Bon, apparemment, il faut que je présente mes plus plates excuses à Olivier Bruley (je pense pouvoir le citer, puisqu'il est intervenu in nomine en commentaire), qui m'informe (et vous avec, donc...), que la phrase trouvée par moi à cause de cet enfoiré de Go*gle n'a jamais été en message, mais en commentaire dudit message.
Comme quoi la blogosphère finit par rendre tout le monde paranoïaque, moi le premier, ce qui n'est pas une découverte forcément agréable.
(Mais je soupçonne Olivier Bruley de s'être bien diverti de ma méprise, et cela m'est consolation...)
Comme quoi la blogosphère finit par rendre tout le monde paranoïaque, moi le premier, ce qui n'est pas une découverte forcément agréable.
(Mais je soupçonne Olivier Bruley de s'être bien diverti de ma méprise, et cela m'est consolation...)
Vous êtes tout pardonné, cher Didier, d'autant qu'à moi aussi il arrive d'avoir des accès de paranoïa.
RépondreSupprimerJoyeuse ambiance entre les lecteurs de Renaud Camus... Je me demande si je vais continuer !
RépondreSupprimerEh ! oh ! le Parisien (vrai ou pas) : Renaud Camus n'a rien à voir là-dedans : on a le droit d'être parano EN DEHORS de lui ! Continuez votre lecture (sinon, représailles sournoises et néanmoins sanglantes) !
RépondreSupprimerDidier, votre réponse confirme mon analyse... Je maintiens : joyeuse ambiance !
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