Je ne découvre qu'aujourd'hui, et par le plus parfait des hasards, le billet que Juan Asensio a bien voulu consacrer à En territoire ennemi, le 18 septembre dernier. En avisant le titre (En territoire ennemi de Didier Goux, Dupont Lajoie de la critique (dite) littéraire),
je jubilais d'avance, à la pensée du flot d'ordures et d'imprécations mousseuses qui devait m'attendre ; l'homme est si prévisible, ses bavures (au sens premier) si impeccablement programmées, qu'il ne pouvait en aller autrement. J'étais encore, pour mon plus grand
bonheur, très en dessous de la réalité. Ensuite, j'ai nettement eu
l'impression, depuis le temps que je n'avais pas essayé de m'enfoncer
dans le marécage de sa prose asilaire, que le cas de Juan s'était
considérablement aggravé, qu'il faisait désormais du Ansensio au carré.
Rien que les proportions de ce palud : sur 33 000 signes au total (ce
qui est déjà une preuve patente de dérangement mental, il me semble), il
ne commence à être question de moi qu'au bout de 21 000, lesquels
forment un magma préambulatoire dont je serais en peine de dire
ce qu'il entend signifier. Enfin, on en arrive à mon pauvre bouquin
(après un détour par ma personne, évidemment coupable (en vrac) de racisme crématorifère, de front-nationalité endémique, d'ivrognerie
perpétuelle, de camusisme aigu, plus deux ou trois autres tares de
moindre importance). Là, le tombereau de détritus s'épand comme prévu
; mais d'une manière si outrée, si écumante, avec une sorte d'hystérie
de femelle en manque, qu'elle provoque rapidement le rire le plus franc, ce
qui n'était probablement pas son but premier. À mesure que la logorrhée
se déverse et que le dégorgeoir s'emplit, on a l'impression de voir un
dément en crise, martelant des poings et des orteils les parois
capitonnées de sa cellule de confinement. On repense irrésistiblement à
ce que Léon Daudet disait de la prose de Jean Lorrain : « Le clapotement
d'un égout servant de déversoir à un hôpital. »
(Au passage, Asensio me reproche par trois fois de tenir un journal interminable
: il me semblait, moi, que c'était justement le propre d'un journal, de
ne jamais se terminer, sinon avec la vie de celui qui le tient.)
Mon idée première était, après ce prologue si peu asensoïdal dans sa concision, de composer un petit florilège des éructations les plus drolatiques du forcené. Je me suis donc astreint à relire entièrement ce long pensum boursouflé de graisse jaune pour y trouver mes perles. Or, de perles point. Il n'y a même pas ça : juste un flot épais qui s'écoule entre deux rives désertes. Rien à y repêcher, même dans le genre grand-guignol. Pour les téméraires qui aimeraient se faire une idée, c'est ici que ça fermente.
Où
ça devient vertigineux, c'est lorsqu'on s'aperçoit que, ayant compris
dès les premières pages qu'il avait entre les mains un livre situé bien
au-dessous du nul, Asensio s'est tout de même astreint à le lire jusqu'à
la dernière, texte après texte, qui plus est en prenant des notes. Il
ferait presque peur, ce grand garçon-là.
J'ai pas réussi à lire entièrement la première phrase ? C'est un peu comme chez Adolfo Ramirez (mais chez lui, je fais l'effort pour essayer de savoir quelle connerie il va raconter).
RépondreSupprimerDe plus, Ramirez ne fait pas des billets de 20 feuillets…
SupprimerJe viens de me farcir la logorrhée du demi-fou, et je ne vous remercie pas de l'avoir mise en lien. Pour être honnête, j'ai sauté des lignes et lu à moitié en diagonale, ce qui est déjà un exploit. Visiblement, on ne vous pardonne pas de préférer Zola à Bloy (et moi-même je dois dire que j'ai du mal à comprendre).
RépondreSupprimerMais voilà, lisant depuis des jours le nouveau volume consacré à Bloy paru chez Bouquins, qui contient les "pamphlets", je m'amuse à la tentative asensienne d'égaler le Maître. Il en est infiniment loin, car jamais je n'ai été tenté de lire Bloy en diagonale, même, ce qui arrive assez souvent, quand celui-ci prend des détours assez longs avant d'aborder son sujet. Ce pauvre Asensio se croit capable d'en faire autant mais se vautre dans les grandes largeurs. C'est terrible, ce spectacle d'un homme qui ne vit que pour imiter son modèle.
Et c'est un peu triste pour Bloy d'avoir des admirateurs aussi bêtes.
Cela dit, cette préférence pour Zola, rassurez-moi, c'est juste de la provocation, hein ?
Quitte à me déconsidérer totalement à vos yeux, je dois répéter ici que j'ai toujours eu beaucoup de mal à lire Bloy, qui me fatigue et me lasse très rapidement. De plus, comme vous le notez, je lui en veux un peu des lamentables sous-produits qu'il a engendrés depuis un siècle.
SupprimerEn même temps, avouons qu'il sait être fort divertissant (à petite dose).
RépondreSupprimerDonc, si je comprends bien, le bougre fait en septembre 2017 la critique d'un bouquin (remarquable et poilant au demeurant) sorti en février 2014... okay, faut-il que le bonhomme soit désœuvrée. Remarquez, il met en lien la page Amazon de votre livre, ça relancera peut être les ventes.
RépondreSupprimerPar curiosité, ce Juan est-il le même que celui qui tenait le blog sarkofrance?
Non, non, ce n'est pas le même du tout.
SupprimerLe degré d'ignorance de Corto au sujet de là blogosphère m'étonnera toujours (ce n'est pas une critique, Corto, tout le monde n'a pas les mêmes centres d'intérêt et ce genre de détail a peu d'intérêt. Mais confondre un gauchiste d'opérette et un fasciste du même métal ne fera rigoler que Didier et moi).
SupprimerEt sinon, à quand votre prochain roman?
RépondreSupprimerJ'attends que M. Asensio me motive…
SupprimerPermettez-moi de m'exercer, à mon tour, à "l'art du retrait" !
RépondreSupprimerVoici donc comme surgie de la brume automnale une moderne déclaration amoureuse sous la plume d'un gay qui se veut modern style, c'est à dire sans doute pervers et harder.
RépondreSupprimerBref un amoureux fou de Didier Goux, mais qui met un point d'honneur à brouiller les cartes...
C'est du joli !
Mais pourquoi donc s'en prend-il autant à votre virilité ? C'est étonnant, tout de même, cette insistance à évoquer votre putative impuissance. Auriez-vous refusé ses avances ?
RépondreSupprimerPour le reste, j'imagine que ce doit être un honneur d'être ainsi traité par un tel... critique ?
Réponse valable pour Barbara également : vu la manière bassement ordurière dont Asensio parle sans se lasser des mœurs de Renaud Camus, je pense que vous ne vous êtes pas fait un copain en le traitant de pédé !
SupprimerN'en croyez rien : les gens qui haïssent les homos combattent en réalité leurs propres tendances homosexuelles ( sinon, qu'est-ce qu'on en a à fiche que deux mecs s'enfilent ?)
SupprimerFreudisme puéril, mon cher !
Supprimeren généralisant la psychologie freudienne, on peut donc en conclure que les racistes, fachos et autres suprémacistes blancs ne revent que de s'enfiler des femmes arabes et africaines ou encore des féministes a barbes et a poils Evidemment absurde
SupprimerEt si nous fonctionnions effectivement de façon assez puérile ?
SupprimerVoyez-vous une autre explication à ce besoin de "casser du pédé" chez certains ?
Pourquoi pas, simplement, la pulsion primitive qui pousse l'homme – violent par nature – à s'en prendre à ce qui diffère de la norme à laquelle il appartient. Casser du pédé serait alors à peu près équivalent à massacrer de l'albinos dans certaines tribus africaines. Ou expulser du social-démocrate dans une cellule d parti communiste.
SupprimerOui, d'accord, mais pourquoi lui avoir envoyé votre livre?
RépondreSupprimerPar jeu. Connaissant le personnage, entièrement gouverné par une multitude de petites haines et rancœurs personnelles, je savais qu'il n'aurait qu'une seule alternative, en recevant un livre de moi : soit n'en pas dire un mot (le coup du mépris), soit nous traîner, le livre et moi, dans la fange qui est son biotope naturel. Vu le temps qu'il lui a fallu pour réagir (trois ans et demi, quand même…), je pensais jusqu'à ce matin que la première option l'avait emporté, ce qui me surprenait un peu, vu que c'était, des deux, la solution la plus intelligente. Depuis midi, je suis donc tout à fait rasséréné.
SupprimerJe salue l'exploit de ceux qui ont eu le courage de se farcir cette prose indigeste, bourrative et peu nutritive. Je suis embarrassé pour son auteur.
RépondreSupprimerJ'ai quand même cherché le terme « Didier » dans la page pour savoir de quoi il retourne et je ne suis pas plus éclairé. (Pourquoi vous en veut-il vraiment ?)
L'histoire est beaucoup trop longue pour ce qu'elle est intéressante. Disons que j'ai, un jour, croisé sans le savoir la route d'un fou furieux.
SupprimerDevinette : quel est le rapport entre Monsieur Asenzio et le cinéma français ?
RépondreSupprimerChaque fois que sort un nouveau film français, je me dis que je vais encore économiser dix euros. Le blog de ce monsieur, c’est un peu la même chose : on ne peut que s’égayer en songer à tout ce temps gagné à ne pas le lire.
Je voulais dire : en songeant. Décidément, faudrait toujours se relire.
SupprimerLe sieur Asenzio devrait se relire lui aussi : Muray s’écrit avec un seul r.
Et Asensio sans z…
SupprimerMerci. Heureusement que vous êtes là...
SupprimerAhhh, une blogowar comme au bon vieux temps !
RépondreSupprimerLâchez les chiennes, oui toutes les trois, pas de demi-mesures, qu'elles lui brouillent l'écoute. D'autant qu'il a aussi dit du mal des commentateurs d'ici (non pas seulement d'Hélène)...taïaut taïaut !!!
Nous boirons cette coupe jusqu'à l'hallali.
SupprimerDu mal des commentateurs ? Vous auriez un lien, qu'on rie un peu ?
SupprimerLe lien est dans mon billet, bon sang ! (Les derniers mots de l'avant-dernier paragraphe.)
SupprimerOui, Didier, j’avais vu votre lien mais n’avais pas eu l’opiniâtreté d’aller jusqu’au passage où il est question de la bonne douzaine de planqués plus ou moins franchement racistes et la plupart du temps incultes profonds où nous nous sommes tous reconnus.
SupprimerPourquoi tant de haine ? Il est de gauche, ou quoi ?
Il est (ou était ?) censé être de droite. Mais, depuis quelques années, il tente de donner des gages de bonne pensée antiraciste, dans l'espoir, j'imagine, de se faire dans les grands journaux ou à la télévision la place qui lui revient évidemment de droit mais que l'on s'obstine, Dieu sait pourquoi, à lui refuser. Le monde est très injuste avec les génies.
SupprimerJe suis incapable de lire entièrement un billet de Juan : trop longs, trop de digressions et des citations à n'en plus finir. il doit surement s'imaginer qu'on a que ça à faire de le lire.
RépondreSupprimerDe plus si vous n'avez pas la bonne idée de verser votre écot vous n'êtes à ses yeux qu'un mécréant inculte.
Car en effet monsieur Asensio exige qu'on le paie pour son magnifique blog !
Et si en plus vous êtes une femme de plus de 60 ans, je vous dis pas : vous n'êtes qu'une larve indigne de vivre !
J'ai eu un temps les bonnes grâces du "jeune homme", mais vous l'imaginez bien, ça n'a pas duré : je n'ai pas pour habitude de payer les hommes !
Sinon, tant qu'à faire que d'en payer un, essayez au moins que ce ne soit pas celui-là…
SupprimerRien de personnel. Il déverse sa bile sur presque tout le monde littéraire: écrivains vivants ou morts, éditeurs, critiques, journalistes. C'était votre tour. 90% de ce qu'il écrit consiste à mépriser et à haïr.
RépondreSupprimerC'est un cas intéressant.
Intéressant mais un peu lassant au bout d'un petit moment. Un peu comme la musique répétitive.
SupprimerEntendre parler du bon Juan est un plaisir pour moi : ça me rajeunit, me ramène au temps béni où je me plaisais encore à polémiquer sur le forum de Vebret. Avec ce fou, nous eûmes des empoignades épiques. Ce fut aussi l'occasion de rencontrer des amis virtuels que je continue de fréquenter sur FB. Dire que je le croyais décédé !
RépondreSupprimerRavi de vous avoir procuré cette petite cure de jouvence, mon cher !
Supprimer" notre Rouletabille du journalisme..."
RépondreSupprimerQu'en terme choisis cette critique est faite, je l'ai survolée bien sûr, pas envie d'avoir la migraine.
C'est stupéfiant de mépris et de suffisance. On se demande qui sont les 10 personnes qui ont liké ça...
Comme il a toujours grand soin de fermer les commentaires, pas moyen de le savoir. Mais il est vrai que discuter la pensée du maître aurait quelque chose de profondément blasphématoire.
SupprimerLe fin du fin chez lui, ce sont ses mots sur Gabriel Matzneff.
RépondreSupprimerIl est vrai que moi aussi je le trouve pénible avec ses sempiternelles cabrioles et ses illusoires amours avec des adolescentes, mais tout de même, le fustiger de cette odieuse façon c'est horrible et minable.
Je me demande quand monsieur Asensio prend du repos : il doit passer ses nuits à éructer.
Votre ami le croyait décédé, mais il n'a que 45 ans, donc il risque de sévir encore un bon moment ;)
Mais je crois savoir qu'il n'a rien d'autre à faire de ses journées, notre Saint-Bœuf (masculin de Sainte-Beuve, évidemment).
SupprimerAprès avoir parcouru en sautant bien des lignes cette diatribe boursoufflée, j'en arrive à me demander si ce brave Juanito ne serait pas parvenu à devenir la caricature de la caricature du critique qu'il rêve d'être. Phrases interminablement lourdes et références à trente-six quasi-inconnus destinées à faire croire qu'on possède une vaste culture mêlé d'intelligence fine rendent son pensum imbitable.
RépondreSupprimerUne chose m'a cependant surpris: son personnage entrant en quête d'un livre "couillu" dans une librairie me rappelle la critique que j'avais faite de votre "Chef d’œuvre de Houellebecq". Mais il parvient, tant le talent lui manque, à transformer un procédé léger en indigeste gloubi-boulga.
Oui, quelqu'un devrait lui dire que l'humour n'est peut-être pas le registre où il est le plus brillant. Mais alors : bon courage à celui-là…
SupprimerExiste-t-il un domaine où cet enfileur maladroit de mots creux brille aussi auto-encaustiqué et auto-lustré soit-il ? La bouche édentée d'une pauvre ablette se rêvant requin pourrait-elle envisager de mordre qui que ce fût?
SupprimerC'était de l'ironie, mon cher…
SupprimerIl a beau lever la patte arrière, il se pisse quand même sur le froc, les boursouflures sans doute...
RépondreSupprimerMystères insondables de la physiologie du critique.
Supprimer"Voici donc comme surgie de la brume automnale une moderne déclaration amoureuse sous la plume d'un gay qui se veut modern style, c'est à dire sans doute pervers et harder.
RépondreSupprimerBref un amoureux fou de Didier Goux, mais qui met un point d'honneur à brouiller les cartes...
C'est du joli !"(Barbara Schreyer)
J'ai lu, non sans ennui, cette prose lourdingue et poisseuse, cette illimitée mélopée, ce concert pipi-caca-biroute, cet immense et refoulé cri d'amour pour Didier... C'est vachement beau en fait !
N'en abusez tout de même pas : les effets secondaires peuvent être terribles.
SupprimerIncroyable, il a une fiche Wikipédia. Il a même été reconnu par quelques "esprits distingués" (d'après l'article Wikipédia qui est, selon toute vraisemblance, rédigé par ses soins).
RépondreSupprimer« selon toute vraisemblance, rédigé par ses soins »
SupprimerCe me semble aller de soi, en effet.
Ce Juan est la preuve vivante que l'on peut être "critique littéraire" et illisible.
RépondreSupprimerA quoi bon lire du Juan sinon dans le but d'attraper un ulcère cérébral ? J'vois pas.
Mais est-il critique ? Qui l'a fait roi, fors lui-même ?
SupprimerVous aviez cité Juan Asensio il y a peu dans un billet, billet repris dans votre journal mensuel.
SupprimerJe me souviens avoir été surpris qu'il ne réagisse pas en commentaire.
Finalement il a réagi...
Le personnage est vindicatif: il avait été odieux avec Y et Vehesse.
Sa prose est illisible.
Comme beaucoup je ne commente jamais alors que je prend toujours plaisir à vous lire.
You
Le critique est à la littérature ce que le sociologue est à la société.
SupprimerOn ne le respecte pas. On le craint.
Ce qui n'est pas votre cas. Vos craintes porteront sur le destin qui est réservé à un couple de mésanges ayant niché dans votre jardin. Le reste ne vous touche pas. Ou plus. Juan a perdu son temps. C'est ce qu'il aurait dû comprendre. S'il vous avait vraiment lu.
Le personnage est vindicatif… mais toujours à côté de la plaque. Comment peut-on craindre un type qui, au lieu d'envoyer sa flèche dans la cible, bousille celle-ci à coups de tatane ?
SupprimerFranchement, là vous exagérez Didier !
RépondreSupprimerCe Juan
- a un don, celui d'être illisible sur une page de blog, (on arrive à l'epoque de la taille des arbres, peut être qu'un élagage serait le bienvenu),
- d'après votre billet, Juan vous descend en flêche (je veux bien vous croire, je ne peux pas vérifier)
- il a surtout l'extrême élégance de mettre un lien menant direct à la page d'Amazon pour commander votre livre.
(et ce lien nous saute aux yeux contrairement au reste)
Alors Didier, il faut savoir trouver le côté positif des choses.
Hélène dici
Je vais peut-être, vous avez raison, lui devoir gloire et fortune !
Supprimer"...son interminable Journal...", écrit Asensio. Je n'ai pas compris qu'il mettait en cause sa durée mais plutôt le lourd ennui qu'il génère.
RépondreSupprimerIl se trouve que je vous lis distraitement, de temps en temps, à seule fin de me rappeler combien étriquées et sèches peuvent se donner vos pensées auto-surévaluées sur le marché de l'esprit. Travers dans lequel vous vous fourvoyez si souvent. Et qui ne vous rend même pas antipathique, mais juste insignifiant
Bonne journée (sans ironie, vraiment), M. Goux.
Jean Larçan de Villembraye
Voila un con. Typique.
SupprimerIl doit s'agir d'une sous-catégorie particulière : l'admirateur d'Asensio.
SupprimerIl s'agit plus probablement d'Asensio lui-même, sous un nom d'emprunt.
SupprimerBien possible en effet. Cela dit, l'un n'exclut pas l'autre…
SupprimerDidier Goux est tellement insignifiant que je lis de temps en temps pour m'assurer qu'il l'est toujours.
SupprimerJ.A. de Villembraye
Il arrive même à être assez drôle. Quelle dépense d'énergie, quels frais d'écriture pour un personnage « insignifiant » !
SupprimerLe « Bonne journée (sans ironie, vraiment) » est particulièrement piquant.
Pourquoi a-t-il choisi de donner à son commentateur fantôme une particule et un nom à rallonge ? Autre hypothèse : pourquoi ce commentateur éprouve-t-il le besoin soudain de sortir de l'ombre pour défendre si chevaleresquement M. Asension (« Bonne journée (sans ironie, vraiment), M. Goux ») ?
Supprimer"La critique qui se veut érudite ou scientifique répugne, elle, à porter des jugements, en tout cas explicitement ; "
RépondreSupprimerhttps://www.universalis.fr/encyclopedie/critique-litteraire
Voila, tout est dans la nuance, les lecteurs qui tentent de connaître l'avis d'un homme de l'art, ne sont pas sensés devoir en supporter l'agressivité.
Hélène dici
Pour être honnête, je voudrais ajouter que Juan Asensio est un excellent photographe (voir son site Flickr- https://www.flickr.com/photos/juanasensio/
RépondreSupprimerIl aurait peut-être dû s'en tenir à cette occupation.
Il serait également un remarquable pétomane...
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