Pour ce qui est de l'intimité nous n'en sommes pas encore là. |
Avec ça qu'il n'a pas l'air commode… |
Nous nous étonnions, depuis quelque temps, de la quantité de noisettes,
celles que nous déposons pour lui à l'embranchement primordial du
cerisier, que pouvait engloutir le pic épeiche qui nous rend visite
régulièrement depuis plusieurs semaines maintenant. Mais Catherine, ce matin, a vu un énorme pivert – déjà
aperçu par moi deux ou trois fois dans le verger voisin, venir y puiser
lui aussi sans la moindre vergogne. Quand je dis “énorme”, c'est par référence à la taille de
son cousin épeiche : pour un pivert, il doit être, je suppose, de taille
résolument standard. Le paradoxe est que, au départ, elles avaient été, ces noisettes,
achetées en vue de nourrir l'écureuil qui est passé par chez nous à quelques reprises au début de l'automne, lequel n'est plus jamais revenu depuis, alors
qu'il aurait en principe table ouverte et grassement garnie.
Il n'empêche : si on m'avait prédit
qu'un jour je serais obligé, au sein de nos finances domestiques, d'établir un “budget noisettes”…
Les noisettes, ça permet d'éponger les gros nègres à l'apéro, aussi ?
RépondreSupprimerS'il en reste !
SupprimerC'est chou mais n'entamez pas le budget carburant de la Volvo avec les achats de noisettes tout de même!
RépondreSupprimerNon, non, les budgets sont étanches et maîtrisés : on n'est pas des socialistes, quoi, merde !
SupprimerVous auriez dû mettre la vidéo des Modernoeuds pour compléter ce magnifique tableau. Un oubli, sans doute.
RépondreSupprimerPour faire fuir ces pauvres piafs ? Merci bien !
Supprimermagnifique photo de pic vert félicitation au photographe
RépondreSupprimerbonne journée
Alain