À Bristol où il vit, mon frère a un ami qui travaille dans une grande imprimerie spécialisée dans l'impression des billets de banque. Il lui a récemment révélé que, depuis quelque temps, ils s'étaient mis à imprimer, en très grosses quantités, des drachmes et une autre ancienne monnaie européenne, dont mon frère n'est plus certain absolument qu'il s'agit de la peseta. Étrange, non ?
Yes ! Le commencement de la fin ?
RépondreSupprimerEtrange...
RépondreSupprimerOn aime bien rire au dépens du Didier , je me souviens d'une histoire de lapin mort sur le canapé venant de ta soeur ????.
RépondreSupprimerCe qui m'étonne à 1000 kgs c'est que ces billets soient imprimés hors du pays de transaction .
Bon WE baleze Pascal
Lorsque nous étions encore au Franc, la France imprimait les billets pour certains pays. C'est juste une question de savoir-faire et de technologie. Nous imprimons les tickets de loterie et loto canadiens.
SupprimerEn l'occurrence, bien qu'installée en Angleterre, l'imprimerie en question est française.
SupprimerMille excuses, une idée reçue sans doute
SupprimerFidel
Il se trouve que c'est une boite française (dont je ne souviens plus du nom) qui est un des leader mondiaux du "papier spécial" (papier technologique tel que celui utilisé pour les billets de banque.) D'ailleurs, les Banque Centrale ont des exigences différentes en terme de qualité et de propriété (propriété dans le sens de "capacité") de billet.
SupprimerQue l'imprimerie soit en Angleterre ne me surprend pas du tout : moins chère, pas de syndicats communistes etc...
Ca sent le sapin tout ça!!
RépondreSupprimerJe serais l'ami de votre frère, je me mettrais fissa à l'impression massive de Livres chypriotes.
RépondreSupprimerIl eut mieux valu que ce soit vous-même qui imprimassiez les drachmes au lieu du cousin de la tante de la bicyclette à Jules :)
RépondreSupprimerEtrange, la rumeur, toujours.
C'est drachmatique !
RépondreSupprimerDuga
Supposons que les grecs repassent au drachme.
RépondreSupprimerTout le monde sait que cela s'assortira d'une dévaluation du drachme.
En pratique, le compte en banque du grec de base va être converti des euros en drachmes, et perdre de sa valeur face à l'euro.
Bien évidemment, personne n'ira baisser ses prix, donc une dévaluation de 20% serait comme un impôt de 20% sur les comptes bancaires des grecs.
Quitter l'euro, c'est se faire baiser à la chypriote.
Yis.
Certes, mais en même temps vous relancer l'industrie du tourisme et les exportations...
SupprimerDe toute manière on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs. Imaginer qu'on peut sortir d'une merde pareille sans que qui que ce soit y laisse des plumes, c'est croire au Père Noël. Le seul truc, c'est d'arriver à limiter la casse à la fois quant au nombre de ceux qui vont devoir souffrir quelques années, et dans le temps, car dès lors que l'économie repartira, les équilibres se retrouveront progressivement.
SupprimerTourisme : bien adapté à la Grèce.
SupprimerPendant longtemps, les touristes européens des pays riches allaient en Grèce en s'émerveillant du faible coût de la vie. Avec l'euro, les prix ont monté aux niveaux européens.
Le retour à la drachme rendrait le pays à nouveau attractif aux étrangers, et il faut bien dire qu'il n'a pas grand'chose d'autre à offrir.
Des exportations ? La Grèce n'exporte rien, à mon avis... Un peu de poisson d'élevage... La marine marchande ne compte pas, je pense, c'est une industrie hors-sol, exemptée d'impôts, mondialisée, avec des équipages étrangers...
A Bristol on mange des "Fish and chips", même avant le premier avril.
RépondreSupprimerOn a lancé des paniques bancaires pour moins que ça ! Enfin... je connais pas vos chiffres de fréquentation ;)
RépondreSupprimerJ'aimerais bien que ce soit vrai mais franchement j'y crois pas. Une telle action serait la négation de tout le "rêve européen" que nos eurocrates veulent nous faire bouffer. Pour plagier Cavanna "l'Europe, c'est un plat de merde qu'on mange à la petite cuillère".
Un type qui y croyait (à l'Europe politique)
Les eurocrates n'avaient que le rêve de détruire les nations européennes tout en vivant eux-mêmes comme des nanabs. Ils sont en train de réaliser leur rêve.
SupprimerJe ne crois pas, je pense qu'il y a eu beaucoup de sincérité pendant longtemps, les souvenirs de la guerre étaient encore frais... puis les Anglais sont arrivés et puis chacun a vu que l'Europe c'était pas seulement un idéal mais une machine à intérêts particuliers. Un petit peu la situation du dilemme du prisonnier : les deux prisonniers ont intérêt à coopérer, mais si l'un sait que l'autre est susceptible de trahir, il doit trahir aussi et les deux restent en prison. Avec le Royaume-Uni, on a introduit le pays dont on est sûr qu'il va trahir.... et on est tous perdants.
Supprimer"Une telle action serait la négation de tout le "rêve européen" que nos eurocrates veulent nous faire bouffer"
RépondreSupprimerPourquoi? Sur 27 pays de l' Union Européenne, seuls 17 ont adopté l'euro.
L'idée générale est que tous les pays de l'UE, à terme, aient l'euro (en-dehors du Royaume-Uni bien sûr). Et l'Europe telle qu'on la voit aujourd'hui s'est toujours construite avec des avancées intégrationnistes à effet cliquet : une compétence devenue du ressort européen n'est plus jamais repassée au niveau national. Une sortie de l'euro constituerait donc une première "désintégrationniste" depuis 1957 et serait également dévastatrice à ce titre. La meilleure preuve de cette volonté d'effet cliquet est qu'aucune sortie de la zone euro n'a été prévue dans les textes.
SupprimerDe La Rue n'est pas gaulois mais rosbif, bande d'ignorants.
RépondreSupprimerhttp://www.advfn.com/fr/lse/Actualites.asp?actualites=DLAR&article=52475538&headline=limprimeur-de-billets-de-la-rue-se-prepare-a-une-sortie-de-l
Eh ! oh ! je répète ce qu'on me dit, moi !
SupprimerVotre lien.
Cela ne résoud pas l'énigme de "l'autre ancienne monnaie européenne": la peseta andorrane ?
RépondreSupprimerWaow! J'ai l'impression que vous nous livrez là une exclusivité.
RépondreSupprimerLe deutsch mark... commandez-moi quelques brouettes s'il vous plait ;-)
RépondreSupprimerhttp://www.lesoir.be/219230/article/economie/2013-04-03/secrets-des-offshore-exposes-mondialement
RépondreSupprimerVivement ce soir
Youpala