Les vaches de l'autre jour sont rentrées, les moutons d'aujourd'hui sont arrivés. Quant au merle plus ou moins moqueur qui escortait les bovins, il s'est vu remplacer par la pie, immédiatement baptisée “la Julie” par mes soins. J'ai fugitivement regretté qu'elle ne fût point coq : j'aurais essayé de vous bricoler quelque chose avec coq ovin…
Et où donc est le lampadaire ? En retard ?
RépondreSupprimerReste à voir s'égayer la Julie à la prochaine veste présidentielle...
RépondreSupprimerSauf si elles sont encore juvéniles, les pies, toujours par deux, sont. La Julie et son Julius (Avitus ?).
RépondreSupprimerPaysage faussement idyllique dans lequel on pressent une atmosphère d'attente, un évènement imminent, un signe quelconque. La pie est déjà là en mission officielle sous ses airs discrets...
RépondreSupprimerA propos, pour qui votez-vous Maître Didier ?
Je viens de regarder les photos de Bergotte ! Je pense à vous et à Catherine qui devez être bien tristes !
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