Puisque Ferré s'est mis à chanter Baudelaire, je me suis bourré une pipe à tête de chat.
Et, par ailleurs, ce vers d'Apollinaire : « C'était son regard d'inhumaine », a quelque chose de baudelairien – ou bien je suis stupide et sourd, ce qui n'est pas à exclure.
Et ma pipe à tête de chat est vachement lourde entre les dents, mais je ne vois pas trop où la mettre ailleurs.
C'est plus facile que de bourrer un chat à tête de pipe.
RépondreSupprimerDésolé
Duga
" mais je ne vois pas trop où la mettre ailleurs " . On ne s'ennuie jamais à lire Didier Goux.
RépondreSupprimerJe comprends enfin pourquoi ce jeune homme m'a donné sa pipe à tête de Beethoven !
RépondreSupprimerC'était pour s'en débarrasser.
Je l'ai toujours mais moi, je n'ai pas la tentation de la fumer.
Essayez l' écume de mer, c' est plus léger mais plus fragile.
RépondreSupprimerComme le dit le proverbe: "c'est dans les meilleurs bois qu'on fait les meilleures pipes"!
RépondreSupprimerJe suis un pauvre type
RépondreSupprimerJ'aurai plus de joie
J'ai jeté ma pipe
Ma vieille pipe en bois
Qu'avait fumé sans s'fâcher
Sans jamais m'brûler la lippe
L'tabac d'la vache enragée
Dans sa bonne vieille tête de pipe
J'ai des pipes d'écume
Ornées de fleurons
De ces pipes qu'on fume
En levant le front
Mais j'retrouv'rai plus ma foi
Dans mon coeur ni sur ma lippe
Le goût d'ma vieille pipe en bois
Sacré nom d'une pipe
Et tout cela avec la voix un peu rocailleuse du fumeur de pipe qu'était le vieux Georges dont les textes se passent fort bien de musique.
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