gx. le sait pertinemment : le but ici et ailleurs est de taper sur la gauche pour réhabiliter la droite chauvine.
Goux c'est le sous-Zemmour, le monsieur Pignon de la reconquista musulmane.
Leur activité sur le net consiste à exciter les enchauvinisés du bas, qu'ils ne fréquentent jamais, qu'ils méprisent depuis toujours, mais dont ils ont absolument besoin en ce moment pour faire taire la gauche manifestante, dans l'espoir de rester les seuls à pouvoir parler dans ce pays.
En outre, la Réacosphère a quelques habitudes sur le Net : utiliser plusieurs pseudos différents pour camoufler sa faiblesse numérique, et multiplier les sites contenant la même propagande dont les rédacteurs ne sont jamais nommés.
La Réacosphère utilise l'anonymat pour promouvoir un climat de peur et de guerre civile, avec les méthodes des staliniens, des nazis et des services du Renseignement (propagande grise, noire et blanche, diffusion de nouvelles fausses parmi de vraies nouvelles, fabrication de discours incendiaires prononcés par des provocateurs islamistes, leurs créatures virtuelles, manipulation d'informations. Il suffit de diffuser un certain nombre d'informations exactes et une série de bidonnages pour que cela devienne plausible.
Tout cela est vieux comme le monde.
L'art de la guerre et de la propagande.
Discuter idéologie ou histoire avec D. Goux? Mais à quoi diable cela pourrait-il servir? Nous sommes ici sur le site d'une agence de propagande.
Tiens : montrez-nous votre bobine, M. Goux,qu'on sache à quel agent nous parlons.
C'est amusant d'accuser Didier Goux ( né le 19 mars 1956 à Châlons-sur-Marne, domicilié au Plessis-Hébert emprès Évreux, travaillant chez Lagardère à Levallois-Perret) d'anonymat. On voit le sérieux de la raclure, là, déjà.
RépondreSupprimerEt, naturellement, tout homme "de droite" est un anti, et tout brav' gars de gauche un damné de la terre.
RépondreSupprimerTournez, manèges, et on tire la queue du mickey !
Un Nanti, bon sang !
RépondreSupprimerJ'oubliais : l'âge moyen de la Réacosphère qui excite par tous les moyens "la plèbe" est en effet 50 ans et plus. Boulots obtenus grâce aux ventes d'armes, de comms, de publicité et aux investissements des mondialistes.
RépondreSupprimerLes membres de la Réacosphère sont l'avant-garde de "l'antimondialisme nouveau".
D'après mes recherches poussées sur la mouvance, j'ai constaté, sans surprise, que beaucoup d'entre eux s'affichaient "experts financiers".
C'est de cette position qu'on surveille le mieux ses placements et qu'on veille le mieux sur ses propriétés.
Les réacosphériques appartiennent au groupe qui a le plus profité des politiques du travail de ces trente dernières années, du boursicotage - petits placements ici et là - immobilier ici et là,
et voilà que ces petits rentiers grincheux paradent sur le Net comme les Héros de l'Antibienpensance.
Totalement systémo-compatibles, ils n'ont pas une fois dans leur existence remis une seule fois en cause ceux qui possèdent le nerf de la guerre - l'argent - et qui font et défont l'information et nous inondent de publicité. Bref, ceux qui détiennent véritablement le pouvoir. Les Didier Goulx ont pour politique de ne jamais s'attaquer au véritable pouvoir.
Rappelons à notre Agent de prop que le SEUL journal à avoir analysé en profondeur les dérives spéculatives de la finance et à avoir annoncé la crise IL Y A PLUS DE 15 ans, c'est le Monde diplomatique. Eh oui, le SEUL journal, celui qui donne la nausée aux Réacorentiers, ce dont je me réjouis absolument.
Les réacorentiers qui se la jouent "avant-garde antibienpensante" m'amusent franchement.
à Anonyme:
RépondreSupprimerAnonyme a dit...
"La Réacosphère utilise l'anonymat pour promouvoir un climat de peur et de guerre civile,"
c'est bien vrai ça! ^^
"Tiens : montrez-nous votre bobine, M. Goux,qu'on sache à quel agent nous parlons.
Mais elle traine partout, la bobine de DG! Y compris sur son blog!
@Didier:
"tout brav' gars de gauche un damné de la terre."
C'est bien vrai, ça aussi^^ Ya plus que les bobos des centre ville qui votent à gauche. Je vais encore me faire allumer là.
Boutfil, à moiiiiiiiii !!!
"J'oubliais : l'âge moyen de la Réacosphère qui excite par tous les moyens "la plèbe" est en effet 50 ans et plus. Boulots obtenus grâce aux ventes d'armes, de comms, de publicité et aux investissements des mondialistes. "
Mortedelol, comme dirait Suzanne.
C'est vrai que ça aurait été dommage d'oublir ce passage, Anonyme!
"Les réacorentiers qui se la jouent "avant-garde antibienpensante" m'amusent franchement."
Ca se voit tout de suite.
Vous n'avez pas fait votre rototo?
L'alibi historique rétrospectif des communistes est toujours constitué de leurs héros morts pour une bonne cause. Et ce sont toujours ceux-là qui, lorsqu'ils ont survécu, finissent à la potence ou dans les camps du goulag après avoir été accusés des pires infamies, et cela partout où les communistes ont exercé le pouvoir. Toujours.
RépondreSupprimerCher Marcel Meyer, si ce n'est déjà fait, je vous conseille vivement la lecture du livre de Jan Valtin, qui m'occupe depuis quelques jours : rien de plus édifiant.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimer@Anonyme
RépondreSupprimerje dois le reconnaitre, vous êtes clairvoyant. Presque un extralucide, en fait.
La moyenne d'age des auteurs des nantis de la réacosphère est superieure à cinquante ans.
Lounès Darbois: 64 ans. Xyr: 58 ans. Hank: 61 ans. Il prépare son dossier de retraite. Le patriarche de la bande, c'est Didier Goux, 81 ans.
Alors oui, on est tous pleins comme des saucissons, mais on a obtenu tout ça après de longues vies de travail sur les marchés financiers, on a pas volé notre pognon!
Comme je ne suis pas parfaitement réac, je suis très heureuse de jurer que je n'ai jamais trempé dans aucune histoire de vente d'armes (quoique j'excelle à la confection de lance-pierres avec des caoutchoucs de bocaux, pour chasser les merles des cerisiers), que je n'y connais rien, hélas ou tant mieux, à la finance, n'ayant que peu de finances, et tout le reste à l'avenant.
RépondreSupprimer(ils sont chiants et pas très doués, ces anonymes)
Oh là là, je n'avais pas lu le Bel Anonyme. Quel monument !
RépondreSupprimer« D'après mes recherches poussées sur la mouvance »
Ça c'est de la phrase, putain ! Je la garde.