Non contents de venir vider les rayons de NOS supérettes et les épiceries de NOS Arabes, ces abrutis de bobos parisiens, croyant sans doute revivre l'exode de 1940 mais en mode “résidence secondaire-barbecue-salade de quinoa”, non contents de cela, donc, sont allés joyeusement s'échanger leurs virus, et accessoirement en faire profiter l'aborigène, l'initier aux bienfaits du contaminer-ensemble, en s'entassant sur toutes les plages se trouvant à portée de leur malfaisance, ce qui a conduit les autorités littorales à en interdire purement et simplement l'accès. Alors qu'il aurait été sans doute plus efficace de nettoyer ces espaces sablonneux à la mitrailleuse lourde – mais je comprends le scrupule des édiles.
Cette anecdote semble bien être la preuve irréfutable que la distance est fort courte, entre un confiné et un con fini.
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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.