« Cormac Mc Carthy est américain, né dans le Tennessee en 1953, il a été marié a trois femmes et a eu deux garçons. »
C'est en tout cas ce qu'on peut lire au fond de l'étable. Or, ce McCarthy-là a publié son premier roman en 1965, soit à l'âge de 12 ans si l'on en croit nos chers Ruminants. C'est curieux, d'ailleurs, ce problème qu'ont ces vénérables vieillards avec les dates anciennes. Souvenez-vous du Begouen qui nous faisait ressortir Baudelaire de la tombe où il dormait depuis quatre ans, à seule fin de fustiger les communards. En principe, pourtant, on dit bien que la séniilité se signale d'abord par la perte de la mémoire récente, alors que l'ancienne perdure quasiment jusqu'au bout. Eh bien chez eux non, apparemment.
Bien entendu, charitable comme on me connaît, j'ai immédiatement laissé un petit commentaire signalant la bévue – au moins pour que Dame Pecnaude n'ait pas l'air trop ridicule avec son recopiage bâclé de Wikipedia. Mais comme tous mes commentaires sont là-bas censurés (grand mot pour une si petite chose, je vous l'accorde) aussitôt qu'apparus, sans doute même sans être lus, eh bien cela fait que la bourde chronologique s'étale toujours au fronton du billet – qui n'est de toute façon qu'un résumé hâtif, même pas du livre lui-même mais de son synopsis.
En tout cas, ça doit lui faire drôle, à Cormac, de s'être éveillé ce matin avec vingt ans de moins. Mais peut-être dort-il encore, le décalage horaire étant ce qu'il est.
C'est en tout cas ce qu'on peut lire au fond de l'étable. Or, ce McCarthy-là a publié son premier roman en 1965, soit à l'âge de 12 ans si l'on en croit nos chers Ruminants. C'est curieux, d'ailleurs, ce problème qu'ont ces vénérables vieillards avec les dates anciennes. Souvenez-vous du Begouen qui nous faisait ressortir Baudelaire de la tombe où il dormait depuis quatre ans, à seule fin de fustiger les communards. En principe, pourtant, on dit bien que la séniilité se signale d'abord par la perte de la mémoire récente, alors que l'ancienne perdure quasiment jusqu'au bout. Eh bien chez eux non, apparemment.
Bien entendu, charitable comme on me connaît, j'ai immédiatement laissé un petit commentaire signalant la bévue – au moins pour que Dame Pecnaude n'ait pas l'air trop ridicule avec son recopiage bâclé de Wikipedia. Mais comme tous mes commentaires sont là-bas censurés (grand mot pour une si petite chose, je vous l'accorde) aussitôt qu'apparus, sans doute même sans être lus, eh bien cela fait que la bourde chronologique s'étale toujours au fronton du billet – qui n'est de toute façon qu'un résumé hâtif, même pas du livre lui-même mais de son synopsis.
En tout cas, ça doit lui faire drôle, à Cormac, de s'être éveillé ce matin avec vingt ans de moins. Mais peut-être dort-il encore, le décalage horaire étant ce qu'il est.
Ouais. Bon. C'est une faute de frappe. Reste la question essentielle après toute lecture de La Route. Dieu y est-il ? Ou n'y est-il pas ? (histoire de déterrer les vraies haches de guerre)
RépondreSupprimerIl est vrai que j'ai fait une faute en recopiant ma note d'identification (simplifiée) de l'auteur, mais cela est certainement du, non à une faute de frappe mais au fait que je ne fonctionne que d'un oeil (l'autre étant en réparation) et vos sarcasmes nauséabonds n'empuantissent que votre atmophère, Didier Goux.
RépondreSupprimerPour votre petit bien être intellectuel vous avez besoin de vous rassurer en médisant, cancanant sur vos "têtes de turc" personnelles ... manqueriez vous de marques d'affection maternelles ?
Je ne lis pas vos BM, dommage, car j'aurais pu en faire un pavé, signalant par là votre délirante imagination ainsi que d'autres traits de votre caractère (mais j'en ai lu, parmi les premiers).
Je ne copie pas Wikki, ne vous en déplaise, ce n'est de votre part qu'une diffamation de plus. Mais, de cela vous en moquez, vous avez tant d'autres sujets de déplaisir. Je n'ai jamais été partisane d'une éviction du blog non plus. Je ne suis pas une "lettrée" comme vous, je me situe dans une honnête moyenne, et ne fais pas carrière de belles lettres même frôlant la pornographie, je n'ai pas de ces complexes. Ni d'humour, je m'amuse trop à le lire chez les autres et dans ce domaine éprouve une saine paresse.
Je me contente de lire, de dire mon sentiment et de tenter de faire lire ce que j'ai apprécié.
Au contraire de vous, je n'ai ni idées obtuses, ni mépris des autres. Votre manque d'humilité me désole malgré votre brusque retour vers une spiritualité que vous êtes loin d'avoir compris.
C'est très mal de nous pousser au mépris, Didier Goux.
Dorham : je me souviens d'un assez bel échange, à ce sujet, entre Juan Asensio et Ygor Yanka. Auquel j'avais très modestement mêlé mon petit grain de sel. Mais je ne sais pas si je parviendrais à retrouver tout cela. (Je ne suis déjà pas fichu de retrouver mon propre billet à propos du roman, alors…)
RépondreSupprimerLa Pecnaude : je ne comprends pas un mot de ce que vous essayez de dire, désolé.
Au lieu de vous remercier d'avoir signalé la petite erreur sur la date de naissance de l'écrivain (date corrigée rapidement, mais discrètement, même pas de formule plaisante à proposer, c'est dur de se faire reprendre), la miss essaie maladroitement de s'en prendre à vos écrits, évidement c'est plus que laborieux comme démonstration…
RépondreSupprimerUn petit conseil : se faire engager par Raph Endo. sur France-Cultu. : il n'est pas trop "regardant" sur la parlure de son assistante.
Oh, je ne m'attendais pas à des remerciements ! je ne suis pas naïf, non plus…
RépondreSupprimerEt puis, bon, il est vrai que j'aime bien de temps en temps me moquer de ces révolutionnaires d'hospice.
Pourquoi m'en excuser ? Je l'ai honnêtement reconnue cette faute.
RépondreSupprimerQuand à ce que je dis à Didier Goux, dans ma parlure (n'est-ce pas Emma), c'est très clair. Qu'il s'analyse un peu, qu'il essaie de comprendre ses motivations quand il lance ses anathèmes et qu'il redevienne le vrai commentateur qu'il a été.
Ce n'est pas un mauvais type, mais il est un peu bouffé par des idées que joyeusement vous l'encouragez à cultiver.
Eh, Oh ? les révolutionnaires d'hospice valent bien les hypocondriaques !!!
RépondreSupprimerQuoi, quoi, j'encouragerais donc monsieur Goux à embrasser de mauvais penchants, franchement je n'en avais pas conscience, alors merci de me le signaler !
RépondreSupprimer« Eh, Oh ? les révolutionnaires d'hospice valent bien les hypocondriaques !!! »
RépondreSupprimerEh bien, vous voyez, quand vous voulez, vous êtes capable de viser juste et d'être drôle !
Emma : si, si, c'est vrai : vous faites rien qu'à me souffler des idées nauséabondes que je serais même pas cap' d'avoir tout seul, sinon. C'est pas joli-joli, ce que vous faites, laissez-moi vous le dire…
Alors là, moi une brebis à peine sortie de l'œuf …
RépondreSupprimerC'est toujours de la faute des bonnes femmes.
RépondreSupprimerLe gars, au fond, il est un peu rustaud, pas mauvais, on boit un coup avec et tout est oublié.
Mais les bonnes femmes, ah la la... intrigantes, manipulatrices, perfides...
Les sarcasmes nauséabonds de Didier Goux ne rappellent que trop les heures les plus sombres de notre histoire.
RépondreSupprimerBruno-Roger Anonyme.
Mais je ne comprends pas bien : on vous censure là-bas mais on vient sans complexe s'épancher chez vous? Incroyable.
RépondreSupprimerEmma, c'est moi que vous traitez de mauvais penchant ?
RépondreSupprimerLa Crevette : oh mais ils ne sont pas les seuls à faire ça ! C'est une spécialité des extrême-gauchistes : CSP fait la même chose. Et puis, il y a cet imbécile pontifiant de Bibi, qui me crache dessus en commentaire sur son propre blog mais censure ceux que je laisse ensuite. Et puis, il y a bien entendu la Pecnaude. elle, c'est différent : elle vient faire sa gentille ici, deux trois petites courbettes, un sourire, tout ça, et après elle retourne chez les Ruminants me traiter de gros beauf.
RépondreSupprimerEt ce sont ces gens qui donnent des leçons de morale à la terre entière…
Étant donné que les BM sont plutôt de la lecture pour costauds qu'ont pas peur, je demande à voir la tête de la dame en question pendant lecture d'un d'eux... Geargies
RépondreSupprimerNon, là vous attigez ! ce n'est pas parce que je vous le dis gentiment que ce n'est pas dit. Pas plus chez Rumi qu'ici ou ailleurs.
RépondreSupprimerDites moi, vous l'avez "choisie" la photo du blog de l'Irremplaçable (7 avril - où qu'il est le ...) cela vous fait vraiment une tête d'Awerell cette pose (cela dit sans me moquer, vous avez perdu votre ampleur).
Promis je ne me moquerai plus de vous, je ne dirai que la vérité, la mienne évidemment ...
Je viens de "miser" 0,90 euro sur l'un de vos BM, j'expliquerai à Geargies ce que j'en pense ...
RépondreSupprimerCatherine ! Euh, je crois que Didier n'a pas besoin de conseil pour vous embrasser, mauvais penchant que vous êtes !!!… ! Et moi je vous envoie une bise du lointain Vaucluse !
RépondreSupprimerMais les BM ne coûtent certes pas 0,90 euro, mais dans les six euros et quelque, Miss Pec… (peut-être alors chez un bouquiniste ? ).
Au moins cher : Price Minister !
RépondreSupprimerLa Pecnaude : allez donc dire à vos amis ignorants que le film dont ils parlent s'intitule J'irai comme un cheval fou.
RépondreSupprimerComme Anonyme. Celui que vous voudrez.
RépondreSupprimerUne bise, Catherine. J'aime bien quand vous arrivez à l'improviste !
Mifa
Mais la Pecnaude, Didier n'a pas écrit TOUS les BM. Il y a plusieurs auteurs. Sur quel titre avez-vous misé vos 90 cts ?
RépondreSupprimerMifa ; )
Ce sera sa punition, à Dame Pecnaude : on ne lui dira jamais si elle acheté un des miens ou non !
RépondreSupprimerJ'adore la photo.
RépondreSupprimerUn de mes écrivains préférés, avec mes réalisateurs préférés. Je la reprendrais probablement pour un futur billet.
Son style inimitable.
RépondreSupprimerJ'ai laissé ce commentaire sur Ruminances (où le gracieux Clarky m'avait demandé de ne pas remettre les pieds, enfin, les mots):
RépondreSupprimerVous reprochez à La Pecnaude ses qualités: elle se promène, elle va sur tous les blogs, elle n'hésite pas à laisser un petit mot, elle se fait chahuter et elle revient, elle discute avec les uns et les autres. C'est une qualité que vous n'avez pas, ou que vous n'avez plus depuis longtemps sur ce blog.
Vous vous souvenez de ce jouet, disparu je crois, qu'on appelait le Télécran, ou l'ardoise magique ?
On écrit, puis on efface en remontant un double écran, et on recommence... La Pecnaude m'y fait un peu penser. Et, bien entendu, vous lui reprochez de ne pas être aussi méchants que vous, de ne pas utiliser les mêmes ficelles, les mêmes insultes. Reste avec nous, fais comme nous, marine dans la même méchanceté, on vire tout ce qui nous déplait de notre blog à nous, c'est pas pour que tu ailles voir les autres...
Merde aux censeurs !
Ruminances, par la voix de ses membres les plus tolérants, se demande ce que La Pecnaude vient foutre chez vous (allez voir les commentaires sous leur billet Mac Carthy, le divin Clarky ne peut pas écrire une phrase sans se vanter d'être au moins aussi cultivé qu'un autre, ni sans patauger dans le niktamère mode sous-Bérurier)
RépondreSupprimerLa Pecnaude, qui au moins se balade un peu partout et ne censure personne, va finir par faire tâche dans leur fine équipe de barbons aigris et intolérants, et passer à la trappe de l'épuration ruminologique.
Suzanne : le plus drôle est que les autres (certains en tout cas) viennent aussi me lire, mais en cachette, comme on allait au boxon. Ils se trahissent régulièrement et ne s'en rendent même pas compte.
RépondreSupprimerJe me demande s'ils vont relever votre intervention…
Didier: si si, j'ai laissé des commentaires qui y sont toujours.
RépondreSupprimerVous disiez, dans un de vos billets ou commentaires, qu'avec Ruminances, vous vous engueuliez avec respect, ou quelque chose comme ça. Je crois comprendre ce que vous voulez dire, vous leur rentrez dans le lard avec, parfois, convenez en, l'élégance d'un pittbul en fin de Carême, et non seulement vous souffririez qu'ils en fassent autant, mais vous le réclamez explicitement, pour pouvoir répliquer dans un feu d'artifice d'engueulade à la française, comme dans un troquet de mecs, des vrais, où l'on balaie le verre brisé et change quelques chaises avant la ouverture quotidienne.
Et eux, les couillons, y veulent pas.
Oui, je sais, le lyrisme me gagne.
J'ai dit "avec respect", moi ? Bizarre, voilà un mot que je n'aime pas beaucoup, pourtant.
RépondreSupprimerMais au fond, vous savez quoi ? Je pense que je les emmerde et obsède encore bien plus depuis qu'ils me caviardent et que, donc, je ne commente plus : ils savent que je suis là, quelque part, à ricaner… mais ils ne peuvent plus voir où…
Didier:
RépondreSupprimer24 mars : "Ainsi, moi avec mes ruminants, par exemple. Et eux avec moi. On se déteste avec ferveur, méprise avec respect, déconsidère avec cérémonie : on s'aime."
C'est à ça que je pensais. Il y avait bien le mot "respect", un peu collé à mépris, ok, mais tout de même...