lundi 1 janvier 2024

Bords de Seine et rives du Tage

Fernando Pessoa, 1888 – 1935.

 Décembre fut un peu portugais et pas mal Renaissance.

12 commentaires:

  1. Philippes de l'Escalier1 janvier 2024 à 10:15

    Cher Didier,
    Je n'ai pas eu le courage de vérifier le Répertoire des délicatesses du français contemporain, mais il est probable que l'on y retrouve la règle du pluriel des noms de famille et ses exceptions (Bourbon et Guise) !
    Bonne année !

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    1. Cher "revenant",

      C'est malin : je vais me sentir obligé d'éplucher le Répertoire afin de voir si l'information s'y trouve réellement !

      Sinon, quand j'ai dit à Catherine que vous veniez de réapparaître par un quasi-miracle, elle a bondi dans son fauteuil : « Je veux retourner à Chartres ! Je veux une nouvelle visite "guidée" de la cathédrale ! »

      La chose me plairait beaucoup aussi, à condition : 1) que vous viviez toujours dans la dite cité, 2) que la pensée de nous revoir ne vous plonge pas dans un accablement sans rémission…

      (Vous pouvez, si vous voulez me répondre, utiliser mon adresse électronique, en haut et à gauche de ce blog.)

      En attendant, excellente année à vous et à ceux qui vous entourent.

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  2. A propos de Sarkofrance, vous avez raison de ne pas divulguer vos sources. Mais vos lecteurs pourraient se demander lequel de vos relations pourraient vous donner des informations au sujet d'un blogueur de gauche.

    A propos de notre ami vasectatomisé, son billet de blog à provoqué en moi une espèce de colère. Heureusement qu'il est difficile de commenter un blog Wordpress avec l'iPhone (encore plus qu'un blog Blogger). Qu'il le fasse est une chose mais qu'il rédige un billet pour se faire passer pour un héros du féminisme m'énerve, pour les raisons que vous citez, mais aussi pour le fait que rien n'empêchera la femme d'avoir des gamins par exemple si elle se fait trombiner par un joyeux collègue à l'occasion du repas de Noël.

    A propos de Suits, je ne vais pas vous dévoiler la suite mais un personnage sort du lot de la médiocrité ambiante : Donna.

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    1. N'oubliez pas que je fus longtemps un aigle de la grande presse parisienne : j'ai donc des sources multiples et dans tous les milieux !

      Pour Suits, ça tombe bien : Donna est aussi celle que je trouve la plus agréable à regarder…

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  3. Pareillement : que l'année qui s'amorce vous soit aussi peu pénible que possible (il ne faut pas se montrer trop exigeants…).

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  4. "Mais tourne-t-on encore des chefs-d'œuvre au XXIe siècle ?"

    La question était probablement rhétorique, mais le hasard est si grand...

    Le cheval de Turin (Bela Tarr)
    A l'ouest des rails (Wang Bing)
    La mort de Dante Lazarescu (Cristi Puiu)

    Mugnier n'avait pas tort, mais Shakespeare l'avait déjà écrit dans La Tempête, et il avait même expliqué pourquoi : " L'enfer est vide, tous les démons sont ici " (Hell is empty and all the devils are here).

    Et heureuse année à tous...

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    1. Mais où allez-vous chercher ces films et réalisateurs dont je n'ai jamais entendu parler ?

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  5. Un film sans queue ni tête qui se termine en queue de poisson ?
    tout ça va finir en tête à queue.
    Votre journal est plein d'entrain et plaisant à lire.
    Hélène

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  6. Ces 230 années de République, au delà du cadre institutionnel qu'elle fournit, ont inscrit en son fonctionnement, comme principe, la laïcité. N'est-ce pas là un élément de notre culture ?

    Allez donc jeter un œil du côté de Mister Wiki.

    Sinon, une bonne année faite, je l'espère, de nombreux produits bio.

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    1. Je ne crois pas que la "laïcité" ait quoi que ce soit à voir avec la culture ; et d'autant moins qu'elle vit probablement ses dernières heures.

      Quant à Wikimachin, je n'ai jamais considéré cette officine comme un oracle.

      Bonne année à vous, toute pleine de roboratifs pesticides.

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  7. Je suis venu à bout de votre journal du mois - toujours avec un égal plaisir.
    Je ne serai donc pas très original : meilleurs voeux pour 2024 et continuez de nous régaler.

    Galatine.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.