Évidemment, il serait tentant d'ironiser à propos de ce satané réchauffement climatique, même pas foutu de faire correctement son boulot : c'est une tentation trop facile pour que nous y succombions.
Car enfin, il ne peut pas être partout, cet infortuné réchauffement. Songeons qu'il est déjà fort occupé à dessécher l'Afrique subsaharienne, à faire fondre la glace des pôles, à déclencher des raz-de-marée en Asie du Sud-Est, à juguler l'impétuosité du Gulf Stream, à submerger puis engloutir des centaines d'atolls du Pacifique Sud, plus deux ou trois autres tâches urgentes qui ne me viennent pas à l'esprit pour le quart d'heure : on ne pourra guère, sans une mauvaise foi insigne, lui reprocher de ne pas être tout à fait au taquet pour ce qui concerne nos canicules à nous autres. Il est bien normal, et facilement compréhensible, que, comme chacun de nous, le réchauffement ait ses priorités, son cahier des charges.
À titre d'encouragement réchauffiste actif, de pleine solidarité climatique, je pense que je vais aller un peu faire tourner le diesel, moi…
Peut-être pour se venger d'avoir disparu du calendrier ?
RépondreSupprimerIls ne sont pas plus honnêtes : juste plus "faux derche".
RépondreSupprimerComme je sais à quel point mes conseils de lecture sont appréciés ici, je ne saurais trop vous recommander le livre de Jean de Kervasdoué intitulé : "Les écolos nous mentent" pour répondre à toutes les questions ayant trait à l'écologisme, au réchauffisme et à que sais-je encore.
RépondreSupprimerS'il est aussi doué que son nom nous l'affirme, ça doit valoir la peine !
SupprimerLe printemps étant, depuis toujours, une saison alternant des journées chaudes et ensoleillées et des journées pluvieuses et fraîches, on trouvera une infinité de dictons de la "sagesse populaire" justifiant toutes les situations.
RépondreSupprimerÇa dépend des régions du monde…
SupprimerDepuis quelques jours, par chez moi, ce sont plutôt les fameuses giboulées de mars avec deux mois de retard, températures à l'avenant. Mais les pluies, soudaines et brèves (une, voire moins, à cinq minutes maxi), sont bien insuffisantes après toute cette sécheresse précoce.
RépondreSupprimerLe "Réchauffement climatique" c'est la version officielle qu'il est interdit de remettre en cause ; pour d'autres spécialistes, non médiatisés ceux-là, on entrerait à nouveau dans un "petit âge glaciaire", qui n'interdit pas de brusques périodes isolées d'intenses chaleurs. Curieusement, quand je lisais "Sciences et vie junior" adolescente vers 1990, c'est bien le scénario qui était annoncé pour l'avenir à époque... et pas du tout, mais alors pas du tout un réchauffement général.
Le "vent" a tourné depuis on dirait, vers quels intérêts ?