vendredi 11 mars 2011

Jacqueline Fihey, Ébroïcienne de garde et contorsionniste à ses heures

J'ignorais tout de Jacqueline Fihey jusqu'à ce matin et m'en portais fort bien – comme vous, je suppose. Jacqueline Fihey a installé ses pénates à la section d'Évreux de la Ligue des droits de l'homme, ce cloaque idéologique. Elle y est chargée, apparemment, de la promotion du musulman de base et de son installation en tête de gondole. Elle le fait en une langue merveilleuse, ce qui lui vaut les honneurs de ce blog. Par exemple, Jacqueline peut écrire sans éclater de rire :

La laïcité est aussi la construction d'un espace commun qui dépasse les différences tout en assumant la diversité.

Il est vrai que, quelques lignes plus haut, elle avait évoqué avec le même sérieux un ressenti d'inopportunité du prêt de la salle : ça vous blinde un caractère et vous fortifie une syntaxe.

Ensuite, Jacqueline pleurniche, comme il est de son rôle de le faire, tout en ânonnant les mantras habituels. C'est ici.

Je crois que je fais très bien, en allant à Évreux le moins souvent possible.

18 commentaires:

  1. Jacques Etienne11 mars 2011 à 11:59

    Extrait de l'unique commentaire suivant ce billet:
    "chaque jour nouveau pousse à penser qu’il faudrait faire apprendre par cœur des textes nuancés comme celui là tous les enfants scolarisés en France"

    C'est pas gagné d'avance !

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  2. Nous sommes cernés ! Soyons glorieux !
    J'ai aussi posté un commentaire mais je ne suis pas sûr qu'il passe.....

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  3. Pétasse nuisible... vous n'y allez pas un peu fort ? Je pensais que l'insulte n'était pas votre tasse de thé. Vous vous laissez submerger par l'émotion.

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  4. Jacques Étienne : Pas gagné en effet.

    PRR : on retournera y voir dans l'après-midi…

    Denis : c'est juste que ce libellé existait déjà. Mais je vais le changer pour vous faire plaisir, tiens.

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  5. Vous n'auriez pas osé avant la Journée de la Femme.

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  6. C'est, en effet, beaucoup mieux. Cela évite des complications aussi fâcheuses que très inutiles.

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  7. Vous avez essayé de savoir de quelle race elle est?
    M'étonnerait pas qu'elle soit d'une race inférieure.

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  8. Ébroïcienne ! ça alors , j 'ai cru un instant que cela faisait référence à un philosophe grec dont je n 'avais jamais entendu parler ...

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  9. @Pierre

    Des races "inférieures"... je croyais pourtant que ce verbiage s'appliquait uniquement aux animaux.

    J'aimerais que vous précisiez votre pensée qui ne manquera pas de nous enjouer.

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  10. Je crois que vous ne comprenez pas le second degré, Denis.
    Lisez le billet précèdent.

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  11. @Pierre

    Je préfère ne pas avoir votre don si singulier, comme vous semblez le croire, d'émettre dans un second degré qui ne me semble pas très éloigné du premier.

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  12. @Pierre

    "Je crois que vous ne comprenez pas le second degré, Denis"

    Henri veut nous faire croire qu'il manie le second degré, à présent. De mieux en mieux... Entre Dohram et Pierre/Henri, quelle belle brochette de trolls nous avons^^

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  13. Evreux est une très belle ville, avec son beffroi, sa cathédrale aux vitraux somptueux, l'église de Saint-Taurin renfermant des trésors de l'art gothique, le musée de l'ancien évêché... Il serait dommage de se priver pour si peu de telles merveilles.

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  14. Pourquoi m'en vouloir Denis, c'est plutôt bon signe pour vous, de vous scandaliser de ce que j'ai écrit.

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  15. Depuis quand Dorham est un troll? Geargies

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  16. vous êtes petit joueur moi Evreux j'y suis jamais allé!

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  17. J'aimerais pouvoir écrire pareil. Est-ce qu'il existe un Ébroïcientron automatique (sur le mode du Pipotron) ?

    Anonymetron.

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  18. Au sujet de l'usage que ces gens, mes frères, mes soeurs, mais incompréhensibles, font de la pensée, du langage et de l'intelligence humaine, je ne peux pas m'empêcher de lire un aveu dans ces lignes : "Le penser , c’est se tromper et c’est, surtout, s’abstenir d’identifier les problèmes et de réfléchir aux solutions concrètes à y apporter."

    Un oracle ne saurait mieux dire.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.