Un triste jour du XXIème siècle, les plus célèbres et pénétrants pédagogues s'avisèrent avec une incrédulité consternée qu'Intelligence et Instruction étaient en train de disparaître totalement du beau pays de France. Ils se doutaient bien que la source du Savoir devait encore bouillonner quelque part dans les catacombes de la rue de Grenelle – mais où ? Exactement Où ? Personne n'était assez vieux pour s'en souvenir.
C'est pour la faire rejaillir, cette vivifiante source, que le président Emmanuel de Florette se résigna à donner les clés du ministère de la Garderie nationale au seul homme encore capable de la retrouver : le Papet.
Si vous voulez faire autant de billet que moi, en mai, vous auriez du vous lever plus tôt... Sans compter que les miens sont un peu plus longs. Le votre ressemble à un commentaire dans Facebook. Je vais quand même le lire.
RépondreSupprimerC'est que je ne tiens pas, MOI, à abrutir totalement mes lecteurs…
SupprimerVous voulez dire qu'il fallait un lyonnais pour faire le ménage ?
RépondreSupprimerTraiter le Papet de Lyonnais ! Pagnol doit faire des cabrioles dans sa tombe…
SupprimerJ'espère !
RépondreSupprimer« Un porte-plume ça fait moins d’ampoules qu’une pioche »
RépondreSupprimerLe papet.
(J’a les mêmes lignes de la main -c’est pas une blague- que celles du ministre, un bel avenir se profile pour moi) 👌😇😀
Hélène
Et pourquoi un Blanc ne pourrait- il pas être président du CRAN ?
RépondreSupprimer