Nous partons dans deux heures pour la Seine-Maritime, Ermenouville plus précisément, où habite ma sœur, afin d'y rendre hommage à mon grand-père et, plus généralement, au 12ème régiment de chasseurs. Quelques explications suivront demain, à notre retour. J'espère qu'il fera beau et qu'Olivier aura mis quelques flacons de blanc au frais : la guerre mondiale et les invasions nazies, ça donne soif.
En somme, vous faites tout pareil que les autres mais dans le désordre.
RépondreSupprimerPourquoi dans le désordre ?
SupprimerJe suppute que c'est uniquement la promesse du blanc frais qui vous a décidé à faire ce voyage dans un trou perdu comme Ermenouville connu uniquement de votre sœur
RépondreSupprimerAh mais pas du tout ! Ermenouville est une commune prestigieuse, puisque son château du XVIIe a été la propriété des Montmorency Luxembourg, et que Victor Hugo y venait en ami !
SupprimerD'autre part, vous ne devriez pas dire de mal de cette petite commune : elle est quasiment la seule de toute la Haute-Normandie à avoir, lors des élections européennes, donné plus de voix à la gauche qu'au FN…
Vous auriez pu préciser que cette photo illustre l'événement le plus sombre de ce week-end: la cérémonie suivant l'annonce, par dame Rosa, qu'elle arrête son blog.
RépondreSupprimerElle arrête son blog comme on cesse de fumer ou de boire : pour reprendre de plus belle une semaine plus tard…
SupprimerQuel plaisir prenez-vous à gâcher les rares moments d'émotion nationale collective comme celui-ci ?
SupprimerJe sais que Robert Marchenoir passe souvent ici, donc je choisis cet endroit pour publier ce commentaire hors-sujet qui a pour but de vous faire savoir que le meilleur intervenant de la rococosphere est cité dans un blog du Monde.fr:
RépondreSupprimerhttp://www.lemonde.fr/culture/article/2014/06/13/pleyel-est-morte-vive-la-philharmonie_4437299_3246.html
"Il est vrai que depuis des décennies, l'opéra et le classique sont dominés par ce profil : un spectateur âgé, aisé, conservateur et habitué. Robert Marchenoir le dit autrement sur le blog de Philippe Herlin : « La musique classique est un art élitiste, et il en ira toujours ainsi. »"
Un lecteur qui ne commente jamais
L'article semble inaccessible sans payer…
SupprimerHa ! C'est gentil de me faire ma revue de presse gratos... d'autant que je ne commente presque jamais chez Philippe Herlin. Ils auraient pu citer Didier, quand même.
SupprimerBien entendu, le brave journaliste du Monde s'est bien gardé de citer les passages intéressants de mon commentaire, que je reproduis ici rien que pour le fun :
SupprimerToujours cette obsession socialiste consistant à déplorer qu'il n'y ait pas davantage de pauvres, de Noirs, d'Arabes et de transsexuels unijambistes amateurs de musique classique.
Eh oui, il faut s'y résigner : la musique classique est un art élitiste, et il en ira toujours ainsi.
La preuve : la seule façon d'ouvrir la salle Pleyel à de "nouveaux publics", selon l'expression imbécile consacrée, c'est d'y programmer... autre chose que de la musique classique. Si la gauche pouvait enfin nous lâcher et laisser les gens écouter la musique qu'ils aiment, au lieu de vouloir à tout prix les "éduquer" et même les "socialiser"...
http://philippeherlin.blogspot.fr/2014/05/retablissement-de-la-censure-atteinte.html#comment-form
Je me demande si je ne vais pas porter plainte pour diffamation envers ce Michel Guerrin, qui, en extrayant mes propos de leur contexte, me fait courir le risque de passer pour un socialiste de modèle courant, alors que mon commentaire est impeccablement raciste, fasciste, nazi, et rappelle indubitablement les zeurléplusombres de notristouâr, comme il convient.
Ah ! Ca y est ! Vous êtes rentré !
RépondreSupprimer(je vais aller troller un autre de vos billets, vous m'excuserez).
Vi, me v'là. Je pense que je ne ferai mon billet explicatif que demain : ma famille est un peu fatigante, le chablis d'hier soir et la mirabelle de mon beau-frère aussi. Il me reste juste assez d'énergie pour attendre l'apéro de ce soir (destiné à me récompenser de n'avoir rien bu à midi)…
SupprimerVous avez fait l'impasse sur le rosé frais pour vous rabattre sur un infâme Chablis et une mirabelle passée d'age
SupprimerC'est un Ecossais, au fond ? Qui représente-t-il ?
RépondreSupprimerUn régiment écossais se trouvait là en juin 40, qui a pu rembarquer grâce au combat "retardateur" d'Ermenouville. L'Écossais était de nouveau présent cette année, ainsi qu'un ou deux Anglais, mais on ne les repère pas à leur costume…
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