Ne peut plus se passer de moi, Madame Irène : voilà le deuxième billet qu'elle me consacre en une semaine (peut-être un peu plus, je n'ai pas mes bottes d'égoutier pour aller contrôler la chose sur place). Deux vrais billets, rien que pour moi, et bien longs, pour dire à quel point je suis un gros méchant réac et qui traite les dames patronnesses modernœuses. Bientôt, on ne parlera plus que de moi, dans son Asile. Ce n'est plus de l'amour mais de la fureur utérine, à ce stade.
En plus, elle est restée très gamine, mon Irène – peut-être ses romans pour ados qui déteignent, allez savoir : pour ne pas que Goux Gueule m'envoie des visiteurs grâce à elle, elle a bricolé un petit lien pour venir jusqu'ici, mais un petit lien masqué, furtif, un truc passe-muraille que cette grosse bêtasse de Gougle ne peut pas repérer, si j'ai bien compris – on n'est pas plus espiègle. Donc, pour rester au niveau bac-à-sable auquel Dame Irène s'est placée, eh bien moi non plus je ne mets pas de lien vers son nouveau poulet, là. En plus, dès qu'elle tournera la tête pour regarder passer la diversité et le vivre-ensemble dans leurs corps glorieux et au son argentin des vuvuzelas, je lui piquerai sa pelle et son seau. Histoire de lui apprendre c'est qui l'homme.
Pour le pâté, en revanche, je serai bien contraint de le lui laisser : elle a le nez dedans.
En plus, elle est restée très gamine, mon Irène – peut-être ses romans pour ados qui déteignent, allez savoir : pour ne pas que Goux Gueule m'envoie des visiteurs grâce à elle, elle a bricolé un petit lien pour venir jusqu'ici, mais un petit lien masqué, furtif, un truc passe-muraille que cette grosse bêtasse de Gougle ne peut pas repérer, si j'ai bien compris – on n'est pas plus espiègle. Donc, pour rester au niveau bac-à-sable auquel Dame Irène s'est placée, eh bien moi non plus je ne mets pas de lien vers son nouveau poulet, là. En plus, dès qu'elle tournera la tête pour regarder passer la diversité et le vivre-ensemble dans leurs corps glorieux et au son argentin des vuvuzelas, je lui piquerai sa pelle et son seau. Histoire de lui apprendre c'est qui l'homme.
Pour le pâté, en revanche, je serai bien contraint de le lui laisser : elle a le nez dedans.
Irène, c'est pourtant un prénom qui me fait *** ! (Qu'elle était belle, Irène Jarsky !)
RépondreSupprimerVoilà un titre de billet digne de votre concurrent Pierre Lucas et de sa Police des moeurs!...
RépondreSupprimerMadame Irène vient de finir un Brigade mondaine, on dirait.
RépondreSupprimerMais comment on fait pour vérifier vos dires, alors? Je ne la connais pas, cette dame Irène...
RépondreSupprimerPire que du pâté, du fromage de tête dirais-je...
RépondreSupprimerChr. Borhen a dit...
RépondreSupprimerMadame Irène vient de finir un Brigade mondaine
A propos de brigade mondaine,si un abonnépeut me procurer la suite de cet article...
Merci d'avance.
de cet article...
RépondreSupprimerL'Irene des pommes...
RépondreSupprimerIl a le sens du calembour ce Didier Goux.
Il pourrait travailler pour Libé.
Moi j aime beaucoup cette Irène des pommes! Grâce à elle, en réaction, vos billets n'en sont que plus savoureux et veneneux ! j'adooore
RépondreSupprimer"elle a bricolé un lien..." et d'après ce que j'ai vu elle a mis un virus sur les liens que vous avez fait vers sa page... Comme tous les geeks elle se prend pour le grand organisateur des choses. Faut il avoir du temps à perdre!!! Malgré tout on peut lire quand même son blog d'ici ... Mais je ne dis pas comment ;-) je la laisse s'arracher les cheveux.
RépondreSupprimer…
RépondreSupprimerQuel est celui qui a crée cette ménagère américaine en train de faire ses courses au super-marché avec ses bigoudis sur la tête, la jupe trop serrée sur de grosses jambes, en un mot : la nana ménopausée chère à Fredi Maque ?
RépondreSupprimerP.S. je soupire après la fraîcheur de l'Auvergne, je n'en peux plus... (les vapeurs... les bouffées... le thermomètre qui ne veut pas descendre...)
Georges : on peut la rebaptiser Mathurine, si ça vous arrange.
RépondreSupprimerNorbert : ah, si vous commencez à invoquer la concurrence...
Christophe : elle pourrait bien se retrouver dans le prochain. Et on l'appellerait Mathurine, d'ailleurs.
Carine : vous avez le mot "asile" en gras... Et vous avez la blogroll de Nicolas...
Pluton : non, 'aime trop ça, le fromage de tête !
Fredi : moi aussi, ils m'énervent, chez Causeur, avec leurs articles impossibles à lire.
Corto : oh, celui ne l'est guère, vénéneux. Plutôt gentillet, même, non ?
Geargies : Il faut bien qu'elle s'occupe, entre deux salons du livre internationaux...
Poireau : merci de cette contribution décisive.
Didier : je suis passé, je le signale. Pour le reste, rien à battre, c'est un truc de bac à sable…
RépondreSupprimer:-)
Votre billet vaut même le roman de Chester Himes, je me suis marré tout autant.
RépondreSupprimer"Bientôt, on ne parlera plus que de moi, dans son Asile. Ce n'est plus de l'amour mais de la fureur utérine, à ce stade."
Ces deux phrases m'ont fait mourir de rire !
Doucement sur le prénom Irène, Georges, c'est le prénom de ma grand-mère, elle est vénitienne, d'ascendance noble et pratique le doigt d'honneur avec dextérité.
"on peut la rebaptiser Mathurine, si ça vous arrange."
RépondreSupprimerMathurine Delse ?
Bof !
Sûr que va détendre tout le monde du slibard !
Emma : il s'agit de Duane Hanson.
RépondreSupprimerDorham : je m'avise seulement maintenant que ce prénom, Mathurine, a un côté voyeur ondiniste. Donc, pour une dame qui ne pisse jamais très loin, c'est parfait.
Voyeur ondiniste ? C'est quelqu'un qui se regarde pisser sans avoir enlevé son froc ? (un gosse en somme). Ou quelqu'un qui regarde les autres se pisser dessus (les vieux en somme).
RépondreSupprimerMerci beaucoup, Didier.
RépondreSupprimer@ Didier
RépondreSupprimerAllez, dîtes que vous êtes jaloux parce qu'elle a sa page sur wikipédia et pas vous!
( http://fr.wikipedia.org/wiki/Irene_Delse )
D'ailleurs, ce n'est pas une ménagère américaine mais un bas bleu.
http://dailymotion.virgilio.it/video/xfrmt_irene-delse-ecrivain_creation
J'ai eu une petite altercation avec la dame il y a quelques jours.
RépondreSupprimerJe la trouve un brin de mauvaise foi mais pas foncièrement méchante.
Le hic, c'est qu'elle fait exactement ce qu'elle vous reproche : personnellement, elle m'a jugé au terme d'une discussion de deux minutes sur twitter.
Après, elle peut se permettre de donner des leçons de morale sur ceux qui manquent de nuance et classent les gens en catégorie bons/méchants :-)
Vous êtes cruel, Didier. Irène Delse se plaint un peu partout de votre silence. "il ne sait pas que j'ai un nouveau blog, refais tes liens dans ta blogroll pour qu'il puisse bien voir que j'existe" "il n'ose plus venir sur mon blog"; "il peut bien venir se défendre lui-même", "ah le pleutre, il n'oserait pas venir le dire sur mon blog". Et ça ne marche pas. Vous faites des billets sur votre blog et elle ne peut pas se mettre de troll sous la dent, c'est le désert dans les commentaires.
RépondreSupprimerAvouez que c'est rageant.
(all we need is love, love, love)
Et si on envisageait un Delsethon, tous ensemble ? On ne peut quand même pas la laisser comme ça !
RépondreSupprimerToussensembleuh toussensembleuh ouais ouaiiiiiiis !
RépondreSupprimerTrès drôle (façon de parler) le petit tête-à-tête entre XP et Irène sur son blog ^_^
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