Quand j'allais être opéré de mon cancer (il y a 5 ans), j'ai dit au "grand patron" que je me voyais mal tenir le coup plusieurs jours sans fumer, mais il m'a rassuré : " Vous ne pourrez effectivement pas fumer pendant les 48 heures que vous passerez au lit ; mais, dès que vous pourrez marcher, vous ferez comme tous les autres fumeurs, vous découvrirez vite les petits coins de l'hôpital où personne ne passe et où vous pourrez fumer tranquillement ". (PS- Quelle est cette société secrète des "membres du blog", seule autorisée à poster des commentaires sur votre journal , dans lequel celui-ci aurait été bien plus à sa place ? )
Les commentaires du journal sont toujours fermés à tout le monde (les "membres du blog" se résument à moi seul…), car je ne tenais pas spécialement à en avoir. Mais comme je laisse ouverts ceux du billet d'annonce de parution, ça revient un peu au même.
Pour ce qui est de fumer à l'hôpital, lorsque j'y ai passé une semaine en 2013, je n'ai quasiment pas pensé au tabac une seule fois… sauf le dernier jour, parce que je savais que je sortais le lendemain et que j'allais pouvoir m'en griller une.
Prendre le pas serait trop dire ! Pour l'instant, les deux parviennent à cohabiter sans trop de mal.
(En fait, ce qui prend nettement le pas sur la lecture, en ce moment, c'est plutôt mon boulot de garde-malade – ou d'assistant-ménager-de-personne-en-situation-de-handicap-temporaire.)
Assistant-ménager et auto-assistant car je suppose que vous devez vous occuper des deux! J'espère que ce sera tout à fait temporaire, après ce sera sans doute votre chère épouse qui sera l'assistante-ménagère de personne-en-non-situation-de-handicap!
Est-il possible d'écrire un premier roman après la cinquantaine ou la soixantaine? En connaît-on des exemples ? (mais ce n'est peut-être pas votre premier roman?)
D'abord, je ne pense pas qu'il y ait de règles ; ensuite, je n'en suis effectivement pas à ma première tentative (et celle-ci va probablement échouer comme l'ont fait les autres).
c'est sympa de se balader dans votre journal, j'y retourne.
Ah oui j'oubliais, moi aussi je suis une inconditionnelle de la cancoillotte, et aussi du Pierre Magnan, vous n'écririez pas un roman policier dans son style, vous qui aimez la campagne ?
Et voilà, on a encore autre chose en commun : la cancoillotte . Pour le roman, ne changez rien, ça vient ou ça va venir. Et puis le Goncourt, vous n'êtes pas obligé de le gagner des le premier....attendez le dixième.
Quand j'allais être opéré de mon cancer (il y a 5 ans), j'ai dit au "grand patron" que je me voyais mal tenir le coup plusieurs jours sans fumer, mais il m'a rassuré : " Vous ne pourrez effectivement pas fumer pendant les 48 heures que vous passerez au lit ; mais, dès que vous pourrez marcher, vous ferez comme tous les autres fumeurs, vous découvrirez vite les petits coins de l'hôpital où personne ne passe et où vous pourrez fumer tranquillement ".
RépondreSupprimer(PS- Quelle est cette société secrète des "membres du blog", seule autorisée à poster des commentaires sur votre journal , dans lequel celui-ci aurait été bien plus à sa place ? )
Les commentaires du journal sont toujours fermés à tout le monde (les "membres du blog" se résument à moi seul…), car je ne tenais pas spécialement à en avoir. Mais comme je laisse ouverts ceux du billet d'annonce de parution, ça revient un peu au même.
SupprimerPour ce qui est de fumer à l'hôpital, lorsque j'y ai passé une semaine en 2013, je n'ai quasiment pas pensé au tabac une seule fois… sauf le dernier jour, parce que je savais que je sortais le lendemain et que j'allais pouvoir m'en griller une.
L'écriture prendra-t-elle le pas sur les lectures ? C'est l'impression que je retire de cette livraison.
RépondreSupprimerPrendre le pas serait trop dire ! Pour l'instant, les deux parviennent à cohabiter sans trop de mal.
Supprimer(En fait, ce qui prend nettement le pas sur la lecture, en ce moment, c'est plutôt mon boulot de garde-malade – ou d'assistant-ménager-de-personne-en-situation-de-handicap-temporaire.)
concentre toi sur "temporaire".
SupprimerAssistant-ménager et auto-assistant car je suppose que vous devez vous occuper des deux! J'espère que ce sera tout à fait temporaire, après ce sera sans doute votre chère épouse qui sera l'assistante-ménagère de personne-en-non-situation-de-handicap!
SupprimerSi mes vœux de prompt rétablissement à Catherine sont exaucés, je ferai donc DEUX heureux !
SupprimerEst-il possible d'écrire un premier roman après la cinquantaine ou la soixantaine? En connaît-on des exemples ?
RépondreSupprimer(mais ce n'est peut-être pas votre premier roman?)
D'abord, je ne pense pas qu'il y ait de règles ; ensuite, je n'en suis effectivement pas à ma première tentative (et celle-ci va probablement échouer comme l'ont fait les autres).
SupprimerJ'ai trouvé un exemple : " Le Guépad" de Lampedusa ; mais à quel âge a-t-il commencé sa rédaction ?
SupprimerD'après Wiki, il s'y serait mis en 1955, donc à 59 ans.
SupprimerEt Bernard du Boucheron ("Court Serpent"), 76 carats au ratelier à son premier accouchement, c'est un minot prodige ?
SupprimerGéronte
Et Bernard du Boucheron ("Court Serpent"), 76 carats au ratelier à son premier accouchement, c'est un minot prodige ?
SupprimerGéronte
François Cheng, mais il a des circonstances atténuantes, le français n'étant pas sa langue maternelle.
SupprimerOui, mais un énarque, ce n'est pas pareil : eux , ils savent tout faire .
SupprimerAttention tout de même : le vermicelle peut se révéler traître…
RépondreSupprimerc'est sympa de se balader dans votre journal, j'y retourne.
RépondreSupprimerAh oui j'oubliais, moi aussi je suis une inconditionnelle de la cancoillotte, et aussi du Pierre Magnan, vous n'écririez pas un roman policier dans son style, vous qui aimez la campagne ?
Hélène
J'aurais un certain mal à écrire dans le style de ce monsieur, dont j'avoue n'avoir jamais lu une ligne…
SupprimerEn effet, il n'y avait que peu de chance que vous l'eussiez lu.
SupprimerJe ne désespère pas de trouver un jour un auteur qui prendra la suite de ce style de roman.
Excellent Pierre Magnan !
SupprimerMerci bien pour le journal, Monsieur Goux, il me tardait.
RépondreSupprimerIl est arrivé à son heure…
SupprimerC'est quel jour que vous parlez de Paludes ?
RépondreSupprimerIl faudrait que je le relise. Je m'en souviens comme d'un des plus savoureux livres de Gide, d'ailleurs.
SupprimerEt voilà, on a encore autre chose en commun : la cancoillotte .
RépondreSupprimerPour le roman, ne changez rien, ça vient ou ça va venir. Et puis le Goncourt, vous n'êtes pas obligé de le gagner des le premier....attendez le dixième.
Non, non, pas de demi-mesure : soit ils me le donne du premier coup, soit je les emmerde !
SupprimerNon, même pas : en ces temps de célibat, mon frigo était toujours rigoureusement vide.
RépondreSupprimer(À part ça, vous devez déjà être pris de boisson, car vous vous êtes trompé de billet…)
" pas de demi-mesure : soit ils me le donne du premier coup, soit je les emmerde !"
RépondreSupprimerOh ben si on ne fait pas dans la demi-mesure, on pourrait aussi mettre S ou ENT à emmerde, aussi.
(Pourquoi écrire ?)
Enfin, bonne année.
Anne effet…
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