Je ne voudrais pas l'accabler, cet homme, mais enfin, je crois qu'il y va un peu de sa faute tout de même. La déferlante de billets rigoureusement identiques dans leur morne sottise qui a suivi sa petite séance hôtelière a fait que l'espèce de lassitude ressentie par moi depuis quelque temps face à la blogosphère s'est brusquement muée en accablement à coloration dépressive. Plus envie, voilà. Indigecìon, comme dirait la femme de chambre portoricaine. J'ai commencé par trucider Ricardo Pastaga, pensant que ce mini holocauste suffirait – mais non : toujours la même blogatonie. Si l'envie me revient je vous le ferai savoir. En attendant, je vais m'asseoir au haut de la dune et fumer du silence.
Hé ho ! Remettez-vous, le vieux ! On a besoin de trolls.
RépondreSupprimerEn l'occurrence, ce n'est pas de la faute de DSK si la bonne ne voulait pas lui faire une pipe.
Tiens, on dirait que je n'ai pas fermé les commentaires assez vite ! Ah vous n'êtes pas number one pour rien, vous…
RépondreSupprimerIl est évident que notre petit monde tourne en rond. Il se cherche avant de se perdre ou de se retrouver, enfin. C'est un peu une "précession de nos équinoxes"
RépondreSupprimerCela étant, le blog, l'Internet, sont des outils faits pour retailler notre être. (Vous pouvez supprimer à votre aise ce commentaire vraiment très con)