mercredi 9 avril 2014

On ne badine pas avec les blogs


Ce n'est pas moi qui l'ai qualifié ainsi : beau jeune homme au regard vide. Je me fous des jeunes hommes, quel que soit le contenant de leur regard ; ce sont des filles malicieuses, parmi mes commentatrices, qui ont trouvé que… Voilà, reportez-vous à l'image.

(Et en plus, n'est-ce pas, ce “bandeau” qui me rappelle mes 16 ans : Tout est politique. Crétin, va…)

Il n'empêche que ce Musset-là, en dehors du fait qu'il ne sera jamais écrivain (il suffit de le lire, je vais donner des liens, éventuellement) est un garçon intéressant, à plus d'un titre. D'abord, en effet, il aime poser : regardez-moi ce regard acéré, au-dessus de ce col largement ouvert, et ce bouc viril, si je puis risquer ce pléonasme : on en frissonne, non ? Ça doit bander de partout, sous la photo, n'est-il pas ? Déclencher des mouillances adolescentes tant que ça peut…

Bon, on s'en fout. S'il était présent, le sieur Musset nous dirait sans doute qu'il ne veut être jugé que sur son intelligence, ses écrits, etc., et certainement pas sur cette image qu'il arbore à tous les coins de son blog. Fort bien, jugeons-le donc sur ses écrits.

On ne va évidemment pas passer la nuit à relire notre cocotte Seb, on va se contenter de son dernier billet. Qui commence ainsi : « Reconnaissons que depuis qu'avoir Euro RSCG au gouvernement, ça a quand même une autre gueule, celle du loup. Fini les atermoiements, les fausses pudeurs et les propos contradictoires Maintenant, avec le gouvernement de com' back ça file droit, enfin droite. »
Le gras est de Seb, le lien aussi, bien évidemment. Qui comprend ce que notre écrivain a écrit dans ces quatre lignes ? Personne, je le savais.

Comme j'ai une certaine estime pour mes lecteurs, je ne ne reproduirai pas la suite du billet en question. Je mets un lien, pour les plus vicieux d'entre vous. Un billet de M. Musset, c'est toujours un texte trois fois trop long par rapport à ce qu'il a à dire : c'est aussi à cela qu'on voit qu'il ne sera jamais écrivain. Mais, surtout, vous le vérifierez facilement, comme ce beau jeune homme au regard vide n'a rigoureusement rien à dire, il multiplie les liens menant vers tout et n'importe quoi, ce qui fait riche et cache la merde au chat, à savoir que ce Musset-là (paix à l'âme du vrai) pense finalement comme tout le monde, et se roule dans cette satisfaction d'être en tout point conforme à la modernité la plus modernante.

Certains d'entre vous vont me dire : mais pourquoi consacrez vingt lignes à cette parfaite andouille ? Bonne question. Je ne sais pas trop. Sans doute pas parce qu'il est con, ce que je sais depuis des mois. Alors ? Vous le saurez demain.

96 commentaires:

  1. N'est-il pas normal que les jeunes soient...jeunes donc un peu courts, naïfs, légers, conformistes?
    jard

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    1. Mais cet imbécile n'est pas du tout jeune !

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    2. Mais si, il est jeune, dans sa tête en tout cas. Ecoutez donc Cécile Duflot quand elle cause dans le micro, on dirait une ado. Le gauchiste est un ado attardé, même arrivé à l'âge d'homme il aime s’attifer en djeun, même s'il n'a pas eu la chance d'avoir une maman digitale.

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    3. Qu'est-ce qu'une "maman digitale" ?

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  2. Tandis que l'un voit la bouteille à moitié vide (regard triste), l'autre se la saisie comme un bébé de sa tétine, réjoui de cette unique et merveilleuse idée qui changera la face de la France : L'union des Régions 2 à 2.
    Après les baronnies, les duchés ! Ah, l'étatisme de proximité....

    Amike

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  3. Arrêtez donc de faire chier mes potes. Seb vend plus de livres que vous et arrive à vivre de ses créations.

    Et si je vous réunissais autour d'une table, ce qui est probablement déjà arrivé, vous vous entendriez à merveille.

    Bougre de vieux con.

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    1. Ce n'est tout de même pas vous qui allez me reprocher de faire un billet pour taper sur un blogueur !

      (Et puis, c'est notre petite conversation privée d'hier qui m'a donné envie. Donc, c'est votre faute…)

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    2. Ah? Il gagne de l'argent avec ses écrits?

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  4. Moi qui suis sensible au charme masculin je peux certifier que c'est un bien bel homme. Pourquoi dire tant de mal d'un bien bel homme? Vous êtes jaloux?

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    1. « Vous êtes jaloux? »

      Farpaitement, je suis jaloux !

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  5. Je suis assez souvent d'accord avec vous, cher Didier, mais un peu plus encore ce soir :)

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    1. Ça s'arrose, comme dirait votre ami Nicolas…

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    2. La qualité des écrits de Corto nous donne des gages sur sa satisfaction. Pauvre con.
      Sinon je n'ai compris l'objectif de ce billet. J'aurai préféré avoir une définition du romancier. Mais là ça sent le billet sans effort.

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    3. Ah, parce que, en plus, on voudrait que je fisse des efforts !

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  6. Robert Marchenoir10 avril 2014 à 01:04

    C'est diffamatoire pour l'andouille, qui fait d'ailleurs partie du patrimoine français, môssieur. Je vais te me foutre le syndicat des dépendeurs d'andouille au cul, moi, ça va pas traîner !

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    1. Mais non, mais non ! Vous aussi, vous dites ça parce que vous êtes jaloux.

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  8. Les crises d'andropause chez les vieux blogueurs qui prétendent donner des leçons à la terre entière sont particulièrement pénible pour leur entourage.

    Comme les vieilles bigotes qui constituent l'essentiel de son public, monsieur Goux a ses vapeurs.

    Consultez mon ami, consultez vite !

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    1. Jusqu'à présent, l'entourage a l'air de trouver cela plutôt divertissant.

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    2. Au contraire, Didier prouve par son billet qu'il est en pleine forme et possède toujours ses capacités à débusquer Guignol au fond des théâtres municipaux.

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  9. Mais n'avez-vous donc rien d'autre à faire que de perdre votre temps chez ce genre d'intellectuel des broussailles ?

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    1. Le problème est que j'ai totalement oublié le pourquoi de cette chute énigmatique…

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    2. Qu'est-ce que c'est que ce cliffhanger interruptus? Faites un effort, inventez au besoin. On veut connaitre la suite !

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    3. Je devais faire allusion, supposé-je, au billet qui sera mis en ligne vers six ou sept heures ce soir. Mais le rapport n'est pas plus évident pour cela…

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  11. C'est vrai ça... Pourquoi vous acharner sur ce pauvre Seb ? Je viens de parcourir son blog. Pas grand chose à en dire, à part son acharnement à se déclarer "écrivain" en s'auto éditant. Blog sans relief, discours formaté, propos insignifiants, langue approximative : ça mérite vraiment que vous y exerciez vos griffes ?

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    1. Non, sans doute. Mais chacun a ses faiblesses, ici-bas.

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  12. Votre billet m'a donné envie de (re)lire la "Confession d'un enfant du siècle" ; comme quoi un (petit) méfait n'est jamais perdu !

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  13. Je me souviens de ce billet qui brillait en effet par sa grande intelligence...

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    1. Ah oui, c'était un grand moment de guignolerie, ça ! Je l'avais oublié, tiens…

      Sinon, ça va, vous, comme gars ?

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    2. Ceci me rappelle que ces fils de pute ne m'ont toujours pas débaptisé.

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    3. On se tue à vous expliquer qu'on ne peut pas être débaptisé ! C'est un peu comme si, mutatis mutandis, un amputé exigeait de récupérer son membre perdu. Sauf que c'est l'inverse, puisque le baptême ajoute au lieu de retrancher.

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    4. Robert Marchenoir10 avril 2014 à 12:05

      Vous avez de la chance de ne pas être né musulman : chez eux, les "débaptêmes" se font par égorgement. Donc ne vous plaignez pas.

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    5. Je vois que dans son article, M. Musset parle à propos de son baptême forcé d'"abus de mineur" ; dans ce cas, l’Église ne peut être que complice : ce sont ses parents qui l'ont conduit de force devant l'autel qu'il doit à son tour traîner devant les tribunaux ; or il n'y fait jamais allusion, c'est étrange !

      Il faut d'autre part reconnaître qu'il n'a pas de chance avec la religion : quand il est en vacances à la plage ("sur la côte"), il ne tombe pas comme le commun des mortels sur d'intrusifs vendeurs de beignets, de crèmes glacées ou de colifichets africains, mais sur "des groupes de catholiques" proposant des cours d'initiation à la Bible : l'apostat oint d'huile solaire persécuté jusque sous son parasol par le prosélytisme balnéaire, c'est vraiment une scène d'anthologie !

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    6. C'est par là que Musset est grand.

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    7. Si l'église se refuse à défaire ce qu'elle a fait, la Cnil lui demande de rayer simplement au stylo le nom du baptisé. Comme quoi la plume est toujours acerbe.

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    8. « L'Eglise catholique est au taquet. » C'est beau !

      Encore !

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    9. @Seb Musset :
      “Ceci me rappelle que ces fils de pute ne m'ont toujours pas débaptisé.”
      Si si, maintenant on vous appelle Ducon Lajoie

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    10. Robert Marchenoir10 avril 2014 à 19:19

      Et comme le fait remarquer Emmanuel F., cette mode stupide, vicieuse et récente consistant à se faire "débaptiser" (acte qui n'a jamais existé) consiste, en gros, à renier ses parents. L'Eglise ne baptise jamais de force, à ma connaissance. Il faut bien que quelqu'un ait demandé le baptême pour vous...

      Il serait donc plus honnête, pour ces gens-là, de demander à divorcer de leurs parents. Remarquez, ils nous inventé le mariage pédé et le choix volontaire du sexe. Il ne faut donc pas exclure, qu'un jour, ils voient un vide juridique, une inégalité des droits ou une injustice sociale dans le fait que la Loi Républicaine ne prévoit pas encore le divorce parental. En 2014 ! Vous vous rendez compte ?

      Le champ des possibles est encore immense.

      Evidemment, dans ce divorce rétrospectif, il faudra prévoir une pension alimentaire négative. Autrement dit, il faudra que nos braves gauchistes rendent l'argent. Celui que leurs parents ont dépensé pour les élever et les nourrir.

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    11. Comparer un désir profond à une mode stupide c'est vouloir ignorer l'autre. J'aimerais qu'on respecte mes choix d'adulte. L'église c'est une grosse pute et dans mon cas elle a refusé de faire disparaitre mon nom de ses fichiers hideux en notant simplement en marge que j'avais renié mon baptême. Ce n'est pas suffisant à mes yeux et j'attends le recours devant la cour européenne des Droits de l'Homme qu'a fait un insatisfait comme moi, pour, si c'est alors possible, faire disparaître toute trace de mon passage dans ce registre. L'église considère ce qu'elle veut, je m'en fous, mais je suis propriétaire de mon nom et de mes prénoms et je ne veux pas les voir traîner n'importe où.

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    12. Robert Marchenoir11 avril 2014 à 10:08

      "Je suis propriétaire de mon nom et de mes prénoms."

      Délire narcissique terminal bien caractéristique de notre époque. Evidemment que vous n'êtes pas propriétaire de votre nom et de vos prénoms. D'ailleurs je viens de les inscrire sur un carnet, rien que pour vous prouver le contraire. Essayez donc de me traduire devant la cour européenne de mon cul, ou n'importe quel autre rassemblement de parasites nourris de l'argent gratuit des autres.

      Ca ne vous gêne pas d'insulter vos parents en public de cette manière ? Vraiment, vous trouvez ça correct ? Vous trouvez correct d'insulter l'Eglise parce que vous n'avez pas le courage d'assumer votre haine envers vos parents ?

      Votre nom ne vous appartient pas, la preuve : vous ne pouvez pas en changer, il appartient à vos ancêtres, et ce sont vos parents qui vous l'ont transmis. Votre prénom ne vous appartient pas, la preuve : ce sont vos parents qui l'ont choisi, et qui d'ailleurs ont confirmé ce choix par votre baptême, au cas où vous l'auriez oublié.

      Pourquoi n'allez-vous pas régler vos problèmes intimes en privé chez un psychothérapeute, au lieu de casser les couilles à tout le monde en prétendant en faire une affaire publique, et en mettant en cause les autres par-dessus le marché ?

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    13. Bravo Néné, t'es un vrai rebelle !

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    14. C'est que c'est quelqu'un, notre sous-commandant René !

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    15. Purée ! Renépaul et Seb-bidule, c'est du lourd. J'ai rarement vu autant de délires assénés comme des évidences. Marchenoir a tout dit, mais je voudrais témoigner de ma sidération profonde devant ce que cette modernité de merde est capable de produire. On croit avoir tout vu, et puis voilà, hop ! les bornes sont encore repoussées de quelques années-lumière...

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    16. 1/Je n'insulte pas mes parents. Ils avaient le droit de croire à ce qu'ils voulaient. J'ai le droit de croire à autre chose.
      2/J'ai le droit de faire disparaître mon nom d'un fichier, ce que me reconnait la CNIL, sauf en ce qui concerne ce registre de merde
      3/J'ai le sentiment que mon nom m'appartient, même si je ne l'ai pas choisi. Je l'ai même transmis.
      4/Je suis ravi de vous casser les couilles. Ça m'est un pur bonheur.
      5/Vous pouvez toujours remplir des pages de mes nom et prénoms sur votre carnet. Ça vous portera chance et autant les invoquer qu'invoquer la Sainte Vierge.. Statistiquement ça aura le même effet...
      6/Vous parlez de votre cul, mais je le trouve sans intérêt...

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    17. “Bravo Néné, t'es un vrai rebelle !”
      Encore un rebelle de salon mondain oui…
      Mais il est très fort, c'est vrai. Gardez-le nous au chaud s'il vous plait.

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    18. Robert Marchenoir11 avril 2014 à 21:47

      J'ai le droit de faire disparaître mon nom d'un fichier.

      J'ai le droit, j'ai le droit, j'ai le droit... Génération d'abrutis narcissiques qui n'ont que leurs "drouâs" à la bouche, et qui ne comprennent rien ni à ce qu'ils lisent ni à ce qu'ils racontent. Bah non, vous n'avez pas le droit de faire disparaître votre nom du registre des baptêmes, pas plus que vous n'avez le droit de le faire effacer de celui de l'état-civil. Je ne sais pas où vous êtes allé chercher ça.

      Je n'insulte pas mes parents. Ils avaient le droit de croire à ce qu'ils voulaient. J'ai le droit de croire à autre chose.

      Plus malhonnête, c'est difficile. Le type nous chie une pendule parce qu'il veut effacer le passé, il veut obliger un curé à effacer son nom d'un registre, et il prétend une heure plus tard que tout ce qu'il revendique, c'est d'avoir d'autres croyances que ses parents.

      Mais tout le monde se fout royalement de ce que vous croyez, mon brave. Croire ne consiste pas à casser les couilles de ses contemporains en les menaçant de procès parce qu'ils se contentent d'écrire la vérité, à savoir que Monsieur et Madame Parents de Gauchiste Abruti ont décidé, en l'an de grâce 1900 et des brouettes, de faire baptiser leur enfant Gauchiste Abruti au sein de l'Église catholique.

      Ceci n'est pas une croyance, c'est un fait. Croire se fait en silence, dans le secret de son cœur, et n'est pas synonyme de nier la vérité ou de falsifier l'histoire, ce que vous revendiquez.

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    19. Robert Marchenoir11 avril 2014 à 21:49

      Accessoirement, bien sûr que vous insultez vos parents. Vouloir effacer jusqu'au souvenir de ce qu'ils ont fait pour vous, et qui avait, par définition, tant de valeur à leurs yeux, qu'est-ce que c'est, sinon les insulter ou insulter leur mémoire ? Qu'est-ce que c'est, sinon cracher sur leur foi à eux et sur le dévouement qu'ils ont eu pour vous ?

      Au fait, ils sont vivants, vos parents ? Ils connaissent vos projets ? Ils en pensent quoi ?

      Si, comme vous l'affirmez, vous ne croyez pas en Dieu, alors qu'est-ce que ça peut vous foutre que la mémoire de votre baptême, qui est, à sa microscopique échelle, un fait historique, soit conservée par l'Église ? En toute cohérence, vous devriez considérer cela, au pire, comme des singeries sans conséquences, et en tous cas comme un épisode qui est derrière vous. Quel préjudice cela peut-il bien vous causer ? Le fait d'être inscrit sur le registre des baptêmes vous contraint-il à payer l'impôt ecclésiastique ? Vous oblige-t-il à aller à la messe ? A vous déclarer catholique ? A vous découvrir au passage des processions ?

      Bien sûr que non ! Votre but n'est pas la liberté de conscience, que personne, dans cette société déchristianisée, ne songe à vous contester, grands dieux ! Même pas l'Église, et l'Église moins que personne, sans doute. Votre but, et vous le revendiquez dans votre réponse, est de casser les couilles à vos contemporains, de les faire chier, de manifester toute la mesquinerie, toute la méchanceté et tout le pouvoir de nuisance dont vous êtes capable. Votre but est de vous faire remarquer par vos vociférations tapageuses et vos revendications narcissiques.

      Je suis ravi de vous casser les couilles. Ça m'est un pur bonheur.

      Merci de nous avoir confirmé ce qui était d'ores et déjà manifeste. Merci de prouver une fois de plus la nature de l'être-de-gauche, qui consiste avant tout à emmerder le monde -- en s'abritant derrière de grandes proclamations de supériorité morale.

      Ce mouvement pour la désinscription des registres de baptême est le signe d'une profonde pathologie mentale collective. Cela revient à nier son passé, à nier son enfance, à nier son éducation, à nier ce qui vous a fait et ce que vos parents ont fait pour vous. C'est le symptôme d'un fantasme de toute-puissance qui est évidemment suicidaire, car il est impossible de s'amputer de son passé, pas plus qu'on ne peut réclamer à son bénéfice l'ablation du cerveau.

      Cette revendication montre bien que le gauchisme n'est pas seulement une doctrine politique erronée et nocive, mais un trouble mental.

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    20. Le point que vous soulignez est celui qui me surprend toujours le plus : pourquoi faire une telle montagne d'une chose qu'ils prétendent par ailleurs tenir pour une "momerie" ? C'est totalement incohérent. Imaginons un instant que le hasard m'ait fait naître en Afrique, et que mes parents, pour se concilier les bonnes grâces locales, aient demandé au sorcier local de venir faire trois singeries au-dessus de mon berceau, eh bien il ne me viendrait nullement à l'idée de m'en formaliser, et encore moins d'exiger d'être "démaraboutisé".

      En fait, par leurs gesticulations et leurs éructations, ils ne font que prouver l'importance que le baptême possède toujours à leurs yeux. C'est bien amusant.

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    21. Je constate, en comptant le nombre de lignes que chacun y consacre, que le fait de vouloir effacer mon nom des registres de baptême vous fait vraiment bien chier. Mon but est atteint: faire chier les dogmatiques par une démarche logique et simple qui consiste à vouloir se réapproprier sa propre existence. Vous vivez la vie des autres, c'est votre droit. Moi j'ai envie de vivre la mienne, c'est mon droit, mais je constate que vous ne le supportez vraiment pas...

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    22. Juste à titre d'information : http://renepaulhenry.blogspot.fr/2011/11/debaptisation.html

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    23. Robert Marchenoir-> Vous êtes très fort dans l'invective... Bravo.! Je vous signale cependant, au cas où vous l'oublieriez, qu'on voit toujours les autres à travers soi-même....

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    24. Et bien moi j'ai refusé une invitation à un mariage houmous. Chacun sa rébellion.

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    25. "J'attends donc avec impatience le résultat de l'appel que l'évêché de Coutances a interjeté. Si c'est favorable j'espère être le second débaptisé de France...."

      Et après cette éclatante victoire, n'oubliez pas d'envoyer votre candidature pour la médaille de la Résistance !

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    26. Moi, on m'a donné le choix : mariage ou mousse. J'ai aussitôt filé au bistrot pour commander une bière.

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    27. « qui consiste à vouloir se réapproprier sa propre existence »

      Mon Dieu, mais c'est trop beau ! Ce type est un génie. Le Panthéon + le formol, de toute urgence. Et si ça se trouve, il fait ça comme ça, sans même y réfléchir… !

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  14. Oui,
    ça va assez bien en fait...

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  15. Didier, si un brutal accès de démence vous poussait à consulter, n'allez pas vous épancher chez un ramier de première, il serait bien capable de vous refiler la grippe aviaire...

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  16. 39 n'étant pas rond, je met un 40ème commentaire pour la forme et je ne vois toujours pas l'allusion faite par ta nouvelle petite copine Rosa au sujet de sa navrance sur un présumé clébard.
    Aucun impératif de réponse évidemment... autrement on repartira sur d'autres chiffres bancals.

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  17. Robert Marchenoir11 avril 2014 à 20:45

    Le gras est de Seb.

    Le gras d'agneau, c'est bon, mais le gras de Seb, ça doit être franchement dégueulasse.

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  18. J'aime beaucoup les réacs : ils considèrent que tous ceux qui ne sont pas d'accord avec eux sont débiles.

    Marchenoir est le plus rigolo avec ses relations aux parents. 90% faisant baptiser leurs gamins pour ne pas être emmerdés par leurs propres parents, ça nous fait de la marge pour sauver le catholicisme.

    Cela étant mes parents ne m'ont pas fait baptisés pour ne pas être emmerdés par leurs propres parents. Ou presque.

    Ça me rappelle que le divorce de ma grand mère en 1954 avait fait scandale. C'était un des premiers du patelin.

    Famille de rebelles.

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    1. "90% faisant baptiser leurs gamins pour ne pas être emmerdés par leurs propres parents..."

      C'est 100 % faux. Je ne sais d'où tu tiens cela mais c'est faux.

      Il y a un fait qu'on oublie dans toute cette histoire. L'Eglise ne force personne à demander le baptême pour son enfant. Et ne force aucun enfant à venir ensuite suivre son catéchisme. Le baptême est un acte qui met l'enfant, futur adulte, devant sa propre liberté.

      Avant chaque baptême d'enfant, il y a des réunions de préparation, un dialogue qui s'instaure avec les familles, afin que chacun prenne bien conscience de ce qu'est le baptême ; un sacrement certes (c'est à dire un signe visible de la présence de Dieu - que l'on n'efface pas, bien évidemment, puisqu'il est posé, commis, en rayant simplement une ligne sur un registre), mais aussi une entrée en communauté. Ce que dit Marchenoir est juste. La liberté de conscience, mettons le libre arbitre, est au centre de tout dans le baptême ; la liturgie est ainsi faite : lors d'un baptême, ce sont les parents qui s'engagent pour l'enfant - ils professent leur foi pour lui. En ce sens, vouloir se faire débaptiser, même si c'est techniquement impossible, c'est piétiner leur foi. Les arguments apportés par les deux gonzes du dessus montrent qu'ils ne se sont même pas renseignés sur ce qu'il s'est passé durant leur baptême. Ils ne savent ni comment cela se passe, ni ce qui s'y est dit, ni ce qui l'a motivé. Et font une fixette sur un registre dont l'Eglise ne fait rien, bien évidemment - y compris statistiquement (non mais quelles sottises !).

      Pour faire partie de l'équipe qui s'occupe, au sein de ma paroisse, des réunions que je mentionne plus haut, avec les parents, l'argument de la tradition familiale est sans doute celui qui est le moins avancé. En, trois ans (une réunion par mois : entre 10 et 20 familles présentes à chaque réunion), j'ai dû l'entendre, deux fois tout au plus et pourtant, on dit beaucoup de choses pendant ces réunions, et bien sûr des choses qui peuvent heurter la foi d'un catholique pratiquant.

      Enfin, puisqu'on parle des parents, on oublie aussi sans doute que le baptême établit un lien entre un enfant, un parrain et une marraine. Vouloir se faire débaptiser, c'est aussi, renier ce lien. Bref, c'est une revendication idiote, démesurée, ignorante, grotesque. Et la formulation qu'utilise les deux hommes ici présent, pour la défendre, particulièrement grossière et violente, montre bien que l'athéisme porté en étendard (républicain ? la bonne blague) est aussi une forme d'intégrisme des plus obscurantistes. Mais comme beaucoup de gens : ils se méprennent sur ce qu'est le christianisme en général et le baptême en particulier, qui apportent à l'homme une dignité nouvelle et le don de la seule et vraie liberté.

      Je m'excuse auprès d'entre vous tous, je viens de réussir à écrire un commentaire sans écrire d'insultes ou de grossièretés. C'est pas dans le ton, je le vois bien, mais bon...

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    2. Il vous sera beaucoup pardonné…

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    3. Robert Marchenoir12 avril 2014 à 10:06

      Oui Jégoun, je viens de démontrer que la posture de Monsieur Débaptisez-Moi est débile, et vous ne vous êtes même pas donné la peine de réfuter un seul de mes arguments. Il y a des opinions débiles et des débiles tout court, figurez-vous. Le sens commun n'est visiblement pas un drouâdlom, et votre intervention ne dément certainement pas cette constatation.

      Vous faites semblant de croire que ce qui compte, c'est la sincérité de la foi religieuse des parents de Monsieur Débaptisez-Moi. Une fois de plus vous n'avez rien compris. C'est extraordinaire à quel point vous refusez, vous et votre bouffeur de curés, d'affronter cette évidence (ne serait-ce que pour la discuter), à savoir que la revendication des débaptiseurs consiste à renier leurs parents, et qu'ils ont la lâcheté, pour dissimuler ce fait, de s'attaquer à une institution qui est devenue un bouc émissaire, et dont ils savent qu'elle est devenue un ventre mou, qu'elle ne répliquera pas, qui ne les remettra pas à leur place comme ils le méritent, qui accédera même à leurs répugnantes exigences en mentionnant leur désaveu dans ses registres -- et même cela ne les satisfait pas.

      Comme quoi il ne faut jamais céder un pouce aux gauchistes et à leurs amis, car ils ne seront jamais satisfaits et ils en voudront toujours plus.

      Cette revendication est une expression de plus de l'essence du gauchisme, qui ne consiste pas à "changer le monde", contrairement à ce qu'il prétend, mais à nier le passé, à réécrire l'histoire et à refuser la réalité.

      Si Monsieur Débaptisez-Moi était honnête, il dirait que ses parents l'ont baptisé, que lui ne croit pas, et puis basta, l'affaire s'arrêterait là. S'il était un bon garçon, il serait reconnaissant à ses parents de l'avoir élevé (éducation dont le baptême fait partie) ; s'il était particulièrement vicieux il leur en voudrait de leur éducation, et une fois de plus ça s'arrêterait là.

      Mais non ! Ca ne s'arrête pas là ! Il faut en plus qu'il s'attaque à la liberté d'un tiers, l'Eglise, le curé. Il faut en plus qu'il fasse travailler le curé pour satisfaire ses caprices, comme si le curé n'avait que ça à faire, comme s'il avait des armées de fonctionnaires à sa disposition pour "effacer" les noms des millions d'abrutis qui seraient susceptibles de "refuser" rétrospectivement le baptême.

      Je suggère que l'Eglise fasse comme l'entreprise privée (et, de plus en plus, comme l'Etat), et qu'elle commence à exiger une redevance de, disons, 1 500 euros aux gros malins débaptiseurs, pour simplement compenser sa peine de rechercher l'existence d'une inscription dans un registre datant de trente ou quarante ans.

      Et, si elle la trouve, qu'elle exige une seconde redevance de, mettons, 15 000 euros, pour procéder à cet acte totalement extravagant et parfaitement superstitieux qui consiste à vouloir effacer l'histoire.

      On verrait alors combien de parasites très généreux avec le travail des autres seraient alors encore offensés dans leurs convictions par la mention de leur nom sur les livres de cette Eglise honnie.

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    4. Pow pow pow. Tout le monde cause, ici.

      Bob,

      Le coup du reniement des parents est une grotesque connerie et vous le savez.

      Dorham,

      Ce n'est pas 100% faux et tu le sais aussi (qu'est-ce que vous avez tous à faire des tartines ?). Le baptême est aussi un truc qui se pratique par tradition et pour faire plaisir aux autres. J'ai boycotté suffisamment de baptêmes dans la famille (pas catho, le machin était organisé pour faire plaisir à la famille de l'autre)... J'ai même refusé d'aller dans une église pour le mariage de ma cousine (avant d'y rentrer me faisant engueuler par ma propre mère) qui m'avait expliqué se marier à l'église pour faire plaisir à la grand mère du futur époux...

      Et on tombe dans ce que disait Bob : elle ne voulait pas que son gros ait l'impression de renier sa grand-mère...

      Quant au registre, pour répondre à Didier et à son marabout, je suis partagé (et je m'en fous, je ne suis pas baptisé). Autant, effectivement, je me fous qu'une religion à laquelle je ne crois pas puisse me bénir et tout ça. Par contre, ça me ferait bien chier d'être dans les chiffres officiels des croyants. L'église catholique n'est pas qu'un machin de croyants mais aussi une institution politique.

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    5. "et dont ils savent qu'elle est devenue un ventre mou, qu'elle ne répliquera pas, qui ne les remettra pas à leur place comme ils le méritent, qui accédera même à leurs répugnantes exigences en mentionnant leur désaveu dans ses registres -- et même cela ne les satisfait pas."

      Vous allez un peu vite en besogne Marchenoir - ventre mou, toi-même. Tout dépend bien entendu du prêtre que vous trouverez en face de vous. Ou des laïcs... Il y a des prêtres qui, en effet, ne diront rien, ou presque rien. Il y en a d'autres qui vous recevront, je peux vous l'assurer et pas avec des bouquets d'églantines...

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    6. De toute façon, les bouquets d'églantines sont exclusivement réservés à ceux qui vont siffler là-haut sur la colline, alors…

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    7. Nicolas,

      C'est effroyable. Arrête donc de raconter n'importe quoi. Les propos de ces deux types sont absurdes et grotesques. Franchement, les lire me donne envie de les plaindre. C'est là le propos de gens qui veulent se donner à voir. Ce n'est rien de plus. Vous me faites marrer avec vos histoires de registre... Ils n'ont rien de mieux à faire franchement, eux qui se prétendent de gauche... Quelle triste bande de pitres...

      Et au passage, la tradition, ce n'est pas forcément de l'insincérité. Tu procèdes par raccourci. La tradition, c'est aussi et surtout la transmission.

      Bon, allez, c'était ma rupture de silence. Elle vient d'arriver à son terme. A dans 6 mois.

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    8. Dorham,

      Arrêté de t'enferrmer dans ton rôle de catho de gauche. D'ailleurs je pourrais reprendre mon commentaire pour te répondre ça en devient ridicule.

      En outre, je ne défends pas mes copains (à part Seb en tant que cible de Didier dans ce billet. J'ai traité Didier de gros con, j'ai fait le job).

      Je crois néanmoins que tu as un problème : tu arrives pas à comprendre que des gens n'ont pas la foi et refusent d'être référencés comme étant catholiques. Je ne mets pas à leur place, je ne suis pas référencé.

      Putain de bordel, ce n'est quand même pas compliqué de comprendre que l'on puisse ne pas vouloir être inscrit dans un registre d'une religion à laquelle on ne croit pas et dont on s'oppose aux positions.

      Chacun fait ce qu'il veut. Didier a décidé de faire un mariage catho à un âge avancé. C'est son problème.

      En outre, mes potes n'entrent pas dans une croisade. Ils ont demandé à être supprimés de registre. S'il y a discussion, c'est parce que Didier a fait un billet (à jeun ?) et que les discussions sont parties ainsi.

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    9. Robert Marchenoir12 avril 2014 à 15:15

      Vous allez un peu vite en besogne Marchenoir - ventre mou, toi-même. Tout dépend bien entendu du prêtre que vous trouverez en face de vous. Ou des laïcs... Il y a des prêtres qui, en effet, ne diront rien, ou presque rien. Il y en a d'autres qui vous recevront, je peux vous l'assurer et pas avec des bouquets d'églantines...

      Oui, oui, Dorham, on connaît la chanson... fopagénéraliser... iannadébien... Mais dans l'ensemble, l'Eglise est bel et bien un ventre mou. Ou alors, merci de m'indiquer la prise de position officielle, hiérarchique et faisant autorité de l'Eglise disant, en substance : allez vous faire foutre, c'est NOS registres, ça fait deux mille ans qu'on les tient et c'est pas aujourd'hui qu'on va vous laisser fourrer votre nez dedans.

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    10. Mouarf. ! Nos registres... Marchenoir comme défenseur de l'institution.

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    11. Robert, faire le ventre mou, c’est très bien, mieux que de discuter dans le vide. Et finalement cquiquigagne ? L’Église qui tient ses registres comme elle l’entend.

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  19. Mouais, pourquoi pas repartir, rebondir sur les chiffres qui tiennent moins debout que d'autres, c'est assez simple. J'essaye d'imaginer ce que j'aurais pu tartiner comme conneries si internet était survenu quelques dix années plus tôt dans ma petite vie d'ignorance tranquille. Pour SEb Musset je tiens à faire remarquer qu'il n'a pas beaucoup fait son écrivain, c'était plutôt court, sûrement le débaptême musulman a-t-il évoqué quelques images pas glop. Je trouve sympa néanmoins qu'il se dise écrivain, il est lu apparemment

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  20. Encore de la poésie, "renepaulhenry", encore ! ENCORE !

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    1. Il n'y a qu'à demander... http://renepaulhenry.blogspot.fr/2005/12/erotique.html#comment-form

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  21. La tenue des registres n'a pas deux mille ans. C'est en gros à la demande du pouvoir civil en 1539 que l'église a commencé à tenir des registres. Pour avoir fait des recherches généalogiques j'ai dû constater à regret qu'il n'y a pas grand chose avant le 18e siècle. Et pour ce qui est du sérieux des curés, ça laisse beaucoup à désirer. http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_l%27%C3%A9tat_civil_en_France

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    1. MERCI M. RPH, vous apportez la Lumière (en plus de la Poésie) dans le monde de ténèbres qui est le mien et mes larmes de reconnaissance ruissellent jusqu'à terre. Je vous baise les pieds et vais de ce pas tenter gauchement de me réappropriationner mon existence.

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    2. Il m'étonne que personne n'ait pensé à rétorquer à ce peigne-cul que vouloir faire effacer son nom dans le registre des baptêmes c'est vouloir tripoter les archives, et donc, à sa minuscule échelle, falsifier l'histoire, rien de moins. Encore un truc dont les gauchistes raffolent : rappelez-vous le tripotage des photographies par les staliniens.

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    3. Oui, en effet, je suis surpris que Marchenoir n'ait pas relevé cet aspect des choses.

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  22. Moi, ce qui m'étonne, c'est que vous répondiez sérieusement à ce peigne-cul. Comment peut-on prendre ce genre de types au sérieux ?

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  23. Sur les brocantes j'ai vu tellement de vendeurs se débarrasser de leurs lettres, souvenirs, objets de famille, reniant par là leur histoire personnelle que je n'arrive pas à comprendre l'acharnement de certains à critiquer ma démarche vis à vis d'un registre privé que personne ne lira jamais, qui est enfermé dans une armoire et qui finira brûlé dans un incendie. Jusqu'à aller à me traiter de peigne-cul, de falsificateur de l'histoire etc.. L'histoire c'est aussi celle que j'écris en ce moment en racontant mon désir de disparaître de ce registre qui acte la manipulation des enfants en les inféodant à une religion sans qu'ils aient pu en faire le choix. Si ma volonté d'enfant n'a pu être entendue, ma volonté d'adulte est bafouée. Je ne sais pas qui sont les peigne-culs de l'histoire....

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    1. Si l'on essaie d'entrer une minute (mais vraiment pas davantage) dans votre logique, on pourrait vous faire remarquer que votre volonté d'adulte est beaucoup plus valorisée par la mention indiquant dans le registre que vous avez renié votre baptême que par une disparition complète de votre nom.

      L’Église a accédé à votre demande en prenant acte de votre reniement et ainsi, il restera une trace de votre choix d'adulte, nettement revendiqué. Mais en fait, vous n'êtes même pas capable d'assumer cette (minuscule) responsabilité ; vous vous croyez adulte, mais vous êtes resté un petit enfant et la seule chose que vous arrivez à "acter", c'est votre gros caprice de rebelle de bac à sable.

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    2. Ceux qui "actent" se nomment des acteurs. CQFD

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  24. Emmanuel F-> Bien sûr que j'assume cette minuscule responsabilité. C'est plutôt l'église qui se conduit comme un petit enfant. Entre une personne qui fait le choix d'un monument funéraire avec ses noms prénoms et dates, et celle qui demande que ses cendres soient dispersées au vent, ce qui est mon cas, il y a d'immenses différences de conception de la vie et de la mort. Je pense que vous pouvez comprendre cela. Mes enfants respecteront mon choix, j'en suis sûr. J'aimerais que l'église, qui n'est propriétaire de rien, en fasse autant...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.