La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
mercredi 19 décembre 2012
Pour l'amiral Woland, je réédite Piaf
Deux chansons pour le prix d'une : Non, je ne regrette rien, suivi de Mon Dieu ! Et, en prime, une version public de la seconde, avec Charles Dumont au piano du riche…
C'est pas bientôt fini avec Piaf ? Mais non, je plaisante, elle est formidable ! Quand j'avais 15 ans je l'imitais et ça faisait rigoler toute la famille !
C'est un bel hommage; ce serait son anniversaire aujourd'hui, à Madame Piaf. Je préfère sa première inteprétation de "Mon Dieu", je trouve la voix plus belle, plus ample.
Ah bah voilà qui claque comme une levrette en bonne et due forme. Merci.
RépondreSupprimerAh mais, de rien ! Quand on peut rendre service à la pratique, n'est-ce pas…
SupprimerC'est pas bientôt fini avec Piaf ?
RépondreSupprimerMais non, je plaisante, elle est formidable !
Quand j'avais 15 ans je l'imitais et ça faisait rigoler toute la famille !
Je vais vous dire pour Piaf ce qu'on dit de l'alcool ou du tabac : « Demain j'arrête, promis… »
SupprimerC'est un bel hommage; ce serait son anniversaire aujourd'hui, à Madame Piaf. Je préfère sa première inteprétation de "Mon Dieu", je trouve la voix plus belle, plus ample.
RépondreSupprimerLa qualité technique des deux enregistrements doit jouer aussi son rôle…
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