Pouvant, dorénavant, me targuer du statut de lecteur assidu de votre blog et de votre journal, une question me taraude le fondement : dans votre pastis, un ou deux glaçons ?
Sinon la photo est sympa mais comme vous le constatez, elle ne m'inspire malheureusement aucun commentaire intelligent.
PS: Je sais, la raison et le bon "goux" auraient dus m'interdire de pianoter sur ce maudit clavier, mais je n'ai jamais su résister à une porte, qui plus est, entrouverte.
Terminer les commentaires des billets précédents par deux éructations d'XP, c'est tout simplement de la triche. C'est votre neveu, ou quoi ? Vous lui devez de l'argent ? Bon, n'ayez crainte, je m'arrête là. Mais quand même... Ou alors vous avez eu peur qu'il se suicide ?
Pouvant, dorénavant, me targuer du statut de lecteur assidu de votre blog et de votre journal, une question me taraude le fondement : dans votre pastis, un ou deux glaçons ?
RépondreSupprimerSinon la photo est sympa mais comme vous le constatez, elle ne m'inspire malheureusement aucun commentaire intelligent.
PS: Je sais, la raison et le bon "goux" auraient dus m'interdire de pianoter sur ce maudit clavier, mais je n'ai jamais su résister à une porte, qui plus est, entrouverte.
Une seule solution: la fuite!
RépondreSupprimerC'est marrant, ça ressemble à la Place du Colonel Fabien.... Geargies.
RépondreSupprimerEcrivain en bâtiment ...
RépondreSupprimerSerait-ce le bâtiment de l'écrivain ?
Farr : je bois le pastis dans un grand verre. Par conséquent, ce ne sont pas moins de quatre glaçons qu'il me faut.
RépondreSupprimerPabngloss : j'essaie, mais ils ne veulent pas me lâcher !
Geargies : hélas, oui…
Solveig : non, c'est le bâtiment du pseudo-journaliste.
Terminer les commentaires des billets précédents par deux éructations d'XP, c'est tout simplement de la triche. C'est votre neveu, ou quoi ? Vous lui devez de l'argent ?
RépondreSupprimerBon, n'ayez crainte, je m'arrête là. Mais quand même...
Ou alors vous avez eu peur qu'il se suicide ?
Gaston, j'ai parlé DES belligérants…
RépondreSupprimerEn fait, c'est que j'ai pas très envie, le matin au réveil, de devoir me taper cent cinquante commentaires d'insultes se mordant la queue. Donc…
Tiens d'ailleurs, puisque vous m'y faites penser…
RépondreSupprimerAh Didier,
RépondreSupprimerMerci de me rendre mes jouets!
Bon, je ne ne vais pas y toucher, sinon tu vas encore me les confisquer...
En tous cas, je me suis bien amusé!