Dans le Maigret qu'elle est occupée à relire, Catherine vient de tomber sur l'expression : piquer un phare. Pour la tranquillité de l'esprit, on préfère supposer que la bourde incombe à un ouvrier typographe saoul plutôt qu'à
Georges Simenon lui-même. Cela nous a aussitôt fait repenser, tous les deux, à ce jeune reporter
d'un grand hebdomadaire populaire français ne paraissant pas le dimanche qui, dans l'un de ses articles, avait parlé de découvrir le poteau rose…
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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.